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La Fratrie 4

Morgan et Seb partis, nous rejoignions les autres.
En rentrant dans le salon, nous constatons d'un d�sordre orgiaque. Les bouteilles s'amoncellent au sol, l'air est brumeux, �pais, et nos amis, �parpill�s dans l'appartement, � demi nu, continuant leur discussion comme si de rien n'�tait. Samy s'en va serrer dans ses bras la fille avec qui il �tait venu, la petite Lila, rest�e coinc�e dans le fauteuil, ne parlant � personne et somnolant tranquillement. Elle se r�veilla � moiti� et embrassa Samy, ils commenc�rent un baiser prononc�, suivi de mains aventureuses, perdues dans les plis d'une jupe, dans la braguette d'un jean. De l'autre c�t� je voyais Ced, Maria et Omar ensemble. Assis sur le canap�, les jambes �cart�es, Ced �tait en cale�on, la bite tendue au dehors, contre les fesses la Maria qu'il tenait dans ses bras. Elle n'avait plus que son soutien gorge et son srting. Ils s'embrassaient langoureusement devant Omar qui caressait sa queue par-dessus le pantalon tout en observant sa copine et son pote ensemble. Dans la chambre on entendait des g�missements. En ouvrant la porte, j'eu la vue de filles en 69 se gouinant gentiment. Il s'agissait de Marion la lesbienne et d'Elise la copine de mon fr�re. Les choses m'int�ressant bien moins, je fermis la porte et partis discuter dans la cuisine.

A la table je retrouvais enfin une bonne discussion. Il y avait autour Eric torse nu, Emi en boxer, Iannis " l'homophobe " et Emilie en soutif et petite culotte.

- Alors ? m'enquit mon fr�re, un sourire espi�gle aux l�vres. C'�tait bon ?
- Qu'est-ce qui �tait suppos� �tre bon ?
- All�, fais pas genre, baiser � quatre dans les chiottes de Ced par exemple !
- Ah ca... Ouai c'�tait pas mal.

Le groupe me charia en rigolant.

- Au moins il a prit son pied, dit Emilie. Putain, quand je pense que Samy aussi est...
- Il est pas gay. Il s'amuse c'est tout.
- Ah bah quand m�me ! On s'amuse pas tous comme lui, n'est-ce pas ? s'exclame Emi � l'intention de Iannis, qui du reste �tait rouge de honte.

Tout au long de notre conversation je le sentais terriblement g�n�, non parce qu'il me semblait contre les gays mais parce qu'il devait sans doute y trouver quelque chose d'excitant...

- Emilie si tu veux t'amuser... On peut toujours s'arranger... lui dit Emi.
- Tu parles, tout le monde se pelote dans le salon, les goudous ont chop� le lit, plus de place, plus personne...
- Ouais d'ailleurs je ferais bien de rejoindre ma copine. Mon fr�re embrassa son ex sur la bouche, sortit tout joyeux. Il se dessapa dans le couloir, je le vis rentrer cul nu dans la chambre.

- Il ne reste plus que nous quatre !

Emi prit les devants et commen�a � d�grafer le soutien gorge d'Emilie. Il se colla contre son dos, embrassant sa nuque et malaxant ses seins de ses deux mains. Elle commen�ait � s'onduler tout en s'approchant de Iannis.

- Euh nan, je peux pas, d�sol�.
- Bah pourquoi ? Qu'est-ce qui t'arrive ? lui demanda Emilie.
- Je suis pas p�d�, je peux pas faire �a devant lui.
- Okay, pas de probl�me je me casse. Je pris mon verre et sortis � mon tour de la cuisine.

J'entendais derri�re moi Emilie r�ler :

- T'es vraiment con toi ! T'as peur de quoi, qu'il te chope le cul ?!

Dans le salon, les choses avaient pris une toute autre tournure. Sur le canap�, Samy �tait assis nu, en train de d�foncer la chatte de Lila, empal�e sur sa grosse queue, lui tournant le dos. Elle g�missait fort et quand elle ouvrait les yeux, elle matait le trio devant elle, tout en se malaxant les seins et sautant et s'enfon�ant sur la bite de mon ami. Ced, lui, �tait entre les jambes de Maria et la baisait rapidement. Son petit cul blanc qui faisait des all�es-retours dans la chatte de Maria m'excitait terriblement ! Il avait une cambrure d�licate de jeune gars, une chute des reins en mouvement r�gulier tr�s charmante. Pendant qu'il la sautait, Omar se faisait l�cher les couilles par sa copine, quasiment assis sur son visage. Je ne pouvais pas imaginer plus lubrique, plus orgiaque, plus excitant que la soir�e de mon anniversaire ! Pour la premi�re fois, les limites �taient r�ellement d�pass�es, et �a baisait dans tous les coins, sans pudeur, sans soucis et avec envie et bonne humeur ! Les choses s'�taient fait naturellement et �a plaisait � tout le monde. Omar me vit seul, debout � mater tout �a et se vint � ma rencontre. Il �tait nu lui aussi et s'approchant de trop pr�s, sa bite �paisse me touchait le fut.

