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HISTOIRE

La maison du bonheur, un rêve dans la Creuse !

Après bien des recherches et hésitations, je me suis décidé à 32 ans à investir dans la pierre, en effet je cherchais depuis plus de deux ans une vieille maison de caractère à restaurer comme résidence secondaire pour les week-ends partagés entre potes, mais avec quelques exigences bien arrêtées.

Je voulais un peu de terrain, maison assez isolée dans la campagne, des bois à proximité et un cachet rural évident. Un département semblait répondre à mon attente : La Creuse !

Mes finances me permettaient un tel achat, pas de nana à entretenir évidemment ni de boyfriend à influencer, j’étais décidé.

Je finis donc par trouver mon petit coin de paradis, qui au départ ressemblait un peu plus à un enfer tant il y avait de travaux à réaliser, de défrichages sur les trois mille mètres carrés de terrain, de coupes et d’élagages… Heureusement que je me donnais au moins trois ans pour en venir à bout… Et pas tout seul !

Lorsque mes potes sont venus pour la première fois sur les lieux, j’avais organisé une journée découverte de mon nouveau domaine creusois, ils m’ont tous plus ou moins directement dit que j’étais barjot de m’être lancé dans cette aventure aussi loin de Paris et dans ce département paumé si souvent décrié par les citadins qu’ils étaient presque tous !

Nous nous sommes donc retrouvés une vingtaine au lieu-dit « La Bellaudière », c’est le nom où se dresse ma fermette sur une petite commune du département de la Creuse.

Ah j’oubliais, tous mes potes sont comme moi, homos et donc pas de nanas pour apporter des commentaires très féminins, du style on est loin de tout, la ville la plus proche est trop petite et sans magasins de fringues, la proximité de la forêt doit attirer des animaux…

La plupart d’entre eux étaient malgré tout enthousiastes sur le fait que ce lieu rural serait idéal pour nos rencontres débridées entre mecs que nous organisions sur base assez régulière depuis plusieurs années dans des gîtes ou locations de province et que l’isolement du lieu serait un atout majeur pour profiter à fond de nos loisirs dénudés d’autant qu’à terme j’espère pouvoir y faire creuser une piscine.

Ceci avait été pour moi un élément de choix évidemment.

Oui, nous adorons nous réunir à poil, c’est notre trip à nous !

Durant cette première journée-découverte du mois de mai, chacun en a profité pour faire un peu de propreté dans la maison et autour de la bâtisse qui n’avait pas vu signe de vie depuis près de deux ans. Ceci dit, une pièce principale était correcte et permettait de nous réunir en cas de pluie, les barbecues avaient été installés dans l’ancien jardin, et en fait, bingo la chance nous souriait, le soleil était de la partie.

Au cours de notre pique-nique pris en commun, chacun s’était engagé à m’apporter son aide pour retaper cette fermette dans la mesure de ses disponibilités et du type de travaux demandés.

Évidemment, le gros œuvre serait assuré par des entreprises locales, il y avait du boulot.

J’ai alors posé quelques conditions : merci à vous de votre engagement, mon souhait est que « La Bellaudière » soit notre refuge discret et intime, chacun d’entre vous pourra bien sûr y venir quand il voudra dès lors que la restauration soit terminée. Je m’attends à ce que ce petit paradis dans la verdure nous comble de plaisir, comme vous le voyez nos voisins les plus proches sont à 5 km nous ne devrions pas être gênés pour nos petites fiestas et surtout notre mode de vie très « nature ».

Maintenant, pour les travaux, lorsque vous viendrez y passer quelques heures bénévoles, je vous demanderai d’y laisser vos vêtements à l’entrée dès lors que la météo nous le permettra, la tenue de rigueur sera au grand maximum un slip, tanga, string, boxer, jock-strap ou maillot de bain et pour le haut tee-shirt ou chemisette, les torses nus ou culs nus seront évidemment tolérés sans aucun souci voire plébiscités !

