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HISTOIRE

Fire Island guest house

1 | Rupture newyorkaise

Mon stage à la NYFA, touchait à sa fin. J'avais prévu, avant de rentrer en France, de passer quelques jours à Fire Island, histoire de voir et visiter cet endroit mythique de la vie gay new-yorkaise et si possible de me donner du bon temps.

J'avais d'ailleurs réservé une chambre dans un guest house plutôt haut de gamme « men only ». Proche de la plage, due l’embarcadère et disposant de belles vues, de toutes les commodités genre salle de sport, jacuzzi géant, sauna, hammam, etc...

En outre, les invités étaient prévenus qu’une liberté absolue était de mise dans l'enceinte de l'établissement. La nudité était acceptée et il y avait aussi une option supplémentaire à accrocher à la porte d'une chambre, outre " ne pas déranger " on pouvait accrocher " merci de déranger " ce qui signifiait bien sûr que l'on acceptait les visiteurs..

Il faut dire aussi que je venais de me faire larguer par un mec. Ce n'était pourtant pas une histoire d'amour, c'était juste une relation sexuelle mais à ma grande surprise, cela m'avait attristé et il me manquait un peu..

C'était un gars plus âgé que moi, Stan, rencontré à la salle de sport NYSC de la 80th. Il était plutôt baraqué et branché mecs de mon âge. Il avait d'ailleurs un petit copain qui devait approximativement avoir mon âge.

On se voyaient une à deux fois par semaine, toujours chez lui - il bossait dans la mode, la plupart du temps à la maison - bien sûr quand son pote n'était pas là.

C'était très sexuel, uniquement actif il adorait mon cul et moi j'adorais quand il venait entre mes fesses avec sa barbe de trois jours et mon cul lui rendait bien.

Sa queue épaisse, brune , veineuse savait particulièrement bien me mettre dans des états incroyables, il me ramonait longtemps et fabuleusement bien sachant cajoler ma prostate jusqu'à me faire éjaculer plusieurs fois et prenant plaisir quel que soit la position choisie à sortir sa verge, reluquer ma fente bien ouverte et revenir à fond, et ça me faisait hurler de bonheur. M'entendre gémir en français, l'excitait beaucoup et me regarder jouir les yeux rivés sur les miens aussi.

Malheureusement, la dernière fois, son ami arriva à l'improviste, fit une scène, plia ses affaires et rompit en claquant la porte. Ce qui ne nous empêcha pas de continuer à baiser.

Mais il me demanda de ne plus venir car il voulait se réconcilier avec son mec.

Changer d'air, devenait important. Comme souvent aussi quand je flippe, j'allais chez le coiffeur pour changer de bouille et demandai une vague coloration blondasses, belle connerie...

2 | Sieste au bord de la piscine

Le lendemain avec juste un petit sac à dos, je pris un train et le ferry pour l'ile .

Le guest house était tout près de l'embarcadère et je fis un petit tour de découverte et déjeunais avant de me rendre à la résidence et récupérer ma chambre.

Celle-ci était composée de plusieurs petits bâtiments parfaitement isolés de l'extérieur, de plusieurs piscines, de terrasses.

Dès le lobby principal passé, pour rejoindre son bungalow on devait traverser un vrai labyrinthe de salons divers, salle de jeux, salon de lecture, terrasses , piscines et on avait une première idée de la liberté offerte par l'établissement. Dés invités déambulaient en slip de bain, main dans la main, certains étaient nus et je vis par la porte entrouverte d'un salon, une petite orgie en action. Visiblement c’était open bar dans tous les sens du terme !

Au bord des piscines, là encore la plupart des baigneurs étaient dans leur plus simple appareil. Certaines chambres donnaient sur des terrasses meublées de canapés et fauteuils d'extérieur, disposaient de douches extérieures et les baies vitrées ouvertes devaient faciliter les échanges et assez peu l'intimité...

Ma chambre était de celles-là.

Je m'installai rapidement voulant faire une petite sieste et passer le reste de l'après-midi au bord de la piscine la plus proche de ma chambre .

J'y vais comment, me disais-je en regardant les trois maillots de bain que j'avais emporté.. l'hésitation fut de courte durée, aucun fut la décision et je compris qu'il y avait de fortes probabilités que ces maillots restent dans la valise.

Je choisis pour ce premier après-midi, la petite piscine juste en bas de ma terrasse, elle était à cette heure-ci déserte, c'était idéal pour faire une petite sieste.

Je pris une serviette de bain, m'installai à l'ombre sur un transat et ne tardai pas à m'assoupir. Je me réveillai soudain ; j'étais couché sur le ventre et clairement une main caressait mes fesses, très doucement comme pour ne pas me réveiller ou tout du moins pour ne pas m'effrayer. Je me retournai pour découvrir un mec plutôt beau, brun, une barbe de trois jours. Il était à poil et sa pine brune de taille moyenne, était à demi raide. Quant à moi, comme souvent au réveil, je présentai un magnifique "morning wood ".

- hmmm, je ne t’ai pas encore vu par ici, tu viens d’arriver ? tu as des fesses superbes, dit-il désolé de t'avoir réveillé mais je n'ai pas pu résister... ta peau est douce ! belle queue aussi ajouta t'il sans enlever sa main qui doucement se glissait entre mes globes.

Instinctivement, j'écartai un peu mes cuisses ; ce qu'il interpréta bien sûr comme un signe d'acceptation.

Il m'embrassa et nous fûmes bientôt enlacés dans de tendres caresses.

- j'aime trop ton cul, mec,

Et écartant mes cuisses, il vint fourrer son visage dans ma rainure. il commença à me lécher la rondelle tout en allant et venant frottant ma raie avec son menton barbu, un délice .

Sa langue n'avait aucun mal à me pénétrer tant elle savait s'y prendre et tant j'adore me faire bouffer le cul. Mes petits couinements l'excitaient de plus en plus et sa feuille de rose devenait plus intense. Il vint après cela me présenter sa queue que je gobai entièrement tout en tenant ses petites couilles bien fermes. Il voulait visiblement prendre le dessus car il me donnait de puissants coups de reins pour enfoncer sa verge bien au fond de ma gorge. Son message était clair, il voulait me baiser.. d'ailleurs il retourna bientôt s'occuper de nouveau de mon cul et le doigter avec passion.

- putain mec, ton cul me rend dingue, une vraie chatte, on va s'éclater mec!

En levant un peu la tête, je m'aperçu qu’entre temps, des résidents avaient pris place sur la plage en bois de la piscine et regardaient , d'autres en revanche ne semblaient ni intéressés ni gênés par nos ébats, d’autres nous regardaient depuis les fenêtres de leurs chambres, certains sirotant un rafraichissement. Nous allions faire le show. Mais j'allais comprendre que ce qui m'étonnait en ce début de séjour était plutôt fréquent dans cet établissement.

- Tourne-toi mec, j'ai envie de ta grosse queue ,.. ouah belle pièce !

Et il s'en empara tout de go. Il suçait bien le bougre, il la gobait toute entière, s'attardant sur mon prépuce, léchant mon gland où explorant du bout de la langue mon méat. Mes gémissements se firent plus bruyants. J'avais conscience d'être peu discret mais c'était trop bon et un peu exhib, l'idée d'être vu et entendu participait à mon excitation ;

Nous eûmes juste quelques applaudissements quand il me retourna et m'empala sèchement. Faut dire qu’il m’avait longuement et merveilleusement doigté ! Ses coups de butoir massifs étaient redoutables, il me pilonnait avec constance, sans faiblir..

Je voulus cependant après une longue séance de ramonage, prendre les choses en main et ok pour me faire mettre mais maintenant à ma façon et à mon rythme.

