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14h30

Je suis en retard, on avait dit rendez-vous chez lui � 14h25.

Je suis en bas de son immeuble, la tension monte. Le mec en question � l'air d'�tre un bon macho, fier de sa grosse bite, qui recherche des suceurs experts � coller sur son pieu pour prendre du bon temps, clope au bec, � mater le mec qui le pompe, laissant gonfler sa tige et profitant de la s�ance.

J'ai dit �tre novice, mais il m'a indiqu� que dans mon mail de r�ponse � son annonce, qu'il avait appr�ci� mes commentaires �logieux sur ses photos mises en ligne, et ma gueule en pic envoy�e en pi�ce jointe � ma proposition de service. Selon lui, les �talons comme lui doivent participer � l'�ducation des petites salopes dans mon genre, et qu'un rendez-vous me ferait du bien, puisque j'avais tout � apprendre.

Je suis en bas de son immeuble, j'ai bien pr�cis en t�te les photos de sa tronche, de son sexe r�ellement de tr�s belle taille - s'il ne m'a pas menti -

OK, j'y vais, j'ai trop grave envie de me confronter ENFIN � un beau sexe de mec, et de v�rifier en r�alit� ce que je sais d�j� �tre vrai dans ma t�te : Je suis une petite suceuse, PD jusqu'au bout, en recherche d'un bon gros ZOB que j'apprendrai � satisfaire de mes succions.

Me voil� au 4�me �tage. Je trouve la porte, je sonne.
Du bruit dans l'appartement. La porte s'ouvre, je reconnais le visage de mon correspondant. L� dessus, il n'a pas menti.
Malgr� moi, mon regard descend jusqu'� son pantalon, pour d�couvrir une d�formation plus que prometteuse. Les boutons de sa braguette sont tout gonfl�s, il y a l'air d'avoir un alien l� dessous qui ne demande qu'� sortir...
Je rentre, compl�tement sous tension. Il m'invite � passer dans la pi�ce, me suis de pr�s, dans ses jeans et son marcel. Propose une bi�re. Je dis OK, histoire qu'il parte dans la cuisine et me laisse respirer � fond pour me calmer.

Pas de bol, quand il revient avec une canette � la main, c'est avec le fut d�braguett�, et une grosse BOSSE qui s'expose tranquille sous le slip entre les l�vres de la braguette. Il me tend la bi�re, me dit d'en avaler un coup, et de me mettre � genoux. Entre sa voix autoritaire et le paquet distendu qui me nargue, je ne discute pas. Deux trois gorg�es d'alcool, et me voil� � genoux devant mon BOSS.

Allumant une clope, il me mate en se grattant nonchalamment le paquet sous le slibard. J'ai en vue direct sa grosse paire de couilles que je devine, et une barre traverse son slip en prenant de plus en plus de volume. J'ai du mal � d�tacher mes yeux de cette vision de r�ve...
Sans m'en rendre compte, ma bouche avance sur la BOSSE, mes l�vres s'�cartent. Je rentre dans mon r�le, sans encore savoir comment satisfaire la teub qui pourrait s'offrir � moi.

" t'as jamais bouff� de la bite ? "
... " Hein ? " - Je reviens dans la vie r�elle - " je dis : t'as jamais bouff� de la bite ? " " nan " " Tu crois �tre � la hauteur ? Un �talon, �a refile sa pine que lorsque la zobasse en vaut la peine, y'a assez de petits PD gueule ouverte sur Paname pour pas perdre son temps avec les demi-suceuses, les fragiles de la bouche, et les 30 minutes chrono.
Je te propose un bon 20 bien �pais, bien gras, qui fait bien couiner les suceuses. T'as d�j� remarqu� la paire de balloches qui va avec, des lourdes bien pendantes, qu'aiment pas qu'on les oublie pendant la s�ance. Si tu t'y prends bien, en ventousant gourmand, tu peux t'offrir plus de 21cm en bouche, les joyeuses qui vont avec, et t'auras de quoi t'�touffer de plaisir.
Alors soit tu te barres maintenant, soit tu restes, mais si tu restes, c'est pour 2 bonnes heures de le�on. "

Et en se dirigeant vers le canap�, baissant ses jeans sur les chevilles, BOSS ajoute en se marrant " T'as de la chance, la premi�re s�ance est gratuite ! "

Je n'h�site pas, j'ai un beau mec cuisses ouvertes avec un slip bien gonfl� offert devant moi. Son attitude bienveillante fait tomber mes derni�res appr�hensions. Je trouve naturellement l'attitude � adopter, pour m'approcher � 4 pattes de mon initiateur, lequel prend plaisir � jouer son r�le, en se tripotant le pacs :

" OK. Un morceau comme le mien -tu l'appelle ZOB, c'est son nom - a besoin de sentir que son suceur est � sa disposition. Ton plaisir passe par le sien. Tu t'occupes d'abord de lui donner le plaisir qu'il m�rite, et au passage, tu peux profiter et jouer avec. Pig� ? " " Oui ".
" Oui qui ? "
" Oui, ZOB. Je veux faire le max pour que tu prennes du plaisir, et ce sera ma r�compense. "

BOSS a arr�t� de se tripoter le paquet. Il est vrai que ce dernier explose le slip de tous les c�t�s. Je reluque et salive devant les couilles d�bordant du tissu, et le gros bout de bite qui prend l'air hors de l'�lastique. Le slip est d�chir� au milieu, je peux mater la jonction de la tige dress�e et raidie et de la paire de couilles de ZOB.
Mon prof a suivi mon regard d'un air amus� :

" T'as raison, un bon point pour toi. Tu vas commencer par l�. Viens mettre ta truffe dans mon slip. L�che bien, salive et mouille moi �a. "

male a traire

Suite de l'histoire

R�ve ou r�alit�, ces histoires ne doivent pas vous faire oublier les dangers d'une relation sexuelle sans protection. METTEZ DES CAPOTES
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