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HISTOIRE

Chantier

Chaque jour à la même heure je prends ma voiture et me dirige sur le chantier où ma future maison est en construction. C’est extraordinaire de voir arriver les éléments de construction et la vitesse à laquelle les bâtiments sont assemblés.

J’observe avec fascination les ouvriers qui œuvrent à monter les murs à une vitesse incroyable. Ce sont des personnes aux spécialités diverses, et ils n’ont pas la même conception du temps que moi, si ce n’est d’être content lorsqu’une journée se termine. En tout cas, je suis admiratif…

Lorsque le gros œuvre fut terminé, il n’y avait pas encore de châssis installés au bâtiment. Donc, je me suis dit qu’une petite visite d’inspection ne serait pas une mauvaise idée pour vérifier les détails.

Me voilà à l’intérieur, le rez-de-chaussée est facile à inspecter, la surface largement ouverte offre une vue générale sans perturber mon regard. Dès lors, je me décide de grimper à l’étage en utilisant l’échelle qui est posée à la place du futur escalier.

Arrivé au premier étage je pose les pieds sur la chape en béton et j’entends des voix. J’avoue hésiter un instant avant d’aller voir ce qu’il se passe.

Curiosité oblige, j’avance discrètement. Je jette un œil dans un angle mort sur ce qu’il se passe.

Il y avait quatre ouvriers qui prenaient leur repas et je ne comprenais rien à leur discours. L’accent n’avait rien de ceux qui m’étaient familiers.

Sur le sol, il y avait un tapis improvisé avec une toile et des blocs en plâtre formaient une table, même un barbecue avait été aménagé. Quelle organisation !

Ma discrétion n’était pas au top. Tout en souriant, ils me font signe de m’installer avec eux. J’ai fait mine de refuser mais ils insistaient. Alors j’ai dit d’accord, juste un petit peu.

L’un des quatre ouvriers s’est exprimé avec un français un peu amusant, - et je ne me moque pas, mais assez pour que je comprenne. Je fus surpris, mais heureux de pouvoir communiquer. J’adore les nouvelles rencontres d’ailleurs…

Lui : « Vous… acheter ici ? »

Moi : « Oui, je suis le propriétaire de la maison »

Lui : « Bientôt fini travail, vous habiter seul ? »

Moi : « Non, j’ai une petite famille et beaucoup d’amis ! »

En grignotant mon morceau de viande et un bout de pain, je regardais mon interlocuteur. J’attendais qu’il me dise quelque chose, leur origine, le temps qu’ils allaient passer sur le chantier, si l’équipe avait un point de chute, bref faire connaissance. Mais je ne m’attendais pas à ce qu’il allait me dire :

Lui : « Toi avoir regard chaud sur moi ? », « toi dire rien mais moi bien savoir ! »

Moi : « Pardonnez-moi, je ne voulais pas vous mettre mal à l’aise, je vais vous laisser continuer votre repas entre amis, je vais partir. »

Lui : « Pas partir, pas avoir peur, toi bien venu ici. Pas de problème si toi aime les hommes, nous te donner plaisir si toi veux ? »

J’avalais ma salive, mon cœur battait à cent à l’heure. J’étais déstabilisé mais excité à l’idée de m’offrir à une équipe visiblement prête à me rentrer dedans. Je vais en prendre plein le cul ce matin et pas seulement par une queue. En voilà quatre à ma disposition…

Sans plus attendre, je me suis dit qu’il fallait tout de suite réagir avant que ce ne soit trop tard.

Moi : « Tous les quatre, vous seriez d’accord de me sortir votre queue là tout de suite et moi je vous suce ? »

Lui : « Toi être d’accord ? je dis et mes amis vont te baiser ! »

Je fus stupéfait, car en trois mots, j’avais devant mes yeux quatre mecs avec la queue en dehors du pantalon.

Le plus jeune s’avança le premier. Sa queue dégageait une énergie puissante, chaude et hormonale. J’attrapais sa tige à pleine main. Quelques petites caresses et la voilà déjà palpitante, humide et surtout prête à exploser de toute son ardeur.

Bien tendue, je collais mon visage à cette queue généreuse en la reniflant à grande inspiration. Il mouillait sur le bout de mes doigts. Ma bouche grande ouverte, je glissais son gland doucement en le collant sur ma langue. Lorsqu’il toucha le fond de ma gorge je refermais ma bouche en moulant toute sa grosse queue avec ma langue. Je la sentais gonflée, forte et baveuse. Il attrapa ma tête et poussa sa queue plus loin encore, il aimait pousser très fort et moi j’aimais le sentir aller et venir dans ma bouche.

