Cyrillo

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BLANCHEFESSE & LES 7 COQUINS

Vendredi soir, 20 heures. Apr�s avoir pass� quelques heures sur internet � mater des mecs sur mes sites pr�f�r�s, puis recherch� un mec pour me soulager, je d�cide de composer un num�ro audiotel. Me voici donc sur ce r�seau, � la recherche d'un m�le en rut. Au bout d'un quart d'heure, toujours rien. J'allais d�connecter quand une annonce retint mon attention : " Beau marocain, 26 ans, BM, cherche petite salope pour lui et ses potes ". Ma premi�re r�action a �t� de me dire un truc du genre : " Ouais, bien s�r ! ". Puis au bout de 30 secondes, excit� et intrigu� par ces mots, je d�cide de revenir en arri�re pour retrouver cette annonce afin d'en savoir un peu plus. Je contacte ce mec et lui demande comment il est et ce qu'il recherche. Il ne tarde pas � me r�pondre :

" J'ai 26 ans, 1 m 82, 75 kilos, brun, peau mate, imberbe, BM, 21 cm r�els. Je cherche une petite salope � tourner par moi et mes potes dans ma cit� ".

Cette r�ponse m'a �norm�ment excit� et inqui�t� � la fois.

Je lui r�ponds en me d�crivant � mon tour :

" 35 ans, 1 m 92, 80 kilos, brun, yeux verts, poilu torse/jambes/fesses, petit cul cambr�/rond, couilles ras�es, zob de 18 x 5,5, passif "

Il me r�pond que ma description lui convenait et qu'il �tait charg� par ses potes de faire le rabatteur. Je lui demande alors s'il peut les d�crire et d�crire le genre de plan qu'ils recherchent. Il me r�pond :

" C'est tr�s simple. Je rencontre le mec tout seul et s'il est assez salope, j'organise la touze avec mes potes ".

" Et vous �tes � combien ? ".

" 6, plus moi, �a fait 7. Y'aura en tout quatre beurs, un black et deux blancs ".

Sept mecs, �a me foutait un peu les boules, mais �a me faisait mouiller tout autant. Puis, je lui demande o� cela va se passer. Il m'explique que les parents d'un de ses potes ont une cave qu'ils n'utilisent pas. Son pote l'a donc am�nag�e et en a fait sa gar�onni�re, en quelques sortes. Apr�s avoir �chang� encore quelques messages, nous d�cidons qu'il faudrait se rencontrer prochainement. Comme il n'�tait pas libre ce vendredi soir, et que je ne l'�tais pas le lendemain, nous convenons d'une rencontre le dimanche apr�s-midi. Je lui file rencard le dimanche suivant (� savoir deux jours apr�s), sur ce m�me r�seau, pour fixer d'une heure et d'un lieu de rendez-vous.

Dimanche, 13 heures. Le beau marocain est d�j� connect� sur ce r�seau audiotel. Je le contacte � nouveau et nous d�cidons de nous retrouver � 15 heures pour un plan-nature. Lorsque j'arrive sur le lieu de rendez-vous, il �tait d�j� pr�sent, assis sur l'aile droite de sa voiture.

Je descends de ma caisse et m'approche de lui.

" Salut, moi c'est Alex " lui dis-je.

" Salut, moi c'est Mehdi ".

Je n'ai pas le temps de lui demander quoi que ce soit. De suite, il rajoute :

" Alors, comme �a tu es une petite salope ? Tu vas me montrer �a ! ".

En me disant cette phrase, il se caresse le paquet, et chope ma nuque de l'autre main, pour approcher mon visage de sa braguette.

Je me suis dit : " OK, on discutera plus tard ... ".

Je me mets � genoux. Je caresse ses cuisses et l�che sa queue � travers son jean. Son zob s'est raidi en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Il ouvre son jean, baisse son cale�on et lib�re les 21 centim�tres de chair. Sa queue est droite, tr�s raide, et pointe fi�rement vers le ciel. Je ne peux r�sister et le pompe de suite. Je gobe tout ce que je peux. Je l'entends g�mir. Il semble appr�cier. Il est pench� en arri�re, les fesses toujours sur l'aile avant droite de sa caisse. Il prend appui de sa main gauche sur le capot et place sa main droite derri�re ma nuque. Cette derni�re accompagne mes va-et-vient et force de temps en temps, pour que j'en gobe un peu plus. Puis, il me demande d'arr�ter et de me foutre � poil. Pendant ce temps, il en fait autant. Il reprend la m�me position et se branle en me regardant me d�v�tir. Tr�s vite, je me jette � nouveau sur son chibre, pour en go�ter chaque centim�tre carr�. Je gobe un maximum, lui l�che le gland, puis la base de sa queue, puis ses grosses couilles ras�es ... Mais quand je m'approche un peut trop pr�s de son cul, il me rappelle � l'ordre.

