Marine � DiboutiDjibouti, � bord du BSL Danube (j'ai chang� le nom !), la nuit est calme. Le bateau est arriv� � quai ce matin et apr�s une semaine de mer, je suis all� passer la soir�e � terre avec des copains. Une fois � bord, il me propose, encore, un dernier verre dans son poste, � l'avant du bateau. Je ne peux refuser m�me si d�j� j'ai les neurones un peu embrouill�s. Il est 1 heure du matin quand je quitte son poste et en sortant, je tombe nez � nez avec un jeune matelot qui a embarqu� il y a une dizaine de jours. Je l'avais remarqu� (c'est mon c�t� observateur !), mais l� il vient de sortir de son poste (celui des �lectriciens et m�caniciens) et ne porte que son cale�on, il est encore un peu endormi est monte l'�chelle devant moi pour se rendre aux sanitaires. Tout en montant, je peux voir ses bourses bien pendantes qui d�bordent du cale�on et cela provoque imm�diatement un �lectrochoc � mon sexe qui durcit dans mon short, que je porte sans rien dessous. Tout en montant l'�chelle, je tends la main vers l'objet de mon d�sir et lui dit : il se retourne me d�croche un magnifique sourire et continue sa progression. Une fois dans la coursive, je le suis jusqu'aux toilettes et me place � ses c�t�s pour le voir uriner. Il sort un magnifique engin avec un gros gland d�calott�. Rachid (c'est son vrai pr�nom) commence � se soulager et pendant ce temps, je lui caresse les fesses. Il ne parle toujours pas, me regarde sourit de nouveau avec ses magnifique dents blanches et me fait un clin d'oeil ! Je me mets � genoux et prend dans ma bouche sa verge qui commence � prendre du volume ! Il reste quelques gouttes de pisse d'un go�t agr�able et au moment ou mon nez arrive en contact avec sa petite touffe de poil brun (il est presque totalement imberbe, une peau l�g�rement basan�e, musculature fine, et sa bitte bien large avec un gros gland doit faire une quinzaine de centim�tres), je retrouve l'odeur agr�able d'une l�g�re transpiration de m�le. Il passe ses mains derri�re ma t�te, me la maintien fermement et commence un mouvement de va et vient pour me niquer la gueule sans m�nagement. Mon nez vient s'�craser r�guli�rement dans son pubis et pendant ce temps, j'ai la bitte qui voudrait bien prendre ses aises ! Cela ne dure pas bien longtemps, il les retires, je sens d�j� son gros gland qui force le passage sans m�nagement ! J'ai le souffle coup� quelques secondes mais il a d�j� commenc� ces va et vient et je prends beaucoup de plaisir � ses mouvements de reins qui m'�crasent contre la paroi de la douche ! Il l�che mes hanches, passe ses mains sur mon ventre et vient me triturer les t�tons, je commence � g�mir, ce qui lui fait augmenter la cadence. Je sens mon trou du cul bien ouvert et il en profite pour sortir et rentrer sans m�nagement dans mon anus. Sa bitte prend encore du volume, je sens que le point de non retour est proche, soudain, c'est un liquide chaud qui me remplit les boyaux. Je me redresse, ma main droite prend ma bitte en charge et il ne faut pas plus d'une dizaine d'aller retour pour que je l�che mon jus sur la cloison. Ma t�te part en arri�re et je re�ois un magistral patin de la part de mon jeune amant. Il retire sa bitte de mon trou qui a du mal � se refermer et qui laisse �chapper son sperme. Il me retourne face � lui, appuie sur mes �paules et je comprends qu'il veut que je lui nettoie la bitte. Me voil� ce nouveau � genoux, passant ma langue sur son gland pour bien nettoyer le reste de son sperme, je sens au passage l'odeur de mon trou du cul, comme quand je me doigte l'anus. Une fois sa bitte bien propre, il remet son cale�on, me rel�ve et me dit <<. demain soir dans le conteneur sur le quai.>>, je fais oui de la t�te. Il ouvre la porte de la douche et le laisse l�, plein de pisse et de sperme sur le short et les chaussures. Je suis dans la douche, il ne reste plus qu'� l'utiliser pour ce � quoi elle est pr�vue ! (Enlever NOSPAM pour m'�crire) R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |