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La Fratrie 5

Dans le lit, je discernais ais�ment les respirations de chacun. Ced, Samy, Iannis puis moi avions un souffle diff�rent. C�dric ronflait ais�ment, c'�tait le seul, � vrai dire, qui dormait. De mon c�t�, je sentais dans mon dos Samy qui m'embrassait les �paules et me caressait les hanches tandis que devant moi, me tourant le dos, Iannis, tendu, tentait de feindre le sommeil. Au vu du peu de place pour quatre dans un lit pour deux, mon corps �tais encastr� comme une cuiller � ceux de Samy et de Iannis. Je sentais le membre �rig� de Samy contre mes fesses. Je savais qu'il tenterait de me prendre. Mais je m'inqui�tais bizarrement pour Iannis. La conversation que nous avions eu juste avant dans la salle de bain nous avait en quelque sorte rapproch�. Aussi, je ne voulais pas le g�ner de quoi que se soit. Sans le vouloir forc�ment, les caresses insistantes de Samy commen�aient � faire leur effet, et ma bite de tendait petit � petit sous mon boxer, contre les reins de Iannis. Il devait forc�ment le sentir mais il ne fit aucune manoeuvre pour se d�petrer.
Samy engouffra sa main dans mon boxer, astiqua mon sexe sans g�ne contre Iannis. Je sentais qu'il �tait de plus en plus tendu. Je ne pouvais m'emp�cher de souffler, d'haleter. Et plus je g�missais, plus Samy prenait un malin plaisir � se d�hancher contre mon cul. Il m'avait fait glisser le cale�on sur mes cuisses, et je surpris saa queue d�j� nue se loger contre ma raie. Moi, ind�cis, gardait mes bras le long de mon corps, tentant au mieux possible de ne pas trop bousculer Iannis. J'avais mes yeux totalement ouverts et � l'affut du moindre de ses gestes. � mon oreille, Samy me soufflait des mots doux :

- T'aimes �a b�b� ? T'aime sentir ma bite contre ton trou ? chuchotait-il. Tu veux plus ? T'aimerais que je t'encules hein ?

Sans lui r�pondre je pressais ma main contre son cul et le for�ais � me prendre. Il saliva sur ses doigts, les d�posa sur ma rondelle, puis me cambrant suffisament, il me p�n�tra d'un bref coup. un l�ger cri m'�chappa. Iannis n'y tenant plus se leva et sortit directement de la chambre.

- Tant pis pour lui.
- Attends je vais voir ce qu'il a.
- Nan, pas tant que je me suis pas vid�.

Samy forca mon cul, me coucha sur le ventre et s'allongea sur moi. Il me tint les bras.

- Tu vas d�guster petite pute.
- Samy... nan, pas maintenant.
- Que dalle, laisse-moi faire, et apr�s t'ira le voir.

Sans attendre, il d�buta ses vas et viens. Sans pr�liminaires, il me d�fon�ait d�j� le cul. Je pouvais pas m'empecher de g�mir. Je m'�ttonnais du lourd sommeil de Ced qui ne bronchait pas aux coups de reins de Samy. En me limant le cul, il secouait fortement le lit. Nos corps �tait toujours coll�s � Ced, nos jambes touchaient les siennes, j'avais ma mains droite sur sa hanche. En voyant cela, Samy prit ma main et la posa direct sur la queue de Ced, dormant toujours nu.

- Vas-y, branle-le !
Je ne me faisais pas prier et commen�ais � astiquer mon ami d'enfance durant son sommeil pendant que je me faisais d�foncer le cul.

- Putain Nils, c'est trop bon !

Il allait de plus en plus fort, de plus en plus rapide. J'avais l'impression que sa queue s'enfon�ait au plus profond, qu'il la faisait presque ressortir enti�rement pour y replonger toute enti�re dans mon cul. Puis Il sortit sa bite, enti�rement, se branla puissament, son gland contre ma rondelle, puis gicla tout son foutre dessus. Apr�s quelques rasades, il me renfon�a son gland, le resortit. Puis s'allongea enfin aupr�s de moi. Dans un rale de satisfaction :

- Ouaa, Trop bon ! ... Vas voir ce qu'il a, et d�peche-toi de revenir, b�b�. T'as pas encore joui et je compte pas te laisser comme �a.

Je me levais, renfilais mon cale�on. Je sentais le sperme de Samy couler sur mes cuisses.
Dans le couloir, j'apercevais la lumi�re de la salle de bain allum�e. J'allais pour ouvrir quand j'entendis un bruit que je connaissais trop. Le frustr� de Iannis s'astiquait furieusement le manche. J'ouvris d'un coup pour le surprendre ! Il stoppa net, tenta de cacher sa queue en remontant son calbute mais trops tard ! son manche me fit face, et je fon�ais sur lui pour m'en occuper. Il me poussa contre le lavabo et se rahbilla.

