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HISTOIRE

TOP AUTEUR 2020 ROMAIN

Le vilain petit chaperon rouge et le gentil grand méchant loup

Avertissement :

Moi qui suis l’authentique Grand méchant loup je peux vous garantir que l’histoire du Petit chaperon rouge est un tissu de mensonge. Il faut être débile pour croire en la candeur de cette petite salope qui trottine dans la forêt avec sa galette et son petit pot de beurre. Je vais donc rétablir la vérité en vous narrant la VRAIE histoire :

Donc :

Salut les mecs ! Je suis Éric Graumatos, alias le « Grand méchant loup ». On me surnomme comme ça parce que je suis du genre prédateur qui aime la chair fraîche de préférence masculine. Grand et bien tanké, j’ai entre les jambes un équipement catégorie artillerie lourde, qui me permet pas mal de performances et de prolongations. Comme il se doit, j’ai des yeux de loup d’un vert tirant sur le jaune avec de grandes pupilles. Mon rare sourire révèle de longues canines pointues. Je suis motard de la Gendarmerie Nationale.

Ce jour-là, avec mon collègue le brigadier Philippe Boncou, nous sommes de faction sur le bord de la nationale D606 quand déboule une Audi A3 SportBack qui trace facile ses 180 km/h. Enfin, une occasion de se distraire en ouvrant les gaz à fond !!! Après une petite course poursuite style cow-boy, nous rattrapons le contrevenant et lui ordonnons de se ranger sur le bas-côté de la route. Flagrant délit de grand excès de vitesse ! Nous allons nous régaler…

Casquette rouge vissée sur le crâne, teint basané et belle gueule de petit voyou, le jeune conducteur lève de grands yeux verts et innocents vers moi. Je lui intime l’ordre de rester dans son véhicule et je commence à dresser procès-verbal. Le chauffard se nomme Fred Toureyde. Quand je lui demande sa destination, il me rétorque sur un ton badin qu’il va se faire faire une p’tite pipe par grand-mère…

- Comment ça !!? Vous allez vous faire… par votre grand-mère ??? Que je me scandalise.

Le sale gosse éclate de rire en relevant sa visière d’un coup de pouce.

- Mais non M’sieur l’ange gardien de la route, « grand-mère » c’est le sobriquet de mon pote Laurent. On le surnomme comme ça parce que quand il est sur sa moto, il ne dépasse jamais les 30 km/h… Il a même réussi à se casser la jambe en voulant mettre sa Yamaha sur sa béquille. Ceci dit c’est un pompeur de première bourre. Gouaille l’insolent en louchant sur mon paquet.

J’ai comme l’impression que ce morveux se fout de ma gueule et je n’aime pas trop ça. Alors je fais les gros yeux et j’aboie :

- Votre affaire ne sent pas bon, jeune homme, et puis c’est quoi ces paquets sur la banquette arrière ? Trafic de drogue, je suppose ?!

- Mais non M’sieur le policier motard. C’est du ravitaillement pour mon copain : une cartouche de cigarettes et une bouteille de whisky. Y’a pas de lézard, c’est une œuvre caritative. Me roucoule l’insolent à la casquette rouge.

Il se croit obligé de rajouter :

- J’le gâte parce que comme ça il va m’faire un méga pompier. J’ai la teub qui dégouline rien que d’y penser. Ce mec-là, M’sieur le gendarme, il est capable de vous sucer jusqu’à la moelle des os !

Faut pas me dire des trucs pareils ! J’ai mon gros bazar qui commence à remuer dans mon futal. Je suis un peu en manque ces temps-ci et je crois qu’une bonne ponction me ferait le plus grand bien. Je gronde :

- Votre histoire me parait louche, jeune homme, il faut que j’aille vérifier ça de plus près ! Veuillez me donner les coordonnées du quidam Laurent-la-grand-mère, je vous prie !

Le chauffard ne se fait pas prier pour me donner le nom et l’adresse de son copain aspirateur de bites et de surcroit me donne le code d’accès de son immeuble.

Je regarde plus attentivement le mec désinvolte. Avec son regard angelico-pervers et sa casquette rouge coquelicot, il me fait penser au Petit chaperon rouge. Cela me fait saliver et je commence à mouiller grave. Puis une ampoule s’allume dans mon crâne et je demande à mon collègue Philippe de conclure le procès-verbal en lui faisant signe de ne pas être trop sévère avec notre coco.

