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Simon est excité comme un fou, il a un sourire étincelant qui jailli de sa barbe, ses yeux pétillent, il est en grande discussion avec Hamza, moi je suis à genoux sur le lit, je porte juste mon jean, je viens d’enlever mes pompes. Et je les vois installer le matériel… Le trépied, les câbles et… La caméra… L’angle de vue est réglé, la caméra bien fixée et Simon saute sur le lit à côté de moi, il me pose des pinces sur les tétons, elles sont reliées à une petite chaîne, je sursaute quand elles pressent mes tétons et je gémis un peu.
Il me pose ensuite des bracelets aux chevilles et les relie aux barreaux du lit avec des chaînes, quoiqu’il arrive à présent, même si je peux bouger facilement, il me sera impossible de descendre du lit. Il sort de sa poche une capote.
- Celle d’Alban quand on a fait l’amour à 3 ce matin, tu veux ton carburant à salope ?
Je fais un signe positif de la tête, il va m’en falloir du carburant... Je la prends, l’ouvre et avale, ça y est je suis électrisé, je deviens ce qu’on attend de moi, Simon me caresse la joue et tourne la tête, il demande si tout est prêt à Hamza qui lui fait un signe de tête positif, le « top départ » est donné.
- Salut les amis ! Lance Simon, je vous avais bien dit que ma lope accepterait ce défi et c’est son dernier, ce soir, je libère mon bâtard et lui retire sa cage. Le marathon va commencer, il est 10h du mat, vous avez jusqu’à 20h pour venir baiser ma lope, son fion et sa gueule sont à votre disposition, votre seule contribution c’est votre capote pleine de sperme ! Je veux une montagne de capotes pour 20h ! Ma pute ne peut pas bouger du pieu pendant 10h d’affilée ! Il vous suffit de demander l’adresse et Hamza qui gère les demandes vous la communiquera, pour ceux qui sont trop loin, vous pourrez profiter du spectacle, on filme et on diffuse non-stop jusqu’à la fin. Et une chose que je ne vous ai pas dite mes amis, ce soir, il y a une surprise ! Venez nombreux, je veux un abattage massif, un bouquet final inoubliable pour Yan car vous avez pu le voir sur mon blog toute la semaine, il a carrément assuré son rôle de bâtard. On vous attend ! Pour ne pas faire patienter notre lope trop longtemps, les amis d’Hamza ont été avertis et ils vont arriver.
Simon ne cache pas sa joie, il se retourne, m’embrasse en me roulant un patin magistral auquel je réponds en couinant de plaisir, je ferme les yeux et me laisse bercer par les caresses de ce mâle qui me fait faire n’importe quoi. Lorsque 2 mains se posent sur mon jean, Simon se lève et passe derrière la caméra, je regarde derrière-moi, c’est l’un des potes d’Hamza qui a déjà enfilé une capote.
- Regarde la caméra salope, dit-il sèchement, j’vais montrer au public c’que c’est qu’un vrai mec et tu vas couiner p’tite pute…
Je me tourne vers la caméra, le goût du sperme dans ma gueule m’a rendu direct en mode salope, je fixe l’objectif, un peu comme si je voulais provoquer ceux qui regardent…
- Vas-y mec, ouvre le bal, voyons lequel d’entre vous me fera le plus hurler…
Il me choppe les cheveux pour tirer ma tête en arrière et s’en sert d’appui pour entrer en moi, son membre raide s’engouffre dans mon cul, je souffle un peu, Monsieur est bien membré mais le passage a bien été ouvert ce matin par Alban et Simon. Alors qu’il commence à limer, 2 mecs descendent dans la cave, le regard lubrique, ils sifflent en voyant la scène, je les reconnais, ils faisaient partie de la première soirée de jeu, l’un d’eux plonge la main dans un seau sur la table et en sort une capote, il s’avance vers moi, choppe la chaîne entre mes tétons et tire doucement, je couine. De son autre main, il me tend la capote, je la prends, ouvre son pantalon, sors sa bite déjà à l’étroit, ouvre l’emballage de la capote et habille cette belle bite que j’enfourne très rapidement dans ma gueule. L’abattage commence, Simon veut une montagne de capotes, je vais lui construire sa montagne, ce mec me rend fou, il me fait perdre la tête, il suffit que je le regarde pour fondre et perdre tous mes moyens.
