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3 | Première nuit, premier jour
Dans la nuit je me lève. Pas pour aller aux toilettes. Je me lève parce que mon père dort à poil dans le canapé et que depuis un quart d'heure je l'entends ronfler. Pour aller aux toilettes je dois passer devant lui, alors...
J'ouvre la porte, la lumière de la nuit filtre dans la pièce. Il dort sur le côté. Son gros sexe est posé sur sa jambe. Il a l'air de dormir lui aussi, il a l'air d'avoir chaud, il a l'air fatigué... peut-être qu'il prend des forces pour demain... Peut-être que Papa l'a fait cracher avant de dormir ça ne m'étonnerait pas.
Je m'approche. Je chasse une mouche bleue qui boit à l'ouverture de son prépuce. Une goutte de sperme coule encore de son bout et glisse le long de sa cuisse... le sperme de mon père ! Il fait très chaud dans la pièce. Je m'approche non pas pour le toucher ça ne se fait pas, mais pour mater de près le magnifique zob de mon papa. Il est là, au repos, moite comme un fauve après l'effort, le corps lourd et le sexe étalé.
Je me recouche et je me branle en imaginant mon père dans toutes sortes de positions... Je suis très excité. Cette nuit là je dors peu.
Lendemain matin, petit déj
Je suis réveillé par une odeur de café et de pain grillé. Ça c'est quand mon père a décidé d'être cool. Cool !
Je me lève et je le salue, je ne m'habille pas... pas comme d'habitude...
Il est tourné vers la cuisinière, m'offrant la vue sur ses fesses velues et pommées.
Je sens que cette semaine va être super !
Il se retourne tranquillement il sourit, il a un coup d'œil rapide sur ma bite. Moi pareil. Son sexe se balance quand il vient vers moi il m'embrasse gentiment comme tous les matins
- Ça va mon grand ? Bien dormi ?
Il m'embrasse avec le cul en arrière pour éviter que nos bites se disent bonjour elles aussi... c'est pas grave, patience, une autre fois...
Ça fait un peu bizarre tout ça mais je sens que je vais vite m'habituer. Lui ne manifeste aucune gêne il évolue très naturellement on voit qu'il est habitué. Je comprends que mon père n'est pas seulement un homme gentil avec un gros zizi, c'est aussi un vrai mâle avec un corps de mec assumé, un gros zob de mâle et des couilles qu'il trimbale avec tranquillité décontraction et grâce.
Un bon café. L'air est hautement chargé de testostérone mais pour l'instant aucun de nous ne bande. La journée commence bien.
- Assieds toi
Je m'assois, lui reste debout, mon regard est au niveau de son sexe. Il vient à côté de moi pour me servir. Son zob touche presque mon épaule... putain c'est chaud quand même. J'ai l'impression d'être servi par un zob.
Il me remplit une tasse et la pose au bord de la table. Il est complètement décontracté. Il va il vient et son sexe lourd balance de droite à gauche quand il marche... trop beau ! Il ramène du pain grillé et là son gland touche ma tasse brûlante. Il a un brusque recul.
- Tu t'es brûlé ?
- Non non ça va
Mais son gland a laissé une trace de bave sur ma tasse.
- Attends j'ai sali ta tasse
Il n'a même pas l'air gêné
- Non t'inquiète
Et je porte la tasse à ma bouche et je lèche la trace baveuse et salée. - Quentin !...
Mon père semble choqué
- T'as tort papa c'est très bon...
- Ce n'est pas la question Quentin - Ok ça va désolé...
Et le petit déjeuner continue tranquille avec sous mon nez cette bite magnifique qui se balance devant moi, qui m'a tellement fait fantasmer dans le passé, le trou de bite par lequel je suis passé il y a plus de 18 ans, et que je peux enfin contempler de près.
Nos corps sont très similaires : même carrure fine, même gros sexe, seuls notre pilosité diffère : son torse est légèrement poilu, par zones très dessinées, une ligne noire descend vers son pubis, alors que mon torse est totalement glabre.
On se regarde je lui sourit il me sourit. - Merci papa... pour tout ça...
- De rien mon grand
Bon ! j'ai terminé mon petit déj. Je m'apprête a me lever. Forcément maintenant sous la table je bande comme un Turc mais tant pis, je ne vais pas rester assis toute la journée, et puis c'est de sa faute si je bande, aussi... Je me lève tranquillement avec ma raideur et quand il voit mon grand zob dressé vers le ciel, je l'entends lâcher :
- Oh putain ça va être chaud cette année !
Jam
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