" Eh, tu touches pas � �a ! C'est chasse gard�e ! La salope, c'est toi, c'est pas moi ! ".

J'avais bien compris le message. Interdiction formelle de m'attarder sur ses belles fesses rebondies. M�me une caresse �tait prohib�e. Je rebrousse donc chemin et retourne l�cher ses couilles puis t�ter sa queue.

Au bout de cinq bonnes minutes � m'acharner sur son pieu raide, il me dit :

" Rel�ves-toi, mais t'arr�tes pas de me sucer ! ".

Ce que je fais. J'ai les jambes droites et le cul bien en vue. Il me caresse le torse, titille mes t�tons puis me caresse le dos. De l�, il glisse lentement et tendrement vers mes fesses. Il me caresse le cul de ses deux mains, en passant un doigt dans ma raie. Ensuite, il s'attarde sur ma rondelle avec laquelle il joue un peu de ses doigts, puis la lubrifie. Il me chope par les �paules et m'�carte de sa queue. Il se rel�ve et pendant qu'il essuie ses doigts plein de gel � son T-shirt, il me dit :

" Je vais baiser ta petite chatte de salope. Donnes-moi ton cul. Je veux niquer ta rondelle ... "

Il me retourne, m'allonge sur le capot, rel�ve ma jambe gauche et la pose sur l'aile de sa caisse. Debout derri�re moi, il vient frotter sa queue raide contre mon cul et la fait glisser dans ma raie. Je suis aussi chaud et excit� que lui. Il me donne deux ou trois fess�es puis s'�carte pour enfiler une capote. Il se rapproche et place son gland contre ma raie.

" Tu la veux ? Dis-moi que tu la veux, salope ! ".

En me disant �a, il me fesse d'une main, et de l'autre, frappe sa queue contre ma rondelle. Je suis en transe. Je n'attends � pr�sent qu'une seule chose : je veux sentir sa queue fouiller mes entrailles. Je veux sentir ce gros chibre au fond de mon cul ...

" Ouais, je la veux ! Je veux ta grosse queue ! Donnes-la moi ! Prends-moi ! Baises-moi ! Bourres-moi ! Vas-y ! Tout de suite ! Je suis ta petite pute ! Baises-moi ! ".

En entendant �a, il ne perds pas de temps et enfonce lentement et d�licatement sa queue au fond de mon cul. D'abord � moiti�, puis apr�s avoir marqu� un temps d'arr�t, il y enfonce le reste. Je sens la peau de ses grosses couilles se coller � la mienne. Je comprends qu'il a enfonc� la totalit� de sa queue au fond de mon cul. Mais elle reste immobile. Il s'attarde � me caresser les t�tons, le dos et me l�che la nuque et une oreille ... Mais cette tendresse n'est que passag�re : tr�s vite, il se rel�ve et sa queue s'active. Il me tient par les hanches et commence un va-et-vient de plus en plus hard. Au bout de quelques secondes, il me lime plus s�chement. Ma rondelle se frotte � sa queue, du gland jusqu'� la garde. Il se retire en ne laissant qu'une partie de son gland dans ma rondelle puis enfonce le tout violemment, jusqu'� ce que la base de sa queue et ses couilles viennent buter contre mon cul. Je prends un pied d'enfer. Ce mec se d�cha�ne derri�re moi et me fait prendre mon pied. Pendant cinq � sept minutes, il me prend sauvagement par derri�re. Il ne dit plus rien. Je l'entends g�mir et je g�mis aussi. Alors que ses va-et-vient se font de plus en plus rapides, j'acc�l�re �galement le rythme de ma branlette. Puis je l'entends me dire :

" Oh putain, je vais jouir ... Je vais jouir dans ton petit cul de salope ... Je vais remplir ta chatte de petite pute ... Oh, oh, oh, mmm, oh ... ".

Il a effectivement d�charg� au fond de mon cul. Sa queue y reste immobile, enti�rement enfonc�e. Face � tout ce spectacle, je ne peux me retenir et je jute � mon tour ... Pendant qu'il m'entend jouir, il me caresse le torse et les t�tons et me dit :

" Ouais, vas-y, crache ton foutre de salope, vas-y ! ".

Au bout de quelques secondes, il sort sa queue de mon cul. La capote est remplie d'une grande quantit� de foutre. Fi�rement, il me fait remarquer :

" Oh putain, t'as vu tout ce que j'ai crach� ? ".

Effectivement, c'�tait plut�t impressionnant et excitant. J'aurais bien recommenc�. Nous nous sommes rhabill�, avons allum� une clope et discut�, d'abord de tout et de rien, puis de cul et enfin de cette fameuse partie avec ses potes ...

