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HISTOIRE

Gwen et Paul

Présentation des protagonistes :

Gwenael est né il y a 21 ans dans une famille bourgeoise parisienne d’un père Breton et d’une mère Suédoise, ces parents dirigeaient une grande société familiale d’import export internationale.

La famille avait déjà 2 garçons un de 12 ans et un deuxième de 8 ans, sa mère désirait désespérément avoir une fille et elle était tellement persuadée que son troisième enfant serait une fille, qu’elle avait, avant la naissance, décidée qu’elle s’appellerait Gwenaelle.

Quelle ne fut pas sa déception quand on lui annonça que le nouveau né est un garçon et avant l’accouchement elle tomba en dépression totale allant même jusqu’à refuser de s’alimenter ce qui mettait en péril sa vie et celle du futur bébé.

Le père voyant sa femme dépérir au fil du temps s’inquiétant de son état de santé se dégradant, lui fit cette proposition, puisqu’elle désirait tant une fille, il allait laisser sa femme élever ce futur enfant comme une fille, la laissant totalement libre de son éducation, de toute façon la descendance de la famille est assurée par ces 2 enfants mâles.

La mère heureuse de cette proposition se reprit et finit sa grossesse dans des conditions optimales jusqu’à la naissance de la « petite princesse », ils décidèrent de garder le prénom Gwenael ( un prénom mixte ) et d’un commun accord avec les ainés de considérer Gwenael comme leur petite soeur.

Comme convenu la mère éleva Gwenael comme une petite fille durant toute son enfance, on l’appelait toujours au féminin , ( ma chérie, ma belle , ma puce , ma princesse…), son physique facilitait pleinement cette éducation car elle ressemblait à une vraie petite poupée blonde, les cheveux fins, un visage d’ange et de magnifiques yeux bleus océan.

Coté habillement elle portait bien sur des tenues féminines, petites robes, jupes, des rubans dans les cheveux, la princesse de la famille, sa mère était comblée et totalement heureuse, son père malgré les remarques de sa propre famille qui pensait que c’était pas une situation saine pour un petit garçon, acceptait la situation pour le bonheur de sa femme.

Un évènement tragique arriva après le deuxième anniversaire de Gwenael, son père et ces 2 frères décé

dèrent lors d’un accident d’avion. Sa mère dévastée par la perte de son mari et de ces 2 ainés après une période de deuil, trouvait un sens à sa vie dans l’amour pour Gwenael « sa fille » qu’elle protégeait et couvait d’une manière excessive.

Les premières années de l’enfant s’effectuait dans cette environnement totalement féminin, « elle » était de plus en plus belle, longue chevelure blonde lisse, visage fin , de splendide yeux bleus, une allure altière et précieuse, une silhouette fine et svelte dessinée par la pratique de la danse classique et de l’équitation, une magnifique fillette.

Bien sur sa mère a été obligé de faire quelques entorses à ces principes d’éducation quand Gwenael a fait sa première rentrée scolaire ou elle avait adapté son style vestimentaire avec des vêtements plus classique pour un garçon tout en restant girly dans les couleurs et les modèles.

Gwenaël avec l’âge et ces relations qu’il avait à l’école, était confronté aux remarques de ces amis, certains s’étonnaient de son allure féminine, d’autres plus méchants, les garçons, l’appelaient la fifille, et ne voulaient pas jouer avec lui.

Cette découverte de la vie ne l’a pas affecté, étant conscient qu’il n’était pas un garçon comme les autres, car il avait des copines très proches et surtout l’amour de sa mère le rassurait.

A l’âge de 9 ans, un autre évènement allait transformer radicalement et définitivement sa vie.

Dans un parc de la capitale, alors qu’il était sous la surveillance de sa nounou, Gwenael jouait avec des copines, quand soudain un grand chien pris par une rage inexpliquée s’est rué vers le groupe d’enfant et a attaqué Gwenael en le mordant au niveau des parties génitales, bien sur la panique était totale, le propriétaire a réussi à maitriser son chien, laissant Gwenael ensanglanté et pleurant de douleur, on l’emmena immédiatement aux urgences pour soigner ces blessures.

Le médecin convoqua sa mère pour lui annoncer les conséquences de ces blessures, les morsures du chien ont fait des dégâts au niveau des testicules qui ont été atteint d’une façon irrémédiable et que malheureusement il fallait faire une opération d’ablation des testicules pour éviter les infections.

Résultat, après l’opération, Gwenael se retrouve avec juste un petit pénis entre les jambes, et la nature ayant horreur du vide les médecins proposèrent un traitement hormonale, sa mère voyant un signe du destin dans ce malheur, puisque son fils ne sera plus jamais un homme capable de se reproduire autant en faire une femme, et elle demanda qu’on lui administre des hormones féminines, par cette décision elle scella pour toujours l’avenir sexuel de Gwenael.

Aujourd’hui Gwenael, bien que officiellement garçon avec un petit penis est « une magnifique jeune fille », 168 cm 52 kg, un visage fin, des yeux bleus en amande, une longue chevelure blonde lisse tombant à mi dos, grâce aux hormones pris, des petits seins de fillette, une taille de guêpe, des hanches bien rondes et des petites fesses à faire bander un curé et bien sur totalement imberbe lisse comme un bébé, en un mot une véritable bombe.

Il est au début de cette histoire en 3eme année aux beaux arts à Paris.

J’ai pas besoin de vous préciser que l’orientation sexuel de Gwenael est d’être une femelle pour les mâles, sa mère peut être contante et fière du résultat, elle a une fille…

Paul quand à lui a 10 ans de plus que Gwenael, issue d’une famille aristocratique de Vendée il est l’ainée de 5 enfants, 2 filles et 3 garçons. Une famille catholique avec des principes très stricts, donc vous imaginez un homosexuel dans la famille, mon dieu quelle horreur, quelle infamie, la honte de la famille.

Il a fait son coming out à 18 ans avant d’aller faire ces études à l’étranger, ça a été un choc pour sa famille mais ils ont finit par être intelligents et ont accepté leur fils comme il est, en fait ce qui a facilité la chose c’est que Paul est un vrai mâle dominant, un actif uniquement et que ces conquêtes sont toutes des petits minets efféminés, dans ce milieu la domination et la force est la plus grande qualité pour un mâle de la famille.

Il a fait des études de droit internationale et est avocat conseil pour une grande entreprise internationale.

Gwenael a 18 ans, en 1ere année de Fac aux beaux arts, on est en décembre et il vient de casser avec son petit ami Mathieu avec qui il était en couple depuis le début de l’année universitaire. La séparation est due au comportement de plus en plus macho et possessif de Mathieu que Gwenael ne supportait plus. Les scènes de jalousie excessives devenaient de plus en plus fréquentes, allant même jusqu’à des actes de quasi violences envers lui et ces amis. La goutte d’eau qui a fait déborder le vase pour Gwenael a été lors d’une soirée chez un ami quand devant tout le monde il l’a accusé de jouer sa petite allumeuse et de s’être fait dragué par un de ces potes, alors qu’il ne faisait juste que de s’amuser.

M : Tu fais quoi là, tu vas arrêter de m’humilier en te comportant comme une salope.

G : Mais ça va pas non, je fais rien de mal et puis qu’est ce qui te prend de me traiter de salope.

M : Tu crois que je te vois pas en train de faire ton allumeuse en dansant avec tes potes à te frotter à eux.

G : Mais t’es fou, on fait que s’amuser, tu vas pas me le reprocher en plus.

M : Bon ça suffit maintenant, t’es ma meuf, t’es à moi alors tu vas m’obéir et te comporter normalement et pas comme une pute.

C’en était trop pour Gwenael, être traiter de pute devant tout le monde par son mec, il ne pouvait pas le supporter et tournait le dos à Mathieu et voulu partir.

Mathieu le prit par le bras et le ramena violemment vers lui.

M : Ou tu vas petite salope, j’ai pas fini de te parler.

Il serra tellement fort Gwenael que celui ci commença à pleurer.

G : Arrêtes, tu me fais mal, t’es une brute.

Voyant la scène, Thomas le meilleur ami de Gwenael voulu intervenir.

T : Laches immédiatement Gwen, t’es complètement malade mec.

M : Méles-toi de tes affaires, c’est entre Gwen et moi, c’est un problème de couple.

T : C’est mon affaire quand un connard agresse mon meilleur ami, si t’es un homme vient plutôt te battre avec un vrai mec.

Mathieu jeta Gwenael par terre et se précipita sur Thomas, une bagarre démarra ou aucun des 2 n’avait l’avantage avant que d’autres garçons ne les séparaient.

On demanda alors à Mathieu de quitter la soirée.

M : Ok je me barre, bande de cons et je vous laisse cette petite tapette qui se prend pour une princesse mais qui est en fait une grosse salope.

Mathieu prit ces affaires et partit en lançant un regard haineux sur Gwenael à terre en pleurs.

Bien sur cet incident plomba la soirée qui prit fin et tout les invités partirent les uns après les autres.

Ils restaient juste quelques amis dont Gwen et Thomas, Celui qui organisait la soirée proposa à ces amis de dormir chez lui vu l’heure tardive, Gwen encore sous le choc de sa dispute avec son mec accepta et Thomas ne voulait pas laisser son ami seul dans cet état.

