L'habitat papa

S2-4 | SI TU INSISTES...

Ça fait à peine 2 heures que ma mère est partie et déjà mon père m'a surpris en train d'éjaculer et m'a demandé de lui empoigner les gonades. Ce confinement commence bien !

En effet, mon père, très hostile au début, s'est rapidement détendu du gland.

Maintenant on est avachis dans les canapés, tous les 2... tranquilles... Lui bande à moitié, il a le gland mouillé, ma queue à moi est dressée comme un "I", mon gland fait des fils au contact de mon ventre. On se regarde. On est bien.

Je retrouve enfin mon Papa nudiste, toujours à bandouiller... sans complexe. Il m'a manqué, cet homme bien pourvu et sans gêne, gâté par la nature et fier de montrer son zob de vrai mec. Car j'ai découvert que mon père est un vrai mâle... avec un putain de gros zizi.

Sans contrefaçon, il est un garçon.

Depuis que je lui ai tenu les couilles par derrière sans son slip, il a complètement changé d'attitude. Il a laissé tomber son slip et sa colère. Il exhibe sa décontraction et son bout de gland brillant... genre comme si tout le monde faisait ça... Et quand je pose mon regard sur son sexe, il ouvre grand les cuisses... genre vas-y.

... Mais bon le confinement, c'est pas que du cul !

Quand maman n'est pas là, y'a beaucoup de choses à faire... comme dit papa : c'est là qu'on se rend compte.

Au bout d'une journée, il y a déjà de la vaisselle sale partout dans l'évier et des tasses de café qui traînent, j'ai laissé le slip de papa sur la table de la cuisine, il y a des chaussettes par-terre dans le salon, et des vieux kleenex sur le canapé, que je lui ai apportés parce que sa bite faisait des tâches sur le tissu.

Puis les jours ont passé. Et malgré le désordre qui s'installe, nos conflits passés ont cédé la place à une entente naturelle qui s'est réinstallée entre nous, une décontraction totale, une absence complète de pudeur.

Maintenant on fait tout à poil. On pisse même ensemble dans les toilettes !

- Quentin, je vais pisser, tu veux venir ?

- Tu vas pisser ? Attends-moi !

Et on pisse face à face dans les toilettes. Lui il décalotte à moitié c'est très beau, et on s'amuse à croiser nos jets comme des gamins.

Pisser ensemble c'est un moment de grande complicité masculine. On met nos corps au même tempo. Ça rapproche beaucoup. Ça détresse, on se sourit. Et puis bon, ça fait du bien de pisser à 2 et de montrer son gland... c'est un peu sexuel mais pas trop...

(Je pense qu'on résoudrait beaucoup de conflits entre les hommes en les obligeant à pisser face à face, y compris les conflits professionnels et même les conflits politiques. Par exemple, notre Président de la République, même si on sait qu'il a un petit zizi, il devrait commencer tous ses entretiens avec les chefs d'état par un pipi décalotté face à face, ca désamorcerait bien des conflits... Après si ils veulent se toucher les couilles, pourquoi pas, c'est à eux de voir...)

Bref, avec mon père, on pisse ensemble et on le conseille à tout le monde.

Et puis le soir on partage la salle de bain. On se mate la bite dans le miroir en se brossant les dents. Et là, aujourd'hui, pendant qu'il se penchait pour se rincer la bouche au robinet, il a ouvert ses jambes alors j'ai glissé mon téléphone sous ses couilles par derrière sans qu'il s'en aperçoive pour prendre des photos de son sexe de près, que je regarderai plus tard. À présent il prend sa douche sans fermer le rideau. Et tout en se savonnant il regarde mon corps nu de haut en bas. Il me srute, il me fixe le sexe de facon insistante. Et il me dit que je suis beau en faisant de la mousse sous ses couilles et en frottant son gland décalotté. Il dit que j'ai un sexe magnifique. C'est gentil, c'est une remarque non sexuelle, mais le fait qu'il dise ça en se frottant le gland est plus ambigu... D'ailleurs ça l'excite je vois bien. Il a beau ne pas être pédé, quand il se sèche ensuite avec la serviette, son pénis est devenu raide comme une trique ! Avec son zob dressé vers le ciel, juste il me sourit. Je lui dis que lui aussi il a une belle teub. Je vois que ca le touche. Il s'approche... comme pour me faire une bise sur la joue.

Mais chez nous les hommes ne s'embrassent pas. C'est comme ça dans notre famille, entre hommes on est très pudique.

Alors à la place il me prend dans ses bras et il me tape virilement dans le dos, en me serrant contre lui et je sens son gros zob dur contre le mien. Je sens ses poils contre mon pubis et son long pénis bien dur qui appuie sur mon sexe... C'est un peu limite mais bon, on a évité de se faire la bise... on n'est pas des pédés quand même.

Et puis on cuisine même à poil, on mange à poil... tout ça ! Quand je suis assis à table et qu'il me sert, sa bite est au-dessus de mon assiette, avec le bout de gland visible. Personnellement ça ne me choque pas.

(En revanche dans un restau, un serveur ne pourrait pas mettre sa bite décalottée au dessus de l'assiette d'un client, ce ne serait pas possible à cause des normes d'hygiène. C'est dommage, je pense que certaines réglementations sont à revoir...)

Mon père m'a même dit que je pouvais lui toucher le sexe quand je voulais. C'est trop gentil de sa part. Alors ben je le fais. Dans la cuisine je m'approche de lui et je pose ma main sur sa bite et il me sourit sans arrêter ce qu'il fait, et je glisse mon autre main sous ses jambes par derrière, comme ça je le tiens à la fois par la bite et par les couilles. Ça l'amuse beaucoup, et en général ça le fait bander...

- Papa je te tiens !

- Profite, Quentin, c'est gratuit... pourquoi se priver ?

- Merci Papa c'est vraiment très cool de ta part, vu que t'es pas pédé... enfin... je crois...

- T'inquiète c'est cadeau. Tu sais, Quentin, si ça se trouve je suis vraiment ton père, alors ma bite et mes couilles, tu es peut-etre passé dedans avant d'être né... alors c'est un peu chez toi... ça t'appartient un peu...

- Dommage que je ne m'en rappelle pas ! Ha ha !

- Ha ha ! Si ça se trouve c'est ton ancienne maison...

- N'empêche j'avoue, quand je te touche les couilles... là comme ça... j'ai une impression familière... tu vois quand je fais ça...

- Oh...

- Là...

- Oh putain... c'est bon...

- Je continue ?

- Oui...

- Ok... Mais tu sais, Papa, toi aussi tu peux me toucher si tu veux... Ça ne me dérange pas.

- Ben... c'est quand même intime... et puis tu es un peu comme mon fils... on ne sait pas.

Je continue à lui caresser les couilles. Elles sont énormes, elles sont basses et molles, elles bougent dans ma main. Je vois à sa tête que ça le chatouille un peu... mais il ne dit rien, il a trop peur que j'arrête, le pédé !

- Je proposais juste, papa... Toi aussi tu peux me toucher quand tu veux, je suis majeur... et puis je ne te demande pas de m'enculer ! Ha ha !

- Non bien sûr...

Je continue à le caresser...

- Et puis papa, c'est pas comme si tu ne m'avais jamais touché les couilles, non plus...

Je prends sa main et je la guide jusqu'entre mes jambes. Il la pose doucement contre ma peau. Sa main est grosse, douce et chaude... elle enveloppe mes couilles et me communique sa douce chaleur... Et je sens dans sa bite une petite contraction de plaisir.

- Bon... si tu insistes...