Je commence donc ma mise à disposition par les potes d’Hamza qui se font un plaisir de me tringler ou de se faire pomper, ils gémissent, ils m’insultent, ils se font du bien et je sers à leur faire du bien. Parfois je jette un coup d’œil vers Simon qui est assis non loin de moi, il regarde le spectacle avec un plaisir bien visible. A un moment, ma tête se tourne vers Hamza et je vois qu’Alban est entre ses jambes, sa tête monte et descend lentement, mon cousin va devenir une lope aussi si ça continu comme ça. Au bout d’une heure, j’ai 5 capotes sur le lit, je les regarde l’air affamé. Je suis seul sur le lit, face à la caméra pendant à peine une minute. Alban a fini sa pipe, il s’est redressé et vient vers moi, il me toise, je comprends et ouvre la gueule, il laisse s’échapper le sperme de sa bouche qui tombe dans la mienne, je râle de plaisir, je fais le plein de carburant, un homme descend les marches en nous regardant, il avance lentement, sort sa queue et choppe une capote, il se marre et vient se placer derrière moi, pendant que je termine de faire le plein, il me remplit le cul avec sa bite et me défonce, il me baise sauvagement, jouit, jette la capote sur le pieu et se barre sans dire un mot.
Petit moment de calme, je regarde la caméra, un peu de sperme qui dégouline dans ma barbe et je me lâche…
- Venez me baiser, je suis une pute gratuite, je suis enchaîné à ce pieu jusqu’à 20h alors remplissez ma gueule et mon fion ! ça ne fait que commencer et j’ai très faim, voyons voir si l’un de vous sera capable de me faire hurler aussi bien que Simon sait le faire…
Simon est juste derrière la caméra, je vois son regard s’illuminer, son sourire exploser et afficher ses dents blanches. Il se lève et ôte sa chemise, je le regarde se dévêtir en couinant plus que jamais, il s’approche de moi, je me redresse sur mes genoux et je luis caresse le torse pendant qu’il tire lentement sur ma chaîne.
- Baise-moi Simon, baise-moi je t’en prie… Dis-je en le suppliant.
Il tire de plus en plus fort sur la chaîne, m’obligeant à mettre mon torse à l’horizontal, il sort sa bite et la fourre dans ma gueule, je le pompe comme si ma vie en dépendait mais il me choppe les cheveux : « du calme ma lope, il te reste encore beaucoup de mâles à satisfaire avant que je m’occupe de toi… » et il se recule, je le regarde l’air désespéré, la gueule grande ouverte, la porte de la cave s’ouvre, un nouveau mâle descend, je grogne de plaisir, il sourit et vient s’installer dans mon cul, pendant qu’il me tringle, des mâles arrivent et rapidement, ils attendent leur tout en discutant et plaisantant tout en regardant le spectacle. Les capotes s’entassent, pendant 3 heures non-stop je me fais démonter le fion et la gueule.
Il est 14h, je suis affalé sur le lit, la file d’attente est vide, je respire un peu, c’est difficile, mon cul est en feu et je prends conscience qu’il me reste encore 6 heures de mise à dispo, je ne sais pas si je vais tenir. Alban s’approche, il me demande si ça va, je fais un signe positif de la tête, au final, j’ai 20 minutes de pause avant de voir un superbe maghrébin descendre torse nu, la bite déjà sortie et c’est un très gros morceau qui s’approche. Je n’ai jamais été fan des grosses queues, ça fait mal en général, il me rappelle un des premiers mecs à qui Simon m’a offert à l’hôtel, il savait se servir de sa queue lui, il m’a fait chanter…
- Enlevez-lui son jean, je veux pouvoir être à l’aise pour le sauter, dit-il en prenant une capote.
Alban m’ôte mes chaînes, je défais mon jean, je suis nu, en cage de chasteté, Alban remet mes chaînes, l’homme s’approche et me tend la capote.
- Habille-moi pour que je te remplisse le fion comme tu l’as si bien demandé tout à l’heure, j’ai fait 2 heures de route pour le plaisir de te faire couiner…
J’avale lourdement ma salive et m’exécute, il ricane, j’avoue, là, je n’en mène pas large et il n’est pas question de faire de la provoc. Une fois habillé, il se positionne derrière-moi, il abat une première paluche sur ma fesse gauche, puis la droite, je pose ma gueule sur le lit et cambre bien le cul.
- Parfait, t’as compris qu’ici t’es à dispo, j’adore casser du cul de pédé…
Il ne m’encule pas tout de suite, il commence par me bouffer le cul sans que je m’y attende, cela déclenche un couinement de ma part.
- Ouais, vas-y, couine de plaisir, dans quelques secondes je vais t’embrocher alors regarde bien la cam petit bâtard, je vais investir les lieux…
Au moment où je tourne la tête pour regarder la cam, je sens le gland se présenter devant ma rondelle et entrer directement, j’ouvre des yeux ronds et je souffle fortement entendant ricaner mon enculeur.
- C’est que le début p’tit pédé, je vais te la mettre en entier, y a que le gland là.
J’écarquille les yeux, j’ai l’impression qu’il a déjà mis la moitié et il n’y a que le gland ???? Alors là oui, je vais morfler. Cet homme a l’habitude, il ne cherche pas à me faire mal, il sait se servir de sa queue. Il entre en moi, j’accompagne son glissement de mes gémissements.
