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Mon apollon a grosse queue

C'�tait pendant les vacances, mon fr�re m'avait propos� d'aller chez lui, nous devions �changer nos appartements pendant quelques jours. J'�tais donc sur Paris pour quelques jours, je voulais pendant cette semaine en profiter pour approfondir mes exp�riences dans le milieu gay.
J'�tais gai d'avoir trouv� l'appartement du frangin, mais je ne savais pas que je le serai beaucoup plus en le quittant. En entrant dans l'appartement (2 pi�ces avec la salle de bain) je fut frapp� par une odeur m�langeant deo et renferm�. Mon fr�re m'avait pr�venu que la douche fuyait mais je n'imaginait pas � ce point, l'eau coulait � flot, comme �a depuis 2 jours les factures serai �norme, mais mon probl�me �tait avant tout cette odeur.
En ouvrant la fen�tre, la vitre se mis � grincer fort, l'eau s'arr�ta net. Alerte, entendant de plus en plus de bruit, je fis irruption dans la salle de bain, la porte n'�tant pas barr�e. Et l�, sid�r�. Je faillis en tomber du cul. Un homme d'une bonne vingtaine d'ann�e se rhabillait devant moi, en vitesse. Il avait un visage assez creus� avec un menton l�g�rement rond, les cheveux court et des gros sourcils, qui lui donnait un air malin et mature. Son l�ger tee-shirt me laissa entrevoir de beau abdos et quelques longs poils pubiens.

- Qui t'es � �tre ici ? Lui posais-je comme question, tout en arrivant pas � y croire.
- Je peux te poser la m�me question, on m'a invit� � passer les vacances ici.
- T'es dans l'appartement de mon fr�re, et il m'aurai pr�venu si je devais trouver un mec ici.
- T'es le fr�re � Benji ? J'y croit pas il m'avait dit que personne ne devait venir.
- Faut croire qu'il t'a oubli� (sans savoir si c'�tait r�ellement possible).
- Apparemment. Enfin il m'avait juste dit quelques jours et comme je ne sais toujours pas o� aller. Je me suit dit.
- Bon d'accord tu reste ici avec moi, je doit rester environ la semaine.

Et c'est comme �a que je fis connaissance avec Cl�ment.
On resta environ 4 jours sans vraiment se parler, je dormais sur le lit en hauteur (point strat�gique) et lui dessous, j'adorais le regarder dormir, m�me si les premiers jours il dormait quasiment habill� et emmitoufl�, il se d�couvrait petit � petit, pour finir � dormir avec un simple drap semi transparent et en cale�on.
Cl�ment se portait tr�s bien, des muscles bien dessin�s, o� il fallait, mais le plus attirant �tait ses abdos et son torse parfaits et l�g�rement poilus � souhait, tr�s large d'�paules j'en fantasmais toutes les nuits, sans parler de son paquet inaccessible.
C'est ce qui me d�cida � pass� � l'action (je restai toutes mes journ�es aupr�s de lui et n'avais vu aucun gay depuis mon arriv�e � Paris, toujours sur son dos, j'�tais gonfl� � bloc).

Et donc en ce cinqui�me matin, je l'incita (for�a) � aller chercher des croissant � la boulangerie la plus loin. Je devais pr�parer l'appartement, le pi�ger. A son retour, je me mis � pr�parer le petit d�jeun� pendant qu'il s'habillait. Il me fit remarqu� que la porte de la salle de bain ne fermai plus et restai grande ouvert, la porte �tait trop haute (Une rondelle dans chaque charni�re, long et difficile � mettre en place), tan pis lui dit-je en aillant du mal � cacher mon air satisfait.
Donc je prenais de l'eau au robinet quand le joint l�ch�t (disons qu'il n'y en avait plus), un jet d'eau m'explosa au visage, je l�ch�t (fit tomb�) le produit vaisselle au sol et appela mon �talon. Il s'�tait habill� d'un jean semi moulant et d'un tee-shirt. Pendant que je m'essuyai je lui dis de couper l'eau sous l'�vier.
Pour ne pas se salir il se baissa sans quasiment pas plier les genoux, l'effet escompt�, son pantalon lui rentrait dans la raie du cul � la fa�on d'un string. Pour pouvoir approch� le robinet il se couche comme s'il faisait des pompes pour ne pas se salir, sans pataug� dedans et d'une seul main essaya d'atteindre le bouton.

- Je le trouve pas, me dit-il en foutant le bordel dans le placard.
- Mais t'es aveugle l�, me baissant pour lui montrer, je glisse sur l'eau savonneuse (+ ou -) et essaye de me rattraper sur son dos, surpris dans un "h�" tombe dans l'eau savonneuse, grasse et sale, avec moi dessus.
- Non mais �a ne va pas je suis bon � me relaver, il coupe l'arriv�e d'eau.

Il �tait beau comme �a, avec le tee-shirt mouill� et crade qui laissait entrevoir ses superbe abdos et un beau paquet sous le cale�on. Je voulu l'essuyer mais il refusa.
M'excusant je le laisse retourner se doucher pendant que je nettoie mais conneries.
J'attend quelques secondes apr�s l'arr�t de la douche et fais irruption dans la salle de bain en disant :
- Dis tu ne saurai pas o� Benjamin range les ampoules ?

