J'ai 50 ans, mari� et heureux.Bisexuel accept� par mon �pouse depuis le d�but de nos relations il y a vingt ans. Travaillant depuis de nombreuses ann�es dans une multinationale, le si�ge de mon entreprise est � Paris mais je r�side l'�quivalent de 6 mois de l'ann�e en Suisse. Je suis attir� ponctuellement par des minets de passage que je rencontre aux gr�s de mes d�placements. J'ai li� connaissance a de nombreuses occasions avec de jeunes helv�tes g�n�ralement blond, imberbe et pas sots. Par contre, en juin 2006 un �v�nement majeur est intervenu dans ma vie qui a des cons�quences aujourd'hui et me place dans une situation compliqu�e. La premi�re semaine de juin j'�tais invit� par un correspondant suisse � un week-end de p�che � la perche dans le lac. T�t le matin, je me pointais � l'embarcad�re pour monter sur le bateau habitable de mon ami. J'�tais heureux de passer un week-end avec Martin, que j'avais connu 31 ans plus t�t dans une situation professionnelle r�ussie. Martin �tait grand, blond athl�tique mince et � l'�poque il �tait champion cantonal de d�cathlon. Je l'avais suivie � plusieurs reprises dans ses d�placements en comp�tition et nous avions m�me eu plusieurs plans cul ensemble. Je me souviens qu'il me disait " je suis amoureux de ta queue. " Nous couchions souvent dans le m�me h�tel, dans la m�me chambre et dans le m�me lit. Son fantasme �tait que je le fasse d�shabiller en suivant mes ordres. Il terminait toujours en slip triquant � mort avant que je le lui baisse avec les dents. Il me fouettait le visage avec sa queue. Je restais moi m�me en tenue de ville chaussure, veste, cravate. Alors, il frottait son cul contre ma bitte raide. Apr�s que je l'ai extraite par la braguette, il me su�ais fr�n�tiquement puis, me d�shabillait lentement. Tout les deux � poil, nous nous rendions sous la douche et la s�ance de rasage commen�ait. Je l'enduisais de mousse � raser, le dessous des bras, la bitte, le cul, les mollets, et doucement, je le rasai pour qu'il ne lui reste aucun poil. Ensuite nu comme un vers, il se lavait en se frottant doucement pendant que je le regardais. Nous avions dans cet instant g�n�ralement �clus� quelques bi�res et l'envie de pisser me torturait. Martin se mettait � genoux dans la douche et je l'arrosais de pisse. Je lui pissais sur le torse, sur la raie du cul, sur les cheveux, dans la bouche et il se d�lectait de ce breuvage. Ensuite Martin et moi nous lavions copieusement, nous parfumions et nous glissions sous les draps pour de langoureuses caresses. Plusieurs fois dans la nuit, je pressentais ma queue � l'entr�e de son fion et il s'empalait sur mon dard. Quant je lui signifiais que j'allais jouir, je retirais ma queue et lui remplissais la bouche de mon sperme qu'il avalait compl�tement. Ce rituel �tait immuable et nous l'avons pratiqu� pendant de nombreuses ann�es sans nous lasser. Aussi, en attendant le bateau je pensais � cette p�riode r�volue depuis une bonne dizaine d'ann�e. Naturellement personne ne se doutait d'ou venait notre complicit�, mais nous nous savions que rien de nos corps ni de nos plaisirs ne nous �tait �tranger. Un appel vif me surpris " alors yannick encore dans tes r�ves ? " je me retournais et d�couvrais Martin tout en sourire toujours aussi grand, blond et svelte m�me si le temps avait creus� quelques rides sur son beau visage et autour de ses yeux d'un bleu toujours aussi profond. Nous nous embrass�mes sur les joues comme nous le faisions toujours. Martin me confirma que c'�tait bien son embarcation mais que nous attendions deux autres personnes qui viendrait � la p�che avec nous. Nous �tions sur le pont en train de charger nos bagages quant deux jeunes minets d'une vingtaine d'ann�e nous interpelles. " Nous voil� nous n'avons pas trop de retard ? "Je d�taillais