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18 Mars

Grosse queue
"Plan à 3"
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HISTOIRE

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Mon Petit Soumis

Salut à tous. Il s’agit de ma première histoire. Ce récit est une fiction et j’espère que ça va vous plaire ;)

“Tu étais bizarre. Tu avais le regard fixé vers les autres, écoutant attentivement leurs conversations sans dire un mot. Je jouais avec mes potes à des jeux dangereux, et je me suis fait mal en tombant. Là, t’es directement venu m’aider, presque inquiet. On s’est parlé puis t’es venu chez moi. On avait l’air de s’apprécier et c’était drôle. Tu étais innocent, y avait de la tendresse dans ton regard avec une naïveté extrême.

T’as fini un jour par me dire, pas trop longtemps après, que tu m’observais depuis un moment, qu’en fait tu n’observais que moi. Tu m’as dit qu’à tes yeux j’étais le plus beau mec. J’étais flatté mais pas trop, car c’est vrai que je faisais souvent le beau. Meufs et mecs me désiraient mais ils avaient peur, et toi t’as osé faire le pas. Tout le monde disait que j’étais un mauvais garçon, du moins pour sortir avec. T’as pas cherché à comprendre ni à les écouter, finissant par avouer tes sentiments.

Et là j’y ai cru, ça m’as fait rire car j’étais pas étonné. J’ai voulu donc jouer un peu, te faisant croire que c’était réciproque, évitant en même temps de trop m’afficher avec toi car je préférais la discrétion. Je t’ai fait croire à beaucoup de choses, et tu t’y es accroché, tellement que tu ne voyais plus ton avenir sans moi. Tu étais heureux, tu ne parlais à tout le monde que de moi car je t’ai obnubilé.

Tout ça n’a duré qu’un temps, car j’ai inventé des prétextes à la con pour te dire que j’étais pas prêt à être en couple et à assumer d’être avec un gars. En réalité, je n’éprouvais rien pour toi, t’étais juste un passe-temps, un bouche-trou, mais je ne te l’ai pas dit tout de suite. T’en a pleuré amèrement, t’avais du mal à continuer ta vie sainement. Tu mangeais moins, t’avais souvent mal au ventre, tu dormais peu et devins incapable de te concentrer sur tes études. On m’a rapporté que tu faisais une dépression, mais j’en avais rien à foutre, jusqu’à ce qu’un jour tu viennes toquer chez moi. Là c’était le coup de grâce, car je t’ai dit de la pire des manières à quel point tu n’avais aucune valeur pour moi, et que je n'avais aucun regret vis-à-vis de ce que j’ai fait. Et comme si jouer avec tes sentiments ne me suffisait pas, mon sourire à lui tout seul, qui t’avait fait tombé sous mon charme, t’as anéanti le moral. Tu as tourné le dos lentement, défait, rentrant chez toi à petits pas. Le lendemain, c’était l’hôpital pour toi à cause de crises à répétition en plus de ton hygiène de vie qui se dégradait.

Quand j’ai appris ça, j’avais presque honte de moi, mais voulais continuer à faire le malin et comme si de rien n’était. Les gens étaient scandalisés par mon sang froid, et par le fait qu’aucun appel ne soit sorti de ma part pour prendre de tes nouvelles. Pas un texto, pas un message, même pas j’ai cherché à demander de tes nouvelles. Tes amis étaient furieux mais n’ont pas violemment réagit. Evidemment car je faisais peur à tout le monde.

Pourtant tu sais, je suis un gars simple, plutôt cool avec tout le monde. J’étais aimé de tous, et à cause de toi tout le monde me déteste. Je t’en ai voulu, je te l’ai même reproché à maintes reprises, et à chaque fois tu étais surpris à quel point j’étais vicieux. Le temps est passé, et les infos de l’entourage m’ont dit que ton état était tellement grave qu’il te fallait un séjour à la clinique. Un séjour qui a duré longtemps.

Pendant ce temps, je continuais ma vie tranquille. Je faisais le con avec mes potes, mais plus personne voulait sortir avec moi. Il restait que celles et ceux qui voulaient juste baiser avec moi car, il faut l’avouer, je suis un bon coup. Pas étonnant que je sois le mec le plus beau à tes yeux, car je le suis déjà pour beaucoup d’autres. Seulement, quand c’était toi qui me le disait, c’était différent. Il y avait de l’amour en plus du désir. Mais tout cela n’est qu’illusion maintenant, il faut revenir à la réalité. Je t’ai mis plus bas que terre et putain, tu mets beaucoup de temps à t’en remettre !