- Assied-toi sur le transat lui demandai-je,

et aussitôt fait, je m'empalai sur sa queue; maintenant c'est moi qui donnait le rythme et qui dirigeait sa tige en moi pour en obtenir le max de plaisir et lui en donner aussi car visiblement il appréciait, contenant ses gémissements en me mordillant les tétons. Il fallut que je faiblisse un tant soit peu dans mes va-et-vient pour qu'il en profite pour me pilonner à nouveau à grand coups de bassin.

En nage tous deux, je me couchai à nouveau sur le transat et il vint entre mes cuisses levées me ramoner à donf.

Tandis que nos bassins s'entrechoquaient violemment et bruyamment, je me branlais, tous mes muscles tendus par l'effort, au rythme frénétique de sa queue et j'inondait bientôt mon torse de belles giclées de foutre. il redoubla encore d'intensité et dans un intense spasme, envoya de longues rafales de foutre dans mon cul.

Il en recueillit quelques gouttes et les porta à sa bouche.

Epuisé, il s'affala sur moi, nous nous embrassâmes tendrement, il avait un beau sourire de vainqueur. Après une tape sur les fesses

- c'était super cool mec, see you around... et tu es surement mieux avec ta teinte naturelle!

Prends-toi ça dans les dents, c'est sûr que cette teinte blondasse avec mes couilles poilues brun....ça le faisait pas vraiment.

je me levai la queue encore raide et moite et me dirigeai tranquillement vers ma chambre. entre temps la piscine s'était remplie de résidents; certains bronzaient tranquillement sur leurs transats sans faire attention à nous, la plupart nus mais pas tous, certains voulant visiblement faire le show avec des slips de bains sexy et moulants, d'autres me regardaient m'éloigner, certains étalaient leurs érection, un couple dans l'eau se bécotait passionnément.

voilà un séjour qui commençait bien...

je pris une douche sur ma terrasse comme pour continuer mon exhib, m'habillait et allai passer le reste de l'après-midi en ville et.... me débarrasser de cette teinture blonde genre connasse...

3 | Première soirée, premiers amis

L'établissement, soucieux de faire régner une bonne ambiance, organisait chaque soir une sorte de happy hour d'après dîner. Des boissons non alcoolisées et différents vins étaient mis à disposition dans les différents salons et terrasses. Seules les alcools forts étaient payants. C'était une bonne façon de faire se rencontrer les résidents car s'il y avait une proportion importante de couples et de groupes d'amis il y avait aussi pas mal de mecs venus seuls comme moi.

Après avoir dîné en ville, pris une bonne douche et mis un tee-shirt propre, défis le tour de la résidence et des différentes salles de réceptions ; certains salons étaient très fréquentés, on dansait, buvait, parlait, rigolait, d’autres moins fréquentés, présentaient une ambiance déjà plus chaude…, je rejoignis au hasard un salon juste en dessous de ma chambre. Il y avait là un petit groupe de trois mecs deux latinos et un black qui visiblement se connaissaient. Ils rigolaient bien en se partageant une bouteille de chardonnay.

Ils m'accueillirent très chaleureusement, m'offrirent de me joindre à eux et de partager "cette bonne bouteille".

La conversation tourna très vite à des commentaires enthousiastes autour de mon physique et il ne fallut pas attendre longtemps pour que les tee-shirts valsent, que les pantalons disparaissent. Bientôt tous en slips bien remplis, nous entamâmes une sorte de ronde sensuelle. Je compris assez vite que le beau black était en couple avec un des deux latinos quand le troisième ôta son slip et me proposa une belle tige à déguster. Tandis que derrière nous, le couple finissait de se dévêtir, mon partenaire prenant ma tête des deux mains, me baisait la gorge ; elle était épaisse et longue et je manquais m'étouffer à chaque "absorption".

J'avais quand même envie de ne pas me cantonner à un mec et de bien profiter du groupe entier. Je me retournai alors, le black était juste derrière moi, toujours en slip, en train de sucer son compagnon . Je me mis entre ses cuisses, baissai son slip blanc et libérai une somptueuse masse de chair brune, courbée à souhait, d'une dureté rare. Je la gobai avec délectation comprimant de mes lèvres les veinules gonflées de sang. Pendant ce temps les deux autres compères lui présentaient leurs verges à téter.

