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Chapitre 4 | Crac ! fait le caleçon
Alors les garçons se dirigent vers le séjour. Ils ont tous remis un boxer... quand même !
Quand ils arrivent, les papas ont commencé leur partie de cartes. Ils ont tous enlevé leurs chaussures, leur veston et leur pantalon. Il reste quelques chemises blanches mais ils sont tous en slip. Ils sont tous très beaux, avec leur côté "jeunes cadres dynamiques". Ils ont le sourire hétéro, franc, et le rire bruyant. Ils regardent droit, ils écartent les jambes en manspreading, ils rigolent, ils n'ont pas peur de montrer leur bite moulée dans leur slip... sauf Jacques-Hulles, qui a dit qu'il n'enleverait pas sa culotte, mais qui n'a pas réussi à garder son pantalon ni sa chemise. Seul son caleçon en toile blanche, trop large pour lui, lui cache vaguement le sexe. On aperçoit un peu ses couilles. Hanüs sourit, il entrevoit les couilles de son père pour la première fois : grosses, plissées, elles sembles douces et reposées, il trouve ça beau.
- Coucou papa !
- Coucou mon chéri
Mais depuis que les garçons sont arrivés, Jacques-Hulles n'a d'yeux que pour Ange. Tout à l'heure il a littéralement craqué pour le jeune homme à l'anus blond. Ange le sait. Il sait aussi qu'il va devoir lui ôter son caleçon blanc, c'est son gage et ça ne va pas être facile... mais c'est assez excitant.
Ange, s'assoit face à lui, jambes ouvertes, et entame la conversation de manière plutôt directe :
- Hé, Jacques-Hulles ! Il paraît que vous ne voulez pas enlever votre caleçon ?
Jacques-Hulles est à nouveau troublé par la beauté du garçon.
- Oui... euh non... je préfère le garder...
- Dommage...
- Et toi tu gardes ton boxer, petit ?
- Ben oui, c'est mon père qui veut.
Les deux hommes sont electrisés. Leurs regards se balayent mutuellement. La tension monte. Leurs bites décalottent toutes seules dans leurs sous-vêtements.
- Monsieur, si vous enlevez votre caleçon, j'enlève le mien...
- Tu ferais ça pour moi, petit ?
Mais le père d'Ange intervient :
- Ange ! Je t'interdit !
Et sur un ton de lassitude :
- Papa... ta gueule...
- Oui ta gueule Michel... Laisse ton fils se foutre à poil si il veut, enfin...
Ange, soutenu par les autres papas, se lève. Son érection dans son boxer est flagrante. Il s'approche de Jacques-Hulles, toujours assis, et présente son boxer déformé à 30 cm du visage de l'homme... C'est chaud !
Puis il commence à baisser son boxer... doucement... Tout le monde prend son souffle. Jacques-Hulles regarde le sexe d'Ange apparaître lentement sous ses yeux :
D'abord quelques poils blonds... puis la base de sa grosse bite rose... les longs plis des couilles de chaque côté... le silence règne... tous sont pétrifiés par tant de beauté... et le boxer descend encore... la bite est très longue... très belle... le gland n'apparaît toujours pas... Et brusquement, telle une sarbacane, le sexe d'Ange jaillit ! Il est énorme ! La teub balance, le gland rose, complètement décalotté, brille sous les yeux de Jacques-Hulles ébloui. C'est tellement beau ! Même le père d'Ange, impressionné, ne dit plus rien.
Jacques-Hulles à glissé une main dans son caleçon blanc. Il approche l'autre main de la grosse bite rose... mais Ange recule.
- À vous maintenant...
- Moi quoi ?
- Vous devez montrer votre bite, Monsieur... Ben oui, c'est ce qu'on a dit !
- Pas du tout, on a dit que si j'ôtais mon caleçon toi tu enlevais le tien, mais on n'a pas dit que si toi tu l'enlevais, je devais moi aussi...
Ange, tout nu, déculotté et décalotté devant tout le monde, semble déconcerté, il se sent humilié... floué, déçu... il recule.
Devant autant de mauvaise fois, Michel, le papa d'Ange, s'énerve à nouveau :
- Putain, Jacques-Hulles, mon fils a baissé sa culotte pour toi, il s'est déculotté et même décalotté... et toi tu...
Ange, nu, en retrait, ne dit rien, on dirait qu'il va pleurer. Il essaye de cacher sa bite d'une main mais rien n'y fait.
Les autres papas s'énervent aussi :
- Tu fais chier, Jacques-Hulles ! Tu fais pleurer le gamin... Si tu baisses pas ta culotte tout de suite...
Et même Hanüs :
- Putain papa ! Ça se fait pas ! Là faut que tu montres ta bite, c'est obligé !
- ...Toi aussi, mon fils ?!
- Papa, si tu te fous pas à poil, je dis tout à Maman...
Le bel Ange, la bite à l'air, se console lorsqu'il réalise que tous le soutiennent. Son gland laisse échapper une nouvelle goutte de mouille qui s'étire et qui balance. Il reprend peu à peu confiance. Il recommence à y croire...
Dans un geste de protection et de défense, Jacques-Hulles s'accroche à son caleçon. Il devine que tous veulent lui arracher... une terreur d'enfant le submerge... sans doute des souvenirs de "mise à l'air" au pensionnat.
- Non... non... non...
Mais brusquement, Ange bondit !
Nu, tel un fauve, il se déplie, il se déploie, il saute, tout son corps blond, gracieux et félin est propulsé dans l'air : ses membres longs s'étirent et se déplient, il vole. Il se jette sur Jacques-Hulles, jambes et bras en avant... et retombe sur lui. Son sexe en érection balance de façon indécente. Ses 2 mains saisissent alors le caleçon de Jacques-Hulles qui hurle et se débat !
- Non !... non !...
Mais Ange, à présent, tire sur le tissu blanc de toutes ses forces. Il est penché sur sa proie, arcbouté, jambes écartées. Il offre aux autres une vue indécente et complète sur son cul blond ouvert, sur l'arrière de ses couilles roses et sur sa grosse teub dure qui balance et qui continue à couler.
Jacques-Hulles, fasciné par l'énorme pénis coulant qui lui a sauté dessus, continue de s'accrocher à son caleçon de toutes ses forces. Ange tire sur le tissu dans le sens inverse, secouant sa bite durcie à droite et à gauche. Le tissu est fin mais il résiste... Alors Hanüs, solidaire, vient prêter main forte à son ami :
- Papa ! Enlève ça ! Montre ta bite, putain !
Et il plonge lui aussi ses mains entre les jambes de son père, sans pudeur, agrippe le tissu et tire de toutes ses forces.
Le spectacle des 2 garçons est magnifique. L'un est en boxer et l'autre ouvre son cul à tous les regards...
CRAC ! fait le caleçon.
Jam
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