Quand t’es sorti par contre, ça m’a fait froid dans le dos, car t’es venu immédiatement me faire face. ça avait l’air d’aller mieux pour toi, car t’as réussi à me dire des choses troublantes, du genre que t’es un gars fragilisé par des problèmes de santé et sociaux. ça m’a fait chaud au coeur de savoir que t’as jamais cessé de penser à moi, et que tu me faisais encore confiance malgré les saloperies que je t’ai faites. Je me suis trahi à cet instant, et ça m’a brisé le coeur de savoir que je t’ai blessé probablement à vie. Mais je ne pouvais plus rien y faire pour y remédier. Moi aussi j’ai des problèmes, et j’ai besoin de toi comme défouloir. Je t’ai avoué avoir des pulsions sexuelles incontrôlables, et que ça me rendait nerveux la plupart du temps. Je voulais y trouver une solution pour que ça impacte moins ma vie sociale. Pour cette raison, quand t’es revenu me voir, je t’ai lancé un ultimatum. Soit tu assouvis tous mes désirs et on peut être ensemble, soit chacun prend son chemin. Je croyais pouvoir réparer mes erreurs de cette manière, mais j’avais tort, car j’ai compris que tu étais toujours amoureux de moi, et le pire, c’est que j’en profite pour parvenir à mes fins…

Ainsi donc tu commences à te laisser faire, car t’as pas le choix. Une lueur inespérée est apparue pour que tu puisses de nouveau être avec moi et tu ne veux pas la perdre. T’as commencé à comprendre mes envies de domination, et à suivre ton rôle de petit soumis. C’est nouveau pour toi, mais simple à la fois. Tu sais maintenant que j’ai souvent les couilles pleines, qu’il faut les vider. Tu me suces la queue quand je veux, où je veux, et c’est trop bon. J’aime te voir à genoux en train de prendre mon foutre dans ta gueule, et te voir tout le temps à poil, même quand il fait froid. Ton trou devient un trou à jus. Parfois sans dire un mot et d’un simple regard, tu te mets à 4 pattes et le mâle qui est en moi te baise sauvagement. ça te fait mal mais tu t’y habitues, et sans la capote, c’est pour déverser mon sperme dans ton petit cul devenu un cul de salope. Tu commences étonnamment à aimer ce que tu subis, à y prendre du plaisir, ce qui m’excite grave.

“Suce-moi à fond salope, dépêche-toi”, “oui maître”, des phrases de notre quotidien. Je kiffe voir ta silhouette fragile, frigorifiée, je jouis à fond de l’emprise que j’ai sur toi.

- T’as un bon cul de salope maintenant.

- Merci maître.

- Je suis le mâle qui t’a fécondé. Reste pas planté là, viens me remercier espèce de bâtard !

- Mais maître…

- Ta gueule et prosterne-toi.

Et puis tu te baisses, la tête sur le sol, et tu m’embrasses les pieds pour vénérer l’être supérieur que je suis.

- A partir de maintenant, tu vas servir de repose-pied aussi.

- Oui maître.

Tu t’allonges sur le dos par terre, moi assis sur mon canapé et plus détendu, en train de jouer à la console, mes pieds sur ton ventre puis sur ta tête. Tu as du mal avec cette posture plus écrasante, mais tu te laisses faire, et finis même par apprécier l’odeur de mes chaussettes puantes. Tu restes comme ça pendant des heures sans bouger, bien à ta place sous les pieds de ton maître, et tu aimes ça. Puis sous mes ordres, tu caresses ma bite à travers mon jeans serré, t'enlèves le bouton délicatement, tu lèches et tu gobes en entier. Tu suces de mieux en mieux et j’adore ça. T’es un bon soumis, ou plutôt, j’ai fait de toi un bon soumis, car sans moi, t’es un moins que rien. Tu fais bien attention à avaler jusqu’à la dernière goutte, sinon c’est la punition. Suivant mon mood. La première, tu te mets à genoux face au coin du mur, et c’est le fouet. Ou bien la deuxième, je te menotte les mains et t’enferme dans la cage, sans boire ni manger ni pisser, et parfois je m’en vais pour te libérer que le lendemain.

Le comble dans tout cela est que tu consentis à tout puisque maintenant, bah t’es qu’un esclave dispo pour me servir. T’as arrêté tes études de toute façon, et t’as donc perdu ton appart. Depuis que tu vis chez moi tu parles plus à tes amis, car de toute façon ils veulent plus te voir car t’es revenu vers moi après tout ce que je t’ai fait. Ahah ! C’est trop marrant. Je t’ai manipulé, jeté, humilié et mis plus bas que terre pour qu’au final tu acceptes d’être mon esclave sexuel. Comme quoi, un chien revient toujours aux pieds de son maître. Et toi, tu étais mon chien, non, pire ! Mon bâtard. J’en rigole tu sais, à penser que tu n’as plus de vie à cause de moi et que t’es devenu une sous-merde, bon qu’à vider les couilles. C’est marrant de voir que des mecs comme toi ne font que subir, et moi je mène ma vie et poursuit mes projets de vie en toute impunité. Après tout, punir qui et pourquoi ? Je ne fais rien de mal, tu as accepté de rentrer dans mon jeu. On dit que je te fais du chantage, mais ce n’est que psychologie. J’aime pas les psychologues, contrairement à toi. Tu sais que j’ai toujours été un rebelle depuis le lycée, à faire des conneries, à prendre des risques, à jouer avec le feu surtout quand il s’agit de sentiments. Mais c’est là en train de devenir mon point faible, car je commence à avoir un faible pour toi. Le fait que tu assouvisses mes désirs m’a fait développer de réels sentiments pour toi. Mais un maître ne dévoile jamais ses points faibles, il connait pas les sentiments. Alors je te cache tout ça, et on continue de plus belle.