Au bout d'une demi-heure de conversations, rendez-vous �tait pris le lendemain soir, 21 heures dans sa cit� ...

Le grand jour �tait enfin arriv�. La nuit commen�ait � tomber par cette belle soir�e de juin et il faisait encore bien chaud. Je me suis rendu dans sa cit� avec une excitation extr�me et une certaine crainte quand m�me. Je n'avais jusqu'ici, encore jamais bais� avec sept mecs en m�me temps. Mon " record " �tait de trois mecs. J'arrive au lieu de rendez-vous que Mehdi m'avait fix�. Il m'avait dit :" Tu verras. Tu entres dans la cit�, et au milieu des buildings, il y a une petite place avec une statue, une aire de jeux pour les kids, des bancs ... On s'attend devant la statue ". Il �tait l�, debout devant cette statue, � m'attendre, une clope � la main.

" Salut Mehdi ! ".

" Salut Alex, �a va ? C'est super que tu sois venu. J'avais peur qu'au dernier moment, tu ne viennes pas. On est tous super chauds et on a grave envie de baiser ".

Il me tape sur l'�paule et m'entra�ne avec lui.

" Suis-moi, on va les rejoindre ".

Il met sa main dans mon dos et avance. Je suis le pas. On traverse la place. Il entre dans un immeuble et descend l'escalier qui m�ne au sous-sol. Je le suis avec une certaine crainte, ne sachant pas o� je me rends. Une fois de plus, cette crainte est m�l�e � une forte excitation. Je le suis sans vraiment comprendre ce que je fais, o� je vais ... Arriv�s au bas de l'escalier, il ouvre une lourde porte. Nous nous engageons alors dans un long couloir. Au bout de ce couloir, on peut voir la lumi�re d'une pi�ce dont la porte est ouverte. On entend �galement des mecs qui parlent. Il se retourne vers moi et me dit :

" Viens, ils sont l�-bas, au bout du couloir ... Ils nous attendent ... ".

Au fur et � mesure que je m'approche de cette lumi�re, je sens mon trouillom�tre qui grimpe. J'ai de plus en plus les boules. Arriv�s au pas de la porte de cette pi�ce, je vois six mecs, affal�s sur des canap�s, des chaises ou par terre. Tous ont un verre � la main, et certains fument une clope. Il y a d�j� une tr�s bonne ambiance

" Voil�, je vous pr�sente Alex ! " leur dit-il.

Tous arborent un sourire du coin des l�vres et ont, � ma vue, l'oeil qui brille. Ils me saluent tous, et le petit blond, qui est affal� sur un vieux canap�, ajoute :

" Alors, c'est toi la petite salope qu'on va tous bourrer ce soir ? ".

Et tous se marrent. A ce moment pr�cis, j'ai compris que je n'avais peut-�tre pas eu une bonne id�e en m'aventurant i�i. Je fais marche arri�re et reste dans le couloir. Mehdi, qui se tenait derri�re moi, me demande ce qu'il y a. Je lui r�ponds que je ne les sentais pas et que je pensais qu'on allait en rester l�. Nous nous �cartons de la porte et parlons. Il minimise tout �a et me propose, pour prouver leur bonnes intentions, que tous ces potes se foutent � poil. Ainsi, d'apr�s lui, si je rentre dans la pi�ce et que tous sont � poil, j'aurais peut-�tre moins de craintes. Il s'approche de la pi�ce et passe la t�te en disant :

" Bon, les mecs, vous vous d�froquez tous. Vous enlevez toutes vos fringues. Vous gardez que vos pompes.

Allez, tous � poil ! ".

On a entendu plusieurs bruits se chevaucher : les corps qui se rel�vent, des chuchotements, des rires, des ceintures qui s'ouvrent, des braguettes qu'on d�fait, des jeans qu'on retire, etc ... Au bout d'une ou deux minutes, Mehdi me fait signe de m'approcher.

" Viens, c'est fait ! Ils sont tous � poil ".

J'entre dans la pi�ce. Effectivement, ils s'�taient tous d�froqu�s, sauf un. Celui-l� �tait confortablement install� dans un gigantesque fauteuil bien moelleux. On aurait dit qu'il �tait le chef de la bande. Pendant que je les mate tous, Mehdi entre dans la pi�ce et referme la porte derri�re lui. Il y a Mehdi, derri�re moi, un autre beur encore habill� et cinq mecs compl�tement � poil : deux beurs, un black et deux europ�ens. Tous les cinq ont d�j� une belle trique. Sur la table basse, je remarque une petite corbeille remplie de capotes. Je suppose donc que je ne suis pas le premier � avoir �t� invit� dans cet antre et que cette chambre fait plut�t office de baisodrome que de local dans lequel la bande se retrouve. Je demande au seul type encore habill� (un magnifique beur, belle gueule et large d'�paules), pourquoi il est encore v�tu.

