Cyrillo

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Avec un ami de mon p�re...

J'ai 19ans depuis 1 mois. Je suis � l'�cole de coiffure de Bayonne. je suis brun les yeux noisettes, je mesure 1m71 pour 61kg et me dit tr�s mignon.

J'adore la litt�rature et je m'essaye parfois � �crire des texte �rotiques. Celui-ci est mon histoire r�ellement v�cue.

J'avais 18 ans l'ann�e derni�re et je prenait une douche � la maison en rentrant du sport.

La maison �tait vide, il �tait 15 heures et ma m�re bossait, mon p�re �tait en voyage.

La sonnerie de la maison a retenti et je me suis d�plac� pour aller ouvrir, assez m�content d'�tre d�rang�, une serviette autour de la taille. En ouvrant, j'ai reconnu un ami de mon p�re et je l'ai fait entrer dans le living. Il passait � l'improviste pour le voir.

Je lui ai dit que mon p�re �tait en voyage mais comme il connaissait bien la famille, j'ai pens� qu'il serait normal de lui proposer un verre qu'il accepta aussit�t. Je m'excusais pour ma tenue mais je remarquais imm�diatement qu'il me d�visageait, un sourire en coin tout en me reluquant des pieds � la t�te...

J'ai toujours trouv� ce mec tr�s beau, il avait 42 ans, assez mince mais muscl�. Le hic c'est que c'�tait un pote de mon p�re et que j'�tais persuad� qu'il �tait h�t�ro. La seule chose, c'est que lorsqu'il venait d�ner parfois � la maison, alors que je les quittais pour aller dans ma chambre jouer � l'ordinateur, je remarquais bien souvent sa nette tendance � me reluquer.

De m�me quand nous nous croisions dans la cuisine, il posait n�gligemment sa main sur ma hanche mais il n'a jamais �t� au del� de sorte que je mettais ces gestes sur le compte de l'amiti�, mais pour �tre franc, j'avais des doutes quand m�me!

Donc, ce jour l�, il m'a travers� l'esprit de vraiment en avoir le coeur net. Pour �viter une provoc trop voyante, j'ai tout de m�me enfil� un cale�on et un tee shirt et je me suis assis non loin de lui sur le canap�, tandis qu'il sirotait son whisky que je lui avait donn�.

Apr�s de questions banales (mes �tudes, le temps, les nouvelles de la famille...) il me posa des questions assez directes sur ma vie priv�e: Si j'avais une copine etc...Comme je r�pondais par la n�gative, il me dit que s'�tait dommage "un beau petit mec comme toi" et commen�a � me complimenter en finissant par me demander si j'avais des attirances pour les mecs parce qu'il avait vu "que je le regardais parfois avec insistance"! La situation �tait renvers�e!

Je r�pondais �vasivement lui disant que je l'aimais beaucoup �tant donn� ses liens avec mes parents mais il voyais bien que s'�tais un mensonge et mes gestes me trahissaient: Je me levais sans cesse pour aller chercher je ne sais quoi dans la cuisine, je revenais en le regardant bien dans les yeux et je mettais un point d'honneur � me d�hancher dans mes d�placements. Une fois assis � c�t� de lui, j'�tendais une jambe, puis je ramenais mon pied nu sous ma cuisse oppos�e et je gigottais sans cesse.

Mais surtout, me trahissait aussi cette petite bosse sous mon cale�on qui, en se gonflant petit � petit ne pouvait tromper m�me un oeil peu averti! Pourtant � ce moment, rien ne se passa...Il ne prit pas pas l'initiative que j'attendais, d'autant que l�, j'�tais bien chaud pour me livrer tout entier.

Je crois que s'est lui qui a fait expr�s de faire en sorte de d�clencher le premier pas de ma part en �voquant le fait qu'il "n'allait pas me d�ranger plus longtemps et qu'il allait partir" Mais son d�sir �tait trop voyant, il regardait en m�me temps mes jambes et je sentait qu'il n'osait tout simplement pas pour ne pas avoir de probl�me avec ma famille.

C'est l� que l'inconcevable se produisit que je n'aurais jamais os� faire dans d'autres circonstances!

Tandis que j'�tais de biais pour �tre face � lui sur le canap�, je me suis mis � allong� mon pied nu qui se retrouva entre ses cuisses qu'il avait l�g�rement �cart� et je me suis mis � le remonter tout en fixant sa braguette ferm�e par des boutons de son jean. Je ne voulais pas croiser son regard mais je n'en ai pas eu besoin, d�j� sa t�te �tait renvers�e en arri�re et il g�missait doucement en me caressant la jambe pour appliquer mon pied sur son sexe dont je sentais la rigidit�. Tout � coup, il se passa la langue sur les l�vres, me regarda et m'attira la jambe vers lui, de sorte que je me retrouva tout � coup � cheval sur lui. Sans plus attendre, nous nous sommes embrass�s furieusement.