Il emmena Gwen dans une des chambres pour l’aider à se mettre au lit, une fois que Gwen était au lit, en petite culotte, il allait sortir de la chambre pour le laisser se reposer.

G : Thomas, s’il te plait ne me laisses pas seul, est ce que tu voudrais dormir avec moi, je me sentirais plus rassuré.

T : Tu es sur ?

G : Oui, J’ai envi de te sentir à coté de moi, tu es mon meilleur ami et j’ai besoin de ta présence.

T : Ok si tu veux, je vais pas te laisser seul dans cet état là, ça me rappellera quand on était petit et qu’on dormait dans le même lit …

Thomas se déshabilla, se retrouvant en boxer, rentra dans le lit, au coté de Gwen face à face.

G : Thomas.

T : Oui.

G : Merci pour ton intervention tout à l’heure et d’avoir prit ma défense.

T : Bah c’est normal, tu es mon meilleur ami et j’allais pas laisser cette brute te faire du mal sans réagir.

G : J’ai besoin de tendresse, prends moi dans tes bras, j’ai besoin de me sentir protégé.

Thomas l’entoura de ses bras musclés et le serra contre son corps tout en lui caressant les cheveux avec une tendresse digne d’un amoureux pendant que Gwenael se blottie contre son meilleur ami comme il le ferait avec un amant.

Est ce l’alcool, est ce la tension qui commence à tomber après la fin de soirée désastreuse, est ce le fait qu’il vient de se faire larguer par son ex ou tout simplement est ce la présence contre lui du corps de mâle puissant et viril de Thomas, Gwen lève la tête vers le visage de son ami, se rapproche et pose un premier baisé sur la bouche de Thomas.

T : arrêtes Gwen, qu’est ce que tu fais là ?

G : j’embrasse mon héros, je veux juste te remercier.

Gwen reprend son baiser d’une façon plus passionné en ouvrant la bouche pour laissé la langue de Thomas l’envahir et prendre possession de sa bouche comme un sexe l’aurait fait. De son coté il ne resta pas inactif dans les bras de son ami, sa main descendit tout doucement vers le bas ventre de Thomas découvrant un sexe long et dure emprisonné dans son boxer devenu trop petit pour contenir son excitation.

T : Non Gwen ça va trop loin, on devrait pas faire ça, tu es troublé et en plus on est comme des frères.

G : Chuuut, laisse toi faire et ne me dit pas que tu en a pas envi, ce que j’ai dans les mains parle pour toi .

T : C’est pas la question, tu sais très bien que t’es super bandante, mais …. Éh qu’est ce que tu fais ?

Pendant que Thomas parlait, Gwen se glissait doucement vers le bas du corps de Thomas en faisant des petits bisous tout au long de sa descente, arrivant devant l’objet de son désir il commença à embrasser cette belle bosse toute dure, avant de retirer lentement le boxer afin de libérer la bête, et quelle bête !!! Gwen découvrit que Thomas a été très gâté par la nature, une belle queue d’environ 18cm, bien épaisse avec un gland énorme. La surprise a fait poussé un petit cri à Gwen.

T : Qu’est ce qui se passe, pourquoi ce cri ?

G : Ce n’était qu’un cri d’envie, ta bite est vraiment très belle.

T : Elle te plait ?

G : Oh Ouii, elle est superbe, grosse, longue et dure, je kiffe.

T : Alors qu’est ce que t’attends ? Puisque tu la veux, montres moi que tu es une bonne suceuse.

Gwen commença à lécher doucement la belle tige, puis embrassa le gland, avant d’emboucher la queue de son amant en entamant une lente fellation qui fit poussé des grognement de plaisir à Thomas, au bout d’un moment le mâle dominant se réveilla et se montrait de plus en plus macho, il prit l’affaire en main en agrippant la belle chevelure blonde de Gwen pour donner plus d’ampleur à sa pénétration buccale, en enfonçant sa queue le plus loin possible dans la bouche du beau blondinet arrachant des larmes aux beaux yeux bleus.

T : Putain t’es une sacré suceuse, ta bouche est douce et chaude, une vraie petite chienne.

Après 10 bonnes minutes d’une pipe intense, il libéra Gwen qui était tout rouge au bord de l’asphyxie, le retourna, le mis sur le ventre et commença à préparer le petit trou de la belle en le doigtant, un, deux et trois doigts qui faisaient gémir Gwen comme une fille.

T : Bon, assez joué, on va passer aux choses sérieuses, je vais m’occupé de ta petite chatte.

G : Je t’en supplie, fait doucement s’il te plait, elle est tellement grosse et longue.