" Tu te dessapes pas ? Pourquoi t'es encore habill� ? ".

" T'occupes ! Je suis venu au spectacle. J'ai envie de voir mes potes bourrer le petit cul d'une salope ! Si tu vaux le coup, on verra ! Pour le moment, c'est comme �a ! Et fous-toi � poil qu'on voit comment tu es gaul� ! Allez salope, d�froques-toi ! ".

Tout de suite apr�s, il s'adresse au groupe.

" Allez les mecs, foutez-moi cette salope � poil ! ".

Mehdi est derri�re moi et se fout �galement � poil. Les autres mecs s'approchent de moi et commencent � me d�froquer. En tr�s peu de temps, je me retrouve � poil. Il faut dire qu'avec cinq paires de mains qui s'activent, l'op�ration est tr�s vite r�alis�e. Je me retrouve donc nu comme un ver, entour� de cinq mecs en rut sous le regard malicieux et amus� du chef de la bande. Chacun a la queue qui pointe vers le haut. Mehdi nous rejoint. Sa grosse queue est encore pendante. Le chef met sa main � la hauteur de son paquet et lance les hostilit�s.

" Allez les gars, amusez-vous ! Cette salope est � vous ! Vous en faites ce que vous voulez et vous prenez votre pied ! Vous la niquez � fond ! Tirez cette chienne ... ! ".

A ce moment-l�, je sens six paires de mains qui parcourent mon corps. Je suis couvert de mains baladeuses. Certaines caressent mon torse, d'autres mon dos, d'autres encore mes cuisses, ma queue ou mes fesses ... Une main me chope par la nuque et me guide vers une queue. C'est la bite d'un beur, peau mate, raide et bien tendue. J'ouvre la bouche et la gobe. Je me mets � genoux et pompe ce zob bien � fond. Tous sont en rond autour de moi. Avec mes deux mains libres, j'agrippe deux queues que je branle. Je vois d'autres queues qui sont branl�es, j'entends des g�missements, je sens des mains qui me parcourent le corps en s'attardant fortement au niveau de mon cul.

De son fauteuil, le chef n'en perd pas une miette. Il s'adresse � eux et dit :

" Bouffez cette chatte de salope et bourrez-la ! ".

A ce moment, le groupe s'arr�te et me dirige vers une table situ�e non loin de l�. On me place face � la table et on me penche en avant. Les pieds par terre, le torse contre la table, j'offre ma croupe � qui en veut. Le chef s'exclame :

" Allez Ahmed, prends ton pied, niques cette petite chatte. Bourres le fion de cette salope ! ".

Ahmed, r�jouit, s'ex�cute. Il avait environ 25 ans, faisait � peu pr�s 1 m 70, 65 kilos, brun, peau mate, imberbe, une queue bien raide de taille moyenne ... Une fois sa raideur habill�e de latex, il se place derri�re moi, me lubrifie la rondelle et enfile sa teub � l'int�rieur. Il lime de suite mon petit cul sans se soucier de mon plaisir. Sa seule pr�occupation �tait de prendre son pied. Pendant ce temps, les autres queues s'activaient autour de moi et essayaient d'attirer mon attention pour avoir les faveurs de mes mains et surtout celles de ma bouche. Ahmed continuait � parcourir mes entrailles en ne m�nageant pas ses coups de reins. Au bout de trois minutes, je le sens se raidir et je l'entends g�mir. Ravi de savoir qu'il d�chargeait dans la capote, j'imaginais que mon " calvaire " serait enfin termin�. Il se retire.

Le chef appelle un certain J�r�me pour prendre sa place. Il se trouve que c'�tait justement le mec que j'�tais en train de pomper. J�r�me se retire de ma bouche et va se placer devant mon cul. A peine a-t-il d�gag� sa queue de ma bouche, qu'un autre zob se pr�sente. Je le gobe. J�r�me �tait un petit blondinet d'environ 1 m 75 et 70 kilos. Il avait l'air d'�tre le plus jeune de la bande (environ 20 ans). Il �tait imberbe, avait une queue de taille normale qui virait sensiblement vers la gauche. En effet, c'�tait le seul dont la bite n'�tait pas droite. Il a mis une capote, et sans aucun m�nagement, est entr� dans mon cul et a commenc� � le limer. Tout comme son pote pr�c�demment, je ne devais �tre rien d'autre qu'un vide-couilles � ses yeux. Cette perspective est � la fois d�cevante et excitante ... En tout cas, les rapides et vigoureux coups de reins qu'il me donnait, assimil�s au spectacle excitant qu'il avait vu et voyait encore, ont eu raison de lui ... Tr�s vite, il a d�charg� en moi et r�pandu sa semence au fond de la capote ... Il se retire et s'�carte ...

