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F�te de l'A�d...

Fin du ramadan 2007, f�te de l'A�d le 13 Octobre 2007. Petit passage dans la famille obligatoire, en province en plus .... J'adore mes parents et ma famille mais savoir que �a va �tre le passage oblig�s des oncles, tantes et cousins, �a me saoule un peu.

Mais bon je ne resterai pas longtemps, vu que je travaille en fin d'apr�s midi.

Quelques heures � supporter tout ce monde ce n'est pas bien grave.

Je revois des gens que je n'ai pas vus depuis plusieurs ann�es.

Le t�l�phone n'arr�te pas de sonner, je suis devenu standardiste.

Un coup le bled, un coup d'ailleurs....

Ma m�re m'appelle " y'a ton cousin Dgibril qui veut savoir si tu peux l'emmener avec toi � Paris, il participe � un spectacle et �a lui �viterait de prendre le train...."

Mon cousin Dgibril, ce n'est s�rement pas lui qui m'a donn� mon penchant pour les mecs.

La derni�re fois qu'on s'est vu, �a fait plus de 10 ans maintenant.

Le seul truc qui �tait beau chez lui, c'�tait les yeux clairs h�rit�s de ma grande m�re, je l'enviais pour �a. Mais il avait aussi h�rit� de la taille XXL de sa m�re et pas en muscle alors c'est vrai qu'il avait du mal � s'int�grer avec les autres.
Je l'aimais bien, c'�tait mon cousin, et j'ai du me battre plus de 100 fois avec des personnes qui se moquaient de lui.

Il doit arriver vers 15h et on partira dans la foul�e.

L'heure tourne et apr�s un bon couscous, je me pose dans le canap�.
Pas question de se reposer avec le bruit autour, �a court, �a rit, �a danse. Pourtant j'arrive � fermer les yeux et � m'assoupir.

On me tape sur l'�paule, assez gentiment ; je sais que ce n'est pas un de mes fr�res, il m'aurait plut�t balanc� un verre d'eau � la figure.

Je me r�veille, et la premi�re chose que je vois, c'est ce regard que je connais si bien ; ses yeux verts que j'ai souvent vu pleurer et qui sont l� pleins de larmes mais pas les m�mes qu'il y a 10 ans.

Dgibril est devant moi, tr�s �l�gant, des dizaines de kilos en moins et un sourire � faire tomber par terre.

On se fait la bise et on reste un moment dans les bras l'un de l'autre.
Il me remercie en se rem�morant le pass� et il me dit en me touchant le nez qu'il n'a jamais oubli� et qu'il me doit beaucoup. C'est vrai que je lui dois un nez cass� parce que j'avais voulu le d�fendre contre 5 mecs qui se foutaient de lui.

On parle, on s'observe,... le temps passe et il faut y aller je travaille ce soir.

Sur la route, on a oubli� ces 10 ann�es et on parle comme si on ne s'�tait jamais quitt�.

Je ne le regarde pas de la m�me fa�on. Il est devenu athl�tique et aguicheur ; beaucoup de charme et de confiance en lui se d�gage et m'attire.

On arrive du c�t� du Parc Ast�rix.

Je lui demande o� il a pr�vu d'aller pour la soir�e. Je travaille jusque minuit environ.

Il me dit qu'il rejoint des amis pour diner et qu'ensuite il retournera � son h�tel, s'il en trouve un.

Je ne peux pas le laisser comme �a, pas seulement parce qu'il m'attire mais parce que sans me rendre compte cette complicit� m'avait manqu�.

Je lui propose de venir � la maison avec moi, et comme je taf � c�t� de Paris je le d�poserai, on se rejoindra pour qu'il vienne dormir � la maison, sinon il garde un double de mes cl�s.

Il accepte, je rentre et je me change pour aller au taf, il est dans le salon et je sens son regard sur moi, je prends mon temps, je le laisse faire.

On se d�p�che je suis en retard.

Je le d�pose et on convient d'un rdv � Bercy Village � 00h30.

Ma soir�e de taf se passe et me voil� direction Paris.

Dgibril est l� au rendez vous.

On est sur le retour, je suis grave naze.

Il m'observe, je sens toujours son regard.

On arrive � la maison, je vais direct sous la douche.

Il reste au salon et regardes la t�l�.

Je pr�pare son lit, sur le convertible.
Je passe devant lui en boxer et �a ne le laisse pas de marbre. Il me complimente.
On en vient � lui, et lui dis que malgr� tous ses v�tement je devine un corps bien proportionn�, rien � voir avec l'ado ob�se.

Il me confirme en retirant ses v�tements et en se mettant en boxer.
Il est tr�s bien fait et �a ne m'�tonne pas. Il m'explique pourquoi ce changement... on est sur mon lit � discuter depuis au moins une heure � discuter de tout �a.
Je lui demande s'il peut me passer de la cr�me sur la nuque, � cause d'un petit probl�me aux cervicales. Il accepte et me propose un massage du dos en prime, pour se faire pardonner mon nez cass�. J'accepte avec plaisir et apr�s la nuque il attaque le dos.
Il descend et sans rien dire il baisse mon boxer et me le retire. Je suis surpris mais je ne dis rien.

Il me caresse et me masse les fesses c'est trop bon. J'ai l'impression de mouiller tellement c'est bon.

Je sens que sa langue a remplac� ses mains, et je l'encourage par des petits g�missements. Il me l�ve le bassin et me l�che les couilles pour ensuite se positionner sous moi et gober ma queue. Il est vraiment tr�s habile de ses mains et sa bouche. Il remonte par dessous moi et nous voil� coll�s l'un � l'autre, on se roule de grosses pelles et on se caresse partout. Je lui retire le boxer et je peux voir une queue tr�s grosse, tr�s droite, il est surexcit�. Ma main caresse son trou et il est tr�s humide. Il se positionne sur moi et frotte ses fesses sur ma queue. Je sens que mon gland butte sur ce petit trou.
Mais � un moment il p�n�tre et je vois � son regard qu'il a mal ; il continue tout de m�me. Ma queue rentre de plus en plus, sans capote. J'ai tellement confiance en lui que je ne me sens pas de lui demander d'arr�ter. M�me si �a fait longtemps, je sais qu'il ne me ferait jamais de mal et moi non plus... que du bien. Le va et vient se fait de plus en plus rapide et ses g�missements m'encouragent � acc�l�rer. On change de position � plusieurs reprises. Il adore et prend son pied, moi aussi.

Dgibril saisit la serviette laissait sur le c�t� et je comprends qu'il va jouir, nous sommes sur le c�t� je suis toujours en train de le prendre. Il crie et plusieurs jets se posent sur la serviette. Je sens que �a vient et le pr�viens. Il passe ses mains derri�re mes fesses et me tirent vers lui. Je l�che alors mon jus au fond de lui. On reste un petit moment comme �a. On se nettoie avec la serviette du mieux qu'on puisse. Et on s'endort ensemble.

Je n'aurai pas rat� cette f�te ! Et promis maintenant on reste en contact !

Abdel

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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