Il me prit par les �paules et m'emmena dans le couloir.

- Ecoute Nils, je peux te faire une faveur.
- Euh, ouais, vas y, dis toujours.
- Bah voil�, je vois que tu t'emmerdes un peu, c'est ton anniversaire et �a se fait pas. Et voil�, si tu veux, tu peux me sucer.
- Tu me fais rire, qui te dit que je veux te sucer, et t'�tais pas h�t�ro et avec Maria jusqu'� pr�sent ?
- Nan mais si, je suis h�t�ro, je suis pas p�d� nan, mais voil� quoi, c'est une soir�e particuli�re. Toi qui baise dans les chiottes avec Samy, puis Samy qui tringle une nana devant nous, et Ced qui baise juste apr�s ma meuf, je sais m�me pas comment �a s'est fait mais waw ! Comme �a m'excite ! Et voil�, fin quand les filles nous ont dit ce que vous faisiez dans les chiottes, je te cache pas que j'ai eu grave envie de vous rejoindre... Fin de te rejoindre...
- De Me rejoindre ?
- Bah ouais gars, t'es plut�t sexe quand on y pense, Rien que Maria, quand on parle de toi elle arr�te pas de me dire que blinde de ses copines craquent pour toi.
- Ah beh.. merci.
- Nan all�, franchement. S'il te pla�t gars, suce-moi.
- Ahah ! Je le ferais donc plus pour Te faire plaise plut�t que pour Me faire plaise ?
- Euh ouais, fin tu va pas me dire que t'aime pas �a, sucer des bites. Puis �a va, regarde la mienne, elle te donne pas envie, ma bite ? Je sais bien qu'elle est pas aussi grosse que celle de Samy mais quand m�me, c'est un belle bite de rebeu nan ? dit-il en me la tapant contre moi. All� suce-la, tu vas l'aimer, je suis s�r.

Je m'accroupie a la hauteur de sa queue. Je n'avais jamais imagin� �a d'Omar, un gars clean, s�rieux, presque intello. Il me prend par l'arri�re de la t�te et me plaque le visage contre sa teub. Il frotte sa bite contre mes l�vres.

- All� suce.
Je prends sa bite d'une main et commence � le branler.

- Oh si tu savais comme je r�vais de te voir accroch� � ma bite !
- Et t'aimes ?
- Putain ! all� suce-moi la bite.

Je la prends en bouche et commence � l�cher le pourtour de son gland. Sa queue circoncise est bien �paisse, nervur�e, et part vers le haut. Il pousse l�g�rement le bassin, fait de petits vas viens pour s'enfoncer un peu plus dans ma bouche. Je le regarde, il me sourit, une mains dans mes cheveux, l'autre pendante.

- Putain, Nils, t'es un vrai pro ! Tu pompes mieux qu'une meuf !

Je ne m'arr�tais pas. Sa bite me prenait enti�rement la bouche et commen�ait r�ellement � me d�foncer. Je posais mes mains sur ses cuisses, les monter sur ses fesses, les cramponnais, et empruntais son mouvement. Il g�missait sans retenue dans le couloir. De plus en plus fort, je sentais qu'il allait venir. Sa main se crispait dans mes cheveux, puis, en un instant, il attrapa mon visage, enfon�a au maximum sa queue dans ma bouche, et gicla de longs jets de foutre ! J'ai tent� de m'enlever mais il me tenait toujours la t�te en haletant.

- Ahhh ! Putain que c'est bon... Avale tout !

Je m'effor�ais d'ingurgiter, sa bite toujours en bouche. Il s'enleva, et s'appuya contre le mur. Je me relevais faussement en col�re.

- Putain, t'es naze Omar ! Qu'est-ce qui t'as pris de me faire bouffer ton sperme ?!
- Excuse-moi Nils, je pensais que t'aimais �a...
- Quoi ?!
- Bah la mani�re dont tu m'as pomp� la teub, comme un vrai morfale, disait-il en rigolant.

Je ne pouvais r�primer mon sourire, aussi je lui accordai que sa queue �tait franchement bonne.

- Franchement, Nils, ton anniv, c'est l'�clate !