A ce moment, j'entends une voix :

" S'te pla�t, j'peux avoir ta place ? Laisse moi profiter de sa bouche ".

J'ai reconnu la voix de Mehdi et tr�s vite sa queue se pr�sente � mes yeux. Pendant que je pompe le gros chibre de Mehdi, je sens des mains et une queue tourner s�rieusement autour de ma rondelle.

A ce moment-l�, le chef s'exclame :

" Non, pas encore, c'est au tour de Momo. Vas-y, Momo, bourre le fion de cette petite pute ".

Momo s'approche. Il avait une trentaine d'ann�es, environ 1 m 75, 75 kilos, beur, bien foutu, moyennement poilu et plut�t bien mont�. Il enfile une capote et s'engouffre en moi. Alors que je m'applique � pomper le chibre de Mehdi, je sens la queue de Momo (s�rement Mohammed) qui me caresse la rondelle. Il est beaucoup plus tendre que les deux pr�c�dents. Il me prend avec douceur. Il enfonce sa teub enti�re dans mon cul puis la fait ressortir avec un savoir-faire qui ne me laisse pas insensible. Cette queue qui me baise me procure une sensation des plus agr�ables, que je n'ai que trop rarement connue. Apr�s m'avoir tendrement pris en levrette pendant quelques minutes, il se retire et me demande de me coucher sur le dos. Allong� sur la table, sur le dos, il rel�ve mes jambes, entre � nouveau en moi et continue ses tendres va-et-vient. Mehdi me pr�sente � nouveau sa queue que je pompe avec d�lice. Les deux autres mecs se tenaient � c�t� de nous, de chaque c�t� de la table. Je les branlais en m�me temps, leur queue dans chacune de mes mains. Momo a acc�l�r� la cadence. A pr�sent, il me baise comme un fou. Il s'excite comme un malade sur ma rondelle, donnant de terribles coups de butoir. Son coup de reins est � pr�sent plus franc, plus saccad�, plus animal. Au bout d'un court moment, il enfonce sa queue au maximum dans mon cul, se penche en arri�re et pousse un cri �norme. Il est en train de d�charger dans sa capote et hurle son plaisir...

Le chef de la bande a l'air imperturbable : il a la main pos�e sur son paquet mais est toujours encore habill�. Il invite Mehdi � me baiser : les deux autres mecs viennent se placer de part et d'autre de mon visage en me tendant leur queue. Mehdi enfile une capote et enfonce sa magnifique teub dans mon cul. Je red�couvre la sensation que j'avais connue la veille. Il me prend dans cette position pendant quelques minutes alors que je pompe alternativement la queue des deux mecs restants. Puis il me demande de me mettre � quatre pattes sur la table. Il grimpe aussi dessus, se place derri�re moi, et me prend en levrette. Tous dans la pi�ce, quel que soit l'endroit auquel ils se trouvent, pouvaient voir nos �bats dans les moindres d�tails et admirer le gros zob de Mehdi aller et venir puis se cacher enti�rement dans mon cul. De mon c�t�, je prenais particuli�rement mon pied parce que cette queue �tait non seulement �norme, mais son propri�taire savait particuli�rement bien s'en servir. Je profitais avec un plaisir non dissimul� de chaque centim�tre carr� de cette grosse queue qui me donnait la sensation de me caresser la rondelle. Au bout d'un moment, Mehdi se retire et m'attire vers le bas de la table. Il me demande de reprendre la position que j'avais au d�but, � savoir de prendre appui, jambes � terre, et de me pencher, torse contre la table. Il s'enfonce � nouveau en moi et entame un va-et-vient un peu plus rythm� qu'auparavant. De l'autre c�t�, les deux autres mecs profitent alternativement de ma bouche et de ma langue. Mehdi, dont le front est tremp� de sueur, commence � acc�l�rer le rythme. Il me baise de plus en plus vite, envoyant � chaque coup de reins, ses lourdes couilles s'�craser contre mon cul. Au bout d'un moment, je le sens se contracter et comprends que son jus est en train de s'�chapper de ses burnes. Il agrippe mes reins et y serre ses mains tr�s fort.

" Putain, je vais cracher ... Putain, je vais cracher ... Putain ! Oh ! Putain ! Oh ! Oh ! Oh ".

Il me bourre � une vitesse incroyable et laisse s'�chapper des cris de plaisir. Il d�charge tout ce qu'il peut et remplit la capote de sa semence ... Il se retire et je tourne la t�te. Nos regards se croisent et je per�ois dans ses yeux un sentiment de b�atitude, de comblement et de reconnaissance. Je souhaite qu'il ait lu la m�me chose dans mes yeux. Je le ressentais en tout cas. Mehdi glisse sa queue dans ma raie et en profite encore un peu. Puis il s'�carte et m'embrasse la fesse gauche.