- Tain, Iannis qu'est-ce que tu fous ?! Tu te branles dans les chiottes comme un clochard alors que tu pourrais carr�ment t'�clater avec nous.
- Ta gueule ! Je suis pas une tapette, t'as compris �a ?
- Allez te la raconte pas ! On s'en fout de ce que t'es putain ! Tu t'astiquerais pas comme �a si t'avais pas envie de baiser !
- L�ches-moi p�d� !
-... Ok.

J'allais pour sortir quand il fon�a sur la porte.

- Attends ! avec une longue hesitation, me regardant dans les yeux, � la fois ind�cis, tremblant et excit�s puis il me dit :

- D'abord tu va me sucer. Tu vas me pomper comme jamais et tu va manger tout ce que je te donnes !
- Tu d�connes l� ?
- Nan ! C'est ta faute toutes ces conneries alors tu va me vider les couilles !

Je m'approchais de lui, tranquilement. � quelques centim�tres de lui, je lui r�pondis :

- R�ves pas Iannis. Ouais je vais te la pomper ta tige. Mais l� t'es carr�ment pas le gars qui va me soumettre. Si je te suce, tu me suce. Si tu me baise, je te baise. Ca fait un bail que je matte ton cul, et c'est pas ce soir que je vais passer � c�t�. Tu veux �tre initi�, tu vas l'�tre !

C'est ainsi que je l'embrassais pour la premi�re fois, qu'il connut les l�vres d'un gars, ses doigts, ses caresses, sa langue, ses fesses, sa bite pour la premi�re fois. En d�pit de ses frustrations, il finit par gouter � ma bite, � genoux en fermant les yeux. Je le laissais faire, ne tentant pas de le forcer, et je me d�lectais de ses sucions gauches. Puis je le mis contre le lavabo, je le retournais, et en �cartant l�g�rement ses jambes, j'enfouis ma langue entre ses fesses. Je g�utais sa rondelle. Puis je me levais, calais ma bite contre ses fesses, et en le prenant dans mes bras, je p�n�trais en lui. Ce fut lent, et d�licat tout d'abord. Et ainsi de suite, accentuant l�g�rement mon entr�e au fur et � mesure, je fus enfin enti�rement en lui. Il respira fortement, fermant toujours les yeux. J'embrassais ses �paules, d�posais mes mains sur ses hanches et commen�ais � me d�hancher en rythme. Il ne disait rien, crisp�, il gardait ses sensations pour lui. Ce fut ainsi longuement jusqu'� ce que je puisse le prendre sans retenue, lui enfilant ma queue de tout son long via de grand coups de butoir. Je ne me g�nais plus, lui non plus, dans des �lans de plaisir il g�missait librement. J'�tais s�r de r�veiller tout le monde mais je ne m'en pr�occupais pas. A vrai dire, je savais pertinament Samy r�v�ill� et aux aguets. Il devait certainement se branler, amus� par ma conqu�te. Il devait certainement en rire avec C�dric, lui aussi probablement r�veill�.

Quand je me fus vid� en lui, je retournais Iannis pour l'embrasser pleinnement. Il �tait comme �puis�. Il me regardait faiblement. J'�tais conscient qu'il ne me restat qu'� le faire jouir. Je me baissais donc, j'�cartais l�g�rement ses jambes toutes tremblantes, je contemplais sa queue raide. Blanche, �paisse, avec un large gland rose, une bite taill�e dans du marbre tant elle paraissait parfaite. Je d�butais par de petites embrassades, mes l�vres apos�es contre ses couilles, remontant de ma langue sa tige, me pr�occupant d'engloutir son gland, branlant consciencieusement avec mes mains. Je tenais sa jouissance entre mes mains, elle allait venir. Il me regardait, rouge et suintant, il n'en pouvait plus. Il avait ses mains dans mes cheveux mais il n'y mettait aucune pression, Le peu de forces qui lui restait, le gardait debout, dans l'attente de la jouissance. Et ce ne fut plus tr�s long. Enfin il pressa sa queue dans ma bouche et sans que je puisse m'y pr�parer, il me lacha de nombreuses gicl�es de sperme ! Il se vida litt�ralement. J'en avais en bouche et sur le menton, il �tait vid�. Il s'affaissa, tomba sur le carrelage.

Je le pris dans mes bras et quelques minutes plus tard, on rejoignit le lit pour y dormir la journ�e enti�re suivante. Ce fut un de mes meilleurs anniversaires. Autant de sexe, de libert�s, avec tant d'amis. Une orgie compl�te et agr�able.

Alcibiade

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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