Tous ont accepté avec un enthousiasme et sans retenue ces règles élémentaires de vie commune que nous mettions régulièrement en pratique. Et pour confirmer leur approbation à l’unanimité, ils se sont tous déshabillés dans la foulée en entassant en vrac leurs fringues au pied du tilleul de la petite cour.

Me voici rapidement entouré de 3 mecs en boxer, 2 en tanga, 5 en string, 2 en slip, 2 en jock-strap, 2 en maillot de bain taille basse et 7 le cul à l’air comme moi !... Quant au haut… aucun n’avait décidé de le garder, ils avaient parfaitement adhéré aux consignes dorénavant applicables à « La Bellaudière » !...

Ça part plutôt bien !

La vingtaine de « Petites mains »… ou plutôt de « P’tits culs » s’est appliquée durant l’après-midi à améliorer les abords de la fermette quand d’autres nettoyaient l’intérieur ou évacuaient quelques vieux meubles délabrés.

J’ai pu surprendre çà et là quelques mains baladeuses ou roulages de pelles entre deux actions physiques… mais là, je n’avais strictement aucune emprise sur le comportement de chacun de mes ouvriers du dimanche, jeunes mâles en liberté, et je m’interdisais de jouer le censeur, étant moi-même attiré par quelques corps sexy qui ne me laissaient pas de marbre bien au contraire !

Après tout, n’était-ce pas là une chance entre nous de faire tomber les tabous et profiter de cette vie libre de nos corps, de nos mouvements et de nos pulsions sans regard extérieur interrogatifs ou outragés… Dans la future maison du bonheur que je venais d’acquérir !

Le fait de s’activer dans ces tenues pour le moins rudimentaires et sexy pour certains d’entre nous était super excitant.

Pour ma part je faisais équipe avec Bastien pour le nettoyage d’une ancienne chambre. Bastien était en jock Addicted à large ceinture blanche et poche à larges mailles rouges laissant deviner son service trois pièces sans problème… Et le regarder s’activer le cul à l’air bien tendu pour nettoyer les poutres du plafond et voir sa bosse bien dessinée dans ce bel écrin rouge me foutait la trique. Bastien m’avait repris en me disant : « Ce n’est pas parce que tu es à poil et le patron que tu dois tout te permettre, en particulier les mater de façon insistante… Aies un peu de tenue face à tes ouvriers !!! »

Dehors, les jardiniers-citadins s’évertuaient à arracher les mauvaises herbes, couper les arbustes sauvages ou ratisser les feuilles, le tout dans un tableau idyllique de mecs quasi nus ou carrément à poil, « La Bellaudière » allait vivre des heures de pur bonheur charnel au masculin, c’était assuré !

Le soir venu, nous avions fait un petit feu de camp, il faisait encore bon et chacun était resté en tenue légère, les culs-nuls avaient revêtu un sous-vêtement et tous avions mis un tee-shirt, nous avons trinqué tous ensemble entre deux ou trois bises intimes à cette fermette creusoise en promettant de s’y retrouver le plus souvent possible entre mecs… évidemment !

La plupart d’entre nous travaillions le lendemain nous fermons la maison et repartons retrouver la capitale pour la plupart.

Trois copains dispo et moi s’étions donnés rendez-vous pour le week-end suivant ici.

Le week-end s’annonçait bien, la météo était favorable aux travaux d’extérieurs, ce que nous décidâmes d’entreprendre d’un commun accord en arrivant. La règle fut respectée dès la première heure, tous les quatre Bastien Joris et moi étions en boxers et Cyril en maillot de bain taille basse pour la matinée et juste après le repas nous étions alignés tous les quatre pour mettre nos bites à l’air !

Revêtus de nos seules baskets pour éviter les épines ou autres végétations agressives, nous nous sommes activés à couper, arracher et dégager ce qui avait été un jardin.

