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4 | Pareils !
Et me voilà parti pour ma première plage nudiste avec mon père.
Pendant 18 ans mes parents m'ont tellement parlé de leurs vacances nudistes... J'ai trop hâte. Je suis tout excité. J'espère juste que je ne vais pas trop bander... surtout avec le gros zob de papa juste à côté de moi... enfin on verra bien...
On arrive, en effet il y a des teub partout. Rien d'étonnant. Apparemment les gens sont cool. On se pose. J'étale ma serviette à côté de celle de mon papa. Normal.
Lui il enlève son short tout de suite naturellement, sans hésiter, sa bite balance, elle est décidément très longue.
Mais bon je sens que c'est mon tour... Le stress me gagne un peu... Je me dis : N'ayons l'air de rien, je suis juste en train de sortir ma teub en public... putain c'est chaud quand même... Mais bon là je ne bande pas, faut que j'en profite avant que ça me prenne.
Mon père s'allonge sur sa serviette, il replie ses jambes et les ouvre largement on lui voit tout... tout... et c'est très beau... putain, Papa...
Je me reconcentre. Je jette un œil à droite et à gauche. Je croise le regard de plusieurs hommes qui me regardent... Mon stress remonte. Même mon père, jambes écartées, me regarde du dessous et du coin de l'œil. Il sait que je n'ai pas l'habitude.
- Vas-y mon grand, enlève le ce short... Personne ne te regarde, tu les emmerdes. J'hésite encore. J'ai l'impression de les entendre tous crier "À poil ! À poil !"
Je prends mon souffle, je regarde mon père dans les yeux, je sens que ça m'aide... et hop ! je baisse mon short d'un coup.
... Et là direct un truc se passe... Le soleil sur mes fesses, le vent entre mes jambes, dans mes couilles et dans mes poils... D'un seul coup je me sens bien, tellement bien !
Je relève la tête. Les hommes qui me regardaient me regardent toujours ils n'ont pas bougé. En fait je pense qu'ils me matent franchement... Mais putain c'est bon ça !
Mon père aussi d'ailleurs, il me regarde par dessous, il a la bouche ouverte, il dit juste : - Magnifique !
Pour regagner ma serviette je dois contourner mon père mais bon au point où j'en suis je décide de passer au-dessus de lui. Et je l'enjambe, lui offrant une vue indécente sur sa progéniture.
- Quentin, tu sais quoi ? T'es peut-être gay mais je peux te dire que t'es un garçon... un putain de garçon.
Je lis dans ses yeux beaucoup de fierté. Il me regarde. Il se gratte les couilles. Je m'allonge à côté de lui. On se sourit.
- On est pas bien, là, Papa ?
- Si ! On est bien, hein, Tintin ?
Des hommes se promènent et nous regardent plus ou moins discrètement. On forme un très beau couple.
- Merci Papa pour ces vacances ensemble. Merci de me montrer tout, comme ça... ta bite, tout ça... c'est très cool de ta part...
- Merci à toi mon grand. Merci de me montrer tout toi aussi. Tu es vraiment très beau à poil. Tu vas en faire bander plus d'un, tu sais...
- Merci Papa, toi aussi
Il rigole. Je ne comprends pas...Qu'est-ce que j'ai dit encore ?
- Non je veux dire... Toi aussi tu es vraiment très beau à poil... J'aime beaucoup ta bite...
Je m'étonne moi-meme. Je ne pensais jamais dire ça un jour à mon père !... mais bon dans la conversation ça passe...
Il me sourit en écartant un peu plus les jambes, imperceptiblement...
Je sens que je vais bander si ca continue... Je regarde nos bites. Elles se ressemblent beaucoup. Je vois que de mon côté ça commence à grossir... de son côté aussi d'ailleurs... sa bite a franchement pris du volume et son gland est en train de sortir...
- On va se baigner ?
Il était temps. L'eau est froide. Parfait pour ce qu'on a.
On saute dans les vagues on nage on plonge on joue comme des gamins on se grimpe sur
le dos sans gêne on se saute dessus on se fait couler on rigole on boit la tasse. Nos corps d'adultes se touchent sans tabou, s'attirent et se repoussent, ils sont beaux et complices dans le jeu, ils rentrent et sortent de l'eau, exposant à la vue de tous, nos épaules nos jambes nos sexes et nos fesses ouvertes. Des hommes la bite à l'air passent et nous regardent jouer, envieux.
Cette complicité retrouvée avec mon père fait un peu redescendre la tension sexuelle. Le froid nous gagne, nous rétracte, resserre nos peaux, hérisse nos poils et pénètre nos muscles... Brrr vite au soleil !
On court. Mon père se jette sur sa serviette. Je l'imite. Tous les 2 côte à côte face à la mer, on contemple nos 2 corps parallèles, frappants de similitude.
Nos tétons pointent à cause du froid, nos peaux mouillées grelottent, nos poils sont hérissés et nos doigts plissés. Nos couilles sont dures et remontées, et nos zizis resserrés dans leurs replis de peau.
Hormis mon torse glabre, les similitudes entre nous sont tellement évidentes qu'on se regarde presque étonnés...
- Pareils !
Jam
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