Puis il repartit aupr�s de sa copine qui criait dans le salon r�pondant aux g�missements de Lila et � ceux de Ced, jamais bien silencieux quand il baise.
De mon c�t� je suis all� me rincer la bouche dans la salle de bain. J'entendais tous les bruits des couples et trios s'�tant form�s dans l'appart, et l'atmosph�re, li�e � ma consommation d'alcool, me fit gravement bander ! J'�tais l�, devant le miroir et j'observais mon fut' avec une bosse bien pro�minente. J'entendais Maria, Ced, Lila geindre � l'unisson. J'entendais Omar parler, balancer des insultes � sa copine, certainement en se paluchant. J'entendais les bruits de la cuisine, la pi�ce avoisinante. Des coups de butoir martelaient le mur, Emilie se faisait probablement prendre sur la table par l'un des deux gars. Et au loin, j'entendais les g�missements de la chambre. Ceux des filles seulement, ce qui me laissait interpr�ter le silence de mon fr�re � loisir. Je l'imaginais entre elles, se faisant sucer par deux bouches, se faisant branler par quatre mains, prenant l'une et l'autre chacune � son tour. Je l'imaginais nu, entre les cuisses de l'une d'elles. Son fessier qui se d�hancherait, son corps humide, ses l�vres entrouvertes. Je sortis ma queue et commen�ai � caresser ma bite devant le miroir. Les sons, les images qu'ils m'envoyaient, et mon simple reflet, ma bite � la main, tout m'excitait, je commen�ais � me palucher furieusement quand d'un coup, la porte s'ouvrit !

- Excuses ! c'�tait Iannis, le fut' � moiti� tomb� sur ses jambes, cale�on retrouss�.
- Nan, nan c'est bon rentre, j'allais en sortir.
- T'es s�r ? le regard � la fois g�n� et amus�.
- Ouais, t'inqui�tes, de toute mani�re, c'est pas bien dr�le de se taper une queue tout seul.

Je remballais ma tige, il rentrait et alla pisser direct au lavabo.

- T'es pas avec Emi et Emilie ?
- Nan, me repond-il avec un sourire. Je crois qu'elle m'a fait gicler un peu trop vite... Et � chaque fois que je gicle, j'ai trop envie de pisser apr�s.

Je m'�tais retourn� par respect, j'entendais le jet de son urine dans le lavabo. Je me permettais un petit regard vers le miroir, et ses yeux intercept�rent les miens. Pour la premi�re fois il soutint mon regard, toujours avec un sourire embarrass�, certes, il me scrutait, et malaxait sa bite lentement. Je d�tournais enfin mon regard, bizarrement troubl� � mon tour.

- Tu sais, je voudrais m'excuser pour tout � l'heure.
- Pour quoi ?
- Bah le fait que je t'ai fait sortir... Tu sais j'ai rien contre les homos finalement... C'est juste que... Je veux pas qu'on croie que je suis p�d�, les regards, la famille...
- T'inqui�tes.
- �a t'a pas vex�, j'esp�re ?
- Ahah, il m'en faut plus.

On s'installa sur le carrelage et contre le mur et on commen�a � discuter. A cette heure-ci les discussions sont aux confidences. Aussi il me racont�t pas mal de choses sur mon fr�re, ce qu'ils avaient fait ensemble, les meufs qu'ils avaient tir�s ensemble... Sa main commen�ait � se caresser l'entrejambe. Moi, � les imaginer tous les deux, je bandais sec ! On entendit dans le couloir la porte d'entr�e s'ouvrir. J'interrompis Iannis, me levai et allais voir.

- Qui c'est qui se casse l� ?
- Bah Omar, Maria, Lila et Elise. Me dit mon fr�re.
- Quoi, mais pourquoi ? Restez dormir ici.
- D�sol� Nils, il est tard, nous sommes naze, y pas de place pour tout le monde et s�rieux j'aimerais retrouver mon mec seul avec moi, me r�pond Maria.
- Nous en veux pas Nils, c'�tait cool ton anniv, me dit Omar avec un clin d'oeil.
- Mais Elise... Eric tu pars pas non plus quand m�me ?!
- Nan je ferais pas �a � mon petit fr�re. Maria et Omar la d�posent chez elle.
- Merci pour la soir�e Nils, c'�tait vraiment... impr�vu ! dit Lila en souriant.

Les amis partis, on retrouva les rescap�s dans le salon, avachis sur le canap�. Ced, Samy, Emi, Marion, Emilie, mon fr�re, Iannis et moi. La plupart commen�aient � s'endormir. Aussi, apr�s quelques discussions nous part�mes nous coucher.
Dans le salon restaient Emilie, Marion, Emi et mon fr�re qui dormiraient dans le canap�-lit ensemble. Leur soir�e ne fut donc pas totalement termin�e et r�servait encore des plaisirs.

Nous de notre c�t�, nous pr�mes le lit de Ced � quatre. Iannis s'installa sur le bord du lit, c�t� porte. Je me mis entre lui et Samy puis Ced prenait l'autre c�t�. Les lumi�res � peine �teintes nous entendions les ronflements de C�dric. Iannis ne semblait pas non �tre �veill�, il ne bougeait, dormait sur le c�t� en me tournant le dos.

Alcibiade

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