les deux minous illumin�s d'un sourire �clatant sur des dents blanches de r�ve. L'un �tait ch�tain clair, 1m 80 mince, de longue mains blanches au bout de deux bras fins recouvert de petits poils fris�s. Son visage �tait fin, ses yeux marron encadr� par de longs cheveux attach�s en queue de cheval. L'autre 1m 80 aussi, blond comme les bl�s cheveux ras� � la tondeuse, un visage poupin au teint hal� et des yeux d'un bleu profond qui illuminaient ce beau visage. Les deux minous semblaient sortir tout droit d'un catalogue de mode. Leurs v�tements d�notaient le classique des enfants de bobo. Martin s'avan�a et embrassa les deux jeunes qui me seraient la main. Martin fit les pr�sentations " voil�, le beau blond c'est K�vin mon fils �tudiant � Marseille et � son bronzage tu vois que c'est un fana de voile et la c'est Serge �tudiant en sciences Eco � Marseille et colocataire de K�vin ". Je ne pouvais d�tacher les yeux de ces deux merveilleux minets. D�s que le bateau fut au large, K�vin �tait son tee shirt d�couvrant un corps lisse, musculeux, avec deux superbes t�tons bruns pos�s sur des pectoraux dessin�s par de nombreuses heures de sport. Je d�taillais cette plastique superbe qui se confirma lorsqu'il enleva son jean pour se mettre en maillot de bain. Il avait un shorty noir qui lui moulait la bitte qui semblait respectable. Ses jambes �taient muscl�s et recouvertes de petits poils blonds fris�s. Quelques instants apr�s Serge se d�v�tait aussi pr�sentant un corps mince et longiligne recouvert de poils soyeux entre les deux pectoraux assez bien dessin�. Sa bite moul�e dans son slip de bain semblait plus grosse que celle de K�vin. Pendant toute la journ�e, chacun p�chait dans une ambiance survolt�e alternant blagues, et jeux d'eau. Vers 19 h Martin nous invita � nous changer car nous �tions mouill�s comme des rats, afin de pouvoir passer � table sur le pont sup�rieur. Je descendais dans ma cabine pour chercher des v�tements secs. Je commen�ais � enlever mon tee shirt quant Kevin rentra. " Excuse moi yannick mais nous partageons la m�me cabine ! Le bateau de mon p�re n'a que deux lits doubles. Ce n'est pas un paquebot mais les lits sont confortables. A ce moment je compris que j'allais passer la nuit avec ce petit minou blond ; " Je me mis � poil pour enlever mes affaires mouill�es en tournant le dos � mon petit mec. Lorsque je me retournais, K�vin �tait nu en train de fouiller dans son sac pour sortir des v�tements secs. Je pouvais d�tailler ses deux valseuses sans poils peut �tre ras�es ? Et sa bitte fine non circoncise entour�e d'une couronne de poil blond. Il ne semblait pas g�n� du tout d'�tre en tenue d'Adam. La soir�e se d�roula dans un d�lire complet les deux comp�res racontaient leur frasques de potache � Marseille la bi�re coulait a flot, en vers minuit je commen�ais � avoir la t�te qui tournait. " Martin, je crois que j'ai abus� de la bi�re encore une fois je ne suis pas sortable. " face � moi, je vis K�vin, les yeux rougis qui me dit " si toi tu as abus� moi j'ai d�pass� ma dose ! " Martin conclu " les mecs il est temps de se reposer mais attention que personne ne vienne gerber sur le bateau ! Si vous avez un probl�me d�gueulez par dessus bord. ! " Je rentrais dans la cabine et me mit en cale�on avant de me glisser dans les draps. J'entendais K�vin pisser par dessus bord juste au dessus de notre hublot. Je cherchais le sommeil sans v�ritablement le trouver et bient�t, j'entendais la respiration r�guli�re de K�vin, il dormait. J'�tais toujours sur le dos, les bras sous la t�te cherchant d�sesp�r�ment � trouver un sommeil qui ne venait pas. Environ une heure apr�s nous �tre couch�, K�vin remuait dans le lit et se collait � moi en respirant doucement. Je sentais sa bitte contre ma cuisse. Dans un mouvement, il