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L'apollon noir.
Je m'appelle Abel. J'ai 29 ans, brun, visage jeune, 1m72 et un corps rond bien en chair. D'accord c'est peu �tre pas un physique avantageux, mais il l'est pour le reste de l'histoire.
C'�tait au mois de novembre, des amis me demandent pour sortir. Je n'avais pas trop le moral et une forte envie de rester � la maison pour regarder un film bien au chaud sous la couette.
Mes amis insistent en me suppliant de les accompagner dans ce nouveau restaurant africain peu ordinaire. Bon allez ! �a va changer de la routine et en plus j'ai envie de d�couvrir cet endroit o� in�vitablement il y aura des hommes de couleur que j'affectionne particuli�rement.
Nous voil� devant ce resto, oui vraiment pas mal. Tout y est : d�cor africain ext�rieur/ int�rieur oui ok mais le mieux : que des hommes de couleur �b�ne. � l'entr�e, on �tait accueilli par un serveur black pas tr�s grand mais large d'�paules � la peau tr�s noire et des fesses muscl�es que l'on devinait tr�s dures. Il nous salua et nous invita � passer devant pour nous conduire � une table. Lorsque que je lui ai pass� devant, j'ai remarqu� son odeur de musc, �pic�e et enivrante.
Mes amis admirent le d�cor et moi je mate le serveur : bon chacun son truc.
Qu'est qui l'est beau cet homme ! Quelle stature ! Il fait 1m75 85 kg environs cheveux tr�s court cr�pus. Je prends tout le temps de le d�tailler. Oh et ses pectoraux, sous son tee-shirt, ils sont gonfl�s de vie, bien dessin�s et remplis de force !
Mince, j'ai trop insist� sur ses pecs. Je n'ai pas remarqu� qu'il me regardait dans les yeux pendant que je matais. Je reviens � moi. Il nous tend les menus (j'aurais pr�f�r� autre chose mais patience...)
Et notre apollon s'�loigne pour nous laisser choisir.
J'�tais compl�tement ailleurs, subjuguer par les formes de mon �talon black. En quelque sorte j'�tais hypnotis�, " vaudouism� " !
Il revient prendre la commande, je laisse parler les autres pour reluquer.
Mais comment peut-on �tre aussi beau, aussi fort et montrer tant de virilit�, de puissance et d�gager tant d'�nergie sexuelle !
Mon regard se perd sous la ceinture et je vois d�j� une bosse bien form�e. Bande t'il ?
Il s'adresse � moi et sans l'entendre, je continue de regarder sa jolie d�formation. Mes amis m'appellent, et je sors surpris de mes songes �rotiques. J'ai les pommettes un peu rouges en le regardant. Il me trouble ce mec et son parfum si particulier, je chavire... Il a remarqu� que je matais sa bosse, il me lance un regard coquin. Il demande si nous prenons un cocktail en guise d'ap�ritif. Oui bien s�r.
Il vient se mettre tout pr�s de moi sur ma gauche et il tend le bras sur la droite pour montrer la liste des cocktails accroch�e sur le mur. En se serrant contre moi, il presse son entrejambe le long de mon bras et stupeur, je sens sa bosse ! Je suis interloqu� et le regarde pendant qu'il fait une th�se sur la composition des cocktails. Il ne rejoint pas mon regard et continue de se frotter plus fort encore. �a alors, son paquet a encore grossi ! Quel chaud ce black ! Il est en manque ou quoi ? Il descend dans mes yeux et je ne les baisse pas. Il me fait un sourire en se touchant discr�tement la braguette.
�a y est : le message est clair pas de doute possible !
Aller Abel, on joue le jeu, je n'ai rien � perdre.
Mes amis me parlent, entament des discussions sur des sujets d'actualit� et moi je suis loin d'eux, mon esprit est ailleurs : dans le pantalon de mon serveur...
Apr�s avoir sirot� mon breuvage, je me dirige vers les toilettes, une petite envie ...
Je rentre dans la pi�ce d'eau : d�cor en bambou superbe. Je fais ma petite affaire express. Ouf �a fait du bien. Je me dirige vers le lavabo pour me laver les mains. Je fais couler l'eau et me savonne. Et l�, je sens une pr�sence et une odeur bien excitante me vient aux narines. Je la reconnais, c'est celle de mon serveur ! Mon coeur s'acc�l�re. Je fais de n'�tait. Il vient se coller derri�re moi. Il me colle sa bouche dans le cou, m'embrasse et me p�trit les fesses avec ses mains d'hercule. Je me sens d�faillir.
Et la direct, il me dit :
- t'es une grosse salope toi ! je le sais ! tu n'as pas arr�t� de mater la queue sous le pantalon !
Tu me fais bander ! tu m'excites et en plus tu le fais expr�s en bougeant tes grosses fesses de blanc sous mon nez !
Sans un mot, je me retourne, je plonge mon nez entre ses pectoraux et respire un grand coup. Quelle senteur d'�pices ! �a me grise un peu et m'encourage.
Je le quitte quelques instants pour aller fermer le verrou et �tre tranquille.