Pendant que je m'appliquais à aspirer la tige du black, un des deux gars me dit

- t'es super cambré mec, en body language ça veut dire, j'en veux une bonne dans le cul, je vais te combler.

Il vint alors derrière moi, baissa mon CK humecta d'un peu de salive et s'empala sans préliminaire aucun ; pas de doute, j'en voulais.. Je me redressai et tout en encaissant ses coups de bassins. l'embrassai avec passion. Le slip baissé aux genoux me gênais, je dus prendre quelques instants pour m'en séparer ce qui me donna le temps de voir et d'apprécier l'engin qui me ramonait quelques instants auparavant.

Une longue et fine tige, légèrement courbée et accompagnée de merveilleuses couilles bien pendues. Je ne résistai pas à me retourner pour la prendre en bouche pour l'engloutir tout en tirant sur ses gonades.

Le second partenaire voyant cela, lui aussi admiratif de ma cambrure, vint se caler lui aussi à quatre pattes sur le canapé pour me bouffer la raie, il ne restait plus au beau black qu’à faire de même ; nous devions faire une belle chaîne à nous bouffer le cul ainsi ! Mon latino pas rasé comme il se doit, écarta mes fesses, fourra sa langue dans ma rondelle, frotta son menton contre ma rainure , crachant régulièrement et s'extasiant

- putain, mec, ton petit trou est trop bon, t'es chaud bouillant mec,

Pendant ce temps je me faisait baiser la bouche à grands coups de reins. De nouveau il voulut mon cul, il me retourna face à l'autre compère et me pénétra à nouveau tandis que le black faisait de même avec mon acolyte que j'embrassai tout en lui écartant les fesses pour l'aider à accepter le mandrin du black;

Je m'enflammais en voyant cette matraque qui allait et venait dans son cul

- t'inquiète mec tu y gouteras aussi, en attendant prend ça

Et penché sur moi il glissa, tandis que la pine continuait de me pilonner deux doigts dans mon cul. Je criai un peu

- hmmm! Mettrais bien la mienne avec, mec !

Mon cavalier savait si prendre, chaque coup de reins m'arrachait de longs gémissements, il me fallait m'occuper la bouche; je pris la queue de mon compère de face et me laissai baiser au rythme donné par les coups de butoir massifs du black. Soudain, la grosse queue du black sortit de son fourreau et j'en profitai pour la lécher ainsi que ses grosses noix bien pleines.

Ils changèrent de position ; le black s'installa sur le canapé et son partenaire à califourchon sur lui. Ça m'excitait grave ; je me séparai de mon mec et accroupi derrière lui l'aidai à introduire le mandrin du black en lui quand il fut entièrement introduit, le cul bien posé sur les cuisses du black, il commença ses va-et-vient ; je m'approchai, prenant en main les couilles du black tout en léchant sa verge qui allait et venait ; un lubrifiant naturel en quelque sorte !

- viens toi aussi, me fit le latino entre deux halètements , je vous veux tous les deux.

Je courus chercher le flacon de gel lubrifiant, me mis moi aussi à califourchon sur lui et m'empalai contre la verge du black pour le ramoner en alternance avec lui. J'adorais sentir mes couilles frotter contre la verge du black. Malheureusement, dans la position instable dans laquelle nous étions, celle-ci sortait peu à peu et se retrouva bientôt dehors. Avant de reprendre ma place, j'eus toutes les peines du monde à la réintroduire tellement elle était dure et peu maniable.

Le mec que j’avais un peu abandonné, debout sur le canapé se faisait pomper par mon latino, approchai ma bouche aussi et nous nous la partageâmes en bon copains.

- A moi maintenant, nous déclara le black.

Je compris, quand il se posa contre le repose bras du canapé qu'il voulait lui aussi sentir un braquemart le pilonner ; ce fut mon partenaire qui s'y colla.