T : Eh bébé, c’est toi qui m’a carrément chauffé en faisant ta petite allumeuse, alors maintenant tu vas assumer et te préparer à manger grave tellement j’ai envie de te défoncer, depuis le temps que je fantasme sur ton petit cul, là tu vas la sentir passer ma grosse queue.

Devant le ton dominateur de son ami, qu’il ne connaissait pas aussi macho, Gwen se soumis comme une femelle face à son mâle et se mis en levrette.

T : Non petite salope, je te prendrait comme une chienne après mais la je veux te baisé comme une fille, sur le dos jambes écartées prête à te faire enfiler par ton homme, allez en position, écartes les cuisses.

G : Doucement s’il te plait.

D’une petite voix de fillette.

T : Mais oui n’est pas peur ma puce.

Gwen levait ses jambes en les écartant puis prenant ses fesses entre ses mains les éloignant l’une de l’autre pour s’offrir en bonne femelle soumise, Thomas sourit, prit sa queue en main et dit d’un air de vainqueur;

T : Huuumm oui comme ça, c’est bien ma petite femelle, ton petit trou est bien ouvert, prêt à te faire défoncer.

Son amant s’allongea dans le V de ses cuisses, il guida son pénis dans sa raie moite et le positionna contre l’entrée de son tunnel d’amour. Les gouttes de pré sperme translucide perlant du méat de son amant, lui lubrifièrent son petit trou.

Bien que son homme lui ai bien préparé l’anus, Gwen était effrayé par la taille de Thomas bien plus imposant que la bite de Mathieu qui était déjà bien pourvu, il avait une peur bleue et Thomas s’en aperçu et lui dit.

T : Ne t'inquiètes pas bébé, je ne vais pas te faire mal et toute ma queue va rentrer dans ton petit cul, elle va bien te baiser et te donner beaucoup de plaisir, décontracte-toi poupée et tu verras que ton petit trou acceptera ma grosse queue et que tu vas me supplier de te baiser à fond tellement tu vas kiffé.

Tout en lui parlant Thomas lui caressait la chatte de la pointe de son gland turgescent, cet attouchement le faisait monter d'un cran dans le bien-être et il se cambrait pour se donner totalement.

T : Tu vois que tu n'as pas mal.


G : Oui mais tu n'es pas encore entré.


T : Non c'est vrai mais tu vas voir je vais rentrer doucement.


G : Je l'espère.


T : Mais oui fais moi confiance.


G : Je te fais confiance mon chéri.


T : C’est bien ma poulette.


C'est là que Gwen s’aperçut de la ruse, pendant qu'il lui parlait Thomas avait commencé à pousser et la tête de son bout durci avait peu à peu écarté ses chairs frémissantes.


G : Mais tu es en train de m'enculer.


T : Oui enfin je crois que c'est bien le but ou je me trompe.


G : Je ne me suis aperçu de rien mais je sens que le bout de ton gland est en train de me pénétrer.


T : Eh oui mais par contre même si je fais tout doucement maintenant tu vas avoir un peu mal, car il faut bien que le reste de mon gros gland passe.


G : Je le sais mais j'en meurs d'envie, alors vas-y je suis prête.


T : Bien ma petite chérie, allez serre les dents tu vas dérouiller un peu mais après tu vas jouir.


G : Je le sais allez viens, enfonce toi en moi, je suis toute à toi.


T : Oh oui ma belle, je vais te prendre.


Gwen se décontractait au maximum, et attendit quelque peu inquiet, son amant commença à peser sur mon orifice et quand le gland entreprit de s'introduire, il poussai un cri de douleur, son mec s'immobilisa.

T : Tu as trop mal, je vais me retirer.


G : Non je veux ta bite dans mon cul, oui j'ai mal mais je sais qu'elle peut entrer et me baiser.


T : D’accord, je vais te percer le cul.


G : Oui vas-y transperce moi, allez baise ta femelle mon mâle.


Il attendit le plus décontracté possible, il sentit le bout durci de Thomas peser moins sur son antre puis d'un coup de reins son homme le transperça.
La souffrance qu’il ressentit fut inhumaine, il eu l'impression qu'on lui ouvrait le cul en deux et qu'on lui enfonçait un fer porté au rouge dans le fondement, il eu pendant quelques secondes le souffle coupé puis un hurlement strident s'échappa de sa gorge, de grosses larmes jaillirent de ses magnifiques yeux bleus et il se mis à sangloter comme une fillette.


Thomas suspendit sa poussée et lui dit tout en embrassant ses joues humides et caressant tendrement ses beaux cheveux blonds.

T : Excuse-moi, je t'ai fait mal mon bébé.