Nos corps ruisselaient de sueur, Joris n’arrêtait pas depuis ½ heure de se palper le paquet, je lui dis : « Écoute mon petit gars, si tu as envie de te branler, demande-le nous gentiment et on va t’aider, mais de grâce, arrête de te palper devant nous c’est indécent, provocateur et égoïste ! »

Joris me rétorqua : « OK les mecs, alors venez me vider les couilles, j’en peux plus de voir vos culs à l’air ! »

Aussitôt dit, nous lui tombâmes dessus, Cyril lui empoignant la queue, Bastien lui palpant le cul en lui mettant un doigt et moi engouffrant ma langue dans la sienne, j’imagine, bien si un voisin était arrivé à l’improviste… Trois mecs de 28 à 32 ans queues tendues se farcissant un blondinet de 27 ans au milieu du jardin de la Germaine l’ancienne propriétaire… Ça aurait fait désordre et certainement la « Une » au bistrot du coin dés le lendemain !

Nos ébats se sont soldés par quatre belles éjaculations dans la verdure et sur la raie de Joris, séance de léchouilles en suivant… et nous reprîmes notre boulot… On n’était pas là pour glandouiller !!!

Le soir venu les abords de la bâtisse avaient bien changé, un gros tas d’herbes et de branchages se dressait dans l’ancien jardin.

Après une bonne douche, que nous avions créée dans la petite pièce qui devait servir de cabinet de toilette, nous fîmes notre barbecue, arrosé de bières et de soda. Nous avions planté deux tentes sur le côté de la maison, Joris et Cyril dormaient ensemble et moi avec Bastien.

Bastien est super bien foutu, brun, 1,75 m et musclé sans excès, un cul légèrement rebondi comme je les aime et une queue d’environ 17 cm assez large lorsqu’il est en forme. J’aime jouer la chienne avec lui et il m’encourage dans ce rôle, la nuit fut chaude au point que nous avons dû sortir de la tente et il m’a pris sauvagement dans l’herbe fraîchement coupée devant la fermette. Nos ébats avaient réveillés Cyril et Joris qui avaient sortis la tête de leur tente et se délectaient du spectacle nocturne en se paluchant et commentant nos ébats.

Le lendemain, tous les quatre à poil, nous prenions notre petit déj dehors en évoquant les qualités de nos baiseurs respectifs… élogieux ou moqueurs… on s’en foutait !

La journée fut consacrée à démonter un vieux poulailler délabré et préparer un bon feu de joie pour brûler les vieux bois à moitié pourris. Le soleil s’était caché, tous les quatre nous avions revêtu un tee-shirt Joris et Bastien avaient enfilés un jock, Cyril et moi adeptes du string tous les deux avions choisi notre tenue de travail, lui string ficelle noir et moi string avec fesses à demi couvertes bleu vif… L’un de mes préférés.

Travailler d’arrache-pied en ayant une vue sur de beaux culs de mecs est particulièrement motivant, d’autant que les culs de Joris et Bastien étaient imberbes et bronzés, celui de Cyril plus blanc portait à merveille ce string minimaliste qui laissait tout juste apparaître la ficelle noire dans sa raie très légèrement poilue et moulait son paquet en lui laissant la liberté de mouvement sans le serrer… un vrai délice !

En fin d’après-midi l’ancienne demeure des poules avait disparu, l’espace ainsi libéré attenant à la maison agrandissait bien la cour.

Après une bonne douche prises par deux, c’est mieux pour savonner en détail nos corps respectifs, chacun ayant à cœur de toiletter l’autre avec délicatesse et perversité. Ainsi les queues bien raides, nos douches respectives se sont soldées immanquablement par des doigts dans le cul et une longue fellation mutuelle.

Nous quittâmes notre havre de paix et chantier rural en fin de journée. Trois entreprises devaient intervenir pour des travaux de maçonnerie, menuiseries et couverture durant les cinq semaines à venir. Ma prochaine venue dans les lieux interviendra dans un bon mois, pour apprécier, je l’espère un changement significatif.

La mi-juillet arrivée, les cinq semaines du gros œuvre avaient battu leur plein et mes entreprises avaient semble-t-il respecté leurs engagements avant les vacances d’été des métiers du bâtiment.

Ainsi c’était à moi d’y passer bientôt trois semaines pour mes congés.