Il ne lui fallut que trois minutes pour jouir. Je senti son jus bien chaud me placarder la gorge. Je resserrais les lèvres pendant qu’il sortait sa grosse bite doucement de ma bouche. Quand son gland fut prêt à sortir, ma bouche se resserra un peu plus. J’aspirais les dernières goutes avec délectation, gourmandise, son jus avait un goût salé très agréable. Je venais de prendre mon premier homme.

Cette verge voluptueuse et bien juteuse en dehors de ma bouche, ma langue fit un dernier tour de lèvres pour racler le nectar de mon jeune athlète. De mon indexe je fis signe au deuxième homme de se présenter devant ma bouche.

Un peu hésitant, il présenta sa queue quelques secondes. Le temps de le laisser aller au fond de ma gorge. Mais il me fit comprendre que ce qu’il voulait était autre chose, plus bas. Ma raie semblait lui donner un ordre, « encule cette salope, défonce son cul ! »

C’était assez claire, j’ôtai mon pantalon vite fait. A quatre pattes, ses doigts commencèrent à fouiller ma petite fente. Il prit de la salive avec ses doigts, puis les enfonça sans politesse. J’essayais de ne pas me contracter, du coup ça devenait plus sympa et pas déplaisant pour autant.

Le bougre n’avait pas envie de traîner. Ses doigts retirés, son gland me transperça le fion comme une punition. Une salve de va et vient pilonna mon trou, ce mec me pinçait les fesses avec ses mains puissantes en ajoutant quelques gifles, il me montait comme on monte une jument encore sauvage.

Et puis une nouvelle salve de va et vient, il sortait son dard pour le rentrer aussi vite. Il laissa échapper quelques petits gémissements, ses mains s’agrippèrent à mes hanches pour aller au plus profond de mon trou, il grommela quelques cris et articula des mots dans sa langue que je ne pus comprendre. Je regardais son visage satisfait, déversant sa semence dans mon antre. Je commençais à avoir très chaud.

Mes vêtements me gênaient. Je fus en un clin d’œil complètement nu. Le troisième homme me pria de rester debout quelques instants. Il enleva son pantalon et se coucha sur le dos collé au tapi. Sa bite droite comme un I, il me fit comprendre de m’installer sur lui. Je le chevauchais de cette façon très profondément. Mon fion gourmand avalait sa queue, j’allais et venais sur cette tige pleine de désir. Son corps chaud comme la braise faisait monter la température encore plus intensément. Son gland était large, sa tige bien longue. Du pur bonheur quand on aime avoir du très très bien membré dans son trou. J’adore le XXL, ça tombe bien.

Il releva le torse en s’appuyant sur les avant-bras, les abdominaux étaient splendides, il me prit dans ses bras puissants et me coucha sur le dos. Heureusement qu’il y avait le tapis. Ses mains étaient rugueuses, j’avais les jambes en l’air et le cul bien offert. Sa queue arriva dans mon trou comme une torpille, « hoooo, ouiiii, défonce-moi, vas-y bien au fond ! »

Les mouvements de va et vient étaient d’une intensité explosive, j’avais devant moi un soldat entrainé pour une mission d’envergure exprimant toute sa force et le désir de défoncer mon cul. Son jus arriva comme un volcan, chaud, violent, expulsant toute sa nature destructrice. Il aimait sortir vainqueur de notre petite bataille sexuelle. Lorsque les spasmes furent moins intenses, il présenta sa queue devant ma bouche comme on rapporte un drapeau vaincu.

Je devais le nettoyer pour le remercier d’avoir craché sa semence. Avec plaisir je pompais son gland encore bien gonflé aspirant les dernières petites goutes de son nectar. Là, c’était moi qui avais gagné, j’avais le dernier mot, la dernière goute. Je souriais satisfait autant que mon guerrier.

De tous mes hommes, j’attendais le dernier avec impatience. Mon interlocuteur.

Mon premier contact, celui qui, par je ne sais quel heureux hasard, m’a offert un moment de plaisir aussi improbable qu’incroyable en partageant avec moi quelques mots amusants.

Il attendait son moment très sagement profitant du spectacle tour à tour interprété par ses amis et moi-même.

Pendant que je branlais mon interlocuteur, le jeune homme qui avait été le premier à être pompé revenait vers moi la queue au garde à vous.