Quant à moi, je me mis debout sur le canapé, posai mon cul fesses bien écartées contre le visage du troisième compère qui y fourra sa langue pour bien humecter ma rosace puis je m'empalai sur sa queue dressée , levai et baissai frénétiquement mon bassin pour bien me faire mettre tandis qu'il branlait ma queue qui battait contre mon nombril .

Nous continuâmes longtemps à aller de l'un à l'autre de bouche en cul de cul en bouche de bite en cul jusqu'à ce que le foutre se répande.

Quand ce fut fini, il nous restai à finir la bouteille de chardonnay avant de rejoindre nos chambres.

En accompagnant mes compagnons, je vis qu'ils avaient disposé à la porte de leur chambre....le signet " please disturb ".

On verra demain !

4 |  Le bain du matin

Le matin, je fus réveillé par la lumière du soleil levant et les oiseaux qui piaillaient dans les arbres du jardin. Quelle nuit ! Hier soir, à peine avais-je regagné ma chambre et mon lit que je m’écroulai de sommeil. Ce matin, j’étais frais et heureux comme jamais, la journée avait été merveilleuse , tout mon corps frémissait encore des multiples caresses… Il était tôt un peu plus de 7h et je décidai d’aller dans le bain à remous de la piscine interne, en attendant le petit déjeuner.

A mon arrivée, il y avait déjà deux gars qui discutaient dans l’eau. J’étais descendu en short et je leur demandai si ça les gênais que je me baigne nu, ne voulant pas mouiller mon short de course. Il acquiescèrent ; j’^tais donc mon short et me glissait dans le bassin pour m’approcher d’eux et les saluer.

Quand je fus à leur côté, l’un des garçons, plutôt que de me serrer la main, me prit la verge en main et la caressa avec un beau sourire entendu. Voilà que ça recommençait ! décidément cet établissement était la maison du bonheur !

Ils me firent une place entre eux deux . A cet instant je reconnu l’un deux, c’était mon partenaire de piscine. Tout en me caressant le torse, il fit mon éloge, si je puis dire, à son compagnon qui lui me caressait la cuisse. Bientôt, je bandai et le bout de mon gland apparu au-dessus de l’eau, ce qui nous fit tous rire ; le barbu s’en empara et la caressa doucement ainsi que mes couilles toutes rabougries sous l’eau. C’était bon de se bécoter tour à tour. Ils avaient des shorts de bain mais je sentais en les tâtant le tissu en tension ; leurs bites se raidissaient et étaient à l’étroit .

Debout maintenant dans le bassin, pris en sandwich entre eux deux, nous nous embrassions fougueusement, l’un caressant mon torse, mon ventre, mes couilles l’autre caressant voluptueusement mes fesses. Je voulais retrouver le goût de la verge de mon compagnon d’hier ; je m’assis sur le rebord du bain, lui ôtai le short et gobai sa belle pine ; pendant ce temps son compagnon barbu se débarrassait lui aussi de son short de bain. Il s’approcha alors enlaça son compagnon tout en brandissant une belle verge longue, fine et surmontée d’un gros gland.

De nouveau, comme hier mon compagnon, poussait ma tête contre sa queue afin de la mettre au plus profond de ma gorge et la queue du barbu attendait caressant de son gland l’arrière de mon crane. Je la gobai à son tour ; sa courbure marquée faisait frotter le bout du gland au fond de ma gorge ; j’aimais ça, j’aimais sentir ses poils frotter contre ma bouche et mes joues, je pompai avec enthousiasme.

Il me fit relever me porta dans ses bras comme un gosse, m’embrassant goulument tandis que son compagnon frottait déjà sa queue contre mon cul. Tout en me décoctant aussi ; que c’était bon ces trois langues emmêlées.

-bouffez-moi le cul , dis-je en soupirant et en écartant mes fesses des deux mains. Le compagnon, s’assit sur le rebord et je collai mes fesses écartées contre son visage et me frottai à sa barbe naissante tandis que le barbu me pompai la bite.