Comme pr�vu j'arrive au moment m�me o� il s'essuie le corps, il n'a plus rien pour se cacher � part la petite serviette (mise � disposition ce matin) Je continu � lui parler dans les yeux tout en cherchant dans le placard des chiottes. Il a vraiment un corps parfait, model� � la perfection, mais le plus frappant (et j'aimerai bien en �tre frapp�) c'est son fameux p�nis peut �tre pas TBM au repos, mais qui fait quand m�me r�ellement peur.
J'adore le voir boug� � poils c'est si excitant que j'ai du mal � ne pas lui sauter dessus.
Il met un cale�on et m'en sort une, � ce moment l� j'ai peur qu'il n'est compris.
Je lui demande malgr� tout de la changer, il doit monter sur l'escabeau pour atteindre le plafond. Il s'ex�cute et me demande de tenir l'escabeau.
J'en profite pour regarder discr�tement (et ce n'est pas facile) dans l'entreb�illement de son cale�on, et je vois cette bite, un peu moins molle que tout � l'heure, j'aime la voir se balancer comme �a, avec une superbe tignasse de long poils qui vont en diminuant jusqu'au cul, les testicules sont quasiment imberbe.
Il me demande de le tenir plus haut, au niveau des abdos, je le prend et failli en vacill� au point, qu'il soit si ferme, si dur, si odorant et attirant. Je commence � en bander, je monte d'une marche et le serre contre moi ses fesses sur mon torse :
- Eh mais qu'est ce que tu fais, t'es malade ou quoi, t'es PD !!!

Surpris je ne sais quoi lui r�pondre et le laisse se changer, il gueule.
Je suis d��u, je me mets devant la t�l� et commence � m'en vouloir.
Il sort, il ne me cause pas.
C'est deux heures apr�s qu'il fait irruption, je croyais pour manger mais j'avais tort.
Il �tait habill� d'un tee-shirt moulant tr�s sexe, d'une chemise ouverte et d'un bagui.
Il s'assoie � c�t� de moi et me sort :
- Je m'excuse pour tout � l'heure, j'ai contre les gay, j'ai moi aussi eu certaine exp�riences et c'�tait pas mal du tout, �a m'a surpris c'est tout.
- Je . , surpris et int�ress�
- Et tu sais je suis pas contre une autre tentative.

Compl�tement bouche b�e il s'allonge sur moi.
Il m'enl�ve mon pull et m'embrasse. On se d�shabille lentement en se regardant, je n'en crois pas mes yeux, un si bel �talon pour moi.
Je lui demande de garder son cale�on, qui d'ailleurs � du mal � tout garder.
Je vais barrer la porte et chercher du savon, type gel douche.
Je m'assoie sur ses abdos et commence � le caresser, d'un doigt descendant entre ses deux larges pectoraux. Je sens sa peau d'une intime douceur et ses quelques poils drus, j'adore, il frissonne et g�mi.
Je sens derri�re moi sa bite en feu.
Arriv� aux abdos je me sers de toute ma main pour sentir tout les remous de son ventre, je m'arr�te au niveau du cale�on en regardant l�g�rement au dessous, j'en ai peur et en frissonne. Il ne bouge pas et me laisse faire, je lui l�che le ventre tout en lui malaxant les aisselles et les bras, si muscl�s sentant presque les veines. Je m'arr�te je l'embrasse, prend le gel et en verse sur son ventre, il a froid mais ne dit rien.
J'�tale le savon sur tout le ventre ne le massant et appuyant fort jusqu'� ce que tout ait disparu, son torse est sublime, brillant, parfait.
Je d�cide de m'attaquer au gros morceau et c'est le cas de le dire, son dard. Je glisse mes mains sous ses fesses dans le cale�on et lui malaxe le cul. Pendant se temps il joue avec ses muscles pour m'exciter, et moi je lui retire le dernier obstacle avec la bouche. A peine entrevue son sexe me saute au visage.
L'impensable. Sa bite est un chef d'ouvre de la cr�ation : un diam�tre d'environ 4 bon centim�tre et une longueur et c'est vrai de 25 bon centim�tre, la queue de ma�tre par excellence, il me surprend encore une fois.
Voyant que je ne bouge plus, il se redresse enl�ve mon cale�on, qui n'en peut plus, et me met en 69. Ainsi je me retrouve avec son engin devant moi, je l'entend � peine me f�licit� pour ma queue, minable � cot� de la sienne, je suis dessus mais il est oblig� de me forc� � me mettre � l'action. Ce que fais � coeur joie, maintenant que je suis sorti de ma stupeur. Il se d�brouille tr�s bien, je me demande si ce n'est que des exp�riences.
Sa bite ne rentre qu'� moiti� et faillie m'�touffer plusieurs fois. J'adore cette bite chaude dans ma bouche et ce corps entre mes mains, je le sers contre moi. Je sens, sous moi, ses abdos qui font des soubresauts, j'en fais autant et dans son cri de plaisir nous explosons de plaisir.
Mon sperme atterris sur ses pectoraux, son foutre quant � lui, dans un jet puissant failli m'�touff� pour de bon, en avalant un peu (je n'en suis pas fan) j'en garde le plus dans la bouche pour l'embrasser et m�langer ce foutre entre nos deux langues.
Je m'allonges sur lui, torse contre torse, bite contre bite, �tant plus petit je pose ma t�te sur ses �paules et main dans la main (gauche dans gauche, droite dans droite) �tir�s vers le haut je m'endors dans son odeur, d'homme chaud et mature, cette odeur de sperme.

Et �a a continu� toute la semaine et plus puisque j'ai demand� � mon fr�re de rester plus longtemps sans lui parler de mon apollon � grosse bite.

J'attends vos remarques et avis � chaud mais aussi vos propres exp�riences.

Mark

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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