G : Ce n'est rien, je commence déjà à avoir moins mal, tu n'y peux rien ce n'est pas de ta faute si mon trou du cul est trop petit pour recevoir ta grosse queue.


T : C’est moi qui n'ai pas su t'ouvrir comme il le faut, je m’en veux grave.


G : Mais non tu as fait ce qu'il fallait, tu n’as pas à t’en vouloir.


T : C’est vrai mais...

G : Il n'y a pas de mais, je voulais que tu me baise ce soir alors il faut que j’assume.


T : C’est vrai que j'ai aimé te prendre ma chérie.


G : Je m'en doute, allez je n'ai presque plus mal, vas-y enfonce toi complètement que je sente ta grosse bite au fond de moi.


T : D’accord.


G : Et après baise-moi bien fais moi prendre un super pied, fais moi criée, je suis ta femelle maintenant.


T : D’accord ma belle, tu vas jouir je te le promets, je vais te défoncer et te faire couiner comme une meuf.


Avec une lenteur calculée Mathieu s'enfonça en lui jusqu'à la garde, quand il sentit ses testicules poilus contre ses fesses bouillantes, il sus qu'il était entré totalement en lui.


Son amant resta immobile le laissant s’habituer à sa présence, il sourit à son homme et lui tendis ses lèvres, Mathieu posa délicatement ses lèvres sur les siennes.
Quand son mec abandonna sa bouche il avait le souffle court et la douleur avait presque disparue, il dit à mon amant.

G : C'est fou comme tu me remplis, quelle bite tu as je me sens pleine de toi et c'est bon, j'adore ça, tu me rends folle de bonheur, mais bon maintenant tu vas arrêter de me traiter comme si j'étais en sucre et tu vas me baiser comme tu le ferais avec une fille qui veut se faire défoncer, c'est à dire comme une salope.

Gwen était tellement excitée, qu’il sortie ces mots crus sans s’en rendre compte, lui le petit minet bourgeois, ah si sa mère l’entendait parler ainsi…Thomas qui était en effet tout en retenu pour sa belle, se mit en mode mâle dominant macho.


T : Oh oui je vais te baiser ma belle, crois-moi tu vas gueuler salope.


G : Vas-y je t'en supplie je suis en feu, baise ta meuf, encule ta salope, défonce la.


Thomas démarra ses lents mouvement de va et viens, lui arrachant à chaque passage des cris de douleur et de plaisir, il sortait son pénis de lui pour assouplir sa pastille.
Pendant plusieurs minutes la souffrance l'emporta sur le reste puis peu à peu son anus mollit et une douce langueur s'empara de Gwen.
Son homme le possédait de toute la longueur de son fabuleux Pieu, le sortant presque entièrement de son antre pour le replonger jusqu'à la garde la seconde suivante.
Sous ces lentes allées et venues son sphincter céda complètement et le membre pu coulisser en lui sans gêne aucune.


Thomas avait glissé ses mains sous son dos et le tenait aux épaules, Gwen nouai ses jambes fines dans son dos et l'enlaçai de ses bras.
Tout en le sodomisant lentement Mathieu embrassait son visage de poupée déposant de temps en temps un baiser furtif au coin de ses lèvres.
Sentir la formidable queue raide remuer en lui le faisait perdre un peu plus pied chaque que fois Mathieu le clouait au lit. Gwen était complètement en chaleur, son postérieur était bouillant, Thomas le possédait avec une régularité de métronome, chaque fois que son fabuleux sexe se fichait en lui, il poussai un profond soupir de bonheur.
Il planait littéralement sous les coups de bite qu’il recevait, il se cambrait au maximum pour s’offrir plus encore à la hampe qui lui creusait un peu plus les reins à chaque passage.
Ses couinements se muèrent en cris de femelle et il se mis à rouler des hanches en cadence venant à la rencontre de la queue qui le bourrait.

T : T’as l’air aimer ça ma petite salope ?

G : Oh oui c’est merveilleux, j’aime comme tu me baise, tu me rends folle, ooooohhh. Ouiiiiii encore…

T : Moi aussi je kiffe te défoncer ta petite chatte, je veux que tu couines pour ton homme qui te fait l’amour ma belle.

Sous les coups de boutoir répétés de son amant Gwen se sentit partir et il commençait à presser la bite de son amant avec son sphincter. Son homme avait lové sa tête dans le creux de son épaule et le tringlait en de virils coups de reins puissants.
Thomas le pilonnait l'arrière train vigoureusement, Gwen hurlait comme une chienne en chaleur, tout le monde devait l’entendre crier son plaisir, il avait l'anus complètement éclaté et il se tordait sur la couche comme une poupée désarticulée. Il sentait le plaisir envahir totalement son être chaque fois que la verge dure s'enfonçait au tréfonds de son rectum embrasé.


