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3 | Le massage de Roman
Depuis ces épisodes avec mon pote Kamel, je me sentais emprunt d’une nouvelle énergie de domination. J’avais envie d’essayer de faire plier des mecs qui se se sentent forts et résistants. Et j’avais presque réussi avec Kamel ! Il me fallait juste une meilleure victime, et un meilleur plan. Quelqu’un dans mon entourage qui ne me verrait pas venir. J’avais une idée : Roman. Roman, c’est un mec qui habite dans ma rue, avec qui on passe souvent du bon temps. Un bon versa à la fois tendre et sauvage, qui a toujours refusé être passif avec moi car selon lui je fais trop soumis pour qu’il se laisse faire. C’est ce qu’on va voir.
Vendredi aprèm. Je sais que Roman ira à la gym ce soir. Je lui propose de passer par chez moi après, pour un massage et plus si affinités. Bien sûr, il accepte avec grand plaisir, me remerciant pour son dévouement. S’il savait…
Le soir.
« - Salut Lucas ! Merci pour l’invit’ ! En plus j’ai bien travaillé le dos ce soir, le massage sera parfait !
- T’inquiètes, ça me fait plaisir à moi aussi ! »
On monte jusqu’à chez moi. J’habite au cinquième étage sans ascenseur, donc quand les gens arrivent chez moi ils veulent tous un verre d’eau. J’en avais préparé d’avance, avec un léger tranquillisant dans le sien, qu’il boit d’une traite. On discute un peu avant d’aller dans la mezzanine. Je l’allonge sur mon lit, lance une playlist de musiques nordiques, aussi relaxantes qu’envoûtantes. L’ambiance est parfaite. Avec mon huile de massage, je passe sur tout son dos, en appuyant de plus en plus fort. Ce n’est pas la première fois, je sais exactement comment le détendre rapidement.
« Concentre-toi sur ma voix… et détends-toi… Suis le rythme de la musique… Inspire profondément… et expire tout... », mes mots combinés au somnifère le mettent petit à petit dans un état second. Mes mains descendent alors sur le bas de son dos, les doigts glissent sous l’élastique de son boxer. « Tu es complètement détendu, tu me fais entièrement confiance. », il ne répond qu’un vague acquiescement, c’est gagné. J’espère juste qu’il ne va pas complètement s’endormir, ce serait dommage.
Je baisse délicatement son boxer, révélant ses fesses lisses et charnues. L’huile coule à flots, les parfumant d’une saveur de pêche. Sous prétexte d’aller sur ses cuisses je passe sur ses fesses, les écartant doucement pour révéler son anus qu’il me refusait. C’est beau, ça sent bon les fruits, je le caresse de l’index. Il commence à gémir, mais je le rassure : « Tranquille, tu aimes ça. Tu aimes que je te caresse. Laisse-moi te caresser, et détends-toi ». Je sens son trou se décontracter, m’inviter, presque. J’y plonge la tête, je titille de ma langue, c’est sucré, je lèche et m’insinue. Gagné. Il se soulève, se cambre et se positionne en levrette. Carrément, bingo !
Une main sur sa queue en érection, l’autre qui tapote de plus en plus son trou, il est complètement à ma merci. L’index s’enfonce en lui, délicatement, il soupire de plaisir. « Tu as toujours attendu ce moment. Tu as toujours voulu te soumettre à moi. Tu es à moi maintenant. », il soupire de plus en plus. Un deuxième doigt s’engouffre, il se dilate si vite c’est impressionnant. Je suis si dur, rien qu’à l’idée de baiser ce mec qui m’a toujours dominé. Enfin pouvoir échanger les rôles, quel kiff !
Je vire mon slip, libérant ma bite plus dure que jamais. Il a toujours trouvé que j’avais une bite plutôt longue pour un passif, presque une bite d’actif. Hé bien on va voir ça de suite. Je présente mon gland humide à l’entrée de son trou, continuant de le branler et de masser son dos. « Tu es de plus en plus détendu. Tu n’opposes plus aucune résistance. », et centimètre par centimètre, il m’accueille sans aucune résistance. C’est si bon, la situation m’excite au plus au point, je vais pas tenir longtemps je le sens.
Je commence de lents va-et-vient, mais la musique s’accélère alors j’accélère aussi. Sa bite mouille de plus en plus, j’accélère aussi à ce niveau-là. Dans un gémissement long et suave, il me jouit dans la main, ce qui me porte aussi à l’orgasme. Je lui remplis le cul comme jamais, une cascade. Je me retire et m’allonge à côté de lui, épuisé. Ma bite entre ses fesses, je sens un peu de mon sperme qui s’écoule. On s’endort comme ça.
Le lendemain, je me réveille plus satisfait que jamais. J’ai enfin baisé mon voisin. Je descends de la mezzanine, où il m’attend avec le petit-déjeuner préparé. « C’était trop bon ce massage, alors voilà pour te remercier ! », il est adorable. On est samedi, j’ai rien de prévu, c’est parfait. Des tartines, des croissants, un chocolat chaud comme j’aime. Je déjeune avec appétit. Je n’en reviens toujours pas.
On parle un peu de notre programme du weekend, moi devant bosser un peu, lui fera peut-être un footing sur les quais ce soir. Soudain, je commence à avoir la tête qui tourne, à me sentir partir… « Ha ha ! Alors Lucas, on a envie de dormir ? Ce matin en allant aux toilettes j’ai vu la tablette de somnifères dans ta salle de bains, et j’ai compris ce qui s’est passé. Et jme suis pas privé de te rendre la pareille ! Sauf que toi, tu vas dormir bien comme il faut ha ha ha ! » Nooooon… pas encore… je me suis encore… fait avoir…
J’ouvre les yeux. On est dans l’après-midi, à en juger par la luminosité. Pfiouh j’ai bien dormi, je me sens complètement reposé. Roman est là. Roman ?! C’est vrai, il m’a drogué pour me baiser ! Mais je n’ai aucun souvenir… « Alors, bien dormi princesse ? Moi ça va super, je me suis bien vidé en toi regarde ! ». Il sort son portable, et me montre tout ce qui s’est passé ces dernières heures. Des photos et vidéos de moi endormi, avec sa queue dans ma bouche et mon cul, et du sperme qui s’écoule partout. Malgré l’avoir vidé hier il s’est déchargé deux fois en moi, dans mon cul et sur mon visage. « Je garde ça en souvenir pour mes futures branlettes ! », dit-il en mettant ses chaussures. Il s’en va, me laissant complètement sous le choc. Décidément, mes plans ne se passent jamais comme prévu !
Lucas
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