J’enfourche ma FJR 1300 et je me tire plein pot. Mon service prend fin dans 20 minutes et j’ai le projet d’aller rendre visite à ce Laurent alias « grand-mère », expert en turluttes. Je ferai ainsi d’une pierre deux coups, la « grand-mère » tout d’abord et ensuite ce petit provocateur de Fred qui ne tardera pas à nous rejoindre avec sa cartouche de cigarettes et sa bouteille de whisky. Excellent programme !

Quand je me pointe chez Laurent-la-grand-mère, c’est trop facile pour moi de le faire craquer. Qui peut résister au charme torride d’un Grand méchant loup en uniforme ?

Le mec s’épanouit dans sa belle quarantaine et suce comme un dieu. Sa jambe dans le plâtre rajoute un petit quelque chose à son sex-appeal. Histoire de passer le temps en attendant l’arrivée imminente du Petit chaperon rouge, j’emboite mon pompeur de foutre jusqu’à la garde. Cinq minutes après, il gueule à tue-tête que je suis l’homme de sa vie. Je ne me formalise pas de sa bruyante déclaration d’amour parce que j’ai l’habitude. Mes succès répétitifs m’ont rendu blasé.

Mais mon petit chauffard à casquette rouge tarde à venir. Très irrité, je fais mes adieux par un dernier coup de queue dans le trou maintenant béant de Laurent-la-grand-mère et je me tire.

En pestant entre mes dents de bête fauve je décide d’aller me pieuter pour me recharger les accus. Ce petit enfoiré de Petit chaperon rouge ne perd rien pour attendre ! J’irai chez lui demain soir pour lui faire comprendre qu’il est très risqué de poser un lapin au Grand méchant loup.

Le lendemain soir, je me pointe chez Fred et je frappe à sa porte.

Quand ladite porte s’ouvre, je m’aperçois que le Petit chaperon rouge n’est pas si petit que cela. C’est un beau gaillard dont les larges épaules contrastent avec des hanches minces. Torse et pieds nus, il me toise avec un léger sourire de triomphe. Svelte et bien découplé, il arbore une belle peau couleur caramel. Probablement quarteron, c’est un superbe produit de ce subtil mélange de races dont l’île Maurice s’enorgueillit. Je bande comme je n’ai jamais bandé. C’est pour vous dire !!!

Peu surpris mais très courroucé, je découvre mon collègue le brigadier Philippe Boncou en train de se rhabiller au milieu du living. Je le carbonise du regard quand il m’avoue qu’il n’a pas dressé procès-verbal et qu’il en est à sa seconde visite chez le jeune chauffard. Cependant son air penaud me rappelle que notre binôme n’est pas seulement professionnel. Lui et moi, sommes collègues, complices et amants depuis des mois. Comment pourrais-je lui en vouloir ?

- Fais gaffe, ce mec est une vraie bombe… Me glisse-t-il en enfilant son blouson avant de prendre la porte.

Quand nous sommes seuls, je me retourne d’un bloc vers l’athlétique garçon en sortant mes menottes. Paisiblement, de lui-même, il place ses mains derrière le dos pour que je puisse emprisonner ses poignets. Quand je le saisis par les épaules pour le retourner brutalement, il se contente de me tendre ses belles lèvres, les yeux mi-clos. Je m’empare alors de sa bouche. Sa langue véloce est dure et douce et l’ivoire de ses dents extraordinairement lisse.

- Je n’ai pas été sage et je crois bien que j’mérite une petite punition, M’sieur l’ange de la route. Gazouille-t-il en baissant les yeux.

- Pour sûr que tu mérites une punition, galopin ! J’ai bien envie de faire sauter ton permis de conduire pour t’apprendre à respecter les policiers motards ! Que je rugis.

Près de nous, sur un meuble fonctionnel, le téléphone portable sonne. Le mot « Mamy » s’affiche sur l’écran. Le petit chaperon rouge m’adresse un regard suppliant. Alors, bon prince, je décroche et je lui colle le combiné sur l’oreille.

Commence alors une conversation qui semble intéressante puisqu’il s’agit de gros virements bancaires mais au lieu de rester immobile, le Fred se met à déambuler dans le living avec moi derrière pour tenir le combiné. Cela me permet d’admirer ses épaules et son dos nus dont il fait négligemment rouler les jolis muscles pour m’allumer. Ce mec est une vraie pute !

Ce n’est pas pour me déplaire mais il ne faudrait pas me prendre pour une bille et au bout d’un moment je branche l’ampli du téléphone que je pose sur la table basse. Je peux à présent entendre une voix de femme bien timbrée qui s’exprime dans un délicieux franglais. C’est la voix de la mamie du Petit chaperon rouge.