Nous arrivons les premiers Cyril, Aurélien un informaticien chevronné et moi en fin de journée à « La Bellaudière », la maison a bien changé, je suis épaté du résultat, mes entreprises ont super bien bossé et le résultat est bluffant, je ne regrette plus mon investissement ! L’échafaudage est encore en place pour la rentrée.

Le semblant de salle de bain avait totalement disparu, la douche sera donc pour l’instant dehors… avec le jet d’eau !

Comme annoncé, je me désape rapidement, Cyril et Aurélien me suivent, nous voici à poil tous les trois au pied de l’édifice, on se répartit le boulot pour la fin de matinée, normalement Tom et Luc devraient arriver dans l’après-midi pour renforcer l’équipe.

Cyril et Aurélien entament le ponçage des menuiseries de bois toutes neuves et moi je vais checker les dimensions et emplacements des ouvertures pour vérifier la conformité des plans de mon architecte afin de commander les meubles de la future cuisine.

Ils sont beaux mes deux ponceurs équipés de leur seule casquette et paire de baskets, je suis très heureux d’avoir institué cette exigence de nudité, d’ailleurs tout le monde s’en réjouit.

Vers 12 h 30 on prépare le barbecue et c’est à l’ombre du grand chêne à vingt mètres de la maison que nous déjeunons en admirant la métamorphose de ma fermette.

Aurélien a tout juste 30 ans, il pratique le naturisme depuis l’âge de 22 ans et connaît les meilleures plages gays de l’hexagone, plusieurs fois je l’ai caressé dans la matinée, il s’est laissé faire le coquin ! Son petit cul imberbe et sa queue assez courte laisse apparaître sa paire de couilles bien pendantes… l’ouvrier parfait pour un patron exigeant !

À peine rangé la table, nous entendons des coups de klaxon se rapprocher de nous, je reconnais la Golf de Tom accompagné de Luc son boyfriend depuis huit mois. Tom 29 ans est un copain martiniquais de 1,80 m, sa peau couleur café au lait est très belle, bien bâti, le charme des îles en plus. La nature l’a bien gâté le coquin, de toute notre petite tribu c’est lui qui nous devance tous avec une bite de 14 cm au repos et une paire de boules parfaitement calibrées à la tige ! Tom confirme l’anatomie généreuse des hommes de couleur, Luc doit bien se régaler.

Quant à Luc, c’est un garçon de 26 ans, châtain de 1,65 m aux yeux verts, agréable et cultivé il bosse dans une boite de BTP.

« Eh les mecs, ça ne vous dérangent pas de nous recevoir à poil ? » Nous lance Tom en se marrant.

« Au lieu de te foutre de nous, mets donc ton pieu à l’air… histoire de nous humilier un peu plus ! » lui répondis-je dans la foulée.

Il ne se fit pas prier, une nouvelle fois nous découvrons son membre excessivement long et pendouillant au gland rose bien décalotté… il est beau ce salaud et il le sait, son corps coloré me fait craquer et je ne suis pas le seul !

Luc fit tomber aussi son short et sa chemisette, il est en jock et décide de le garder, il nous dit avec un clin d’œil « Moi, je ne fais pas le poids, alors je préfère rester couvert », ceci dit sa bosse était parfaitement moulée dans son petit bout de textile en élasthanne.

Nous ne jouons pas la compétition mais il est vrai qu’une belle bite est toujours plus attrayante qu’une petite verge, ceci dit les performances des petites sont parfois très surprenantes !

Et puis tous autant que nous sommes, nous représentons ensemble un panel assez exhaustif du type de queues que l’on peut voir sur une plage naturiste, l’essentiel étant de bien savoir s’en servir avec son ou ses partenaires !!!

Au bout d’une heure chacun avait pris sa place pour œuvrer dans la fermette, Cyril et Aurélien reprennent le ponçage des menuiseries, notre grand black avait pris place sur l’échafaudage de façade et passait la lasure des dessous de toit, Luc et moi avions entrepris l’application de la première couche de lasure sur les volets déjà poncés.