T : Ma poulette je vais plus tenir longtemps, je vais bientôt lâcher mon jus, j’ai envie de te remplir, je peux ?

G : Ouiiiii mon amour , moi aussi je tiens plus, je veux que tu viennes en moi, que tu me remplisse de ton sperme brulant, je veux t’appartenir, tu es mon mâle et je suis ta femelle…

T : Alors accroches toi bébé, je vais accélérer la cadence et te féconder comme une femelle le mérite, je vais te remplir de mon jus de mâle.

Gwen renouait ses cuisses dans le dos de son amant et Mathieu recommença à le besogner en de larges et virils coups de reins, sous les rudes assauts répétés de son mec il sombrait de nouveau dans le plaisir, il fermait les yeux et se délectait de la vague de chaleur qu’il sentait monter en lui.
Thomas l’avait pris aux épaules et l’amenait vers lui chaque fois qu'il plantait son énorme dard au fond de son cul tuméfié.


Chaque fois qu'il s'enfonçait au cœur de ses entrailles il sentait ses testicules durs et gorgés de sève frapper contre ses fesses bouillantes.
Thomas se ruait dans son fondement avec une rare violence, Gwen se dit que s'il continuait de la sorte il allait le déchirer mais ce qu'il lui faisait était tellement bon qu’il voulais qu'il continue éternellement.
C'est alors que s'enfonçant au fond de ses entrailles bouillonnantes Thomas éjacula en feulant comme un fauve mâle fécondant sa femelle soumise, son abondant flot de sperme crémeux fusant contre ses parois surchauffées provoquant un orgasme anal tout nouveau pour la belle, Un spasme fulgurant le transperça, ses jambes battirent l’air, enfonçant ses ongles dans la chair des épaules de Thomas, son corps se tendit comme un arc, son petit cul enfoncer vers le membre qui continuait à se déverser en lui pour accentuer la pénétration, un hurlement strident aigüe jaillit de sa gorge, s’écroulant sur le lit entraînant dans sa chute celui qui le chevauchait, perdant connaissance du fait de son orgasme anal.


Quand Gwen rouvrit les yeux il avait Toujours les cuisses écartées sur le lit, Thomas était à coté de lui en train de lui caresser amoureusement les cheveux et le visage.

T : Ça va ma chérie, tu te remets de tes émotions ?


G : Oui, désolé je crois que j’ai perdue connaissance, mais ça va merci mon amour.


T : J’ai vu ça, t’as pris un pied d’enfer ma puce.


G : Tu m'as fait jouir comme une fille c’était extraordinaire, j’ai joui de mon cul comme si j’avais une chatte, qu’est ce que tu m’as mis, j’ai cru un moment que tu allais me déchirer le cul.

T : Mais non ma puce ton cul est bien plus solide que tu le penses et en plus tu m’as lacérer l’épaules avec tes ongles quand tu as eu ton orgasme féminin.

G : Mon pauvre chéri je suis désolé.

T : T’inquiètes pas ma puce, ça prouve que tu as kiffé comment je t’es baisé, que je suis un bon mâle dominant, que j’ai su donner du plaisir à ma petite chienne en chaleur.

G : Oh ça oui je te confirme que tu es un super mâle et que tu as su posséder ta femelle, je suis tellement heureuse de mon dépucelage, et toi est ce que tu as pris du plaisir ?

T : Oh oui d’ailleurs tu as du sentir les giclées que je t’ai envoyé dans ta petite chatte, au fait, tu sais j'adore quand tu parles de toi au féminin.


G : C’est normal, qu'est ce que je fais là, à part jouer mon rôle de meuf.


T : Oui mais j'aime quand tu parles comme ça.


G : Tu sais très bien que je me sens comme une femelle.

T : Tu as raison jusque là tu étais juste comme une meuf, mais cette nuit je t’ai découverte femelle, quand je te pénétrais tu te tordais de plaisir comme une chienne en chaleur.

G : Quand tu me baisais, je croyais devenir folle de plaisir.


T : Merci toi aussi tu m’as donné beaucoup de plaisir, ton cul est génial, tu baises comme une gonzesse, quand je t’entendais crier et couiner avec ta voix de fille ça me donnais encore plus envie de te défoncer.


G : Je suis contente que ça te plaise, oooops je suis en train de fuir tellement tu m’as inondé.

