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Le lendemain, en sortant du travail, je monte dans le bus et aperçois Zach à l’arrière, toujours avec sa capuche.
Ne sachant pas vraiment ce qu’il veut, je m’assois à l’avant, comme à mon habitude.
Le bus à peine reparti, il se lève et vient s’asseoir à côté.
Je décide de me montrer sympa : « salut, tu vas bien ? »
Zach : "mieux maintenant que je sais que je passe la nuit chez toi."
Il affiche un grand sourire sous sa capuche.
Moi : « toute la nuit carrément ? »
Zach : « faudra au moins ça tellement j’ai les couilles pleines… J’espère que c’est bien insonorisé chez toi… »
Je sens des vibrations dans mon bas ventre.
Je sais qu’il est bien équipé, mais là j’ai juste envie qu’il me baise.
On arrive à mon arrêt. On sort. Les 3 minutes de marche me semblent interminables.
On arrive au pied de mon immeuble. Je me trompe dans le code du sas tellement je suis pressé d’être chez moi.
Il rigole.
Zach : « c’est moi qui te fais cet effet-là ? »
J’arrive enfin à ouvrir cette foutue porte.
On arrive dans l’ascenseur. J’appuie sur le bouton numéro 3.
Les portes se referment et il me plaque contre le mur.
Il me roule une pelle divine.
L’une de ses mains se glisse dans mon jean et vient me presser les fesses.
Alors que je m’amuse à lui sucer ses grosses lèvres, il se décolle un peu.
Zach : « tu me fais beaucoup d’effet aussi. »
Et il reprend possession de ma bouche.
Les portes s’ouvrent au 3ème. Ni lui ni moi n’avons envie de cesser cette étreinte, mais des éclats de voix nous y obligent.
Mon voisin et sa copine sont encore en train de s’engueuler sur le palier.
Elle : « tu m’as prise pour ta pute ou quoi ? »
Lui : « c’est ça, joue les princesses. Tu disais pas non au début… »
Il me regarde alors que j’ouvre la porte.
Lui : « … Aller dégage ! C’est plutôt la voisine que je devrais fréquenter ! Je suis sûr qu’elle dis jamais non à une grosse bite elle ! »
Zach : « puisqu’on aborde le sujet : désolé par avance pour le bruit cette nuit. »
Il a dit ça avec un tel naturel que j’explose de rire tout en rougissant.
On rentre dans l’appartement et on referme la porte sur cette dispute.
À peine la porte refermée, Zach se jette sur moi, enlève mon t-shirt, mon pantalon et mon boxer en un temps record puis m’embrasse en me caressant les fesses.
Lui : « va chercher 2 verres et rejoins-moi sur le canapé. »
Il me met une fessée tandis que je m’exécute.
Quand je reviens, il finit de se déshabiller.
Je pose les verres sur la table basse tandis qu’il sort des bouteilles de rhum arrangé.
Moi : « t’as tout prévu ! »
Zach, me tendant une des bouteilles : « oui, je m’occupe de tout. Ta seule préoccupation doit être mon plaisir. Sers-nous un verre et ensuite mets-toi à genoux devant moi. »
Je sers les verres. Pensant ce temps il s’assoit sur le canapé et sort de son sac son matériel à rouler.
Je me pose à genoux devant lui.
Il le caresse le visage, m’embrasse. Il va pour saisir les verres sur la table basse et son sexe vient taper sur mon visage.
Il se rassoit et le tend l’un des verres.
Zach : « à nous, et à cette magnifique soirée ! »
On trinque et je goûte. C’est du rhum vanille bien dosé.
Zach : « tu aimes ? »
Moi : « délicieux ! »
Il vient lécher mes lèvres tout en me caressant la joue.
Je sens de nouveau cette vibration en bas du ventre… J’ai tellement envie de me donner à lui. Il est adorable sous ses airs de racaille.
Zach : « allonge-toi au sol. »
J’obéis. L’une de ses mains vient soutenir ma tête. Il cale son gland entre mes lèvres. Il reprend son verre et en verse doucement sur son gland. Le rhum coule tout autour et finit dans ma bouche.
Il continue à verser tout en avançant sa tige le long de les lèvres.
Une fois le verre fini, il attend patiemment que les dernières gouttes glissent dans la bouche puis me redresse.