Finalement je me retournai pour lui lécher le torse, les aisselles pendant que le barbu s’enfonçait en moi. Je ne savais pas où donner de la tête entre ces deux beaux corps offerts, j’allais de l’un à l’autre tandis que le barbu continuait à me ramoner de sa longue verge courbe. C’était amusant car ses coups de reins provoquaient de grosses vagues à la surface du bassin. Soudain, alors que je pompai assidument son compagnon, le barbu ôta sa queue de mon cul et commença un long doigté avec trois puis quatre puis toute la main, presque un fist. Puis m’ayant bien ouvert, revint me pilonner longuement avant de se retirer de nouveau.

- Préparer le cul de mon mec, me dit-il je vais le baiser aussi.

Son compagnon se positionna contre le mur, leva une jambe et je m’enfonçai entre ses globes, léchant sa rondelle et m’introduisant en lui. Le barbu l’empala alors et je me saisis de sa verge pour la gober en même temps.

Nous en eûmes un peu marre de l’eau, nous sortîmes, sur la terrasse attenante , je me mis à quatre pattes sur un transat posé là, gobai la tige du barbu offrant mon cul à son compagnon qui repris ses coups de butoir me poussant sur le pubis du barbu.

Peu de temps après le barbu me demanda de bien bouffer le cul de son compagnon car il voulait le baiser Avec plaisir répondis-je !

Celui-ci se mis à quatre pattes sur le transat, cuisses bien écartées , j’écartai le plus possible ses deux globes m’offrant à la vue et à la langue une rondelle déjà bien ouverte que je bouffai avec délectation tout en tenant sa longue verge en mains.

Au bout d’un moment, Le barbu me repoussa et empala son compagnon ; pour ma part je me mis sur le dossier du transat pour qu’il me suce tandis qu’il se faisait mettre

- Il est à toi maintenant !

Sans hésiter j’allai derrière son cul et le pénétrai aussitôt, poussé par le barbu qui voulait que j’intensifie mes coups de reins ; puisque cela ne semblait pas être assez puissant il m’encula à mon tour et donna par ses coips de bassin le rythme qu’il entendait donner.

Puis, il nous sépara, me jeta avec force sur le transat et demanda à son compagnon de me baiser. Il me pilonna longuement tout en serrant fortement mon cou me rendant la respiration très difficile, je me branlai alors furieusement et c’est à peu près étouffé que j’eu mon orgasme expulsant de puissants jets de foutre jusque sur mon visage. Le barbu approcha sa queue de ma bouche et jouit à son tour puis son compagnon en plusieurs spasmes intenses inonda mon rectum de sa semence.

Quand il se retira, il resta un moment le visage contre mon cul, baisant délicatement mes fesses et attendant de voir son foutre s’écouler de ma rosace. Il en lécha quelques gouttes puis réintroduisit le reste avec son gland dans mon anus.

Ils me laissèrent enfin là, cuisses écartées, cul ouvert, épuisé. Avec deux doigts, j’allai cherche un peu de foutre et les portai à mes lèvres.

Après cela , enfin un bon bain, seul !

La journée commençai bien. Vivement le petit dej !

5 | Doggy

Après « mon très animé bain matinal » , je me rendis à la salle à manger pour engloutir un copieux petit déjeuner ; un grand besoin de calories après toutes ces galipettes. C’est là que je partageai la table avec un barbu plutôt costaud qui s’appelait Ross. Bien qu’il soit habillé un peu en décalage pour un établissement de vacances, il portait un pantalon noir et une chemise blanche genre business man, ce mec envoyait à l’entour des phéromones à plein nez tellement il était sexy et attirant… Après avoir échangé de choses et d’autres, il me dit qu’il m’avait vu le premier soir dans mes ébats avec mes trois autres compagnons. Il était resté un moment à nous regarder et il avait, me dit-il flashé sur moi.. Il me dit aussi d’une façon très directe qu’il m’avait trouvé très « doggy» et il me proposait de passer la matinée avec lui. Il était très stressé et avait besoin d’un mec soumis pour le calmer ; il était en outre persuadé que j’allais découvrir des plaisirs insoupçonnés en moi. Je donnai mon accord, sans trop savoir ce qui allait se passer. Après tout ce séjour de vacances devenait très expérimental... Je le suivi dans sa suite où il me demanda de me dévêtir complètement.