En un �clair il avait ot� ses chaussures, chaussettes et tandis que je me dandinais sur lui, il baissa du m�me coup son jean et son cale�on. Je pris l'initiative de lui �ter sa chemise, si bien que s'�tait moi qui me trouvais encore habill� � ce moment l�! Mais pas pour longtemps, comme il h�sitait � le faire (il est un peu timide, c'est ce qui m'a fait craquer!) je me suis mis moi m�me enti�rement nu, offert pour la premi�re fois � un mec qui avait plus du double de mon age!

Quelle sensation! je me tortillais de plus belle, mes jambes repli�es sur ses cuisses, les fesses l�g�rement �cart�es et on se donnait mutuellement des petits coups de rein. Nos sexes se frottant l'un contre l'autre, cherchant le contact le plus appuy�. Il avait un sexe d'une douceur inouie. Il �tait plus long que le mien mais pas plus gros avec tr�s peu de poil. Son gland se d�couvrait au fur et � mesure de nos mouvements et je regardais de temps � autre ce sexe que j'avais � pr�sent envie de mettre dans ma bouche. Mais l� aussi, c'est lui qui a �t� le plus rapide: S'enfon�ant subitement dans le canap�, ses mains sur mes hanches, il descendit ses l�vres jusqu'� ma queue qui fr�tillait de d�sir. Il embrassa mon gland d'abord doucement, mes couilles, puis il entreprit de faire tourner sa langue sur mes burnes, j'en pouvais plus!

Puis, il me su�a m�thodiquement le gland tout en effectuant des va et viens de mon sexe dans sa bouche en appuyant sur mes hanches � intervalles r�guliers. Il g�missait mais je crois que moi aussi tout en ponctuant mes r�les de bonheur par des mots d'encouragement.

Tout en me su�ant, il replia mes jambes sur lui et le dos de mes pieds se joignaient sur son sexe. Je sentais qu'il aimait �� parceque je sentais le mouvement de sa queue entre mes pieds, se qui r�alisait une branlette originale. Il g�missait de plus belle et pendant ce temps, je dois dire assez finement, je me suis aper�u que ses mains qui �taient initialement sur mes hanches avaient tourn� en m'�cartant l�g�rement les fesses autant humides � cause de la douche que part l'excitation!

J'�tais sur une autre plan�te mais je r�alisais qu'� ce train l� d'enfer, on allait passer � des choses, on va dire...plus s�rieuses. En fait je me disais que le plus simple pour pas qu'il me prenne serait de le faire jouir rapidement. Mais j'�tais loin d'�tre s�r de moi. D'un c�t� je voulais �viter qu'il me p�n�tre (j'avais un peu peur) et d'un autre c�t�, je crois qu'il avait tellement envie de moi, que rien que de le voir s'occuper de mon corps faisait que mon excitation devenait totale en voulant secr�tement son sexe dans mes entrailles.

Tandis qu'il se remettait assis � la m�me hauteur que mon visage, c'est alors moi qui descendis entre ses jambes pour le sucer. C'�tait la premi�re fois que je su�ait un mec...et oui! Les relations que j'avais eu jusqu'� pr�sent s'�taient sold�es par des caresses dans les douches avec des mecs du m�me age que moi, certains m'avaient suc� mais moi, je m'y �tais toujours refus� obstin�ment.

Mais en su�ant Patrice (s'�tait son pr�nom), une nouvelle sensation m'envahissait. Il avait les jambes �cart�es sur la table basse et moi, tout d'abord tr�s prudemment, je me mis � le pomper sans pouvoir me d�tacher de son membre de cette douceur et de cette beaut� qui me fit s�rieusement envisager de le sentir en moi, au fond de mes reins sans y �tre formellement r�solu. Si bien que j'effectuais des efforts d'imaginations intenses pour sucer mon bel amant avec le d�sir secret de le faire jouir avant.

Il appr�ciait visiblement, et je me souviens qu'il me dit entre deux soupir "qu'il en r�vait depuis longtemps" se qui me fit plaisir puisque j'�tais d�sir�. Mais il ne semblait pas press� de jouir! Alors que moi, la main qui me restait me servait autant � me caresser le sexe � ce moment l�, qu'� tenter de me retenir, tellement j'�tais dans tous les �tats!

Un peu lass� (un peu seulement!) je me suis remis enfin � cheval sur lui visiblement dans sa position pr�f�r�e : Face � lui, � cheval sur son sexe (mes jambes �cart�es, les pieds repli�s sur ses cuisses) mais l�, clairement je ne cherchais pas � ce que son sexe colle au mien mais plut�t � ce qu'il explore l'entr�e de mon petit cul qui se tortillait sur son gland, jeux dangereux! D'autant que ses mains �taient de nouveau sur mes hanches et qu'il �tait clair qu'il menait le mouvement...Mais il ne me for�ait pas.

de temps en temps, il abandonnait une de mes hanches pour de sa main me branler doucement pour partager notre plaisir tandis que je le provoquais en me pla�ant son gland � l'entr�e de mon petit trou encore vierge et que je voulais n�anmoins (si possible) garder comme tel pour le moment.