Du sperme coule le long de ses cuisses, entrainant un éclat de rire commun des deux amis. Thomas fier de lui et de ses exploits sexuels de cette nuit prit le visage de sa belle et lui roula une pelle fougueuse et amoureuse coupant le souffle de sa petite salope devenu dans ses bras sa princesse.
Après une toilette intime qui s’imposait, les amoureux s’endormir tendrement, Gwen en cuillère tournant le dos à son homme qui la couvrait de ses bras musclés et en incrustant sa belle bite contre ses petites fesses meurtries par les assauts subis.

Au petit matin, Gwen ouvre un œil, dans un demi-sommeil, l’obscurité n’est plus totale, une clarté filtre au travers des volets, il a l’impression d’avoir à peine dormi, mais quelle heure est-il ?

Allongé en chien de fusil, le corps de Thomas est imbriqué contre lui telle une brique de lego, il épouse ses courbes. Il exhale de ce corps une chaude odeur épicée de mâle. Le souffle silencieux, un bras posé sur son bassin, la main effleurant son ventre, L’autre bras le tient au niveau de son cou, Gwen se sent prisonnier de ce garçon.

Flash-back douloureux sur la soirée d’hier, la dispute avec Mathieu, la honte des insultes, la douleur de la violence de Mathieu, l’humiliation d’avoir été jeté, puis le réconfort dans les bras de Thomas, son inexplicable docilité, la fellation, son désir de sexe, son excitation, sa soumission à la force de son mâle et aussi le comportement de mâle dominant macho de Thomas quand ils ont fait l’amour ou plutôt quand il a été baisé par son ami d’enfance.

Instant de panique, il doit se libérer de cette emprise physique, délicatement il soulève le bras de Thomas, et d’un coup de rein, plutôt de fesses, il pousse fermement. Thomas grogne, puis il bascule sur le dos, à son tour, Gwen s’étends sur le dos vers le bord du lit, le jour est déjà bien levé.

Les yeux au plafond, son esprit est rivé sur les évènements de la veille, il refuse cette attitude de salope avec son meilleur ami, mais comment démentir le plaisir ressenti, il refuse de se soumettre à cette situation, mais cela l’a excité, il a aimé, c’est indéniable, son aventure avec Thomas l’a bouleversé.

Gwen se tourne sur le côté vers Thomas, allongé sur le dos, il dort paisiblement, le drap a glissé sur ses cuisses. Gwen contemple son visage, sourire béat, il est très beau, ce corps dégage une puissance virile attirante, aisé de comprendre ses succès avec les filles, son regard file du visage à son torse musclé, à son ventre, l’ensemble est lisse et à l’inévitable énorme mandrin qui se dresse fièrement au-dessus de grosses bourses épilées.

Il détaille la forme de ce pal, il essaie d’en estimer les dimensions, très proche des vingt centimètres, couronné par un gland bien large, la hampe s’élargit vers la base, sa main dans la nuit pendant qu’il l’a sucé n’en faisait pas le tour, il comprend maintenant pourquoi il a eu si mal quand il c’est fait sodomisé. Dessous pendent ses grosses bourses, de gros abricots bien mûrs, lisses également.

Gwen se tourne, se place en travers du lit, dans l’axe de son phallus. Allongé sur le ventre, le visage à quelques dizaines de centimètres du monstre, il observe, il hume l’odeur de mâle, sans explication tangible, ce sexe géant le captive et surtout il l’excite.

Ce n’est pourtant pas la première fois qu’il voit un sexe au matin en pleine érection, en premier lieu celle de Mathieu bien sur, mais ce n’était jamais aussi énorme.

Il la contemple, voilà qu’elle bouge, d’infimes spasmes ce bâton de chair vit, exprime ses désirs, une gouttelette translucide perle à la pointe de son gland, trahissant les pensées sexuelles de son propriétaire. Le regard figé sur cette trique, cette vision affole ses sens, une nouvelle goutte de pré-sperme pousse la précédente, elle roule au ralenti sur sa tige, cette goutte, cette queue l’attirent ostensiblement, il approche la pulpe de mon doigt pour tenter d’en collecter le nectar.

Cet infime contact éveille le monstre, spasme éphémère… le sang pulse, ses veines le long de sa hampe se gonflent, l’érection est absolue, grandiose, Gwen pose le doigt sur ses lèvres, l’élixir aphrodisiaque l’enivre, ses lèvres sont à portée de cet arrogant pénis, elles le tutoient, le baiser signerait sa reddition sans condition, sa capitulation,

sa soumission, il ne pourra pas se réfugier sur l’excuse de la soirée désastreuse de la veille pour justifier son attitude de salope avec son ami d’enfance.

