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Retour en Afrique du Sud : 1
Pendant les vacances de la toussaint, Grégoire et Issa retournent en Afrique du Sud.
Grégoire :
Nous profitons Issa et moi des 1ères vacances pour retourner voir l’ancien boss d’Issa et surtout ses potes !
Vol sans histoire même si long, nous sommes attendu à Johannesburg par le boss en personne. Il tenait à nous accueillir lui-même. Il est heureusement surpris d’Issa. Son développement musculaire et son assurance l’enchante au plus haut point. Dans le long trajet qui nous emmène à son exploitation, il a le temps de nous faire parler. Issa lui confirme qu’il est devenu autant actif que passif. A m’entendre le boss passe sa langue sur ses lèvres !!
Lui nous raconte un peu la vie sur place depuis notre départ. Le deuxième sling construit pour ses employés, le renouvèlement d’un tiers de ces derniers. Il nous précise que ceux-là sont actifs et passifs. Car Malhagana, ne pouvait être le seul avec lui-même à l’être. Physiquement les besoins de la 20aine de ses autres employés dépassaient leurs capacités conjointes.
Le petit frère de Mapo a décidé de passer une année avec eux. Je me rappelle l’avoir enculé chez lui alors que son frère dormait dans la pièce à côté. Il avait aimé ça ! Je me souviens aussi de ses merveilleux 28x7 !
Quand nous arrivons, ils sont tous là. Je reconnais de loin Mapo et son paquet volumineux et son frère qui arbore le même. Les six nouveaux se ressemblent. Nous apprendrons plus tard qu’ils sont tous du même village (certains sont même cousins plus ou moins éloignés).
On se fait fêter par les anciens. Mapo m’accapare et me roule un patin à me faire voir 36 chandelles ! Jusqu’à ce qu’il se fasse bousculer par son petit frère qui, à son tour, envahi ma bouche de sa langue. En 6 mois le gamin s’est étoffé bien qu’il partait déjà gagnant (rugby).
Petit coup de blues quand le boss indique que nous serons logés dans la grande maison mais vite balayé par sa déclaration comme quoi nous serions totalement libres de nos faits et gestes, nuits comprises.
On se quitte sur la promesse de passer quelques nuits avec eux tous. Surtout que parmi les nouveaux, il y en deux de vraiment canons et pas que dans leurs slips !
On s’installe chez le Boss. On retrouve au diner la vieille cuisinière sans âge et un des nouveaux au service. En tenue classique, il me fait bander direct ! Dans les 18ans, imberbe, très noir, le slip local bien plein devant comme derrière, il est craquant.
Le Boss nous en parle quand il est en cuisine. Il est le remplaçant d’Issa au service de la maison.
Ce premier soir nous le consacrons à notre hôte. Issa doit lui raconter tout ce qui lui est arrivé en France. Lez boss est content pour nous deux. Après un bon whisky, nous le suivons dans sa chambre. Il veut nous dire que ce n’est pas nécessaire mais nous ne l’écoutons pas.
A genoux, je le suce et il bande ferme. Issa s’occupe de l’autre face et lui assoupli la rondelle à grands coups de langue et d’une tonne de salive.
gland dans la gorge alors qu’Issa s’enfonce dans son cul.
Sans difficultés puisqu’il est défoncé tous les soirs par du 6 de diamètre minimum. Le Boss est content de voir Issa en position d’actif. Et surtout de sentir sa bonne queue ramoner son conduit.
Je le laisse faire une bonne 10aine de minute et propose une double. Je me couche sur son lit et les attend.
Il vient m’enjamber. Je tiens ma queue bien verticale et il se plante dessus je nage un peu mais c’est temporaire. Issa me rejoint bientôt et je me retrouve bien serré alors. Le Boss apprécie la double prise et s’agite sur nos deux bites collées.
J’en arrive à lui demander s’il l’avait déjà fait avec ses deux meilleurs étalons, Mapo et son frère ?
Boss : « non pas encore, ils seraient trop gros ensemble ».
Moi : « ça se prépare un coup comme ça, mais avec votre expérience ce devrait être possible ».
On en reste là et avec Issa nous le terminons avec deux positions complémentaires. Il me jute dessus. Avec Issa on n’est pas arrivé jusque-là.
Nous le laissons et quand on rejoint notre chambre, après la douche, on s’aperçoit qu’on a pas envie de dormir.
