Bonjour,
J'ai vu que mon premier texte qui était surtout un test, a été assez bien apprécié et je suis assez content alors merci à vous.
Si vous avez des fantasmes particuliers hésité pas à m'en faire part, je pourrais les réaliser sous forme de récit, envoyer moi un mail et je vois répondrais.
Bonne lecture, que la taille de votre bite s'amplifie sous l'effet de mon texte
- Connaissez-vous les frères lumières, nous questionne notre prof de Français assit sur le coin de son bureau face à nous.
Je ne tente pas de réfléchir sachant que je ne connais pas la réponse, puis une autre personne va donner la réponse, et si pas le prof s'en chargera.
- Monsieur brauwn, avez-vous une idée ? Me demande le prof alors que je le regarde de travers pour avoir écorché mon prénom.
- C'est brown, avec un o, et non pas avec le son au monsieur, pour un prof de Français vous êtes pas doué, me moquer-je en retenant le reste de ma penser pour moi.
- OOh monsieur Brown, je ne me suis pas trompé cette fois-ci, j'espère, c'est la première fois que vous faites une phrase aussi longue à mon cours, pour un prof pas doué, tu t'améliores quand même, se moque-t-il à son tour alors que la majorité des élèves se mettent à rire.
- Vous avez donc de l'humour ma parole, je ne pensais pas cela possible, faut dire que les profs sont si ennuyeux.. Dis-je en faisant semblant de bayer.
- Vous verrez comme je peux être ennuyant après les cours jeune homme, dit-il alors que je souffle désespérer.
Il est sérieux, il se vexe pour si peu, en même temps, c'est pas étonnant, pourquoi un mec comme lui à décider d'être prof.
Il est grand, il a les cheveux brun coiffé un peu à la va-vite, des yeux bleus perçant, et un corps plutôt bien foutu, suffit à voir comme les filles le dévorent du regard, elles ont entre 17 et 19 ans et parle déjà de coucher avec.
Comment je le sais, simplement parce qu'elles ne s'en cachent pas, et faut dire que je suis de leurs avis, il suffit de voir la chemise se tendre quand il croise les bras, ou encore le cul que lui fait son pantalon.
Il m'arrive de bander en classe pour tout vous dires, et c'est assez gênant, surtout quand vous porter un short.. Par chance, j'ai trop le seum pour avoir une érection, il me saoule, j'avais prévu de rejoindre un pote pour jouer à la console.
Au lieu de ça, je vais rester, je ne sais pas combien de temps après les cours en tête-à-tête avec le prof...
D'ailleurs la sonnerie annonçant la fin des cours résonne dans l'établissement, je range mes cours et garde ma trousse sur le banc ne sachant pas ce que je vais devoir faire.
Je regarde les autres quitté la salle de classe envieux, certains me lance un regard désolé tandis que d'autres ne cachent pas leur rire en me voyant sur ma chaise comme un con.
- Bon je vais aller chercher quelques trucs à la salle des profs ensuite, je reviens, ne fais pas de bêtise, dit-il en quittant la pièce.
Je me lève et me dirige vers la fenêtre pour regarder ce qu'il s'y passe, les élèves ont pratiquement tous déserter la cours, et je me demande à quoi résume ma vie.
Je viens en cours puis rentre chez moi ou je passe mon temps à jouer à la console, avant d'aller me laver pour ensuite me coucher, je me branle rapidement devant un porno bien bandant puis je me couche et dors.
Et le lendemain, c'est la même chose, je ne sais pas ce qui pourrait mettre un peu de piment dans ma vie…
- Retourne à ta place s'il te plaît, tu vas faire un peu de conjugaison, dit-il en déposant une tasse de café sur son bureau avant de m'apporter quelques feuilles que je dois remplir.
- Si tu as besoin d'aide, je suis là, dit-il en retournant prendre place sur le siège de son bureau.
De la conjugaison vous dites, un peu de présent sur la première feuille, suivi par du passé et du futur, rien de compliqué, je serais plus vite chez moi que je le pensais.
Je commence à compléter les feuilles tranquillement quand j'entends le prof hurlé, je lève mon regard sur lui et il se trouve debout, sa chemise et son pantalon recouvert de café.
Je ne peux retenir un rire qui fut vite écourté quand il braque son regard noir dans le mien.