- Mamy il faut que je te laisse maintenant parce que je suis avec le Grand méchant loup. Bredouille mon prisonnier.

- What ? Tu es avec le Big Bad Wolf ? Mais c’est absolutely merveilleux mon chériii ! Il faut que tu me le présentes at all costs ! Organise-moi un rendez-vous avec lui when I come to Pââris la semaine prochaine. Tu le feras n’est-ce pas ?

- Oui Mamy c’est promis, je le ferai. Je vous organiserai une rencontre, promis juré. Gros bisous et ciao. Conclut Fred en me coulissant un regard peu rassuré.

Il faut comprendre qu’il ne soit pas rassuré parce que pendant son bavardage téléphonique je me suis déloqué et je l’attends maintenant, nu comme un ver, vautré sur le canapé avec popol à la verticale. Mon popol à moi est un sacré popol qui vaut le détour. Il suffit de voir le regard halluciné que braque sur moi le Petit chaperon rouge pour comprendre que je ne raconte pas de bobards.

- C’est… c’est… ce n’est pas possible… je ne pourrais jamais… ! Balbutie-t ’il.

- Mais bien sûr que tu pourras mon lapounet joli. Il suffira d’y mettre un peu de bonne volonté. Que je le rassure en retroussant les babines.

Il déglutit mais carre les épaules pour essayer de crâner. Je lui ordonne de nous mettre un peu de musique douce parce je suis un grand sentimental. Comme il a les bras attachés dans le dos il est obligé de se contorsionner pour allumer la chaine Hi-Fi et choisir un morceau de musique. Il ne trouve pas mieux que de nous mettre la musique du film « Midnight express ».

- PARFAIT ! C’est exactement la ritournelle qu’il nous faut pour nous mettre dans l’ambiance ! Que j’approuve.

Je lui ordonne de venir à moi mais en s’avançant il se prend les pieds dans le tapis et tombe direct dans mes bras. Je m’empare aussitôt de sa bouche pour lui rouler un patin cannibale. Entre mes grands bras velus, son corps musclé est chaud, souple et ferme. Je l’étouffe un bon moment en mêlant ma salive à la sienne puis je lui arrache son bermuda rouge avant de le coucher en travers de mes cuisses.

Je passe un bon moment à contempler ses jolis lombaires creusés par l’anxiété mais surtout son petit cul pommé qui frétille sous mes mains impatientes.

- Je pense qu’une bonne petite fessée te fera le plus grand bien ! Que j’annonce d’un ton rieur.

« Petite fessée » est un euphémisme parce que j’ai des mains comme des battoirs et la paume calleuse. En règle générale, je transforme en compote les fessiers les plus durs mais Fred est un « good boy » empli de courage. C’est un plaisir incomparable que de claquer ses petites fesses musculeuses au rythme de « Midnight express » et comme la musique tourne en boucle, je ne vois aucun motif pour m’arrêter. Maintenant ses poignets de la main gauche, je sévis de la main droite.

Ce n’est que lorsque les petits globes mignons sont couleur grenat que je cesse de les gifler à tour de bras. Le Petit chaperon rouge n’a proféré aucune plainte mais quand je plonge mon nez entre ses fesses meurtries pour lécher sa petite rosette proprette, il couine comme un chiot.

Ma longue langue de loup s’insinue impérativement dans l’intimité la plus secrète du beau gosse qui abandonne peu à peu toute résistance. Je le visite ainsi longuement jusqu’à le sentir s’amollir sur mes genoux. Je sens entre mes cuisses son dard durcir comme du bois.

Je le retourne alors comme une crêpe pour lui sucer la queue tout en maintenant ses bras attachés. Je goûte la saveur de sa liqueur précum en mordillant son gland gonflé d’excitation. Arqué sur mes jambes, le beau Fred tente de redresser la tête en contractant ses solides abdos. Rien n’y fait et il doit s’abandonner à ma gourmandise en poussant un grand soupir.

Son braquemart est gros et savoureux et ses couilles douces à mastiquer. Il me supplie de cesser de le vampiriser mais rien ne pourra interrompre mon festin. Pour varier le menu, je mords de temps à autres ses tétons bien fermes entre mes dents et je claque ses abdominaux pour faire résonner son ventre. Le Fred a de l’abattage car il supporte crânement autant sa posture inconfortable que mes « caresses » usantes. C’est un bon petit gars dont la queue vibre maintenant comme un diapason.

- Oh, là… je sens que tu vas cracher dur, mon petit biquet ! Que je ronronne en serrant le grand pénis et en tirant les couilles.

- Ouais… je jouiiis… tu me viiide…aâaâarrgh !!! Me rétorque le Petit chaperon rouge d’une belle voix rauque tout en déchargeant.

Le beau petit voyou est un véritable geyser. Il me balance 1, 2, 3, 4, 5 gros jets de foutre bien épais dans la gueule et sur la poitrine. Je me lèche les babines parce que son sperme est très goûteux.

À peine essoufflé, il redresse la tête au bout d’une minute et m’adresse un petit sourire coquin.

- Vous m’avez presque tout pris, M’sieur l’ange gardien de la route… j’espère que maintenant vous n’allez pas me faire sauter mon permis de conduire ?

- On verra ça plus tard ! Que je réponds évasiment.

Je le redresse et le libère de ses menottes. Je le trouve craquant. À la fois si fort et si vulnérable, assis sur mes genoux. Mais l’heure n’est pas à la sensiblerie. Alors je questionne :

- N’y a-t-il rien à boire dans ta cambuse ? J’ai le gosier sec et j’aimerais bien me désaltérer avant de passer aux choses sérieuses.

- Choses sérieuses ? S’inquiète le beau gosse en se remettant debout pour se diriger vers le bar.

Le Vilain Petit chaperon rouge est un bon garçon. Après m’avoir servi un scotch on the rocks, il attend mon bon vouloir en dansant d’un pied sur l’autre. Je décide de le prendre debout.

Quelle jouissance que de sentir mon monstre se glisser dans son fourreau étroit et tout chaud.

Quel bonheur que d’entendre gueuler le gars musclé quand je l’embroche à fond en le soulevant du sol par de grands coups de reins. Quand on aime on ne compte pas, alors je ne compte pas et ce n’est qu’après que ma proie soit devenue toute molle entre mes bras que je la balance sur le canapé.

- Voilà ! Encore quelques séances comme ça et je consentirai peut-être à ne pas faire sauter ton permis de conduire ! Dis-je d’un ton impérial.

- Merci Monsieur le motard policier… et c’est quand la prochaine séance ? Parvient à gargouiller le Petit chaperon rouge que je suis parvenu à dresser.

Torse bombé et souriant, je remonte la rue d’un pas gaillard. J’ai le Petit chaperon rouge dans la peau et je crois bien qu’il aime beaucoup se faire croquer par moi. Aujourd’hui c’est notre cinquième rendez-vous et j’ai des tisons en place des couilles.

J’ai la surprise de croiser l’objet de mes désirs sur le trottoir. Il semble pressé.

- Où vas-tu Fred, je croyais que nous avions rendez-vous chez toi à 19 heures ?

- Affirmatif mec, mais je vais acheter du champagne pour ma grand-mère qui a déjà sifflé ma réserve.

- Ta grand-mère ?

- Ouais, elle est de passage à Paris et elle est venue me faire un petit coucou. Tiens, prends les clés de l’appartement. Elle t’attend avec impatience, tu verras, elle est très cool. Vas-y, je reviens sans tarder. Me balance le Petit chaperon rouge en me tendant un trousseau de clés.

Devant l’immeuble haussmannien est garée une énorme Lincoln Navigator aux vitres teintées. Je grimpe l’escalier en soupirant. Va falloir que je fasse la causette à la vioque en attendant le retour de Fred. Elle va me bassiner avec ses histoires de petits-enfants débiles mais ce ne sera qu’un mauvais moment à passer parce qu’après, Je pourrais défoncer la rosette du Petit chaperon rouge...

J’entre dans l’appart’ et je me dirige tout droit vers le living.

J’avais tout faux quand je m’imaginais une grand-mère de Petit chaperon rouge comme une vieille dame charmante et rondelette tricotant au coin du feu avec des besicles sur le bout du nez et un châle sur les épaules.

La mamie du Petit chaperon rouge c’est le sosie de Marlène Dietrich sur le retour. Liftée à mort et moulée dans une robe fourreau haute couture, elle est aussi flamboyante qu’impressionnante.

Flûte de champagne à la main, prunelles flottantes et jambes haut croisées, elle me déshabille du regard avec un sourire qui évoque celui du requin des Dents de la mer. Elle a une voix de gorge légèrement rauque qui donne des frissons.

- Aaah, voici le Big Bad Wolf, so glamour… je suis Gladys Toureyde, la grand-mère de Fred. Voici Rodolf mon chauffeur et Buck mon secrétaire. M’annonce-t-elle en désignant de son fume-cigarettes deux grands malabars sagement assis sur le canapé.