À tour de rôle nous prenions le temps de venir admirer les organes génitaux de Tom mis bien en exergue puisqu’il travaillait bras tendus et ventre en avant, légèrement en forme d’arc, un beau spectacle, Luc a même tiré quelques clichés avec son i-phone en pratiquant quelques gros plans excitants, Tom lui facilitant les prises en posant dans différentes positions.

« Vas-y te gênes pas tire tes photos avant que ce ne soit moi qui te tire tout court ! Tu aimerais bien l’avoir entre les jambes celle-là ! » Lança Tom en riant comme un ado.

Luc aussitôt avec ironie : « Au moins avec la mienne je ne risque pas de me la cogner partout !!! »

De leur côté, Cyril et Aurélien stoppaient régulièrement leurs ponceuses pour se caresser quant à moi le pinceau d’une main, je caressais à intermèdes réguliers, les fesses de Luc qui, appréciait ma main experte en me tendant son petit cul bien présenté dans son jock.

Vers 18 h 30, j’annonce la fin de chantier : « Allez, les gars, on arrête, c’est l’heure de la douche avant l’apéro et je prépare le barbecue »

« Elle est ou ta douche ? » me rétorque Aurélien.

« C’est la plus rudimentaire des douches mon pote, c’est le jet de jardin… À tour de rôle il y en a un qui nous arrosera, car la salle d’eau ne sera pas opérationnelle avant mi-septembre » répondis-je.

Luc aussitôt : « OK, je commence, Aurélien tu m’arroseras le cul ? »

Aussitôt Luc fait tomber le jock-strap, prend son gel douche et Aurélien joue l’arroseur en jouant sur le réglage du jet afin de lui asperger le cul bien en profondeur que Luc n’hésite pas à lui tendre avec provocation, puis Luc se savonne de façon très suggestive alors qu’on préparait la table dans le jardin, il s’exhibe avec beaucoup de plaisir ce salaud… et on aime tous ça !

Je prépare le barbecue alors que Tom et Cyril mettent la table.

Luc s’essuie et Tom propose à Aurélien et Cyril d’assurer leur douche commune, aussitôt dit aussitôt fait, les deux loustics se lancent sous le jet de Tom, ils ne mettent pas longtemps à se savonner mutuellement en insistant curieusement sur les parties les plus sensuelles de leurs corps, douche qui finit immanquablement par une branlette bien orchestrée ce qui ne manque pas d’engendrer une belle trique de Tom qui du coup tient le pistolet d’arrosage de la main gauche et se branle de la main droite, notre trio finira par juter presque tous en même temps après vingt minutes d’intenses manipulations branlatoires.

Je leur lance : « Eh les mecs, vous n’êtes pas là pour vous branler, dans cinq minutes c’est l’apéro ! »

Le barbecue mis en chauffe, l’apéro sur la table, les bites reposées… nous trinquons à la journée bien remplie tous à poil autour de la table de jardin… une belle brochette de mecs, certains d’entre nous avec le gland encore bien humide.

J’étais ce soir le Maître Queux… bien que l’étymologie n’ait rien à voir… le terme semble bien adapté à notre réunion masculine, donc comme responsable de la cuisson j’enfile mon tablier de cuisinier… le résultat est très sympa, le devant fait très professionnel et le derrière est super sexy puisque j’ai le cul à l’air, ce qui durant la cuisson des entrecôtes, chacun s’est senti le besoin de venir voir à tour de rôle, comment se passait la cuisson tout en me palpant les fesses et pour certains en laissant divaguer son doigt dans ma raie… un vrai bonheur, Cyril lui, s’est même permis de glisser sa main gauche sous le devant de mon tablier, réveillant ainsi mon membre de 17 cm jusqu’à la fin de la cuisson ! Ce qui a déclenché le rire de la petite tribu me voyant servir avec le tablier presque à l’horizontale… du jamais vu dans un resto trois étoiles comme me le signale Tom.

Aurélien ne se déplace jamais sans sa guitare, c’est donc au son de son répertoire varié et romantique sous les étoiles que nous nous sommes retrouvés autour de notre petit feu de camp tel des scouts ados à la puberté débridée, un vrai bonheur !