Un spasme voluptueux agite le membre, une nouvelle goutte surgit de son méat, le désir fait saliver Gwen, naturellement il humidifie ses lèvres, envoûté, il abdique, il abandonne toute résistance, la pointe de sa langue cueille les perles de son nectar, il titille son méat pour libérer sa sève animale, puis ses lèvres humides se posent, gobent et engloutissent ce gland, il l’embouche avec délicatesse, l’aspire avec convoitise. Il vient par ce geste de renoncer peut être à toutes ces années d’amitié fraternel avec Thomas. Chaque centimètre englouti l’engage davantage dans cette débauche, ce gros sexe le remplit parfaitement la bouche, ses mains flirtent sur son pubis et ses grosses couilles pleines de jouissances futures, sa langue s’agite sur le gland brillant de sa salive, le sexe palpite sous ses caresses, il devient chienne, il veut sa sève, il veut la déguster.

Studieux, investi dans ses caresses, il sursaute lorsque une main l’effleure et se pose sur ses fesses, la bête est éveillée, la main s’active voluptueusement d’un lobe à l’autre, en teste la souplesse la douceur, les doigts glissent dans le sillon, remontent son échine, courent de sa croupe à son cou, caressent sa longue chevelure blonde avec tendresse.

T : Huuummm, quelle agréable réveil ma puce, vas y continu, suce moi comme la petite salope que tu es, t’aimes ça sucer ma grosse queue ?

Il n’y a rien à répondre, son désir, sa sensualité, ses lèvres expriment à eux seuls et sans un mot, son accord, ses mains, ses lèvres sont de velours, elles branlent, sucent en douceur le pieu du mâle victorieux, il sent les prémices d’une éruption, des tremblements pré-orgasmiques, ponctués par des grognements, le corps de Thomas s’agite, se crispe, se tend, il lutte sans volonté.

T : Aaaarrh, ouiiiiiii, je jouis.

Le cri du mâle, bestial, guttural, la première giclée est fulgurante, elle se fracasse dans les profondeurs de sa gorge, puis une autre vient tapisser son palais, sa langue, d’autres suivent, une énorme production de jus de mâle sort du sexe vainqueur, la bouche de Gwen sature, il déglutit doucement, en bonne femelle soumise, il aspire, lèche le gland dans un dernier baiser et, presque à regret, il libère ce mât qui doucement perd de sa superbe.

Après cette jouissance dévastatrice, ils sont étendus sur le lit, la joue de Gwen sur la cuisse de son homme, il fuit son regard, ils n’ont échangé aucun mot.

Gwen caresse nonchalamment ce sexe depuis un petit moment, il ne l’a pas lâché depuis sa jouissance, alors que les doigts de Thomas sont occupés à jouer dans la longue chevelure de sa belle dans un geste de propriétaire voulant remercier sa femelle du plaisir qu’elle vient de lui donner.

Après quelques instants de calme et de douceur.

T : On est pas dans la merde maintenant.

G : Pourquoi tu dis ça ?

T : Bah hier en début de soirée, on était les meilleurs amis d’enfance et là ce matin on est des amants, je t’ai sodo, je t’ai rempli les fesses de mon sperme et ce matin tu viens de me sucer en avalant, qu’est ce qu’on fait ?

G : C’est vrai que notre relation a changé mais j’ai pas envi de perdre notre amitié.

T : Pourquoi on la perdrait, je serais toujours ton meilleur ami, tu le sais, même si cette nuit je t’ai baisé hard comme je le fais avec les filles que je choppe et que toi tu t’es comporté comme une femelle salope, je te respecterais toujours Gwen.

G : Merci Thomas, je le sais et tu seras toujours mon meilleur ami, même si maintenant tu es aussi mon amant et quel amant !!! wahoooo tu m’as fais jouir comme personne ne ‘a fait.

T : Ahahah, merci ma puce mais si je peux me permettre t’es super bonne à baiser, j’ai trop kiffé.

G : Ecoutes Thomas, je te propose qu’on garde notre relation d’amitié, je veux pas qu’on se mette en couple, ça finira par briser notre amitié j’en suis sur mais par contre si tu veux, pour ma part je serais toujours disponible et partant pour qu’on se fasse des plans sexes ensemble, même si on est en couple avec d’autres personnes, on sera des sex friends.

T : Ok bébé, je crois que tu as raison, mais sois prêt parce que je crois bien que je suis devenu totalement accro à ton petit cul de blonde.

Tout les 2 se mirent à rire et pour sceller leur pacte d’amour et aussi pour montrer qui est le mâle dominant, Thomas tira la tête de Gwen par les cheveux et lui roula une pelle d’enfer enfonçant sa langue bien au fond de sa bouche.

A partir de ce moment Gwen et Thomas se retrouvèrent régulièrement pour des baises torrides tout en restant les meilleurs amis du monde.

A Suivre…

GwenBlondinet

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