Puis il s’installa sur le grand canapé de la terrasse et me demanda de lui servir de repose-pieds pendant qu’il passait quelques appels téléphonique. Je m’exécutai bien sûr, j’avais accepté le deal.. Des résidents passaient de temps en temps devant nous, jetant un regard amusé sur la scène. Ses voisins de la suite d’a coté le saluèrent et lui firent des compliments, non sans un certain humour, sur son nouveau « repose-pieds ». Quand il eût fini ses appels, il me demanda de lui lécher les pieds.

- Nettoie bien mes plantes des pieds ; oui comme ça ; suce-moi chaque orteil ; hmmm ! c’est bon, tu aimes mes pieds ?

- Ouiii, c’est délicieux, répondis-je plus par jeu que par conviction.

Je dois dire quand même que je bandais un peu ; ce n’était pas ses pieds qui m’excitaient, non, c’était plutôt le fait de mener une nouvelle expérience, l’idée de jouer le jeu d’un inconnu, d’être effectivement un peu vulnérable, de me mettre à la merci de ses désirs inconnus encore à ce stade et puis toujours mon coté exhib, être vu ainsi me plaisait et participait à mon excitation.

- Essuie mes pieds avec ta queue, oui comme ça ; branle-toi avec mes pieds, hmmm tu aimes ? tu as une très belle queue, tu le sais, non, on te l’as souvent dit je suis sûr !

- Continue de me nettoyer ce pied mais montre-moi ton cul, baisse-toi.. hmm, joli tanline, c'est à Manhattan que tu bronze comme ça ?

Et après avoir caressé mes fesses avec son pied, il le glissa entre mes globes, frottant ma rosace avec son gros orteil.

C’était plutôt bon ! je lui suçai le gros orteil tandis qu’il tentait de me pénétrer avec l’autre gros orteil ; plutôt cocasse…mais agrémenté de ses commentaires salaces, cela devenait plus excitant. Il commençait vraiment à s’enflammer. Moi je m’acharnais sur ses orteil, tout en caressant ses jambes et sa braguette de pantalon, il bandait bien, une belle promesse à venir… il déboutonna sa chemise faisant apparaître un torse puissant et velu.

- Défait ma ceinture et mon pantalon avec ta bouche, mec, vite ma queue est à l’étroit dans mon slip !

Je m’exécutai ; quand la ceinture fut défaite, il me gifla gentiment avec tandis que je m’évertuai à ouvrir son pantalon, toujours avec la bouche ; plutôt difficile ! je réussis néanmoins à descendre sa fermeture éclair avec les dents. Je baissai ensuite son pantalon et fut giflé par une grosse queue veineuse qui jaillit subitement de son froc. Ça sentait bon le mec. Je collai mon nez dans sa toison, sur son gland.

- Tu aimes l’odeur , mec tu aimes cette odeur de sueur, j’ai passé la nuit en boîte à danser et je n’ai pas pris de douche ce matin ni enlevé mon pantalon en pensant à toi…

En effet je sniffai profondément ses couilles, son entrejambe velu, son gland ; cela sentait fort la sueur, l’urine… effluves masculines qui me firent chavirer.

Il souleva ensuite ma tête me fourra trois doigts dans la gueule et fit mine de me baiser violemment avec.

- Ta bouche est assez grande et profonde pour ma queue ? qu'en dis-tu et il m’enfonçait violemment ses doigts jusqu’à me faire presque vomir.

Si elle était effectivement massive et longue, j’en avais vu d’autres et je fus capable de la gober entièrement, profondément, le nez dans sa toison.

