Aujourd’hui, j’écris ce texte à la demande de mon mâle. Pour qu’il sache jusqu’à quelle limite mon corps lui appartiendra pendant ce week end à venir.
Je savais ce à quoi je m’étais engagé quand je lui avais proposé de venir prendre le train pour me voir sur Lyon, à lui mon mâle de 30 ans. J’ai 25 ans, ça fait déjà 3 ans que l’on se connait. Mon cœur battait à toute vitesse, ça fait des jours que je ne me suis pas masturbé, à sa demande je m’étais mis une cage de chasteté, il y a huit jours. Je lui avais envoyé les clés, je sais qu’il descend avec un contrôle total sur ma sexualité. Je lui avais promis mon corps, mon plaisir. Dans quelques minutes, je lui serai complètement dévoué. Je me suis installé dans la chambre d’hôtel qu’on a pris pour l’occasion, pour un week-end complet, coupé de l’extérieur. Un espace neutre où je pourrais lui appartenir complètement. Ça fait des mois qu’on en parlait, des mois qu’on ne s’était pas vu non plus. J’étais prêt, nu à 4 pattes près de la porte. Il l’avait demandé. Je le lui dois. Il arrive dans la chambre, après 3 heures de voyage, en sueur, il pose sa valise : « salut pervers ! ». Je me frotte à lui, lui réclame son sexe. En quelques secondes il m’enfonce un premier gode dans le cul, mon corps tremble … ça fait des jours que j’attendais ce moment. Il se frotte contre moi, se met au niveau de ma bouche, me crache dessus et me gifle « tu es à moi, on va s’amuser. » Il prend un peu de temps pour me regarder, puis me demande de le suivre dans la salle de bain. Je comprends qu’il a envie de pisser après son voyage, on en avait parlé, je lui avais dit oui, je voulais lui faire plaisir. Il me force à garder ma bouche ouverte puis commence à m’uriner dessus : « comme ça, on sait à qui tu es ». Il me demande de me lever, il m’attache les jambes ensemble, allume la douche et la met sur froid. Il quitte la pièce quelques instant et reviens avec son téléphone, il le pointe vers moi et prend une photo de mon corps nu « c’est pour notre profil grindr, je veux faire venir quelqu’un pour en profiter ». Il me lève encore mouillé et gelé puis me met par terre au milieu de la pièce, il prend une photo de mon cul avec encore le gode. Je ne sais toujours pas à qui il envoie les photos, ça m’excite, il le sent. Il me force à lécher la sueur de son corps. Il décide de me lancer sur le sol et de s’asseoir sur moi pendant que je continue d’entendre le son des notifications grindr. Il ouvre une bière, m’en crache en visage. Moi, il me fait sentir du poppers… la seule chose que j’ai le droit de demander. Il me relève, m’attrape la tête et me met sa queue dans la bouche. Il me tient par les cheveux, me crache au visage. Je vois dans son regard son excitation augmentée au fur et à mesure qu’il affirme son contrôle sur moi. Il continue de jouer avec mes couilles. Il marque mon corps et en prend le plein contrôle. Il me fait lécher son cul et continue de boire, son portable à la main. Je ne sais toujours pas à qui il parle. Il me caresse, joue avec mon sexe et me laisse espérer une libération. Je gémis de plus en plus fort. Alors il attrape son boxer, me le fait sentir et me le met dans le nez. « Ça fait deux jours que je le porte, tu aimes ? ». En plus, oui. « Sale pervers, je le savais ». Il descend sa main au niveau du gode « tu voudrais ma queue hein », je lui réponds que oui … Au lieu de ça, il m’enfonce un doigt et me regarde me tordre et gémir avec son caleçon dans la bouche. Il retire tout, et me fait lécher ses couilles, son cul, il m’enfonce à nouveau sa queue dans la bouche et me baise le visage. Le portable resonne, il sourit Il me remet le caleçon dans la bouche. « Je vais pisser ». Je ne comprends pas, il part sans moi. Je lui demande de me prendre avec lui, c’est la première phrase que je formule depuis qu’il est arrivé … « Voilà ce que je veux entendre, tu en redemandes ». Je lui appartiens complètement, il le sait. Il me ramène dans la salle de bain, m’utilise à nouveau. Je sens l’urine chaude coulée de ma bouche le long de mon corps. Jamais je ne pensais être utilisé de cette manière. Il me repasse à l’eau froide « faut te calmer, ce n’est pas terminé … loin de là ».
Max
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