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5 | Fils de P.
Quelques rares femmes s'abandonnent au soleil pendant que leurs maris matent tout ce qui bouge. Des hommes rôdent la bite à l'air, d'autres, allongés regardent dans ma direction.
- Papa c'est moi ou tout le monde me regarde ?
- C'est normal mon grand, t'es le seul de ton âge... ils te trouvent beau, c'est tout. Tu devrais être flatté.
Alors je me replie sur moi-même pour cacher mon sexe. Je suis tout nu et entouré de pervers qui matent mon cul. Je me sens tellement... à poil !
Mon père quant à lui s'est allongé de tout son long, son gros sexe exposé à la vue de tous. J'admire sa décontraction.
Plusieurs hommes se sont approchés ils me jettent des regards en coin. - Papa, y'en a des qui veulent voir mon zizi...
- Ben t'as qu'à leur montrer, mon grand
Il se redresse.
- Reste pas replié comme ça mon grand, tu es en position fermée là... Vas-y ouvre... N'aies pas peur... Ouvre grand...
Je fais comme dit Papa. Je prends mon souffle et j'ouvre grand et je montre tout aux messieurs. J'ouvre le plus possible. Je me penche en arrière pour qu'ils voient bien tout : mon gros sexe rose mes couilles et mon trou rose.
Les mecs sont petrifiés. L'un d'eux perd brusquement le contrôle de sa mâchoire et de ses bras, il manque de trébucher. Putain je lui ai fait un choc à lui...
Papa pose une main sur ma cuisse, près de mes couilles. - Ha ha ! Très bien, mon grand... Tu fais ça très bien !
- T'as vu Papa je les ai bien baisé là...
- Oui ha ha ! Si on veut...
Sa main touche presque mes couilles. Ce contact doux et ces paroles rassurantes m'apaisent profondément.
Certains hommes se sont rapprochés... Qu'on est bien jambes écartées !
Ma tête retombe, mon corps s'abandonne au soleil qui me réchauffe. Mes yeux se ferment. La fatigue me gagne. Je m'endors.
Quand j'ouvre les yeux le soleil est bas, j'ai dû dormir longtemps, le bruit des vagues m'aura bercé.
Mon père a déplié le parasol pour me protéger. Il n'est plus à côté de moi. Il a changé sa serviette de place. Il l'a mise à mes pieds. Il est sur le ventre et sa tête est au niveau de mes jambes ouvertes.
Il semble un peu gêné...
- Le soleil a tourné je me suis décalé...
Mon corps est brûlant et transpirant. Mes tétons sont dilatés, ma bite et mes couilles sont molles et brillantes de chaleur. Je replie les jambes, je sens que tout est moite et collant. Je vois la tête de mon père au-dessus de ma bite. Ça m'amuse je lui souris. Toujours à plat-ventre, il a la bouche ouverte... presque la langue qui pend... Putain pendant que je dormais il s'est vraiment mis dans l'axe de mes couilles ! Si ça se trouve il bande et c'est pour ça qu'il est sur le ventre...
- Papa ça me fait plaisir que tu me mates le trouduc mais ferme la bouche tu baves...
- Non pas du tout, je... je bave pas... - Allez viens on va se baigner !
- Vas-y toi, je te rejoins...
- Allez viens... Papa... s'te plais...
Et là je me penche et je tire sur sa serviette par le côté pour le faire rouler. Il s'agrippe mais son corps pivote suffisamment pour dévoiler une énorme érection. J'avais raison il me matait ce con !
- Allez ! Viens...
Je cours vers l'eau, et il court derrière moi avec son énorme érection qui balotte dans tous les sens de façon obscène.
- Tu vas me le payer, sale gosse ! fils de p... pédé !
Toutes les têtes se tournent, toute la plage le regarde courir. Et dans l'eau il se jette sur moi sans retenue et je sens sa bite dure qui se frotte contre moi. Et de nouveau on saute dans les vagues on se frotte on plonge on joue on se colle l'un à l'autre sans gêne on se grimpe dessus excités comme des jeunes chiots et on rigole comme des sales grosses.
Quand on sort de l'eau nos érections ont un peu diminué. Je réalise que tout le monde nous regarde... et que j'adore ça !
Mais la journée se termine. On rentre à pied, les yeux rouges de sel, de soleil, de plaisir et de souvenirs intenses.
- Quentin, tu connais l'histoire des 2 bites sur la plage ? -...
- Ben c'est 2 bites sur la plage, y'en a une qui dit à l'autre : je vais me baigner, tu gardes les sacs ?... Ha ha !
- Tu me l'as déjà racontée... Mais merci Papa c'était trop bien aujourd'hui.
Jam
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