Zach : « suce-moi pendant que je roule. »
Je ne le connais pas, mais pourtant J’obéis. Il n’a pas été autoritaire, il a dit ça comme si ça coulait de source.
Je saisis sa verge qui a déjà commencé à prendre du volume.
Elle a un goût vanille. Mmmh, délicieux.
Je m’amuse longtemps avec son gros gland, et de temps à autre je lèche sa hampe sur toute sa longueur.
Il finit de rouler un joint énorme puis m’invite à me poser sur lui.
Il sort de son sac du lubrifiant, en applique une bonne quantité sur son membre.
Alors que je me colle à lui, il me glisse un doigt lubrifié tout en m’embrassant dans le cou.
Je lâche un petit gémissement tout en répondant à ses bisous par les miens.
Je sens son gland qui se présente.
Avec seulement un doigt, heureusement que la gravité nous aide.
Je m’empale sur son membre, le laissant entrer lentement en moi jusqu’à ce que les fesses se posent sur ses cuisses.
Moi : « Mmmh ! Elle est tellement grosse ! »
Il m’embrasse et me caresse. Je me détends peu à peu et le donne à lui entièrement.
On reste comme ça à se câliner 5 bonnes minutes, puis il allume le join.
Il tire quelques lattes puis me le tend.
Zach : « plus le join sera petit, plus je vais être hard. »
Moi : « je croyais que tu devais être plus doux ? »
Zach, avec le sourire : « je suis plus doux là… »
Pour le provoquer, je tire une énorme latte.
En guise de réponse, il me prend le join et me bascule sur le dos.
Il met 3 gros coups de reins qui m’arrachent des cris.
Zach : « t’es sûr que tu veux jouer à ça ? »
Il n’attendait pas de réponse et vient m’embrasser.
Il pose le join puis m’enlace fermement. Il fait de petits va-et-vient tout en me gardant dans ses bras.
Je lui caresse le dos, la tête dans sa nuque, je suis aux anges.
De temps à autre il ralentit, fume un peu, me fait fumer et boire aussi, avant de repartir à l’assaut de mon corps un peu plus fort que précédemment.
Au tiers du join, il me tourne sur le côté et se pose derrière moi.
Je réalise le vide laissé par sa queue quand je la sens de nouveau entrer, sans effort cette fois.
Il garde un rythme modéré, mais sa queue est en pleine forme, bien dure, et il aime aller au fond des choses.
Je tourne la tête, je refuse de lâcher du regard ce mec.
Il me sourit et me caresse la joue tendrement tout en me ramonant le cul.
Encore un tiers.
On se relève et il me pose à genoux sur le canapé. Lui reste debout, derrière moi.
Zach : « commence à fumer. Ensuite t’auras plus la force. »
Je tire une latte. Ses mains viennent le saisir la taille et, d’un brusque coup de hanche, il rentre toute sa queue.
Je hurle.
Mais est-ce le rhum ou la weed, j’ai surtout ressenti du plaisir, plus que de la douleur.
Je reprends mon souffle et tire une autre latte.
Sa verge sort lentement puis revient d’un coup sec.
Il me refait le coup à chaque fois, jusqu’à ce que je lui passe.
Il me reprend par la taille, mais entame cette fois un va-et-vient rapide sur toute la longueur de sa queue.
De temps à autre une de ses mains quitte ma taille, pour fumer.
Je gémis en continu, lançant quelques cris quand il ça vraiment profondément en moi.
Enfin il finit le join. Sa main libre vient saisir mes cheveux pendant que l’autre reste sur la taille.
Il est aussi brutal que la veille dans la ruelle.
Je suis à bout, ma fleur aussi, pourtant la fièvre m’emporte et, entre deux cris, je hurle « plus fort ! »
Il est déjà à fond.
Dans un rugissement bestial et une dizaine de coups de reins, il se vide en moi, tout au fond, maintenant mon cul contre son bassin.
Je vais pour m’effondrer sur le canapé, mais ses bras me rattrapent.
Il m’attire contre lui, redevenant un doux amant.
Il retire doucement son dard de ma fleur endolorie, puis me repose à califourchon sur lui, comme au début, mais sans sodo, pour continuer l’apéro.
Je me pose contre lui pour me remettre de mes émotions. Ses doigts viennent palper ma fleur, je comprends que la nuit est loin d’être finie.
Cali
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