Le chef ordonne alors � Franck de venir me baiser. Franck �tait un beau mec de 30 ans, d'environ 1 m 80, � peu pr�s 80 kilos, un torse bien dessin�, poilu, bien foutu avec une teub de 19 ou 20 cm. Il �tait gonfl� � bloc apr�s le spectacle qu'il venait de voir de si pr�s. Il a enfil� une capote et m'a pris d'un coup en levrette. Je continuais � pomper lentement le dernier mec, un beau black d'environ 25 ans, 1 m 80, 75 kilos, imberbe, bien dessin� et moyennement mont�. Alors que Franck me faisait sentir son zob au plus profond de mes entrailles, je su�ais la queue du black. Le chef se manifesta � nouveau en demandant � Georges (le black) de venir s'occuper de mon cul. Il enfila une capote et vint se placer derri�re moi. Franck �tait encore en train d'activer son engin dans mon cul quand Georges se poste � c�t� de lui. Et ainsi commen�a une valse curieuse au cours de laquelle chacun venait � son tour prendre place au fond de mon cul, y restait le temps de quelques va-et-vient, puis c�dait courtoisement sa place. Franck et Georges me baisaient � pr�sent, chacun avec fr�n�sie, en ne m�nageant pas ma rondelle. Et quand ils sentaient que leur s�ve allait bient�t monter, ils se retiraient et c�daient leur place ce qui leur permettait de calmer un peu le jeu. De mon c�t�, je subissais les assauts de ces deux m�les en rut qui m'enfon�aient leur pieu raide et gorg� de sang avec une envie de me transpercer. Je prenais un pied d'enfer en sentant ces deux tiges raides venir transpercer et fouiller mon intimit�. Ce jeu a dur� un bon moment avant que Franck ne me bourre violemment en criant qu'il n'en pouvait plus et qu'il allait juter ... Il a continu� � me donner quelques coups de reins et s'est vid� les burnes dans sa capote ... Georges s'est alors approch� de lui, l'a pouss� sur le c�t� et prit sa place. Il a enfonc� sa queue en moi et apr�s de vifs coups de reins s'est r�pandu dans le latex en g�missant ...

Je suis rest� dans cette position, sans bouger, heureux de ce que je venais de vivre et �norm�ment fatigu� par cette aventure ...

Mehdi se leva et se pla�a derri�re moi.

" Mmmm, je lui en mettrais bien encore un petit coup ! " dit-il en frottant sa queue contre ma raie.

Puis, il s'�carte et dit :

" Ouais, Karim, t'as raison ... Viens ! Profites-en aussi ! Montres-lui ce dont tu es capable ... ".

A ce moment, je rel�ve la t�te et aper�ois le chef, nu comme un ver, s'approcher de moi avec une trique d'enfer. Pris dans le feu de l'action, je n'avais pas remarqu� qu'il s'�tait dessap�. Il �tait b�ti comme un dieu. On aurait dit une statue grecque qui venait de prendre vie. 30 ans environ, brun, la peau mate, les yeux bleus, 1 m 83, 83 kilos, muscl�, un torse large et tr�s poilu, un chibre de 20 cm x 6,5 cm. En voyant cet apollon, je n'en croyais pas mes yeux. En s'approchant de moi, il me regardait droit dans les yeux, ne masquant pas ce qu'il ressentait � ce moment-l�, � savoir une certaine raideur ou plut�t une raideur certaine qui pointait vers le ciel. J'�tais flatt� de voir qu'un tel mec, aussi beau et bien foutu, ait envie de moi. Il doit avoir tr�s facilement tous les mecs et toutes les gonzesses qu'il d�sire. Il vint se placer devant mon visage et dit :

" Montres-moi ce que tu sais faire ! T�tes-la ! Suces-moi, salope ! ".

Avant qu'il ne commence � me dire �a, j'avais d�j� entrepris de le pomper. J'�tais ext�nu� par les six autres mecs, mais de le voir lui, s'avancer � poil vers moi, m'a donn� un nouveau coup de fouet. Je commence � le pomper en restant sur la table. Mais tr�s vite, je d�cide d'en descendre. Karim se tient debout, � poil, au milieu de la pi�ce, le chibre bien dress�, et je me mets � genoux devant lui pour mieux le t�ter. Je suce cette divine queue du mieux que peux, en en gobant le maximum. Je titille le dessous de son gland avec ma langue au passage, pour lui arracher quelques g�missements. Tous ses potes sont confortablement install�s et nous m�tent. J'entends de �a et l� certains d'entre eux nous dire :

" Vas-y mec, pompes-le fond ! Bouffes-lui la queue ".

" Ouais Karim, baises-le, baises sa petite bouche de salope ! ".