Je reviens � lui et lui d�pose un baiser appuyer tout doux au creux de la base du cou. En m�me temps, je lui soul�ve et retire son t-shirt. Qu'est ce qu'il d�gage comme chaleur cet homme. Je lui t�te les t�tons avec de petites succions. Il g�mit et je sens son paquet gonfler contre ma jambe.
Il appuie sur mes �paules pour me mettre � genoux. Je ne peux pas r�sister � cette invitation. Je m'ex�cute. Dans un premier temps, je frotte mon visage sur la bosse du tissu de son pantalon.
Il s'impatiente et me lance un banal mais excitant :
- Suce-moi vite ! j'en peux plus d'attendre...
Je d�zipe sa braguette. J'aper�ois un simple slip blanc � poche. Je rentre la main dans ce slip, je prends la queue et les couilles en main pour sortir l'ensemble. J'ai du mal � tout passer par l'ouverture de la braguette et �a le fait rigoler. Et il me dit en ricanant :
- �a c'est un morceau de choix ! R�gale-toi ! Mais fait vite, je bosse.
Je viens soupeser ses couilles. Elles sont br�lantes, d'un noir profond, bien lisses et d'une douceur comparable � celle d'un nouveau-n� !
Sa queue �tait devant moi, pendante mais d�j� d'un calibre impressionnant. Il �tait circoncis.
Je prends son gland dans la bouche, je veux tout de suite le go�ter. Il est doux, sucr� mais gros. Il me remplit compl�tement la bouche. Je le fixe avec un regard vicieux jouissif et il ferme les yeux.
Son membre �tait encore mou et je me demandais quelle taille pouvait elle atteindre quand elle serait bien dure. Les yeux plus gros que le ventre, je tentais d'engloutir ce mastodonte d'�b�ne. Au tiers, il avait d�j� atteint ma luette.
Maintenant, mon amant d'Afrique commen�ait � s'impatienter. Je parcourais avec la langue un trajet humide du haut du gland jusqu'� la base de ses couilles lourdes. Je lui demandais de faire demi-tour. Et je pressais ma langue sur la partie charnue situ�e entre les couilles et l'anus : un r�gal ! Un go�t fort et inconnu.
Il revenait en position pour que je puisse le prendre en bouche. Former un anneau de plaisir avec les l�vres autour de sa queue et je faisais un mouvement de va et vient aider de mes deux mains. Je poussais des petits g�missements de contentement. Je voyais, il �tait aux anges.
Mes deux mains le branlaient pendant que mes l�vres montaient et descendaient sur sa pine devenue dure comme la pierre. J'imposais un rythme soutenu pendant plusieurs longues minutes qui commen�a � porter ses fruits. Il commen�ait � haleter et � me lancer :
- Continue, �a commence � venir ma salope blanche !
Je sentis que l'orgasme �tait imminent car sa bite se gonflait encore et devenait plus chaude. Je redoublais mes efforts. Un spasme secouait le colosse.
Je bloquais le canal � la base de sa queue avec le pouce. Il �tait en crise de jouissance. Je posais son gland sur la langue bien tir�e pour qu'il puisse admirer le spectacle.
Une fois le gland bien cal�, je rel�chais la pression de mon doigt et lui envoya un regard polisson.
Un flot de cr�me arriva direct dans le fond de la gorge : tr�s �paisse, un go�t fort d'homme puissant et tr�s chaud. J'�tais surpris par la quantit� et hop un second jet puis un troisi�me. Impossible de tout avaler.
Sa semence commen�ait � couler sur le c�t� de ma bouche. Il s'empressa de la remettre au chaud � l'aide de sa queue. C'�tait un d�lice. Le nirvana pour moi.
J'ai eu juste le temps de tout d�glutir, qu'il remonta son slip et boutonna son pantalon.
Il se retourna en me remerciant d'un signe bref et quitta les toilettes. Il me laissait � genoux, le visage luisant de foutre.
Apr�s un bref nettoyage de rigueur, je rejoignais tout �tourdis mes amis � la table.
Les plats venaient d'�tre servis par mon serveur attitr�.
J'avais une soif terrible apr�s avoir bu le breuvage du sorcier africain !
J'�tais venu � bout de l'assiette de biche accompagn�e de patates douces que j'avais trouv� un peu trop sal�e.
Je n'avais plus faim et l'on d�cida de terminer par un caf� l�ger.
L'addition et le moment d'aller r�gler la note pour prendre cong�. Super, le repas �tait offert par un de mes amis.
En quittant les lieux, le serveur nous demanda si le repas avait �t� r�ussi. Mes amis acquiesc�rent.
Mais il s'adressa � moi en me reposant la question avec un sourire ironique. Je lui r�pondis par l'affirmative que ce f�t un repas succulent.
J'�tais le dernier � passer devant mon serveur amant pour quitter la salle de restaurant. Arriv� � son niveau, il me murmura :
- Tu as aim� ma salope ? Je l'esp�re ! Les deux blacks en cuisine ont mis leurs spermes dans ton assiette de peur que je ne t'en eusse pas assez donn� avant... hein ? tu as aim� ?
Il se mit � rire et avec un sourire en coin, il rajouta :
- � la prochaine !
Abel.
R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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