Tom et Luc se roulaient des pelles langoureuses, leurs queues à demi bandées, moi et Cyril avons imité leur petit jeu avec délectation après les avoir pris en photos sous tous les angles, les photos autour d’un feu de camp donnent des résultats superbes, l’une d’entre elles finira, à coup sûr, sur mon écran d’accueil d’ordinateur.

Après une douche rapide que j’ai prise avec Cyril comme arroseur, à minuit, nous décidâmes de rentrer dans nos tentes respectives (il n’y a pas de jeu de mots dans cette dernière phrase !!!), Tom et Luc dans l’une et Aurélien, Cyril et moi dans l’autre.

Je ne sais pas comment s’est déroulée la nuit entre Tom et Luc, si ce n’est les gémissements qui n’ont cessés que vers 2 h 30 du matin, mais dans notre tente ce fut le carnage !

Aurélien ayant ouvert les hostilités en me suçant longuement pendant que j’embrassais Cyril avec vigueur, ce petit jeu à bien duré une bonne demi-heure, je lui ai demandé d’arrêter sa fellation débridée, car je craignais larguer ma purée trop tôt, j’avais vraiment envie que la soirée dure et que chacun de nous puisse s’éclater au maximum, ce petit salaud m’avait déjà bien chauffé !

Il arrêta donc sa suce avec moi et pris aussitôt la bite bien tendue de Cyril dans sa bouche… Insatiable le gamin… nos gabarits bandés étant forts semblables la différence réside uniquement sur le décalottage de mon gland qui est plus prononcé que celui de Cryril.

Je dis à Aurélien : « T’es vraiment un goulu de bites baveuses, petit pédé ! »

Il se marre la bouche pleine et continue de pomper son compagnon qui gémit de plaisir alors que moi j’avais entrepris de branler le pompeur, Aurélien écarta rapidement les cuisses pour profiter de ma branlette bien rythmée, ses couilles se détachaient bien de l’entrejambe.

Après vingt minutes Cyril se retira de sa bouche et demanda à Aurélien de se mettre en levrette, Aurélien ne se fit pas prier et s’installa dans la position de la bonne petite pute soumise tendant son cul vers le membre tendu de Cyril. En bon perturbateur, je m’intercale entre les fesses de la petite pute et la bite de l’enculeur pour lécher le cul d’Aurélien, ma langue experte titille en profondeur sa rosette, il adore se faire mettre une langue dans son trou de soumis, qui n’aime pas ça d’ailleurs ??? Nos corps ruisselaient de sueur par nos ébats sous la toile de tente, pendant ma séance de cunnilingus Cyril astiquait son membre qui affichait fièrement ses bons 18 cm, il enfila une capote dans la foulée et moi je terminais de lui préparer le terrain avec ma langue experte il faut dire qu’une telle préparation reste l’idéal aux préliminaires d’une pénétration réussie !

Le trou d’Aurélien était trop beau, bien rond, bien ouvert, tout luisant de ma salive, il attendait de se faire enculer dans les règles, afin de ne pas rester de marbre face à cet accouplement imminent je tartine le cul d’Aurélien et la tige de Cyril avec le gel que nous avions sorti de nos sacs à dos en prévision de nos ébats.