En slip (Européen, AD) nous rejoignons le logement des employés. Ils sortent des douches et nous font la fête. Enculer le Boss n’était pas désagréable mais là on va, Issa et moi, se faire défoncer comme des reines.
Mapo s’impose aux autres (c’est toujours le chef). Il nous encule le premier. Issa renoue avec les 28x7 de son initiateur et moi avec le plus gros calibre que je ne me sois jamais pris (en humain).
Cela fait il dirige les opérations. Il calme la troupe qui sinon nous serait passée en totalité dessus et choisit qui nous sodomisera après lui. J’oriente son choix vers son petit (qui ne l’est plus du tout, petit !) frère.
On se roule un patin de reconnaissance. Sa queue vient soulever mes couilles et s’insinuer entre mes cuisses jusqu’au-delà. Ma que bien verticale est compressée entre nos abdos.
Notre pelle dure un peu trop longtemps pour nos mateurs. Je le capote et lui tourne le dos. Autant profiter de l’élargissement de ma rondelle par son frère. Bien graissé, il s’introduit jusqu’aux couilles. Trop bon !! Son gland plus oblong ouvre bien mon boyau au diamètre de sa hampe. Et quand je sens ses couilles rasées coller aux miennes j’apprécie le petit coup de rein qui s’assure du fait.
Il me démonte la rondelle encore plus fort que son frère. Il sait que tout à l’heure ce sera moi ! Par rapport à la première fois entre nous, il a bien progressé. Depuis 3 mois qu’il a intégré le groupe du Boss, il a augmenté son expérience et sa résistance aussi. Je ne peux m’empêcher de me redresser et de tourner la tête pour qu’on se pelle en même temps. Téter sa langue ajoute à mon excitation.
A nos côtés, Issa se fait démonter par « la bête » un de ses collègue surnommé ainsi à cause de sa musculature impressionnante et sa grande résistance à jouir.
Quand Mati (Matimpula le petit frère) ma glisse dans l’oreille qu’il veut ma queue, je le désengage et viens vite prendre sa place. Sa rondelle n’a aucun mal à se dimensionner à mes 20x5. Il est chaud et son cul bien rond est à lui seul une source de bandaison.
Je me penche et lui demande tout bas à l’oreille s’il s’était pris son grand frère dans le cul. Réponse sur le même registre : « non, mais j’aimerais bien ».
Tout en continuant de l’enculer je me demande comment arriver à réaliser son phantasme.
J’en suis là de mes réflexions que je me sens défoncé à nouveau. Mapo a repris la place !
Il me dit que ce n’est que normal vu que je me fais son petit frère. J’acquiesce en ajoutant qu’un mec sur sa queue et un autre dans le cul c’est grave bon !
La situation me replonge quelques mois auparavant quand je me faisais défoncer chaque soir par leurs belles queues XXXL.
Quand on rentre à notre chambre, Issa est aussi content que moi. On se roule une pelle et dodo.
Le lendemain, le Boss discute avec moi de ma situation. A 21 ans et en troisième année d’agro, il me reste 2 ans d’études avant de m’installer. Je lui dis qu’actuellement je me fais la main en assistant un collègue sur ses 400 ha de polycultures tout en continuant à aider à l’élevage de mon paternel.
Pour Issa, il fait une formation agricole de type Bac pro mais préfère toujours s’occuper de la maison et des chevaux ce qu’il fait à mes côtés chez le même collègue.
Il me questionne aussi sur ma famille, frères, sœurs. Il en vient à mes liens avec Issa.
J’avoue, avec ce dernier c’est de l’amour entre nous. Il me demande alors si les très gros calibres ne me manquaient pas, rapport à mes expériences « extrêmes ».
Non, pour moi cet épisode s’est terminé avec mon stage chez lui. Des mecs montés plus de 25cm et larges de plus de 6 de diamètre pris seuls ou en double avait comblé mon désir d’écartèlement anal. Même au retour en France, Issa comme tous les jours suffisait à me satisfaire. Au pire on usait de la collection de godes blacks.
Issa subit plus tard le même genre de questionnement.
Sasha profite de notre séjour pour nous envoyer au cap chez le couple mixte.
Je suggère que nous emmenions avec nous Mati. Il en meurt d’envie et les clients seront probablement content d’un « petit nouveau ».
Ils confirment et prennent en charge les frais de notre collègue. Quand nous lui donnons son salaire pour le WE, il est scié. Avec ça il peut déjà financer ses études sans même avoir à continuer cette année d’« intermède ».
Vol jusqu’au Cap sans problème et quand il voit les clients, il est rassuré. Physiquement ils n’ont pas bougé, toujours aussi affutés et déjà leur excitation se voit. Les slims sont déformés par leurs gros paquets.
Trajet à l’arrière de la grosse Mercédès. Ils nous questionnent un peu sur les quelques mois passés et sur notre nouvel ami. Surtout sur lui d’ailleurs !!
Nous retournons la grosse villa qui surplombe l’océan.
Dès la porte fermée, c’est l’assaut de nos petits culs. Issa et moi sommes les deux premiers à poil mais Mati se retrouve vite dans le même appareil. Il fait l’admiration de nos deux clients. Je vois même le black prendre du temps le caresser, ce qu’il n’avait pas fait avec Issa les fois précédentes.
Ce n’est pas qu’il soit beaucoup plus mignon qu’Issa mais il est je crois de la même ethnie que le client.
Ils se focalisent sur lui et Issa et moi devenons spectateurs. Mieux qu’un film de boules en 3D !
Mati se laisse faire. Après s’être retrouvé coincé entre les deux à se faire rouler des pelles nous le voyons se faire pomper par le blanc et préparer la rondelle par le black. Toutes les queues sont raides et les 28x7 impressionnent même le black.
Les clients échangent leurs places et nous voyons le black obligé de forcer pour avaler la totalité du sexe de notre nouveau collègue.
Issa comme moi bande dur. On se contente de se caresser pour ne rien louper du spectacle.
Ce qui nous impressionne aussi c’est que le blanc, sans plus qu’un coup de langue sur son trou par son copain, s’enfonce direct les 28cm de Mati juste capoté.
Son copain qui nous voit surpris nous dit qu’il l’avait enculé juste avant de venir nous chercher.
De son côté, les doigts qu’il a enfoncé dans la rondelle de Mati l’informent vite de sa capacité d’accueil. A son tour, il se capote et lubrifié, s’enfonce dans le cul de Mati. Gros soupir des deux parties.
Habitué maintenant aux sexes TTBM des copains de son frère, Mati n’a effectivement aucun mal à se faire saillir par notre client.
Ils s’essayent à plusieurs positions (enfin surtout pour le blanc) avant d’intervertir.
Le black se positionne à 4 pattes sur la table basse et attend avec je crois un peu d’appréhension la venue de Mati. Sans changer de capote mais après s’être fait recouvrir de gel par le blanc et guidé par lui, il s’enfonce dans le cul black.
Grosses prises de respirations qui me font m’approcher du groupe pour proposer du poppers à l’enculé. Il m’attrape la main se met le flacon sous le nez et respire fort. Effet immédiat. Mati s’enfonce jusqu’aux couilles dans une seule et dernière poussée d’au moins 15cm !
Immobilisation du duo. Mati attend le Black. Quand ce dernier commence à rouler du bassin, il l’attrape par les hanches et commence à lui limer la rondelle. Le blanc regarde comme nous son mec se faire défoncer la rondelle. Il nous souffle que c’est vraiment sa première TTTBM. Jusqu’à présent il en s’était jamais pris plus que ses propres dimensions à lui soit du 26x6.
Il les laisse jouer quelques minutes et entre à son tour dans le plan. Après avoir bloqué Mati au fond de son mec, il s’est enfoncé en lui sans difficultés.
Le client black est le premier à juter sous l‘action des 28x7 de notre collègue. En cascade Mati et le Blanc font de même.
Issa et moi nous approchons du trio. Mati est un peu aux abonés absents mais les clients nous attrapent et se mettent à nous pomper vorace. Le black s’occupe de ma queue et le blanc de celle d’Issa. Plus « classique ».
Nous sommes surpris à juter relativement rapidement. En 10mn de gorges profondes nous leur faisons deux belles faciales.
Jardinier
Aux pilleurs de récits qui n'ont pas assez d'imagination, mes textes, depuis Soumission 5 ont tous été déposé chez " Copyright France " afin de prouver l'antériorité de ma propriété par rapport à vos publications plagiaires sur AMAZONE KINDLE !!
