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HISTOIRE

Youssef

Préambule

Ce texte relate les relations que j’ai eues avec Youssef, un homme d’âge mûr d’origine maghrébine. Bien que réelle, les noms et les lieux ont été changés, en accord avec lui pour pouvoir vous en faire profiter. Je tiens tout d’abord à signaler que ce texte n’est pas juste un récit pornographique.
Comme vous pourrez le découvrir, il décrira la vie et les relations de chacune des principales personnes concernées Youssef et moi même. Les propos pourront être vulgaires et je m’excuse auprès de ceux que ça pourrait choquer. Mais j’ai voulu conserver le réalisme, ce qui donne tout le palpitant à ce récit. Vous souhaitant bonne lecture, j’espère que ce premier opus vous plaira faites moi part de vos réactions et si vous souhaitez connaître la suite écrivez-moi.

Chapitre 1

Je suis plaqué contre le mur de la chambre, et derrière moi Youssef crie son plaisir en me baisant. C’est le mot, ça ressemble plus à une saillie entre un étalon et une jument qu’une baise entre 2 hommes. Cela fait maintenant près de 20 minutes que cet homme me sodomise brutalement avec son gros sexe tout en m’insultant en arabe. Sa main droite tire mes cheveux, l’autre branle énergiquement ma queue.

– Je vais t’engrosser comme les blanches de ton espèce.
– Oui Monsieur baisez moi comme je le mérite
– Ne t’imagine pas que je fais ça par plaisir j’ai horreur des fiottes de ton genre je le fais juste parce que tu sais encaisser mes coups de butoirs et que mes envies sont fréquentes et brutales.

Moi vous allez dire, je crie de plaisir à me faire enculer de la sorte. Je connais les cris qu’il pousse, cela veut dire que la jouissance n’est pas loin. Je serre les fesses pour donner un maximum de plaisir à mon partenaire. Je sens alors une sorte de décharge électrique, et dans un cri de libération et de plaisir, Youssef est en train de jouir de longs flots de sperme qui viennent envahir mon intimité. Ma pine branlée par la grosse calleuse main de Youssef expulse une quantité de foutre impressionnante sur la tapisserie au même moment., je n’ai pas toujours apprécié ce genre pratique, et je suis même plutôt quelqu’un de doux et affectueux.

Ce fier lion à la crinière argentée et à la peau hâlée était en nage. Il me fit mettre à genoux et m’ordonna de nettoyer son sexe plein de foutre. Ce que je fis sans réfléchir, L’homme que je suce est fier, dominant et n’aime pas être contrarié. Il a une cinquantaine d’années bien passé, un physique entretenu qui laisse apparaître une belle musculature. Il est loin des jeunes hommes de 35 ans maximum que j’ai pu connaître auparavant.

Mais revenons en arrière 8 mois plutôt. Je me présente Alexandre, mais on m’a toujours appelé Alex. J’ai 42 ans, 1m82, châtain, et j’ai toujours aimé à croire que je suis versatile, même si la plupart du temps faut le reconnaître, j’ai plus le rôle du soumis que du dominant. Entre les jambes, je suis fier de pouvoir montrer un joli calibre de 19*5. Un physique pas désagréable, selon mes conquêtes, sculpté par les heures en salle, Je suis en couple avec Marc, soyons réaliste, nous sommes en couple par intérêt, et non pas par amour ou pour le sexe.

Après une brève idylle, Marc et moi avons décidé de nous mettre en couple pour trouver un appartement d’un bon standing dans la capitale girondine. Lui étant architecte, et moi expert comptable dans une grosse entreprise de la région, cela nous a permis de trouver un beau loft de 120 m² que Marc a réaménagé. Nous sommes plus de très bons amants occasionnels qu’un couple, et nous nous entendons très bien. Mais nos ébats sont très vite ennuyeux, car nous recherchons le même type d’homme. Jouer les amants dominateurs, 1 soir ou 2, permet de s’amuser, mais la lassitude revient vite.

Nous avons un accord, nous pouvons faire venir des hommes dans le loft quand l’autre n’est pas là. Ce qui est souvent le cas de Marc, qui pour son travail part souvent en déplacement.

Depuis quelques semaines, je me suis découvert un penchant pour ses hommes d’origine arabe plus jeune que moi. Surtout le type beur de cité, look survêtement et basket, avec un vocabulaire peu flatteur envers les homos. Tout l’inverse de ce que je suis, et surtout de ce que j’aime d’habitude. J’ai toujours trouvé ça dégradant de se faire insulter humilier, voir frapper par ses jeunes.

La raison de ce changement était un jeune rebeu de même pas 30 ans qui doit habiter dans le quartier depuis peu. J’ai flashé sur ce jeune homme que je croise régulièrement en partant travailler. Pas très grand, je dirais 1m70, trapu, brun, une musculature développée, mais sans excès un regard noir qui vous pénètre, une barbe naissante de 2 ou 3 jours. En survêtement et basket, avec sa capuche sur la tête quelque soit le temps.

Durant plusieurs jours, je le croise en partant le matin et mon regard ne peut s’empêcher de le regarder. Ma queue devient dure en le voyant et mon pantalon de toile de cache pas grand-chose de mon excitation, j’en suis mal à l’aise. Les jours passent, et mon rituel matinal me trouble de plus en plus, jusqu’au jour ou je ne le vois plus. Les semaines sont passées et j’ai oublié mon beau jeune homme.

Un jour, alors que je me fais livrer un colis à ma boîte, quelle surprise !

Mon nom résonna.

Lui ; j’ai un colis pour vous.

Je lève la tête, et là ma queue s’est dressée d’un coup, j’ai senti une sensation de chaleur en moi. Il est là. Je comprends que lui aussi m’a reconnu, quand je lève la tête, il fait un arrêt et se mis à sourire.

Lui : Tiens donc comme on se retrouve, Monsieur le mateur.

Moi : Stp pas ici tu veux bien, j’ai envie de rester discret

Lui : Ah ouais, pourtant quand on se croise dans la rue ça te gêne pas de me reluquer de la tête aux pieds, tu te poses moins de questions.

Moi : Écoute, je suis désolé si je t’ai embarrassé, mais stp pas ici, si tu veux bien je te paye un café et on discute.

Lui : Il me regarde et voit ma queue tendue et sourit. OK mec paye ton café et ta clope et on sera kit.

J’écris mon adresse sur un bout de papier et lui donne.

Moi : Rejoins-moi à cette adresse d’ici 1 h, OK ?

Lui : Tu vas où là ? Je ne te demande pas un rencart, juste un café et une clope.

Moi : Tu préfères que tes potes nous voient dans un bar du coin avec mon barreau en travers !

Lui : OK, mais si jamais tu m’embrouilles, n’oublie pas que je sais où tu bosses mec, et je saurais te retrouver.

Il repartit me laissant avec mon barreau et en emportant avec lui ma tablette dernier cri.

Moi : Tu oublies mon colis

Lui : Tu l’auras dans une heure sinon je n’aurais pas tout perdu.

De colère je frappais du point sur le bureau, je viens de me rendre compte de la situation dans laquelle je me suis mis. En même pas 10 min, je viens de filer mon adresse à un parfait inconnu. Si ça se trouve, il va se ramener avec une bande de potes pour me taillader. En plus de ça, une dizaine de regards se tournent vers moi incrédules. Le comble de l’apothéose, ma secrétaire entre dans le bureau, et me voit la debout, avec la trique et ressort rouge de honte.

Comment je vais bien pouvoir me sortir de cette situation ? Après avoir réussi à calmer mon excitation je me décide à parler à Sophie, ma secrétaire.

Finalement, c’est moi qui fus presque étonné quand elle me dit que ce n’est un secret pour personne ou presque. Les regards ne trompent pas, me dit-elle, et vous avez toujours lorgné sur les mêmes hommes que moi. Je devenais écarlate, voilà que ma secrétaire connaît mes goûts en matière de mec. Là ou vous me surprenez le plus, me dit-elle, c’est que vous puissiez craquer sur ce genre de petite racaille.

Je mis fin à la conversation, et me décide à rentrer à la maison.

J’arrive devant chez moi et il est là dans son utilitaire de livraison. Je m’approche et je vois qu’il a ouvert mon colis.

Moi : Tu ne t’emmerdes pas, tu ne veux pas non plus que je te la file !

Lui : Du calme, t’excite pas Blanche Neige, regarde elle est encore emballée ta tablette, sur un ton ironique.

Moi : M’appelle pas Blanche-Neige, je ne suis pas un de tes potes.

Lui : Non, c’est sûr, mes potes, on a pas envie de me sucer ma grosse bite, me dit il, sur un ton beaucoup plus autoritaire.

Il se met debout et s’approche de moi, je le dépasse d’une bonne tête, mais sa carrure et son physique en imposent. J’avale ma salive et je me sens tout penaud devant cette masse de muscles. Son regard me pénètre, trop tard j’ai baissé les yeux, il sait qu’il a pris le dessus. Je n’ai jamais été très courageux, et se genre de caractère m’impressionne et me fais un peu peur.

