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2 | Toi aussi mon fils
On arrive enfin au bungalow baptisé "l'habitat papa". Vient enfin le moment où on cohabite !
Au début je suis un peu déçu. Le bungalow n'est pas dans un camp nudiste. J'avais pas compris ça. C'est un camping normal, simplement notre bungalow est face à la lande et on peut se foudre à poil sans être vus... sauf évidemment par les petits mateurs qui utilisent les sentiers... pédestres.
J'imagine mon père et ma mère venant ici tous les ans ouvrir leurs jambes aux randonneurs... On vide la voiture.
- Prends la chambre Quentin, moi je dormirai dans le canapé ca ne me dérange pas.
Mon père est quelqu'un de profondément gentil.
On range.
... Et vient le moment tant attendu et tant redouté. Je vais dans ma chambre, je ferme la
porte tout en me disant que ça ne sert à rien puisque je vais ressortir à poil. Je me déshabille complètement. Et je m'aperçois que j'ai une demi molle et que mon gland est brillant de mouille et d'excitation. Je tente de retirer la mouille. Il faut faire bonne impression devant papa. Au moins éviter que ça goutte et que ça fasse des fils.
Je sors et là, surprise : Je me présente la bite à l'air à mon paternel... qui porte un short de bain !
Je suis étonné. Je reste immobile, ne sachant comment réagir. Il me fait une blague, là ? La partie est inégale, je suis le seul à tout montrer.
Lui aussi semble interloqué. Il a les yeux comme des soucoupes. Il me mate grave. Il semble absorbé et hypnotisé par mon zob ! son regard ne décolle pas...
- Ben putain Quentin je savais pas que... - Que quoi ?
- Ben que tu avais une...
- Une grosse teub, c'est ça ?
- Oui je savais pas... Ben putain mon cochon !...
Je ne m'attendais pas à ce que mon père me félicite de la sorte... J'en ressens une très grande fierté, une satisfaction énorme.
- Mais toi, tu ne te mets pas à poil ?
- Ben je me disais que c'est gênant de la part d'un père... tu vois... je suis pas sensé...
- T'es pas sensé quoi ? Me pervertir ? J'ai 18 ans, papa, putain !! Là ça m'énerve j'ai trop le seum, ça se fait pas putain papa t'avais promis...
- Ben je pensais que si tu veux on ira à la plage nudiste chacun de son côté, la plage est très grande, et que dans le bungalow on est peut-être pas obligés de... tu vois ?
Mais... "en même temps" il ne quitte pas ma teub du regard, ce pédé... - En tous cas Quentin tu es un homme magnifique, c'est incroyable !
Et là je regarde ma bite. Le prépuce est entre-ouvert. Le gland est brillant et un long fil de mouille s'est formé. Je le prends avec mes doigts et sans trop y réfléchir je le mets dans ma bouche.
Et là je vois Papa rouge comme un homard, la bouche ouverte, les yeux sortis de leurs orbites et fixés dur ma bite... Je vois qu'il est très impressionné... Un homard ! C'est ça il me fait penser à un homard en maillot de bain.
- Papa arrête tu vas baver ! Ha ha !
Ça le fait sourire. Du coup la tension redescend... Il me regarde droit dans les yeux et me sourit. Il se réajuste la teub et pose sa main sur la ceinture de son short.
Va t-il changer d'avis ? Il commence en effet à dénouer son short de bain et à le baisser très progressivement ! Enfin ! Je vais enfin voir la bite à Papa !
Est-ce de la timidité de sa part ? ou bien cherche t-il à produire sur moi un effet érotique ? En tous cas la lenteur avec laquelle il se dévoile progressivement est très gênante et absolument torride. Putain Papa est en train de baisser son froc ! Enfin !
Il baisse les yeux pour assister lui-même au spectacle qu'il m'offre. La situation est incroyable. La tension est forte. Le temps s'arrête, comme pour célébrer cet homme courageux qui offre à son fils gay le cadeau d'un effeuillage paternel.
Le maillot descend et dévoile son bosquet pubien bien formé et bien délimité. Très beau. Il semble s'arrêter... il hésite... puis reprend... on voit apparaître la base de sa teub, large et entourée de replis de peau magnifiques... il continue... sa teub est grosse et longue... on commence à tout voir c'est superbe ! mais toujours pas le bout de sa bite...
Mais non ! j'y crois pas ! D'un seul coup comme un mandrin, un gourdin, un roc, que dis-je un roc une catapulte, son sexe énorme et dur surgit comme un diable, libéré de toute contrainte et se dresse tout droit vers le ciel jusqu'au dessus de son nombril ! Sa bite est longue et très marquée avec un long canal et des veines dessinées, ses couilles aussi sont incroyables, magnifiquement plissées, tout son sexe est tellement beau... Il m'offre tout ça comme un cadeau. Il me regarde et je sens dans ses yeux une rougeur qui indique un mélange de gêne et de plaisir intense... Je ne sais pas quoi dire.
- Papa... tu bandes
Et lui, comme disait César : - Toi aussi mon fils.
Jam
Ne pas copier - histoire protégée
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