Je compris que ma main ne lui suffisait pas. Dès lors, je pris sa queue dans la bouche et commençais à sucer son gland déjà très humide, son liquide pré-séminal était abondant, - j’avais toujours beaucoup de plaisir à sucer une queue bien baveuse. Je poussais donc sa queue au fond de ma gorge. Je la faisais profonde et large pour qu’il puisse descendre au maximum.

Mon interlocuteur prit ma tête entre ses deux mains et entreprit des mouvements de va et vient de courte durée. Il laissait apparaitre ses émotions avec sensualité, il pinçait sa lèvre inférieure dans sa bouche et plissait les yeux avec grâce. Il aimait ma gorge profonde et poussait son gland tout au fond en répétant par salves le fait de fouiller ma gorge au plus loin.

Le jeune homme se plaçait derrière moi. Sa queue était bien dure. Mon fion encore tout chaud et lubrifié par le flot de sperme reçu par le guerrier, facilitait la pénétration de la queue du jeune homme. Il m’attrapa les hanches, poussa sa bite au fond de mon trou puis la ressorti et recommença plusieurs fois. Ses mains claquèrent sur mes fesses, il m’écarta les fesses pour s’offrir une vue de la dilatation de mon trou.

Son petit cri laissa entendre qu’il jouissait pour la deuxième fois, mais cette fois dans mon cul. Je pompais toujours mon interlocuteur, sa queue me donnait beaucoup de plaisir.

Le jeune homme s’était arrêté de me pilonner. Il se mit à me pénétrer avec ses doigts. Très excité, il avait envie de me fister. Je n’avais encore jusqu’alors aucune expérience dans cette pratique.

Vu le nombre de bites qui avaient traversé mon fion, il commençait avec trois doigts. Le quatrième arriva très vite. Mon fion se dilatait très bien. Une partie de sa main était en moi mais pas encore entière, elle était à mi-chemin dirais-je.

Il travaillait mon cul en faisant des demi-cercles et j’aimais beaucoup son touché. Lorsque la main entière me traversa, j’eu une sensation incroyable. Une légère douleur qui tout de suite après est devenue une sensation de plaisir.

Le poignet était moins large et me faisait moins ressentir la dimension, mais sa main était belle et bien dans mon cul et je la sentais énorme. Des mouvements de va et vient léger et puis rapide me firent frémir, haleter. J’en avais les larmes aux yeux. Il pouvait toucher ma prostate de sa main, jamais je n’aurais imaginé un tel plaisir aussi démentiel.

Je suçais plus intensément mon interlocuteur. Mon jus commençait à monter, ma queue devenait plus raide. Je dis à mon interlocuteur qu’il fallait continuer à me pilonner le fion plus vite, j’allais jouir, c’était si intense, si jouissif.

Je ne pus retenir plus longtemps ma jouissance, mon gland explosait, je crachais mon foutre partout.

Mon athlète donnait tout ce qu’il pouvait. Je m’enfonçais plus fort sur cette main dans mon cul et cette queue dans la gorge.

Mon interlocuteur prit de spasmes éjacula une vague dans ma bouche. Puis, il sorti sa queue pour lâcher une deuxième fois sur mon visage son sperme tout chaud. Mon jeune homme sorti sa main sans retenue, la sensation de plaisir était mélangée à la sensation de douleur. Putain de fion, je suis une pute de salope avec un trou aussi large.

Mon fion me donnait la sensation de n’être plus rien d’autre qu’une zone dévastée, un volcan qui venait d’exploser, de cracher sa lave incandescente. Des battements pulsaient autour de ma rondelle autant à l’intérieur qu’à l’extérieur.

Sur mon visage, je raclais le sperme encore dégoulinant de mon interlocuteur et le dégustais sans retenue. J’étais satisfait et mes hommes l’étaient aussi. C’était parfait, un final royal.

Nous étions animés par le plaisir que chacun avait offert et reçu. Ils n’étaient pas de ceux qui cherche à offrir de la tendresse, juste du plaisir.

L’atmosphère moins sexuelle, je me rhabillais et m’offris une gorgée de ce vin encore à moitié présent dans mon gobelet.

Le calme ainsi revenu, je repris un morceau de viande et un bout de pain et fit un petit compliment en levant le pouce pour leur dire que c’était vraiment un moment que je n’oublierai pas.

Lorsque je descendis à l’échelle, j’avais déjà envie de remonter. Mais il fallait laisser cette charmante équipe continuer à travailler pour pouvoir profiter de ma future habitation…

Elixir DeVie

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