- Pas mal, habituellement les bâtards hurlent déjà à la mort en espérant que j’ai bientôt fini, t’encaisses bien. Mais je te l’ai dit, j’adore casser du cul de pédé…
Il termine sa phrase et me pilonne violemment, cette fois, je gueule et pas de plaisir, ça dure un bon moment, d’autres mecs arrivent, c’est reparti pour quelques heures…
Il est 18h lorsque je regarde l’horloge, je suis exténué. Il reste 2 heures, heureusement, le flot de mâles s’est atténué, je ne sais absolument pas combien me sont passés dessus mais le lit est couvert de capotes, Simon a sa montagne… Il s’approche de moi et me caresse la joue tendrement.
- Encore 2 heures et c’est fini, dit-il en souriant.
Je pensais qu’il venait mettre un terme à cet abattage mais il va aller jusqu’au bout, vache et salaud… Il affiche une satisfaction incroyable, il est heureux comme jamais, j’ai du mal à comprendre mais déjà un nouveau mec débarque, la pause est finie…
A 20h, il y a au moins 50 capotes sur le lit, lorsque le dernier mec jette son préservatif sur le lit, je m’effondre, les potes d’Hamza qui sont restés applaudissent, je ne vois pas pourquoi. Simon s’approche et me détache, je tombe dans ses bras, je n’en peux plus.
- Tu veux ta surprise maintenant ou on attend un peu ? Dit-il sur un ton que je ne lui connais pas, il semble tendu.
- Vas-y, dis-je, tant que je tiens encore à peu près debout.
Il me demande de rester assis sur le lit et il inspire profondément.
- Yan, tu m’as fait vivre une semaine incroyable, tu as réalisé bon nombre de mes fantasmes, tu as systématiquement obéi à tous mes ordres et jamais je n’aurais cru tomber amoureux d’un mec.
Simon regarde la caméra, il est toujours torse nu, il avale lourdement et pose un genoux à terre devant moi.
- Yan, veux-tu m’épouser ?
Je me fige, je suis exténué, en entendant ses paroles, je me fige, je le fixe les yeux grand ouverts, je me fige, je ne m’attendais pas à ça…
- Tout ce que je t’ai dit depuis le début est vrai, tu sais comment je suis, tu sais que je vais t’en faire baver mais je t’aime… J’aime l’homme et la lope, je veux les 2… Je veux t’aimer et te baiser, te faire baiser, une vie de couple mais sexuellement débridée.
Il reste un genou à terre devant moi, je regarde la caméra, je le regarde, je suis sans voix, tout se bouscule dans ma tête, les mecs présents semblent retenir leur souffle.
Je regarde Simon avec intensité, mes yeux s’humidifient, j’ouvre la bouche, je le sens au bord de l’attaque cardiaque, je veux donner ma réponse mais le mot ne sort pas. Je regarde la caméra de nouveau, je vois les autres mecs derrière qui sont tous debout, le regard braqué sur nous. Je fais un léger signe de tête, je me tourne vers Simon, je refais mon signe de tête et j’arrive enfin à le dire… « oui »… Tout timide, tout petit, presque chuchoté.
Alors que je tombe à la renverse sur le lit, les mecs éclatent de joie, Simon se redresse et me regarde, il a les yeux mouillés.
Ce mec vient de me mettre à l’abattage 10 heures d’affilée et il me demande ensuite en mariage, mes yeux ne le quittent pas pour autant, il m’hypnotise, je ne peux rien lui refuser. Intérieurement je tremble, j’ai peur et en même temps, je suis heureux, on ne m’avait jamais fait ça, il sera vache et salaud, fidèle à lui-même mais au moins, je sais ce qui m’attend.
Sans que je m’en rendre compte, Simon a ôté ma cage et c’est lorsque je sens sa bouche chaude autour de ma bite que je sursaute et me redresse, il est là, à genoux devant moi et il me pompe comme un fou. Il y a 30 secondes, il était au bord des larmes…
Il ne lui faut que 2 minutes pour que je vide mes couilles dans sa bouche, une semaine sans toucher ma queue, ce n’était jamais arrivé, un flot impressionnant lui remplit la bouche et il prend tout, il se redresse et m’embrasse, le sperme s’écoule sur nos torses poilus, pendant qu’il m’embrasse, il me fait basculer et devant la caméra, mon Mâle me fait l’amour, c’est une bite sur pattes. Mais personne ne m’a jamais autant fait l’amour et aussi bien, je couine, je gueule, je chante, je m’offre entièrement à lui, aucun de ceux qui m’ont baisé cet après-midi n’ont fait aussi bien et c’est mon futur mari… Nous sommes arrivés pour un mariage, nous repartons avec un autre en préparation et celui-là, sera inoubliable… Je vous raconterai !
Yan
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