Rodolf et Buck ne sont pas des bibelots d’étagères et peuvent certainement déchirer un ancien bottin téléphonique aussi facilement que je déchire une feuille de papier. Je n’aime pas la petite lueur qu’ils ont dans les yeux quand ils me regardent.

Il n’y a pas de préambules et je comprends très vite que je suis tombé dans un piège quand les deux colosses se lèvent pour me saisir par les bras. Je suis du genre costaud mais je ne peux rien faire quand ils m’entraînent dans la chambre pour me jeter sur le lit.

Experts en close combat, les deux gardes du corps de la vioque me déshabillent en un tour de main pour me ligoter en X sur le plumard. En m’étouffant à moitié ils m’obligent à boire au goulot le contenu amer d’un flacon.

Sous l’effet de cet aphrodisiaque nucléaire, Il faut moins de trois minutes pour que ma bite soit plus raide qu’un manche de pioche. Comme je gueule comme un putois, je me retrouve avec un bâillon boule et des pinces crocodiles qui me font saigner les tétons. Pour parachever leur œuvre, les deux dinosaures m'enfilent un plug qui doit avoir les dimensions d’un Zeppelin.

Prodigieux miracle de la chirurgie esthétique, Gladys apparaît seulement vêtue de ses stilettos Louboutin de 12 cm et de ses diamants de chez Cartier. Elle s’avance, en roulant des hanches, vers le lit. Le regard cannibale qu’elle porte sur mon obélisque n’annonce rien de bon pour mon proche avenir.

Cavalière émérite, elle m’enfourche pour s’empaler sur ma queue. J’ai déjà rencontré des femmes couguars mais cette fois-ci j’ai affaire à leur impératrice ! Cette pin-up octogénaire a un vagin qui fonctionne comme un aspirateur.

- You are fantastic Big Bad Wolf. I want it again and again!!! Rugit-t-elle en accélérant sans cesse la cadence.

Je ne sais pas combien d’orgasmes ma violeuse a obtenu mais je peux vous garantir qu’elle en a pris pour son argent ! Je n’étais pas très frais quand elle m’a abandonné à ses deux sbires…

- Goodbye Big Bad Wolf, je vous laisse un petit moment avec Rodolf et Buck. Je vais rejoindre mon petit Fred dans la voiture. We have so much to say to each other. Me dit-elle en guise d’adieu.

Après le départ de la diabolique bisaïeule, les deux malabars ne tardent pas à se foutre à poil pour me rejoindre sur le lit. Ils me détachent les chevilles pour remonter mes jambes très haut en les écartant. Rodolf enfourche mon torse à rebours pour me coller son cul poilu sur le nez.

D’une voix gutturale il m’ordonne de lui lécher son trou poilu. Il maintient solidement mes chevilles tandis que son comparse m’enfile après avoir arraché le plug qui m’écartelait les sphincters. Jusqu’à ce jour je ne savais pas qu’un autocar pouvait entrer dans le cul d’un mec pour lui écraser si méchamment la prostate…

Pour moi c’est la défonce totale ! Pour parachever mon bien-être, la grosse brute n’hésite pas à me balancer des coups de poings dans les abdos. Certainement pour m’assouplir les boyaux…

Mon bourreau-baiseur est un long-à-jouir et ce n’est qu’au bout d’une éternité qu’il m’ébouillante les tripes d’une énorme cargaison de foutre. Apparemment satisfait il passe la main à son collègue.

Et là, c’est encore pire !!!

J’ai dû passer out parce que quand j’ouvre les yeux je découvre le gentil sourire du Petit chaperon rouge penché sur moi.

- Que tu es beau mon Grand méchant loup après une bonne séance de dressage. Roucoule-t-il en suçotant mes tétons ensanglantés.

- Libère moi, fumier ! Tu m’as livré à ta tordue de grand-mère, c’est suffisant pour aujourd’hui !!! Que je croasse, furibard.

- Oh que non, mon Éric chéri. J’ai ma petite revanche à prendre avant que nous soyons quittes. Me répond-t-il.

En fait le Vilain Petit chaperon rouge fut très gentil. Il me couvrit de petits bisous et caressa mes contusions en murmurant des mots tendres qui me firent chavirer. J’ignore encore s’il est parvenu à apprivoiser le Grand méchant loup que je suis mais je sais que quand il s’est endormi sur ma poitrine il ronronnait comme un chaton et que j’étais heureux.

Romain

En avant-première :


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