Quand je rentre et enlève mes baskets, tu prends un malin plaisir à mettre tes narines dedans, puis à les décrasser avec ta langue. T’es devenu un bon kiffeur toi, mes mauvaises odeurs te rendent ivre. Tu adores mon corps en entier, évidemment car je suis parfait à tes yeux. Ton regard de soumis quand j’écarte les jambes pour que tu me suces, tes gémissements me demandant “encore, maître, oh oui j’aime ça !”, ta docilité quand tu me lèches les pieds comme l’esclave que tu es, ta passivité quand j’applique l’une des deux punitions, tout ça me rend fou. Pour cela je décide de te récompenser en t’aspergeant de ma boisson dorée. Je te prends de force vers la salle de bain et je te pisse dessus comme une merde. Mais là tu aimes beaucoup moins, et quand je te crache dessus et te mets une gifle en te disant “c’est bien sale pute”, ta conscience se réveille soudain et te fait te rendre compte de plein de choses. Je t’autorise à te doucher comme il faut, et pendant que l’eau chaude, que tu n’as pas touché depuis une semaine, coule en jet puissant sur ton corps affaibli par la malnutrition, tu commences à pleurer. Les larmes coulent telles que ta douleur est très profonde. Or, je t’entends pleurer à travers la porte, et au lieu de t’insulter et te gifler comme je le fais d’habitude quand je te surprends en train de pleurer, je me désape et te rejoins sous la douche, tout nu.

T’es abasourdi. Tu ne t’es jamais vu à mon niveau jusque là, car on ne fait pratiquement jamais rien ensemble. Maintenant, l’eau coule sur nous deux, et j’ai trop chaud au coeur pour ne rien dire.

- Mais… qu’est-ce que tu fais, maître ?

- Tu vas avoir du mal à me croire, mais je t’aime.

- Mais je…

- Ferme ta gueule. Je te veux, à mes pieds, mais pas qu’en esclave, en amoureux aussi.

- Toi, amoureux ? Vraiment ?

- Tu es toujours aussi naïf, mais cette fois je ne mens pas. J’ai voulu jouer à la domination et c’était plus fort que moi, c’était un besoin naturel. Le jeu est terminé, et tu as gagné. Je cède à mes sentiments pour toi. Bravo, mon petit soumis ! Tu as été meilleur que ton maître à tous les niveaux. Je me voyais comme un dieu alors qu’en fait c’était moi l’ordure. Je sais que tu mérites bien mieux que moi. Pour cela dès demain je te laisse rentrer chez tes parents et recommencer tes projets. Je suis vraiment désolé pour tout ce que je t’ai fait. J’ai été toxique pour toi et il faut que ça s’arrête.

Il reste silencieux un petit moment avant de me répondre.

- Tu sais que je t’ai aimé depuis le début. Et je crois que je serai toujours amoureux de toi. Tu as raison dans tout ce que tu dis. Il faut que je parte et que je recommence à zéro. Mais je me suis habitué à toi maintenant, tellement que je n’ai plus vraiment envie de partir. Il faut que j’y réfléchisse jusqu’à demain.

- Demain est un autre jour. T’es un mec en or. Malgré toute la misère que je t’ai fait pendant des années, t’es revenu et t’as accepté d’assouvir tous mes désirs. T’as subi ma colère, ma saleté et mon mauvais caractère juste pour rester à mes côtés. Si ça c’est pas une preuve d’amour… En effet, je ne suis absolument rien par rapport à ce que tu mérites. Mais j’ai quand-même une dernière demande...

Je commence à l’embrasser fougueusement, passionnément. Nos corps l’un contre l’autre, on se caresse sensuellement, je l’embrasse dans le cou. L’excitation est plus forte que jamais. Je lui soulève les jambes et le pénètre doucement, puis je lui fais des va et viens, ses bras autour de mon cou. On s’embrasse en continu. Hmm, c’est tellement intense ! Je gicle en lui, simultanément il se branle pour jouir sur mon torse, qu’il lèche et caresse après être descendu. L’eau chaude coulant toujours sur nous deux, je le prends dans mes bras avec tellement de tendresse qu’il en sèche ses larmes.

Je t’aime !

Moi aussi je t’aime !

Il va dormir contre moi, dans mon lit, pour la première fois, alors qu’il a l’habitude de dormir par terre et de se lever uniquement quand je me lève pour essuyer mes pieds sur lui.

Le lendemain, je me réveille, mais il n’est plus chez moi. Il est sorti tôt en prenant le peu d’affaires qu’il avait…”

Merci de m’avoir lu, et j’espère que vous avez aimé. N’hésitez pas à m’envoyer vos commentaires et si vous voulez une suite à l’histoire :)

FireStorm

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