Premier épisode | Épisode précédent
S2-7 | T'AS TON PÉNIS QUI DÉPASSE
- Ça se fait pas d'enculer son père...
... Que répondre à ça ? Je suis sous le choc... son revirement me surprend tellement que je ne sais pas quoi penser. En fait je ne ressens rien... juste la surprise... je ne ressens même pas la frustration d'avoir été coupé dans mon élan.
Je suis toujours sur lui. Il tourne la tête mais mon gland est toujours positionné devant son anus... Du coup je me retire. Je m'allonge sur lui en glissant ma main entre ses jambes et en posant mon zob sur son gros sexe chaud. Il referme ses bras et ses jambes autour de moi. Machinalement je lui caresse les poils du cul... c'est doux... et puis les couilles... Il se laisse caresser doucement...
En fait je réalise que mon père est comme un chat ! Quand il vient vers moi, il est à poil, il tourne, il miaule, il fait du charme, il se frotte, il exhibe sa rondelle, il se laisse caresser, il ronronne mais si on lui touche le cul il feule... puis il revient, il se met sur le dos, redemande des caresses et bascule la tête de plaisir...
Alors je continue à lui caresser les couilles... Il adore ça...
Finalement je me relève. Je le regarde du dessus. Il est toujours écarté, en position offerte. On lui voit tout.
En me regardant la bite par le dessous, il dit :
- Je suis désolé, Quentin... Je voulais pas...
- T'es qu'un allumeur, papa.
- Oui je sais... désolé... mais je pensais quand même pas que tu allais te jeter sur moi comme ça...
- T'es qu'un pédé tu sais très bien l'effet que tu me fais.
Il est toujours sur le dos, jambes écartées. Son gros sexe ramollit. Une goutte de sperme ou de precum perle sur son gland, s'étire et se pose doucement sur son ventre.
... Et je me dis avec regret que je vais devoir me la mettre derrière l'oreille.
Le lendemain, je me réveille tard. Lui aussi. Au petit déjeuner, on a tous les 2 la tête dans le cul et la goutte au gland.
Il m'apporte une tasse de café et la pose sur la table. Sa bite mouillée est juste au dessus.
- Attention Papa tu viens de faite tomber une goutte de gland dans mon café !
- Oups désolé... tu veux que je te le remplace ?
- Non c'est bon t'inquiète...
- Désolé...
- T'inquiète ça ne me dérange pas.
Il sourit. Alors il prend sa bite dans sa main et tire sur son prépuce qui s'ouvre avec fluidité, dégageant complètement son gros bout.
- T'en veux un peu plus ? Ha ha !
- T'es con...
- J'aime te voir sourire, Quentin
Je bois mon café. J'adore quand il plaisante avec sa bite, le matin. J'aime sa liberté. Au bout de son gland, une autre goutte est en train de se former.
- On refait de la gym aujourd'hui, Quentin ?
Il sourit...
- Papa tu penses vraiment qu'au cul !
- Ben ta mère est pas là... c'est compliqué pour moi, tu sais...
- Et si au lieu de faire de la gym on allait courir aujourd'hui ? On a le droit dans un rayon d'un kilomètre.
- Ok mais alors torse nu ! Je vais chercher mes tennis et mon short !
Et il revient avec son short bleu...
- Putain Papa... Pas ce short là ! Il est super indécent ce short ! Y'a des voisins... Il est beaucoup trop court, c'est fait pour les petites bites, ces shorts là... Ton gros pénis est beaucoup trop long. Ça va dépasser, c'est sûr ! Et même si tu mets un slip, c'est tellement court que tout le monde va voir ton slip !
- T'inquiète j'en mettrai pas... Et puis si ça dépasse tu me préviendra, ok ?
Moi, j'opte pour un cycliste moulant, orange fluo brillant, sans rembourrage avant. Un truc qui me remonte les couilles, une de chaque côté, et me moule la teub, que je positionne de tout son long sur le côté droit.
Mon père lève les sourcils.
- Putain Quentin, qu'est-ce qu'elle est longue !
- Pareil que la tienne, papa... tu te rappelles, on s'est mesuré mutuellement...
- Oui je sais, mais là on te voit tout... j'hallucine !... Et après tu dis que mon short bleu est indécent !
- Il l'est, je t'assure.
Allez ! Prêts pour le jogging ! Tous les 2 torses nus. Bonnes chaussures. Pas de masque, on n'es pas obligés pour courir. Moi cycliste orange moulant, lui short bleu trop court... Cool. C'est parti !
Sur le palier, un brin d'excitation me titille. J'espère que le voisin nous mate par le judas. J'appuie sur le bouton de l'ascenseur. Je regarde mon père. Il est aussi excité que moi. Y'a sa bite dépasse. Je lui souris. Il rit. Je le previendrai plus tard.
L'ascenseur ne vient pas.
- Il est en panne ?
- En tous cas il est bloqué...
- On n'a qu'à prendre l'escalier, ça nous fera un échauffement.
Mais à peine descendu quelques marches, on tombe sur le voisin qui rentre chez lui. Il nous regarde du dessous. Il se fige. Ses yeux s'arrondissent. Il ouvre la bouche. Il manque d'avaler son masque. Ses bras décrochent d'un cran. Il vacille, part en arrière. Instinctivement sa main se raccroche à la rampe. Il n'a pas quitté des yeux nos 2 bites et nos 4 couilles. Il semble hypnotisé.
- Bonjour messieurs...
- Bonjour.
- Au fait, papa, t'as ton pénis qui dépasse...
- Ah oui... tu peux me le remettre ?
Jam
Ne pas copier - histoire protégée
Autres histoires de l'auteur :