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14h30 (2)

J'ob�is � son invitation. Me voil� le visage enfoui dans le slip de Zob, humant cette bonne odeur de m�le et m'�crasant la bouche sur ce gros matos qui d�forme le tissu.
Comme demand�, je m'attache � rester sur la base de la bite, ma langue en exploration entre le Zob et les couilles de mon professeur. Sous mes l�vres, je sens les deux grosses balloches qui roulent sous la peau, r�pondant � chaque coup de langue. La bite prend encore de l'�paisseur et durcit sous mon exploration.
La sensation est g�niale, le contraste entre la douceur velout� de la peau et la duret� de la grosse tige band�e. Je prends de l'assurance, ma bouche enrobe la viande offerte, et je m'efforce en ventousant Zob d'en faire sortir toujours plus. Mon prof � l'air d'appr�cier, m'encourage et guide mes suces.
De temps en temps, entre deux succions gourmandes, je rel�ve la t�te d'entre les cuisses �cart�es devant moi pour mater le spectacle : tout le paquet offert est luisant de salive, le reste de la teub d'�talon du Boss explose le slip, soulevant le tissu comme un piquet de tente. L'�rection est vraiment superbe, et d�borde encore plus devant mes yeux.

Le boss m'observe, se complait devant mes regards gourmands. Il s'amuse � contracter les reins, et � chaque balancement de son putain de gourdin, sa paire de couilles vient rouler devant mon nez. J'avance la main vers le Zob, mais il me plaque � nouveau la t�te entre ses cuisses.

" Tu auras tout le temps de t�ter le paquet plus tard, t'as l'air d'avoir faim de teub, je vais t'apprendre des trucs, t'inqui�tes. Pour le moment, tu bosses uniquement � la bouche. Reprends le boulot, et sors moi les couilles du slip, elles ont envie de se faire gober. "

Je reprends mon job, le bec enfoui dans son fut, aspirant sa bite, cherchant � extraire encore plus de son sexe hors du slip d�chir� qui devient transparent en s'humidifiant de ma salive. Sous mes succions sournoises, enfin, sa paire de couilles jaillit et se r�pand entre ses cuisses puissantes. Fier de moi, je ronronne de plaisir en les l�chant de plus belle, bien d�cid� � les faire reluire. De temps en temps, je continue mon jeu et m'�carte pour contempler le r�sultat de mes travaux.

" OK, c'est bien, avale les, maintenant ".

En bon petit soldat, je m'ex�cute, la bouche ouverte au maximum, m'�touffant sous mes tentatives. Impossible de gober l'ensemble, j'aspire tout ce que je peux, mais malgr� mes efforts il y a toujours une des couilles qui s'�chappe de ma bouche. Boss me d�colle de sa bosse.

" Ben alors ? Y'a un probl�me ? "

Son sourire est goguenard, il se tient les couilles � la base, tendues vers moi. Il se fout ouvertement de ma gueule ! Je retourne avaler, mais cela ne passe pas plus. La bouche sur le paquet, je couine de d�pit, m'�vertue encore � gober ce que je sais �tre trop volumineux pour moi. J'ai qu'une inqui�tude, qu'il me foute dehors en estimant que je ne suis pas � la hauteur des promesses faites lors de nos �changes de mail.

" T'y arrives pas, hein ? T'es pas tr�s dou�, finalement. " " Je suis d�sol�, j'ai super envie, mais elles sont d�finitivement trop volumineuses ".
" Si tu cales sur mes couilles, y' a peu de chance que tu me fasses du plaisir sur le Zob, gar�on ".

Il se l�ve, c'est la fin, il lit tout mon d�sespoir dans mes yeux qui matent ce superbe paquet dress� que mon incomp�tence a perdu. � genoux devant le Boss, je le regarde r�installer son Zob toujours en �rection dans son slip, et repositionner ses grosses boules.

" Soit pas d��u, tu sais, je sais bien que dans ta t�te t'en es capable.
Seulement faut de la m�thode, bien te chauffer la gueule, et bien travailler les couilles une par une avant d'essayer de tout te mettre en bouche.
Quand tu les auras bien d�tendues, tu vas toucher ta r�compense. "

Il ressort sa paire de couilles monstrueuses de son calbut, je les ai � 10 centim�tres devant le nez, pendantes et toujours luisantes de salive. Suivant ses instructions, je les gobe s�par�ment, passant et repassant de l'une � l'autre. Ma bouche les apprivoise, et je sens que progressivement j'avale de plus en plus de surface.
Mon prof me guide, me fait l�cher le morceau de temps en temps, je reprends mon souffle, et profite du spectacle. Ce mec est carr�ment bandant, bien satisfait de son paquet, m'exhibant et me balan�ant les couilles � port�e de langue.

" Aller, r�essaye. "

Je ne me pose pas de question, je fonce sur les deux boules qui me narguent, et m'avale le tout sans m�me m'en rendre compte. Bonheur total, j'ai l'impression de ma�triser un peu la situation, je tiens litt�ralement mon prof par les couilles ! Les l�vres referm�es sur la base du paquet, je tourne et retourne ma langue sur le velours, tirant ou rel�chant la pression. Boss appr�cie.

" Ouais, c'est bon ��, vas y, r�gale toi, bouffe ".
Il se r�installe sur le canap�, je repends ma position � quatre pattes devant lui. Je continue mon travail, il s'amuse parfois � me retirer les couilles de la bouche, pour le plaisir d'entendre mes couinements avides. Il s'allume une clope et me mate ; Les yeux dans les yeux, il me fait un clin d'oeil :

" Tu veux en rester l�, ou tu veux jouer avec Zob ? "

male a traire

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R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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