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La fratrie -2

Je passais apr�s le lyc�e � l'appart voire s'il y avait mes potes. Apr�s cette fameuse soir�e avec Emilie, nos rapports ne paraissaient pas avoir beaucoup chang�. Pourtant je sentais bien quelque chose... Comme des regards plus complices, plus ambigus, un rapport tactile plus pr�sent entre nous.

L'appart semblait vide, Ced ne devait pas �tre encore rentr� des cours. Le salon en bordel comme d'hab avec les rideaux tir�s de moiti� et une sorte d'opacit� brumeuse. Des bouteilles de bi�re qui jonchaient la table basse entre jeux de cartes et cendriers. Notre mur des troph�es comptait d�j� une bonne trentaine de polas. Ils commen�aient � s'�tendre au dessus du canap� flanqu� contre le mur.

Je posai mon sac sur le fauteuil et j'allais me coucher dans le lit de Ced me reposer un peu en attendant mes potes.
Quand j'ouvris la porte je d�couvris Samy, nu, allong� sur le lit. Il dormait paisiblement sur le ventre. Ses fringues �taient balanc�es sur le fauteuil du coin de la chambre. Je ne pu, les premi�res secondes, faire quoi que se soit d'autre que le contempler. Il avait un an de moins que moi mais son corps �tait pourtant mieux form� que le mien ; due probablement � la piscine qu'il pratiquait fr�quemment. Son dos muscl�, taill� en v chutait d�licatement sur ses fesses rebondies, muscl�es. Il avait une jambe pli�e de sorte � ce que je puisse observer une fine toison noire entre ses fesses. Les muscles de ses cuisses d�tendus promettaient une vigueur jeune, fra�che. Ses jambes fines s'achevaient sur des pieds fin et gracieux. Ses couilles, lourdes, apparaissaient entre ses jambes.
Je me suis lentement allong� � c�t� de lui, sur le dos, l'observant timidement de haut en bas. Son corps m'�blouissait de beaut�, je n'osais rien faire. J'entendais sa respiration lente, son dos se levait lentement � intervalle r�gulier. Ma bite me faisait mal dans mon jean tant je bandais fort. Je d�cidais alors de la sortir de ma braguette et, � la vue de Samy, je commen�ai � me caresser lentement. J'approchais ma main sur ses fesses, je les fr�lais tout doucement jusqu'� les caresser d�licatement sans qu'il se r�veille. Sa peau ambr�e �tait chaude et douce. D'une main je caressais son cul tandis que de l'autre je commen�ais s�rieusement � me branler.

Mes mouvements l'avaient alert�, il se r�veilla et retourna son visage vers moi. J'avais direct enlev� ma main.
- Tiens, t'es l� toi ? me dit-il plissant fi�vreusement les yeux.
- Euh ouais, je viens de rentrer des cours.
- Et tu te branle tranquille � c�t� de moi comme �a l� ?
- Ouais, r�pondis-je g�n�, j'en pouvais plus de la journ�e et...
- T'inqui�te Nils, tu fais ce que tu veux.
- Et... toi ? qu'est-ce tu fous � poil ?
- Bah j'ai pas cours aujourd'hui, et quand je dors bah... je dors � poil, c'est plus d�contract. Dit-il en riant. Il se mit sur le dos et commen�a � se caresser tranquillement avec moi.
- Ouais je vois �a, j'eus le sourire et je ne pus m'emp�cher de mater sa teub. Il le remarqua mais ne dit rien, gardant son sourire fier aux l�vres.
- Nils, tu te souviens de ma voisine ? Mme Lombard ?
- Ouais...
- Bah t'imagine m�me pas comme elle me chauffe ! L'autre foi,s s'il te pla�t, elle s'est foutue au balcon en string, les nibards � l'air. J'�tais l�, devant elle, et je bandais grave gars !
- Et apr�s ? Qu'est-ce qu'elle a fait ?
- Bah la meuf elle m'a regard� en me souriant, la salope ! Genre " reluque-moi mon beau j'attends ta pine dans la bouche ! " tu vois le genre ?
- Ouais ouais... le dard de Samy avait doubl� de volume, bien �pais et bien dur. Il m'excitait de plus en plus, je me branlais un peu plus vite.
- Bah du coup moi j'en pouvais plus ! J'ai sorti ma teub devant elle, cash ! et je me suis paluch� tranquille devant ses miches. Je peux te dire qu'elle a bien appr�ci� le spectacle derri�re ses lunettes !
- Jure ! Et t'as gicl� devant elle ?
- Nan... ma m�re est rentr�e, j'ai tout remball� et j'ai d�guerpi du balcon.
- Merde ! Dommage, t'avais peut-�tre une chance de la rejoindre...
- Carr�ment ! Enfin j'aurai pu la baiser cette chienne ! Je suis sur qu'elle raffole des bonnes teub d'arabes ! Un peu comme toi n'est-ce pas ? Il se moquait de moi en me faisant un clin d'oeil.
- Touche l� si tu veux...
- Nan c'est bon...
- All� vas y, depuis t'� l'heure tu la matte ! Vas-y branle-moi ! Ce serait pas la premi�re fois.
- Je peux, t'es sur ?
- All� je te le dis ! J'aime bien quand tu me branle. Tu me fais bander avec ton regard d'excit�. Pourtant je t'assure, les mecs �a me dit pas, mais toi mon pote...
J'ai pris sa pine dans ma main, j'en faisais difficilement le tour tant sa bite �tait large ! J'ai commenc� � le masturber.
- Hum, ouaii ! Continue Nils !
- T'aimes ? lui demandai-je timidement.
- Hummm ouaiii... raconte-moi tes exp�riences ? Ca fait depuis combien de temps que tu suce des bites ?
- Euh...
- Allez vas-y, tu ;nous en as jamais parl� ! Pourtant ton fr�re n'arr�te pas de nous dire que tu baise � tout va !
- Il vous a dit �a ?
- Bah ouais, � ce qu'il para�t tu les fais crier dans ta chambre quand t'en ram�ne chez toi !
Je savais pas que t'�tais du genre domin' avec les mecs, t'as l'air du contraire pourtant.

- Bah... (j'�tais g�n� d'en parler avec Samy, car il est vrai, d'habitude je domine les mecs, je les baise � la vol�e, mais bizarrement avec Samy ou mes autres potes, j'ai toujours voulu me soumettre � eux.) tu sais, Samy fin... c'est pas pareil avec vous tu sais... Fin vous �tes h�t�ros et tu sais, c'est pas comme si j'avais affaire � quelqu'un que je connais pas, vous �tes des potes quoi.
- Bah ouais, justement Nils. C'est parce qu'on est tes potes que tu dois pas avoir honte de nous dire ce que t'aimes ! Attends t'es en train de branler ma tige alors je pense bien que tu peux me dire �a !
- OK... bah.. tu sais... depuis la nuit avec Emilie bah... J'ai grave envie de vos queues, j'ai trop envie de les sucer � chaque fois que je les vois. Ca m'excite quand vous me parlez de ce que vous faites avec vos nanas et fin je m'imagine toujours �tre � la place de la meuf.. Sans �tre une meuf tu vois, toujours moi. Mais que vous me traitiez comme un esclave, une chienne quoi... tu vois ?
Apr�s un petit silence o� Samy garda les yeux ferm�s, moi le branlant toujours, il me r�pondit :

- Bah qu'est-ce t'attends tite pute ? Suce moi !
Je ne savais pas quoi faire, je ne savais pas s'il rigolait ou non. Il ouvrit les yeux et me regarda avec son �ternel sourire � la fois espi�gle et complice.
- Bah alors, tu n'�coute pas ? SUCE MA GROSSE TEUBE ptit pd !
Il me prit par les cheveux et enfon�a mon visage entre ses cuisses. Direct je repris sa bite en main et je la mis dans ma bouche.
- Hummm c'est �a, oui... suce ! tain b�b� tu pompe comme un pro !
Je continuais de laper son gland avec un regard de chienne qui rencontrait celui amus� de Samy.
- Tain... tu va me faire jouir si tu continues comme �a !
- Samy ?
- Qu'est-ce tu fous, pourquoi tu t'arr�tes ?
- Je te propose un truc ? Je veux que tu m'encules... �a te dit ?
- Bah... euh Nils, j'adore quand tu me suce c'est vrai ;mais de l� � t'enculer ...
- Samy... tu m'as dit de te dire ce que je voulais faire... et fin c'est pas comme si t'�tais pd, c'est juste que tu va te faire plaise un moment.
Il r�fl�chit longuement pendant que je le suce... puis il me prend le visage comme la derni�re fois et m'enfonce sa grosse pine au fond de la gorge. Il me lime la bouche.

- All� dessape-toi.
Je me suis foutu � poil et j'ai rejoins Samy sur le lit. On �tait d�s lors tous deux h�sitants sur nos mouvements. Il s'est redress�, s'est assit et m'a regard� longuement, tout le corps. Puis d'un �lan d�cid�, il m'a pris le bras et m'a allong� sur le ventre. Il s'est allong� sur moi, retenant mes poignets d'une main, et titillant mon trou de ses doigts libres. Dans l'oreille, il me chuchota :
- Tu vas voir comme je vais te baiser.

Il � l�ch� ses doigts, a lubrifi� mon cul que j'�cartais le plus possible dans un succinct g�missement puis il d�posa son gland � l'entr�e. D'un coup sec, il la rentra direct, me laissant �chapper un cri de douleur.
- HUMMM, t'aime �a la teub de rebeu ? T'aime �a, ptit batard ?! me braillait-il en enfon�ant par coups secs et rapides son pieu large. Tain ton cul !
Il commen�ait � faire des vas et viens rapides, me limant profond�ment toujours en m'insultant. C'�tait bon ! je sentais sa peau contre la mienne, et sa bouche qui par moment ne pouvait s'emp�cher d'embrasser ma nuque dans un tic de tendresse inconsciente.
Il me lima ainsi durant un bon quart d'heure quand d'un mouvement il se retira puis logea sa teub sur mon trou. Je tentais de me retourner mais il me for�a � rester de dos. Dans un encha�nement de branle sur sa tige, il gicla de longs jets de foutre sur ma rondelle. Trois, quatre... cinq ! Je remarquais en me retournant qu'il soufflait, souriant, quand il prit sa teub pour la passer sur ma raie, afin de bien �taler son sperme sur mes fesses puis de la renfoncer en moi. Il fit ainsi la manoeuvre deux, trois fois puis plongea de fatigue sur le lit.
Je le pris un instant dans mes bras quand il se retourne soudain et vient m'embrasser sur la bouche, succinctement.

Nous nous �tions assoupi � poil sur le lit, l'un contre l'autre. C�dric rentra et nous d�couvrit ainsi sur son lit :

- Putain les gars ! Ca pue le sperme � plein nez !
- Quelle heure il est ? Demandais-je dans mon �veil.
- Bah 20h, gars ! Qu'est-ce que vous avez foutu ?! Vous schlinguez le sexe � trois kilom�tres !

Sur ces paroles, Ced se mit � poil et se calla entre nous, la teub a la main.

La suite si cela vous dit...

Alcibiade

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