- Good boy, continue pompe-moi à fond, oui comme ça

- Maintenant, continue ma toilette, nettoie bien mon cul

Je me précipitai vers sa raie bien écartée ;humai les effluves acres de son intimité, léchai l’humidité de ses poils et léchai sa rondelle. Il aimait ça et me poussait vigoureusement la tête de la main pour que ma langue le pénètre bien ; un vrai bonheur, je n’hésitai pas non plus à passer mon menton pas rasé contre sa fine raie ce qui le fit gémir de plaisir. En même temps je tendais sa verge au maximum vers moi afin de la lécher aussi.

Après cela il me retourna, me mis à quatre pattes sur le sofa, tira sur ma queue comme pour la traire, m’écarta ensuite les fesses et me fourra sa langue dans ma rosace.

Il cracha deux ou trois fois, introduisit sans difficulté un doigt puis me lima avec trois

- Putain mec, ton petit trou est un régal !... je sens qu’on va s’éclater tous les deux et il y introduisit deux doigts d’une main puis deux autres doigts de l’autre main qui écartèrent mes sphincters

- Allez, ouvre bien ton trou pour moi, ouvre-moi ça bien large !

Il reprit ensuite ma queue , l’attirant vers l’arrière et tapota gentiment mais fermement sur mes boules, ce qui effectivement était plutôt douloureux mais qui l’amusait beaucoup.

Même s’il avait préparé le terrain, accepter son braquemart ne fut pas une mince affaire. Assis sur le canapé, il me demanda de le chevaucher et de m’empaler sur lui, J’avais beau descendre doucement, le poids de mon corps me poussait inexorablement vers le bas et bientôt j’eus mes cuisses sur les siennes et sa verge toute entière en moi.

Puis après quelques va-et-vient du bassin, tout alla bien, je bandais à fond et j’allais et venait sur lui tout en me branlant.

C’était hyper bon mais épuisant et au bout d’un moment je me séparai de lui, pour profiter de son corps, parcourir avec ma langue son bas-ventre et son torse velu et m’abandonner dans ses aisselles humides et odorantes.

Puis, je l’enfourchai de nouveau, mais cette fois face à lui ; je pouvais ainsi, tout en allant et venant sur lui le bécoter, lui baiser le visage. Soudain, me prenant sous les genoux il me souleva et se leva et accroché à son cou, me pilonna. Cette position était enchanteresse et me rapprocha plusieurs fois de l’orgasme et lui aussi.

Maintenant que mon anus était bien dilaté, il me coucha de nouveau sur le canapé et me pénétra par derrière par à-coups entrant et sortant sa verge, admirant mon cul ouvert et s’enfonçant de nouveau.

Il voulu faire de même avec ma gorge qu’il vint défoncer longuement.

- Je vais jouir maintenant mec, ouvre bien ta grande bouche !

Il inonda mon visage et ma langue de belles giclées de foutre puis me laissa tomber allant consulter ses courriels à l’autre bout du sofa.

Je n’avais plus qu’à me branler tout en le regardant. A un moment il m’offrit ses pieds pour ma branlette et je jouis sur ses pieds que je n’eus plus qu’à lécher ensuite.

- J’ai envie de pisser, je remonte dans ma chambre, me dit-il ensuite. Me laissant là seul sur le sofa.

Il monta juste quelques marches et se ravisa ;

- Finalement, j’ai la flemme de monter, je vais pisser sur toi, je vais te donner le bain,

C’était là encore une première pour moi

Je me retrouvai finalement trempé de son urine sur le sol de la terrasse

A suivre pour le reste du séjour...

Garbxc

Certaines histoires sont inspirées de petits films de boules que j'ai bien aimé et que j'aime raconter avec des mots ; si elle vous plait et si vous voulez en voir l'illustration filmée, rendez-vous sur mon blog .

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💦 26 Décembre | 58 pages

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5 janvier, + 78 pages en Avant-première

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