Je trouvais hyper troublant de le provoquer ainsi. Je le regardais bien dans les yeux avec mes allures de salope, en lui demandant si "il aimerait bien me baiser" et faisant moi-m�me la r�ponse que "je sais qu'il aimerait bien, qu'il en a envie etc...) et d'agiter mon cul de plus belle, son gland � pr�sent appuy� de plus en plus fermement � l'entr�e de ma rondelle qui mouillait ardemment.

Si bien, qu'au d�tour d'un appui plus ferme encore, je senti tout doucement son sexe qui �pousait mon cul. Enfin, le bout seulement. Mais d'un coup, il me plaqua ses mains sur mes reins en baissant l'ensemble et de ma bouche sorti un petit cri. Cri de douleur et de surprise aussi, je realisais imm�diatement que son gland tout entier venait de me p�n�trer! la douleur �tait � peine supportable mais dans le m�me temps, je me disais que je l'avais bien cherch�!

Que faire � pr�sent ? Il n'aurait pas compris que je me retire, de toute fa�on, la position le permettait difficilement et puisque j'y �tais....Il me regardais dans les yeux et je comprenais qu'il avait peur de me faire trop mal en imaginant les cons�quences pour lui! Alors j'ai tent� de transformer ma grimace pour feindre (difficilement) le plaisir. Je voulais que �� se termine vite, donc qu'on aille jusqu'au bout, vite.

Empal� comme j'�tais, il rentra le reste de son sexe en moi tr�s doucement si bien qu'on arriva jusqu'au bout assez vite. Lui en moi, c'�tait d'abord et inattendu et douloureux mais je dois dire qu'il a �t� parfait:

Il a fait mine de se retirer puis il m'enfourna de nouveau doucement aussi. Tant et si bien qu'au bout de 3 ou 4 va et viens de la sorte, je d� me rendre � l'�vidence: Ce mec superbe me faisait l'amour, il m'enculait pour de vrai! Il �tait en moi et moi j'�tais � lui! Et c'est l� que j'ai senti, m�l� avec une certaine douleur, un plaisir certain. Plaisir doubl� par le fait qu'il recommen�ait � me branler le sexe (qui avait d�band� sur l'instant) avec une de ces mains et ma queue recommen�ait � se durcir pour de bon.

Je voulais sentir jusqu'au bout ce qu'il me faisait, alors, passant ma main derri�re moi, je me suis mis � caresser ses couilles, ce qui l'excita encore plus...et moi aussi! je les sentait s'�craser entre mes fesses au fur et � mesure de ses coups de boutoirs (enfin l�gers les coups, plut�t un tendre va et vien et heureusement!). je crois que j'�tais rassur� de sentir au bout de mes doigts la base de sa hampe et ses couilles et mon plaisir, quoique douloureux �tait bien r�el.

Il continua � me branler de sa main, son pouce s'attardant sur mon gland et je lui dit d'arr�ter �� parce que je sentais que j'allais jouir. Il me dit de jouir et continua de plus belle, je n'en pouvais plus. Il me travaillait les entrailles, je voyais des �toiles partout, mon sexe allait exploser, se qu'il fit au bout de quelques secondes. Je lib�rais un cri, qui justifiait autant ma jouissance que mon cul en feu mais je saisi l'occasion de crier qu'� ce moment l� pour pas qu'il imagine me faire trop mal quand il m'enculait.

Mon sperme jailli sur son torse mais je senti instantan�ment et au m�me moment une chaude sensation dans mes entrailles comme si elle �tait r�pandu dans mon corps entier: Lui aussi avait gicl� sa semence au fond de moi, il me regardait en poussant un ah! profond avec des yeux qui semblaient �tonn�s d'�tre arriv� � cette conclusion si inesp�r�e il y avait moins d'une heure!

Nous sommes rest�s quelques instants ainsi, lui en moi, moi sur lui. Il ne d�tachait pas son regard de mon sexe qui redevenait � de plus petites proportions. Je sentais en moi que le sien aussi. Quand il se retira, nous nous ne sommes pas dit un mot, on s'embrassait comme une promesse pour l'avenir.

Mais, concernant l'avenir, il a mis beaucoup de temps � revenir voir mes parents � la maison. J'en �tais assez soulag�, je ne sais pas comment j'aurais pu contenir ma g�ne alors. Quelques mois plus tard il est revenu avec sa femme (il est mari� mais sa femme n'est �videmment pas au courant). Ils ont une jolie maison dans les Pyr�nn�es et spontan�ment, m'ont propos� de passer 15 jours chez eux au mois de septembre.

Sa femme est infirmi�re lib�rale alors elle part des journ�es enti�res. Moi je restais alors avec lui et on allait direct dans leur chambre. Il m'appelle sa petite ma�tresse, je crois qu'il est tr�s accroc.

Mais depuis, j'ai un mec et je crois que je vais mettre un terme � notre relation, la situation n'est pas facile.

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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