Moi : Écoute, je ne suis pas là pour te chercher des… il ne me laisse pas finir ma phrase.

Lui : Je m’en fous de ce que tu cherches, ce que je sais c’est que tu me reluques avec ton regard de PD. Tu me prends de haut et en plus de ça tu n’es même pas capable de me regarder dans les yeux, vous êtes tous pareils. Regarde-moi Blanche-Neige ! Me dit-il en me relevant la tête. Ouais, Blanche Neige, ça te va bien, dès qu’on te bouscule un peu, tu as la trouille et il me mit la main au paquet. Mais tu triques comme un âne, espèce de salope, tu aimes qu’on te domine !

– Ok, je lui dis, repartons sur de bonnes bases, excuse-moi pour mon attitude
– Mais tu n’inquiètes pas on va repartir sur de bonne base. Tu vas me sucer ma grosse queue, me dit-il, en se touchant le paquet. Après on verra si les compteurs sont remis à 0.
– Je ne suis pas sûr que ce soit une bonne idée, je ne fonctionne pas comme ça…
– Ta gueule Blanche-Neige, je ne te demande pas ton avis. Alors soit on fait ça chez toi, ou je te démonte la tronche à l’arrière du transit, tu choisis quoi ?

Je ne sais plus quoi faire ce mec est en train d’abuser de moi, et tout ce que je ressens, c’est la tension de ma queue qui n’a jamais été aussi dure. Au fond de moi, je ne veux qu’une chose, qu’il me baise là tout de suite. Mais l’autre partie de moi me dit, ne t’embarque pas là-dedans, si tu lui cèdes maintenant, il va continuer à abuser de toi de plus, il sait où j’habite.
– Alors tu te décides ou bien c’est moi qui te traîne.
– Montons chez moi, on sera mieux et plus tranquille.

Il entre dans l’appartement et pousse un sifflement.
– Mais dis-moi Blanche-Neige, on s’embête pas à ce que je vois. Tu vis dans le confort.
– Avec mon ami, on a rénové un ancien hangar industriel, ça fait plusieurs mois qu’on travaille dessus
– Stop, revenons à ce qui nous intéresse.

Il baisse son survêtement et je vois apparaître une belle bite circoncise de bonne taille qui commence à grossir. Elle surmonte 2 belles grosses boules. Une toison taillée très court. Ses cuisses étaient comme je l’ai imaginé musclées et poilues. Il me saisit par les cheveux et me colle la gueule sur sa queue.

– Alors tu es timide ou c’est ma queue qui te fait peur.

J’ouvre à peine la bouche que déjà il y met sa queue. Je commence à le sucer et joue avec ma langue sur son gland. Je sens grossir sa queue qui bientôt me remplit la bouche. J’ai rarement sucé d’aussi gros calibres, et bientôt je commence à avoir du mal. Je comprends rapidement que ce n’est pas se faire sucer qu’il veut. Il me chope par les cheveux et me colle sa queue au fond de la gorge. Ce qu’il veut, c’est me défoncer la bouche pour son plaisir. Je m’étouffe sur sa queue, mais il s’en fout, ça le fait sourire même. Lui, ce qu’il veut, c’est me voir soumis et souillé. À chaque coup de reins, sa queue reste plus longtemps au fond de ma gorge. Mes haut-le-cœur ont couvert sa bite de salive. Je l’entends gémir et râler de plaisir pendant que moi, j’étouffe sur sa queue. Les minutes m’ont paru interminables.

– Alors blanche neige, tu n’as pas l’habitude de te faire baiser par de la grosse bite de rebeu. C’est autre chose que la bite de ton copain ça. Tu vas voir quand tu y auras pris goût, tu ne pourras plus t’en passer, tu me supplieras de revenir te baiser. Tu as de la chance que je sois pressé, je vais devoir abréger. Sinon, je t’aurais bien défoncé ta petite chatte en même temps. Il sort sa queue et se masturbe quelques secondes, il me gicle sur la gueule une belle quantité de sperme.

Il remonte son survêtement et se casse sans rien dire. Je suis là comme un con, à genoux, je ne comprends pas trop ce qui vient de se passer. Au bout de quelques secondes, je me rends compte que j’ai moi aussi joui, sans même m’en rendre compte. Mon pantalon est plein de foutre…

Si ça vous plaît et que vous désirez connaître la suite de l’histoire, écrivez-moi. N’hésitez pas à me faire part de vos commentaires.

Alex

Suite de l'histoire

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