Pendant que je m'acharnais � gober sa divine queue, je caressais ses puissantes cuisses poilues, ses belles petites fesses poilues et surtout son magnifique torse muscl� et poilu.

Je n'avais pas encore joui et le partenaire que j'avais � ce moment me chauffait comme personne. Sa queue enfouie dans ma bouche et mes mains qui se baladaient sur sa divine anatomie ont fait dresser ma queue sans que je ne m'en aper�oive au d�but. J'�tais tellement concentr� sur ce superbe mec que je n'ai m�me pas senti que j'avais la trique. C'est seulement lorsqu'un des spectateurs en a fait la remarque que j'en ai pris conscience.

" Eh les mecs, m�tez-moi �a ! La petite salope est en train de prendre son pied. Il trique le salaud ! ".

Karim me rel�ve et me dirige vers son fauteuil. Il me fait prendre place debout, devant ce dernier, et me rel�ve la jambe droite qu'il place sur un accoudoir. Il me lubrifie et enfile une capote. D'une main, je me tiens � un accoudoir et de l'autre, je m'agrippe au dossier. Je ne bouge plus et attends avec impatience que cet apollon m'honore de son engin.

Il ne se fait pas attendre. Tr�s vite, je sens son gland, dur comme de la pierre, se frotter � ma rondelle. Je suis hyper excit� et attends le moment b�ni o� il va enfoncer son pieu au fin fond de mes entrailles. Voil�, ce moment tant attendu est enfin arriv� : Karim enfonce tr�s l�g�rement son zob dans ma rondelle puis marque un temps d'arr�t. Il me chope par les �paules, et d'un coup de reins lent et tendre, fait entrer sa divine raideur dans mon cul. Cette queue hyper dure et hyper large me provoque une douleur indescriptible. Pendant cinq secondes, j'en ai le souffle coup�. A pr�sent, toute l'assistance est parfaitement silencieuse et profite du spectacle sans en perdre une seule miette. Mais, Karim ne s'arr�te pas l� : il me maintient par les �paules et progresse lentement jusqu'� ce que son divin engin ait compl�tement disparu dans mon cul. Il marque un temps d'arr�t. Je reprends mon souffle et retrouve mes esprits. Sa queue profond�ment enfouie en moi, il se penche vers ma nuque et la l�che tendrement. Ses mains titillent mes t�tons. Sa langue parcours mon oreille. A ce moment-l�, je ne regrette pas du tout d'�tre venu, parce que je suis en train d'�tre la chose d'un mec qui est mon fantasme � 500%. Je ne peux rien refuser � un mec comme lui. Je suis sa petite pute et je ne demande que �a d'ailleurs. Apr�s deux minutes de tendresse, il l�che mes t�tons et prend appui de ses deux mains sur le fauteuil. Il continue � me l�cher la nuque mais son divin chibre se r�veille.

Il effectue un lent mouvement de recul, ce qui me provoque la sensation que toutes mes entrailles sont en train de se mouvoir avec lui. J'entre dans un �tat second. Ce mec me fait prendre mon pied. Son zob ne s'�chappe pas compl�tement de mon cul. Lorsque la moiti� de son gland a pris l'air, Karim fait machine arri�re et enfonce � nouveau le tout au fond de moi, jusqu'� la garde. Je g�mis comme une chatte en chaleur, tellement il me fait de l'effet. Je l�che ma main de l'accoudoir. Je ne m'agrippe plus qu'au dossier � pr�sent. Je passe ma main dans mon dos et essaie de caresser son magnifique torse couvert d'une douce toison de poils. Je fouille cette for�t vierge en y m�lant mes doigts. Je lui travaille les t�tons, puis retourne caresser la divine toison ... Je passe ensuite � l'exploration de ses puissantes cuisses que je caresse tendrement, pour finir ma course au niveau de ses couilles que je chatouille amoureusement. Pendant cinq bonnes minutes, il me prend de la sorte, en levrette, en baisant mon petit trou lentement, tendrement ... Puis sentant que ma rondelle a fort bien accept� cet �norme envahisseur, il d�cide d'acc�l�rer la cadence. Sa queue s'enfonce en moi avec de plus en plus de force et de vigueur. Ses couilles, lourdes, pendantes et parfaitement ras�es, s'�crasent � chaque coup de butoir contre mon cul. A chaque coup de reins, il m'arrache un cri de plaisir. Je suis oblig� de m'agripper avec les deux mains, tellement ses coups de reins sont puissants. A cet instant, je ne sais plus qui je suis, ni o� je suis ...