posait sa main sur mon ventre sans autre geste. Je ne bougeais pas mais il me semblait que sa queue devenait dure. Je d�pla�ais ma main droite pour la placer le long de mon corps. Je rencontrais la cuisse douce et chaude de K�vin plaqu�e contre la mienne .Puis je rentrais en contact avec sa bitte en effet en pleine �rection. K�vin respirait toujours doucement comme un dormeur calme. Je sentais les petits poils de sa queue me chatouiller le dessus de la main ; pour ma part j'avais le sexe douloureux depuis le temps qu'il �tait en �rection .Dans un mouvement de dormeur, la main de K�vin se posa cette fois sur ma queue puis ne bougeait plus. Cette fois, doucement je remuais ma main droite pour pousser sa bitte et je constatais qu'il mouillait. Je pris mon courage et je posais mes doigts sur son gland humide. Sa r�action ne se fit pas attendre il resserra ses doigt sur ma queue et commen�a � me frotter. Cette fois j'�tais sur, il ne dormait pas. Nous nous plotions tendrement. Lui 20 ans moi 50 nous partagions une tendresse de coll�gien. Au bout de quelques minutes, K�vin se souleva et d�posa un baiser sur mon �paule. Je saisi l'occasion, approcha mes l�vres des siennes et nous nous sommes embrass� goul�ment. " Tu ne dormais pas K�vin ? Tu me cherchais ? Pourquoi est tu dans mon lit au lieu d'�tre avec ton pote ? " Et mon minou me r�pondit. " Je sais que tu a �t� l'amant de mon p�re il me la racont�, maintenant Martin est amoureux de Serge depuis un an Il vient r�guli�rement � Marseille coucher chez nous. Comme nous n'avons qu'un lit nous faisons souvent une baise � trois. Mon p�re est toujours super passif, serge super actif, moi c'est suivant. Souvent mon p�re nous a parl� de tes performances, Yannick c'est pourquoi nous avons mont� ce coup. Si tu veux nous pouvons appeler Serge et mon p�re pour une partie � quatre. " Moins d'une 1/2 heure plus tard nous �tions tous dans le m�me lit Martin me su�ait la bitte comme aux belles heures de nos amours. K�vin me l�chait le cul faisant p�n�tr� sa langue pointue dans mon fion. Quant � serge il m'embrassait goul�ment et de temps en temps me pr�sentait son gland humide pour me faire go�ter son sperme. C'�tait le r�ve ! Bient�t, martin se mis en levrette et m'invita � l'enculer. K�vin su�ait Serge. Au bout d'u temps j'enculais toujours Martin de plus en plus profond et celui ci avait pris la queue de Serge apr�s lui avoir demand� de lui jouir dans la bouche, je reconnaissais bien les fantasmes de Martin. Mais ce qui m'int�ressait c'�tait aussi de remplir le petit cul de K�vin. Martin se doutait de mon fantasme car il se d�gagea de ma queue et me laissa approch� la rondelle de son fils qui n'attendait que �a. C'est dans un petit cri de douleur que je p�n�trais le fion ras� de K�vin. Celui ci prenait visiblement son pied en me demandait de lui jouir dans le cul et de lui remplir les tripes. J'astiquais de plus en plus vite. K�vin au bord de la jouissance se mit � sucer la queue Serge tandis que Martin m'embrassait et finit par me foutre sa queue dans la bouche. Je ne sais plus qui � commenc� mais j'ai joui dans le cul de K�vin et je sentais mon sperme sortir de son fion et me couler sur les cuisses. K�vin d�chargea dans la bouche de Serge et martin vida ses couilles sur mon visage. Epuis�s, c'est dans un rire collectif que nous regagnions nos lits respectifs. K�vin comme un enfant �tait coll� � moi la t�te sur mon �paule et sa main sur ma bitte. Je caressais doucement sa peau douce et fine et ainsi nous nous sommes endormie. Depuis, au moins une fois par mois je revois Kevin soit en suisse soit � Marseille et nous nous faisons des plans d'enfer. Voil� finalement j'ai chang� mes fantasmes pour le fils apr�s avoir aim� le p�re. LULR�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES |