Premier épisode
Chapitre 2
Deux jours après mon entretien mouvementé chez D-com, la célèbre agence de communication, je suis recontacté par la secrétaire de direction.
Contre toute attente, elle me propose un nouveau rendez-vous.
- Monsieur le directeur a particulièrement apprécié votre prestation et voudrait vous présenter à notre directeur des opérations.
Je reste sans voix. Nous prenons rendez-vous pour le lendemain en fin d’après-midi. Vu l’heure du rendez-vous je me dis que quelque chose se trame.
Le lendemain, avant de partir, je prends rapidement une douche, rase les quelques poils superflus qui gênent ma queue et enfile un costume cintré, voire même très moulant au niveau des jambes et des fesses. Je glisse aussi quelques préservatifs dans ma poche.
En arrivant au siège de la société je suis immédiatement accueilli par la secrétaire du DG qui me conduit dans une grande salle de réunion sans fenêtres. Ca sent le traquenard.
- Vous souhaitez un café ?
- Rien merci.
- Monsieur Martin ne va pas tarder. Il est déjà tard, il n’a plus grand monde à voir.
J’attends quelques minutes. La porte s’ouvre et entre le fameux monsieur Martin, que je revois encore en chienne sur son bureau.
- Ah vous êtes venu. C’est bien. Je voudrais vous présenter à Tom, notre directeur des opérations.
Tom entre à ce moment précis dans la pièce et ferme la porte derrière lui. Il a une petite trentaine d’année, les cheveux clairs, les yeux bleus. Il porte un jean, des baskets et son t-shirt met en valeur ses pectoraux probablement entretenus dans une salle de sport.
- Bonjour.
- Tom, je voudrais que vous jugiez les compétences de monsieur.
- Maintenant ? fais Tom un peu surpris.
- Maintenant, répond sèchement le directeur.
Tom s’approche de moi.
- Levez-vous.
Je me lève. Il est légèrement plus grand que moi, 1m85 environ. Il se dégage de lui une présence très sexuelle. Difficile de rester calme devant ce mec au visage fin, aux lèvres pulpeuses et au regard profond. Il s’approche de moi et enlève ma veste qu’il pose délicatement sur le dossier d’une chaise. Il me colle à nouveau et défait un à un les boutons de ma chemise. Je sens son souffle chaud sur mon cou. Je suis dans un état bizarre entre la fébrilité et l’excitation. Sous le regard amusé du directeur, ma chemise rejoint ma veste sur la chaise. A peine torse nu, Tom enlève déjà la boucle de ma ceinture et fait sauter le bouton de mon pantalon, qui tombe à mes chevilles. Je suis en slip devant eux, le pantalon à terre entre les jambes. Je ne sais pas ce qu’il va m’arriver mais je me laisse faire.
- Mmmm il n’est pas trop mal, fait Tom.
Je le regarde sans rien dire. Il pose ses mains sur le bas de mes hanches de chaque côté de mon fin slip bleu marine et le fait glisser jusqu’à mi cuisses. Je suis à poil devant eux, une demie molle. Je me sens un peu honteux. Mr Martin l’a remarqué et en profite pour sortir son portable et faire une photo. Tom commence à inspecter ma queue. Il la fait glisser entre ses doigts, la tire un peu pour l’allonger, la décalotte pour faire apparaître mon gland. Je commence à bander. Il continue son petit jeu, me soupèse les couilles et les fait glisser aussi l’une après l’autre entre ses doigts. Je bande dur. Il sort alors un mètre de couturière et commence à mesure ma queue, longueur, largeur, circonférence, taille du gland, taille des couilles. Il reporte chaque mesure dans un petit carnet.
- Mouais bof, c’est pas notre meilleur candidat…
Je commence à comprendre. Le patron se venge de la petite humiliation de l’avant-veille dans son bureau. Il était pourtant demandeur !
- Continue l’examen Tom.
- Bien Monsieur.
Tom se retourne vers moi.
- Enlevez vos chaussures et les vêtements qui vous gênent et montez sur la table.
Je m’exécute et me retrouve complètement nu, la bite raide, assis sur la table de réunion.
- Allongez-vous sur le ventre et écartez les jambes.
A peine allongé, il prend mes jambes et remonte mes genoux sur la table pour bien m’écarter les fesses. Je me retrouve dans la position de bonne salope que j’avais imposée à son patron deux jours plus tôt. Il pose ses mains sur mes deux globes bien lisses et les écarte à m’en faire mal.
- Venez voir ça Monsieur.
Le directeur arrive derrière moi. Il prend une nouvelle photo.
- Il me semble très serré ce petit cul, vierge même.
C’est vrai que j’ai toujours eu le cul serré. Je préfère d’ailleurs les bites fines aux gros calibres. Je commence à être un peu inquiet pour la suite.
- Poursuivez Tom.
- Bien Monsieur.
J’entends Tom fouiller dans un sac. Il attrape mes poignets, les colle à mon dos et me passe une paire de menottes.
- Hey mais vous faites quoi ?
- Faites le taire Tom.
Tom sort un bâillon et me le colle dans la bouche. Je suis nu les jambes écartées sur une table de réunion, les mains menottées, la bouche bâillonnée et je sens un des gros doigts de Tom en train d’étaler du gel sur mon trou. J’ai à peine le temps de comprendre ce qui m’arrive, que Tom introduit un gode ou un plug anal dans mon cul. Je crie. Le bâillon étouffe le son. Je me tortille sur la table, mais Tom attrape mes jambes et les maintient fermement. Pendant ce temps le patron fait une nouvelle photo. Il me met son portable devant le visage. Je me vois allongé sur le ventre, les poignets entravés avec un plug queue de chien qui sort de mes fesses.
- Mignon hein ? Tom ?
- Oui Monsieur.
- Vous avez envie de l’essayer ?
- Pourquoi pas Monsieur.
Le directeur va s’installer de l’autre côté de la table dans un épais fauteuil de direction. Il est face à moi et me regarde dans les yeux. Derrière moi, Tom a sorti sa queue. Vu l’œil amusé du DG, j’imagine qu’il s’agit d’un gros morceau. Tom retire le plug de mon cul et le remplace immédiatement par sa grosse queue. Il me prend d’un coup, sans préparation et sans ménagement. J’ai le souffle coupé, j’ai l’impression d’être transpercé. La douleur est insoutenable. Mes cris sont absorbés par le bâillon. Je sens des larmes couler le long de mes joues. Le regard de Mr Martin s’illumine. Il prend du plaisir à me voir souffrir. Il filme toute la scène. Pendant ce temps Tom a entamé de longs mouvements et me déchire les entrailles avec sa bite énorme. Elle doit être bien longue aussi, vu l’amplitude de ses mouvements. Ca ne s’arrête jamais. Je suis son jouet. Je suis tétanisé. J’essaye de me détendre un peu pour en profiter. Mais à chaque coup de reins de Tom, j’ai le souffle coupé. Le patron s’est levé de son fauteuil. Toujours face à moi, il baisse son pantalon et son caleçon et se masturbe en regardant Tom me mettre une dose. Au bout d’une dizaine de minutes à ce rythme, je suis comme anesthésié, je ne sens presque plus la queue de Tom. La mienne en revanche s’est redressée et me fait mal. Comme je ne crie plus, le patron est monté sur la table et s’est mis à genoux devant moi. Il retire mon bâillon d’un geste ferme et enfonce sa queue dans ma bouche. Il suit dans ma bouche le même mouvement que Tom dans mon cul. Sa queue tape mon palais. Il la pousse dans ma gorge à chaque fois un peu plus. J’ai envie de vomir. Mais j’essaye de leur donner du plaisir. Je crois qu’ils m’ont dressé. Je ne pense plus qu’à les satisfaire, à leur donner le meilleur de moi-même. J’accompagne les mouvements de Tom en relevant le bassin et je fais en sorte de caresser la queue du beau patron avec ma langue. A ce petit jeu c’est le DG, Mr Martin, qui vient en premier. Il me tapisse la bouche de son foutre épais et gluant. J’ai l’impression qu’il ne s’arrête plus de jouir. Il a le regard vide, la bouche à moitié ouverte.
- Nettoie ma queue, je ne veux plus voir une goutte.
Au même moment Tom m’a attrapé les hanches et décharge sa semence dans mes entrailles. Je sens la puissance de ses jets au fond de moi. Je jouis du cul.
- Tom vous donnerez votre bite à monsieur pour qu’il vous la nettoie.
Tom ne se fait pas prier. A peine sorti de mes fesses, il me met sa bite dans la bouche pour que je lui nettoie.
Fiers d’eux, les deux hommes remontent leur pantalon. Tom défait les menottes, il prend son sac, et suit son patron vers la porte.
Je me retrouve seul dans la pièce. Du sperme coule le long de mes fesses et de mes jambes. J’en ai aussi autour de la bouche. Mon cul me fait mal. Je ne trouve plus mes vêtements. Ah l’enculé de Tom, il les a emportés. J’entends du bruit dans le couloir. C’est lui ? Je me retourne, la porte s’ouvre. L’homme de ménage entre dans la pièce. En me voyant, il n’a pas l’air surpris. Il referme la porte et donne un coup de clé. Je ne suis pas encore sorti d’affaire…
Nables
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