Tout �a n'a plus d'importance. Je suis en transe, dans un �tat second, comme cam� par cet apollon et son membre qui m'enivrent. Karim continue un moment � pilonner mon cul puis se retire compl�tement. Il me rel�ve, me retourne et m'assied sur son fauteuil. Il me rel�ve les jambes, m'attire vers lui de fa�on � ce que mon cul soit au bord du fauteuil, se met � genoux et me p�n�tre. Quel bonheur ! La chevauch�e fantastique reprend de plus belle et d�marre sur les chapeaux de roue. Il garde le rythme effr�n� qu'il avait auparavant. Sur son front, je remarque la formation de perles de sueur, prouvant l'effort qu'il est en train de fournir. Lui faisant face, je peux � loisir parcourir son divin torse de mes deux mains. Il me regarde de temps en temps droit dans les yeux en enfon�ant son �norme pieu dans mon cul. Son regard grave me fait comprendre qu'il me domine, que je suis sa chose et qu'il peut faire de moi ce dont bon lui semblera. J'en suis totalement conscient et accepte cet �tat de fait avec d�lice. Je ne demande que �a ! Puis il regarde sa queue s'enfoncer en moi, ou encore mate ma tige qui n'a pas d�band� depuis le d�but o� je l'ai pomp�. Et petit � petit, j'arrive au point culminant o� je ne peux plus me retenir. Je vais bient�t juter. Karim, face � moi, maintient mes jambes en l'air et me pistonne � pr�sent comme un b�te.

Je lui caresse le torse, lui titille les t�tons et sent la s�ve monter le long de ma tige. Je vais cracher mon foutre sans que je ne me sois touch� ... Je le pr�viens que je vais juter et il continue � marteler ma rondelle. Mes couilles se vident, me procurant un extr�me plaisir suppl�mentaire et je d�charge tout ce que je peux sur mon ventre. Face � mon explosion, Kamel acc�l�re encore le rythme. Je ne pensais pas que c'�tait possible, mais il y est arriv�. Il me bourrait � une vitesse folle, comme si on mate un film en acc�l�r�. Au bout d'une minute, il se retire, enl�ve sa capote et laisse sortir de longues et lourdes salves de foutre qui viennent s'�craser sur mon torse et dans mon cou. Il se cambre, balance sa t�te en arri�re et hurle son plaisir. ;Je suis super impressionn� de voir ces cinq premiers jets venir finir leur course aussi loin avec autant de force. Ses derniers jets sont moins abondants et moins puissants : ils s'�chouent sur mon ventre et se m�lent � ma semence. Lorsqu'il a retrouv� ses esprits, il se penche vers moi et vient poser ses l�vres sur les miennes. Il me roule une petite pelle timide et me remercie. Je lui dit d'arr�ter de d�conner et que c'est plut�t moi qui le remercie. Il m'a fait prendre un pied comme jamais. Gr�ce � lui, j'ai pris conscience que je pouvais aussi jouir de la rondelle. Il s'est ensuite relev� et est all� chercher un essuie-tout. Il a essuy� sa queue et m'a tendu le rouleau en disant :

" Tiens, sers-toi ! Tu en as besoin ! Tu es couvert de foutre ! ... Salope !".

Et il me sourit.

Ses potes avaient � pr�sent retrouv� la parole. Mehdi se leva et proposa un verre � tout le monde. Nous �tions assoiff�s et avons �videmment accept� cette proposition. Nous sommes tous rest�s � poil, avons discut� en buvant notre verre et fum� une clope de temps en temps ...

Les discussions �taient vari�es : on a parl� de tout, de rien, de bagnoles, de sexe, ... et m�me de leur copines respectives ... Ils se sont marr�s lorsque Mehdi a dit :

" Putain les gars, si elles savaient ... "

Apr�s un long moment � discuter, plaisanter, boire et fumer, j'ai pris cong� et suis rentr� chez moi, la t�te pleine d'excellents souvenirs ...

Cette histoire ne s'est malheureusement pas pass�e comme tel. Elle n'est que le fruit de mon imagination, le r�sultat d'un fantasme d�bordant. Cependant, le d�but est r�el. J'ai effectivement parl�, sur un r�seau de rencontres par t�l�phone, avec un mec d'origine maghr�bine qui cherchait une salope passive pour la partager avec ses potes. Les premiers �changes de messages entre nous sont vrais, mais le fameux dimanche o� nous devions nous retrouver sur le r�seau, il n'�tait pas l� ...

Enorm�ment excit� par cette perspective, j'en ai imagin� le d�roulement tel que je l'aurais souhait� ... Mais dans la r�alit�, si ce plan avait effectivement pu avoir lieu, il n'est pas s�r qu'il se soit d�roul� de la sorte ... Qui sait ! ...

En tout cas, certains des personnages �nonc�s ci-dessus sont r�els... J'ai eu l'occasion d'en rencontrer certains s�par�ment ... Je vous laisse deviner lesquels...

Juin 2004

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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