A peine enduite, la bite entra dans le tunnel et Cyril commença ses vas et vient en cramponnant le bassin de son copain devenu passif pour le moment, les râles de notre petite pute d’Aurélien m’excitais j’avais une gaule du tonnerre et je me branlais au rythme des coups de mandrin de Cyril, ses couilles pendantes venaient claquer sur les fesses de son compagnon à chaque entrée dans son corps, il faisait une chaleur à crever sous ce dôme de toile, j’approche alors mon membre tendu face à la tête d’Aurélien qui se faisait buriner allègrement le fessier, il l’engouffra sans sourciller et se mit à me pomper à nouveau tout en se faisant enculer par son pote, nous étions en osmose tous les trois jusqu’à ce que Cyril se retire rapidement, vire sa capote et largue par grandes giclées son sperme dans la raie humide de sa petite chienne, moi me mettant à gémir fortement incita Aurélien à libérer de sa bouche mon membre en feu… et aussitôt je me mets à gicler ma purée sur son visage en sueur, les yeux, le nez, les joues tout était inondé de mon sperme chaud et abondant, notre petite pute de service était couverte de sperme de la raie du cul jusqu’au sourcils, il aimait ça le coquin, alors qu’il éjaculait d’excitation sur les sacs de couchage le cochon, Cyril et moi nous mirent alors en devoir de lécher notre propre sperme là où nous l’avions lâchement largué et Aurélien se délectait de nous sentir le lécher jusqu’à la dernière goutte pendant qu’il essuyait sa sève larguée sur le couchage… encore une lessive en perspective !

Il était près de trois heures du matin lorsque nous décidions de nous calmer après avoir ingurgité notre demi-litre de flotte chacun… La baise ça donne soif et le sperme ne désaltère pas !

Nos voisins de tente avaient dû profiter de nos gémissements et commentaires enflammés en consommant de leur côté… Une forme de voyeurisme que nous aimons tous.

J’imagine bien que Luc avait dû s’enfiler de longues minutes le pieu de Tom et qu’il avait le cul endolori par l’engin hors norme de notre black adoré.

Le lendemain, les traits tous un peu tirés on se retrouve autour d’un bol de café, nos queues n’avaient pas été savonnées, juste léchées par nos compagnons de nuit : « Putain c’était chaud cette nuit ! » nous lança Luc.

Je lui réponds : « Oui, chez nous aussi, d’ailleurs ça sent encore le sperme dans notre tente ! »

Luc repris : « Tom était déchainé et m’a totalement défoncé la rondelle, ensuite je l’ai entièrement vidé jusqu’à la dernière goutte le beau black ! »

Tom rigolant : « N’empêche que mes 21 cm t’ont mis le feu au cul petite salope, j’en ai encore une douleur aux couilles, ce soir c’est ton tour je vais te les vider en te pompant sans relâche tu t’en rappelleras ! »

Luc se marre en se délectant déjà de ce supplice sexuel programmé.

La journée s’est déroulée dans la bonne humeur et toujours dans la nudité des ouvriers, Luc et Tom sont repartis vers 17 h pour la capitale, ils déposeront Aurélien à mi-parcours, Cyril et moi rangeons les abords de la fermette, nous prenons notre dernière douche-jet ensemble dans la cour de « La Bellaudière » avec savonnage mutuel des parties intimes en particulier… évidemment notre jeu de duettiste gay se solda par une branlette et fellation qui dégénérèrent en éjaculations simultanées sur nos corps bronzés… nous n’allions pas partir sans ce petit plaisir !

Le début de vacances s’annonçait bien, vendredi prochain nous recevrons Pierre, Léo, Sébastien et Nathan qui viendront passer trois jours ici… pour apporter leur aide au chantier.

Ils arriveront de Paris, Nantes et Angers, adeptes des rencontres gay pour trois d’entre eux et Pierre qui est bi, il ne pratique le sexe avec les nanas qu’en extrême dépannage quand il n’a pu trouvé un cul de mec disponible, ils ont de 28 à 33 ans, actifs tous les quatre et bien montés ils adorent s’exhiber et pratiquent le nu intégral dès qu’ils le peuvent.

Tous les quatre sont de fidèles copains avec qui on rigole et on se sent bien… et ce qui ne gâche rien ils baisent comme des Dieux en couples ou en partouze !

Je dois donc impérativement faire le plein du frigo et garnir la cave en fin de semaine et surtout remettre à flots ma réserve de gel, poppers et de capotes… Ça va certainement consommer dur, l’été va être chaud à « La Bellaudière » !

Qui a dit que la Creuse n’était pas un département éclatant ?... pas moi en tout cas !

Affaire à suivre dans la maison du bonheur… Il reste des travaux à faire !!!

Corentin

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