- Bon au lieu de rire comme un con, tu vas te rendre utile, voici les clés de ma voiture, c'est la voiture noire sur le parking des profs, prend le sac rouge qui se trouve dans le coffre et rapporte le moi s'il te plaît, m'ordonne mon prof en me tendant ses clés de voiture.
Je viens les prendre avant de quitter la classe pour rejoindre le dit parking situé derrière l'école, j'y arrive vite et m'approche de la voiture noir, c'est la seule d'ailleurs qui se trouve encore garé ici.
J'ouvre le coffre et tombe sur deux sacs rouges, soit je les prends tous les deux soit je regarde ce qu'il y a dedans.
J'opte pour les ouvrir, je prends le premier et tire sur la tirette, il y a des objets en tout genre, un cadre photo où l'on voit mon prof et un mec qui sourit, il est bg aussi son ami, il a quelque papier et des vêtements, mais trop petit pour le prof.
J'ouvre le second sac et une odeur de transpiration en sort, c'est des affaires de sport, c'est sûrement le bon, je le prends et referme le coffre avant de remonter le sac rouge en main.
- Tu en as mit du temps, dit mon prof quand je franchis la porte, je reste un peu stoïque quand je remarque qu'il a déboutonné sa chemise laissant entrevoir ses montagnes d'abdos et ses pectoraux aussi impressionnant.
Il ne remarque pas mon égarement et je lui donne le fameux sac avant de reprendre place sur ma chaise.
- Merci je vais pouvoir me changer maintenant, dit-il en retirant sa chemise doucement.
J'aperçois les muscles de son dos roulé sous sa peau nu à chacun de ses mouvements, c'est encore mieux qu'un porno, si j'en juge mon boxer qui commence à se tendre.
J'ouvre mon pantalon et passe ma main pour attraper mon sexe que je libère rapidement, je commence à me branler doucement, il est dos à moi et fouille dans son sac à la recherche de je ne sait quoi.
Il finit par en sortir un pantalon et un boxer en marmonnant quelques choses entre ses dents.
Je le vois retirer son pantalon ce qui fait accentuer le mouvement de mon poignet sur ma verge.
Son cul, parfaitement moulé dans son boxer, laisse entrevoir deux putains de fesses rondes, le tissu lui rentrant entre les fesses ne fait qu'accentuer les courbes de celui-ci.
- Bon pas le choix il doit y passer aussi, dit-il en baissant son boxer me laissant voir son cul, il se met accroupi ensuite pour ramasser le boxer propre qui a glissé par terre.
- OH PUTAIN, dis-je a voix haute en voyant son trou parfaitement imberbe entres ses fesses rondes et qui me semble si ferme.
Mon prof se retourne sur moi surpris par ce que j'ai dit, et la, il me voit moi, assis sur ma chaise, enfin plutôt affalés avec une main sur mon sexe et l'autre sur mes bourses.
Je jouis de plusieurs jets de sperme sans m'y attendre, la vue de son sexe qui pend entre ses jambes, et l'excitation d'être ainsi pris sur le fait on du y contribuer.
- Je suis désolé, aaah, gémis-je sans me contrôler alors qu'il sourit en me regardant.
- Je comprends mieux pourquoi tu es si souvent dans la lune pendant mon cours, tu dois avoir rêvé de me voir en tenue d'Adam plusieurs fois, et à ce que je vois, tu as aimé la vue, dit-il en regardant le sperme qui coule sur mes doigts.
- Je suis…
- Oui je sais, mais tu ne le penses pas vraiment, dit-il en s'approchant de moi petit à petit, je ne peux pas laisser passer ça, tu t'en doutes bien.
Oh non, la honte, s'il en parle ma vie, est fichue, je serais vue comme un putain de pervers qui se branle en classe.
- Tends moi ta main avant que cela ne sèche, on va nettoyer ça, m'ordonne mon prof sur un ton plus dure.
Je le regarde et lui tends ma main comme un gamin puni, il l'attrape et je baisse la tête honteux.
Je sens un truc chaud et humide passer sur ma main, je relève le regard sur lui et il met mon majeur entièrement en bouche avant de le sucer et récupérer mon jus dans sa bouche.
– Tu as bon goût bien qu'un peu amer, tu devrais manger plus de fruits, dit-il avant de passer au deuxième doigt.
Je ne sais pas comment j'ai eu la force de faire ça, mais je me suis redressé de ma chaise avant de me laisser tomber à genoux devant lui.
- Je vois que tu ne perds pas le nord toi, pour un garçon timide et réserver, tu sembles bien entreprenant d'un coup, dit-il alors que lèchent mes lèvres pour les humidifier.
Je plonge mon regard dans le sien et prends son sexe en bouche, sa queue commence à durcir entre mes lèvres alors que je le suce doucement.
Ma main passe sur ses couilles que je viens malaxer fermement, quant à ma langue, elle passe e sur toute sa longueur plusieurs fois.
Je la prends contre mes lèvres comme si je jouais de l'harmonica, je l'entends gémir et je m'applique encore plus sur cette verge que j'ai tant rêvé de voir.
Combien de fois mon regard ne c'est pas posé sur la bosse de son pantalon pendant le cours, et à chaque fois, je me perdais dans mes pensées.
Rêvant de le voir bander amplifiant ainsi cette bosse excitante dans son pantalon souvent trop moulant pour rester clair d'esprit.
J'ai déjà imaginé autant de scénarios qu'on peut trouver dans les films pornos, et pourtant, jamais je me serais imaginé vraiment à lui tailler une pipe.
- Suce moi bien, oui comme ça Timothé, mmm, il met ça tête en arrière et ferme les yeux.
Je glisse mes lèvres sur son gland, entrant son sexe un peu plus dans ma cavité buccale, elles glissent le long de sa verge à la peau lisse.
Je finis par sentir son gland buté contre la paroi de ma gorge, y étant préparé, je n'ai aucun haut-le-cœur.
Je comprime mes lèvres sur son sexe avant de faire le chemin inverse, je sens les veines de sa queue roulé sous ma langue, ce qui redonne de la vigueur à mon membre.
Je porte ma main à ma queue pour me caresser doucement, alors que je continue de jouer avec ma bouche sur son sexe parfaitement dressé à son apogée.
- Qu'aimerai-tu que je te fasse mon cher Timothé, me demande le prof alors que j'ai encore sa queue en bouche.
J'arrête de m'amuser avec son sexe deux secondes pour lui répondre.
- En réalité monsieur, c'est plutôt ce que j'aimerai vous faire que vous devez vous demander, répondis-je alors qu'il semble surpris.
- Tu n'es pas passif toi ? me questionne-t-il alors que je tiens toujours sa queue dressé entre mes doigts de fée.
- Non monsieur, mon kiff est de bouffer le cul avant de vous baiser professeur.
Il me regard surpris encore une fois par ce que je dis, sûrement pas habituée a ce que je parle autant et de façon aussi confiante.
- Écoute, tu sais quoi ? Vas-y, fait toi plaisirs, dit-il en retournant à son bureau.
Il se couche dessus, le dos contre la surface de son bureau avec ses pieds posé sur les coins de celui-ci.
Mon regard se pose sur ses fesses parfaitement écarté, m'offrant une vue sur son petit trou rose.
- Mm professeur, je me retiens de ne pas vous baiser comme un sauvage, lui dis-je en approchant de lui.
- ça ne serait pas pour me déplaire, tu sais répond-il alors que ma main se pose sur son genou droit.
Je redescends vers l'intérieur de ses cuisses avant d'attraper sa fesse droite, que je viens malaxer fermement.
Je le regarde dans les yeux avec un regard pervers qui semble l'exciter, quand je remarque que sa queue est couverte de mouille.
Je me mets à genoux au sol face à la source de mes désirs les plus fous.
Je me suce le doigt pour l'humidité avec de le poser contre son trou, j'appuie dessus et le fait entrer en lui.
Je sens son cul serré sur mon doigt et je décide de m'amuser, je retire mon doigt et rapproche ma tête.
Je lui souffle sur le cul ce qui lui provoque un léger frisson.
Il doit comprendre ce que je vais faire, car quand je pose ma langue sur son trou, il ne réagit pas.
Alors je lui crache sur le cul avant de jouer de ma langue sur son trou, il se met direct à gémir à chaque coup d langue que je lui fais.
Il est impuissant face à mes coups de langue et le montre bien, il gémit mon non en fermant les yeux pour apprécier ce que je lui fais.
Son cul se dilate et je peux le sentir s'ouvrir à moi de plus en plus, ma langue entre en lui plusieurs fois.
Je fais des mouvements circulaires avant ma langue alors que ses gémissements s'intensifient.
Je lui remets deux doigts couvert de salive dans le cul. Il rentre facilement en lui.
Je fais des vas et viens avec, l'ouvrant un peu plus à ma volonté.
