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4 | Education
Ce weekend là j’ai reçu des informations quand nous prenions des poses. Il est mieux que je vous raconte un peu de ce qu’est le Mât Noir. Cette communauté SM a poussé la relation de domination et soumission dans une forme de société. Le Mât Noir était un endroit, pas de doute. Comment cette société pouvait être aussi grande ? Bonne question mais je le saurai seulement si je rentre dans la communauté. Pour intégrer la communauté et en voir les il faut y être éduqué dans ce sens. C’était le but de ce weekend. Et celui-ci était bien éprouvant.
J’ai passé les épreuves. Je m’attendais à finir en collier et laisse à trainer partout dans son appart. Je m’étais préparé psychologiquement à être malmené, giflé. Mais je n’étais pas prêt pour ce qui allait m’arriver. Quand il m’a ouvert, il était en short rouge, pieds nus et sur le torse un débardeur gris clair. Les mauvais souvenirs me reviennent à l’esprit. Il casse cette suspension avec sa voix.
« Tu as fait bonne route ? »
Cette touche de gentillesse me laisse muet quelques secondes. Je bégaye que oui. Il sourit.
« Entre »
Il ferme la porte derrière moi et après une série de couloirs nous arrive au salon. Un canapé et une table basse, calés contre un mur fait face à la longueur de la pièce. Il avait mis des chaises le long du mur. A l’autre extrémité du salon, il y avait une grande chaise massive.
« Tiens de l’eau.
- Merci ça va j’ai pas soif.
- Je t’ai pas demandé ton avis. Tu bois. »
Je m’exécute.
« Tu es ici pour le weekend. Sache que tu es maintenant mon soumis. Et comme le veut la règle du Mât, je me dois de te protéger. Oublie pas ça. »
C’était rassurant, je dois bien avouer. Je craignais cette possibilité que tout tourne mal, qu’il me kidnappe réellement. Il voit que je me détends.
« On va commencer. Mets ce bandeau sur te yeux et enlève tes vêtements »
J’obéis à l’ordre et je me retrouve nu et incapable de voir. Il me fait assoir sur la grande chaise et me sangles les poignets, les chevilles et le cou. Je ne peux plus bouger. Il me retire le bandeau et m’enfile une cagoule avec les yeux ouverts. Je le vois partir sur le canapé, il m’ignore et est accaparé par son portable. Que fait-il ? Je l’imagine appeler d’autres actifs pour s’occuper de moi. Après quelques dizaines de minutes, on sonne à la porte et deux hommes rentrent dans mon champ de vision. Deux minets châtains en jockstrap suivent mon formateur et se mettent à genoux devant lui. Il continue à regarder son téléphone tout en posant son pied sur la table. Un des gars commence à lui lécher le pied en partant des orteils. Kan continue à les ignorer. L’autre mec qui était resté immobile s’approche aussi du pied mais mon formateur s’arrête, lui tire les cheveux en arrière et le gifle.
L’autre ne s’arrête pas. Au contraire il a l’air d’aimer. Il s’applique d’autant plus. L’autre revient à genoux. Puis Kan descend son pied par terre et le soumis suit le mouvement pour continuer à lécher. Le formateur saisit la tête du second et la dirige vers son short. Très vite sa queue sort et finit dans la bouche du passif.
Kan me regarde à présent tout en se faisant servir. Je bande comme pas possible et ça l’amuse on dirait. Mais il continue et se charge des deux soumis. J’entends les fessées beaucoup plus distinctement mais ça ne les empêche pas de traiter leur maître. Celui-ci saisit un sac près de lui qui doit contenir quelques jouets.
Il en sort un bâillon qu’il tend à un des deux hommes qui se lève. Le beau blond marche vers moi. Devant moi, il m’observe un instant et souris. Je lui rends le sourire mais me gifle immédiatement avant de me passer le bâillon. Même si je suis surpris je ne résiste pas. Il le serre bien. Il repart sucer son maître et toujours dans l’esprit que je n’existe plus ils décident alors de partir dans la chambre. Je n’entends pas grand-chose pendant plusieurs minutes. Mais rapidement ce sont de bonnes fessées et pas de doute des claquements de couilles contre un cul. J’étais jaloux. Ils s’amusent encore un peu et finissent par repartir. Je ne peux pas me retourner mais j’entends la porte se refermer après leur passage.
Il revient dans le salon. Il me regarde en fumant dans l’appartement.
« Le spectacle t’a plus petite pute ? »
Je tente d’émettre un son et il ricane en me voyant baver.
« Aller je vais te nourrir un peu. »
Il m’enlève le bâillon, je détends mes mâchoires tandis qu’il m’approche un verre rempli de jus. Sans doute sa manière de me marquer en me faisant boire son jus. On en avait parlé avant. Il était sous prep, et avait son bilan à jour. Je devais en faire de même pour venir chez lui.