Son trou n'oppose aucune résistance alors je retire mes doigts, je me redresse, je vois que mon prof à la tête en arrière, les yeux clos et une expression de bien-être sur son visage.
Je baisse mon pantalon ainsi que mon boxer, je crache sur ma queue et me branle pour étaler ma salive sur mon membre.
Je viens ensuite placer mon gland contre son cul, il ouvre les yeux et me regarde, je lui fais un sourire pervers et entre en lui alors qu'il se mord la lèvre inférieure.
J'entre en lui pas trop vite, je sens ses muscles anaux résister un peu à mes 16 cm pour une largeur de 3 cm, il est un peu tendu, je le sens.
Je commence à lui caresser la queue d'une main alors que de l'autre, je découvre son torse, ses abdos qui crée une petite vallée que je parcours de mes doigts, j'arrive à la limite de ses pectoraux bombé qui me donne envie.
Je viens titiller ses tétons que je pince légèrement, il frémit et commence à se détendre, je pousse mon sexe un peu plus en lui, en continuant de caresser son corps de mes mains.
Je finis par buter contre sa prostate, mes couilles son contre ses fesses signe que je suis entièrement en lui.
Je commence de léger va et viens avec ma bite, je me retire de moitié doucement avant de rentrer en lui d'un coup.
Il lâche un léger gémissement, se retenant pour pas qu'on se fasse prendre, j'imagine, sauf que je veux le dominer, le rendre accro au point où il est redemande encore et encore.
Je veux montrer à quel point, je prends mon pied et libérer des mois de désir acharné en le prenant avec une ardeur insoupçonné.
Mes coups de bite deviennent plus rapides, je baise le professeur férocement et il semble aimé ça, car il gémit comme une salope.
L'humidité et la chaleur de son cul m'excite encore plus, je sens mon sexe nager dans un cocon aux sensations plus excitante les unes des autres.
- Continue comme ça, je veux te sentir au fond de moi, me gémit mon professeur en attrapant sa queue pour se branler.
Je m'enfonce entièrement en lui et me retire complètement, je le fais encore et encore, augmentant la cadence à chacun de ses cris de plaisirs non dissimulé.
Je sens ma queue heurter à chaque fois sa prostate qui semble être de plus en plus sensible si j'en crois les vagues de plaisirs qui s'empare de lui.
Je pose mon sexe contre sa prostate et je fais des vas et viens court, mais rapide pour lui procurer plus de plaisir.
Il jette soudain sa tête en arrière alors que je sens des contractions au niveau de sa prostate qui se met ensuite a vibrer signe qu'il a atteint l'orgasme.
Son cul se referme sur mon sexe alors que je continue de lui donner des coup de bite plus léger, mais tout aussi profond.
Quelques minutes, après avoir atteint l'orgasme, je vois son sexe se tendre avant d'expulser de puissants jets de sperme qui lui recouvre le torse et le cou.
Son sphincter appuie sur ma queue et je me retire quand je sens le plaisir croître en moi pour ne pas jouir ainsi.
Je fais le tour du bureau et lui demande de laisser sa tête pendre dans le vide, son corps toujours allongé.
Il m'obéit, je lui ouvre la bouche pour y entrer ma queue que j'enfonce au fond de sa cavité buccale.
Il referme sa bouche sur mon sexe et je me mets à faire des va et viens entre ses lèvres, l'humidité créée par sa salive et la sensation de sa langue me mènent rapidement à la jouissance.
Je me retire de sa bouche et je commence à me branler frénétiquement.
- Putain prends toi ça, dis-je en éjaculant un premier jet qui recouvre son menton et ses lèvres, rapidement, rejoins par le second tout aussi puissant.
Un troisième jet moins puissant vient gicler sur sa fossette droite alors que le dernier lui est éjecté sur sa bouche.
Je place mon sexe devant sa bouche alors qu'il sort sa langue pour récupérer les dernières gouttes de mon jus.
Il se redresse et vient se placer devant moi, il attrape mon menton qu'il soulève et il m'embrasse, surpris, je ne réagis pas.
Il pose ses mains sur mes fesses qu'il malaxe fermement alors qu'il me tend sa langue pour approfondir notre baiser.
Je lui tends la mienne et nous jouons avec nos bouches quelques minutes avant qu'il ne se détache de moi.
- La prochaine fois je te rendrais tout le plaisir que tu m'as donné au centuple Casanova.
Stiltkins
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