Il m’approche le verre et j’en bois le contenu.
« C’est bon ?
- Ouais ton sperme est délicieux.
- C’est pas le mien. C’est celui des deux passifs que je viens de sodomiser. »
Encore une fois je ne m’y attendais pas et je prenais ça comme une claque.
« Mon sperme faut le mériter. Pour le moment je te remets là où tu dois te sentir. Tellement bas que tu peux juste avoir le jus de mes passifs habituels. »
Il me crache à la gueule.
« C’est bien tu comprends qu’il faut que tu fermes ta gueule. Je te dirais quand tu auras le droit de parler. »
Il me met une laisse et me détache de la chaise pour me mettre à quatre pattes. Il m’enfile sa queue dans la bouche. Très vite je n’ai plus le contrôle et il enfonce sa queue en profondeur. Sa salive est bien épaisse et je déglutis par moment. Il me garde à terre mais récupère l’épais fluide pour me lubrifier le cul. Quand il estime en avoir assez, il me retourne et m’enfile. Il ne me laisse aucun répit. Après cette période sur la chaise, mes muscles ont du mal à s’habituer.
Même si ses coups sont francs, son coup de rein est bon, il sait y aller progressivement. Après une bonne dizaine de minute je gémis de plus en plus de douleur. Il sort, sans avoir juté. Il accroche la laisse à la chaise.
« Trouve une position confortable et tu réclames quand tu seras affamé. »
Il part sur le canapé et j’entends un bruit de porno sorti de son portable. Quelques minutes me suffisent.
« Je veux ta queue. »
Il vient vers moi et me met deux gifles.
« On va t’apprendre la politesse déjà. Ça commence par le vouvoiement.
- Je veux votre queue. »
Une gifle à nouveau.
« Je veux votre queue s’il vous plait.
- Il manque encore quelque chose.
- Je veux votre queue maître. »
En guise de réponse j’ai cette fois le droit à son gland. Il vient faire quelques allers-retours et quand j’ai du mal il me frappe avec tout son frein sur la joue. Kan me retourne et rentre en moi. Moins de lub cette fois mais le premier de passage a tracé la voie. Je tiens une dizaine de minutes et je souffle à nouveau. Je lui fais signe d’arrêter. Je n’étais pas habitué à être si passif. Je le comprends maintenant et je me rappelle que tout ceci est encore récent pour moi.
Il part à nouveau sur le canapé sans rien dire, j’ai l’impression de le décevoir : je ne suis pas aussi bon que les deux autres passifs. Mais je veux progresser. Mon cul ne me fait plus mal même je sens la chaleur de son passage. Je le réclame à nouveau. Il ne bouge pas. Je le supplie plusieurs fois et lui lève le visage vers moi. Il sourit.
« Tu as vraiment l’air en manque petite chienne. J’espère que tu vas tenir plus longtemps. »
Et cette fois j’ai tenu. Je suçais avec l’envie de mettre du lubrifiant sur sa queue. Quand cette dernière rentre en moi, j’adore la sensation.je pouvais encaisser plus je le sentais. En effet, au bout d’une trentaine de minutes et plusieurs positions sur la chaise, il juta en moi.
« C’est bien chienne. Je vais nous commander des pizzas. »
Je la mange par terre évidemment. Il m’autorise à poser quelques questions. Celles-ci sont évidentes.
« Tu veux savoir ce que c’est vraiment et où c’est ? C’est ce que tu as vécu ce soir, c’est une progression dans la connaissance du corps. Ça passe évidemment par de la soumission pour pouvoir abandonner aussi sa personne et se donner entièrement. C’est un peu partout mais il y a des appartements spécifiques.
- Comme celui-là ?
- Non ici c’est chez un pote. Il y a des appartements laissés par l’organisation, qu’ils ont construits petit à petit. Tout le matos dedans. Si tu es suffisamment bon durant ce weekend et les prochaines phases d’apprentissages alors je t’emmènerai.
- Donc c’est pas un endroit précis ?
- Parfois il y a des étages entiers d’immeubles. Plus facile pour insonoriser. Mais rarement plus. Faut surtout être discret.
- Et si demain matin je décide de tout balancer ça ?
- A qui ? Et puis tu as vu quoi ? Tu t’es fait baiser dans un appart par un mec pour le moment c’est tout. On est pas une secte. C’est aussi pour ça qu’on te fait passer cet apprentissage. Pour que tu comprennes ce qu’on fait. »
Il vient de finir sa pizza.
« Aller, viens ici me sucer maintenant. »
Je n’ai pas fini mais j’obéis. Il me déglingue à nouveau. On baise des heures par alternance. Je fatigue et il me met un tapis épais pendant qu’il file dans la chambre. Il reviendra pendant la nuit pour se soulager deux fois en me réveillant. Même si je commençais à m’habituer et à apprécier je me demandais bien ce que me réservait le lendemain.
LuK
