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3 | Les Ramblas
Après une douche durant laquelle je pus expulser le foutre mélangé à l’eau de la piscine qui s’étaient accumulés dans mon cul et où Alex se rinça de ce qui était resté collé à ses beaux cheveux blonds, nous partîmes pour les Ramblas. Cela faisait maintenant deux heures que nous nous connaissions de chair et d’os et la nuit était sur le point de tomber. Autant dire que nous avions promptement brisé la glace, ce qui nous avait instinctivement rapproché.
La foule de touristes sur les Ramblas ne désépaississait pas. Les odeurs se mélangeaient, celle du parfum d’Alex qui m’excitait toujours autant tout comme les effluves de weed qui venaient d’un peu partout et qui me désinhibaient davantage à chaque inspiration. D’ailleurs, les dealers ne manquaient pas. Pour ceux qui connaissent un peu les Ramblas, vous reconnaîtrez les vendeurs à la sauvette qui passent à coté des touristes et murmurent « Marijuana, cocaïna, ketamina… ». Comme je venais d’arriver, il était temps de faire les courses pour moi. Objectif : trouver la meilleure des cames.
Pas besoin de chercher longtemps, un dealer nous entraîna dans une petite rue sombre pour nous faire goûter son produit. Je goûtais, elle était bonne. Comme je ne parlais pas la langue, c’est Alex qui négociait. Le voir parler Espagnol m’excitait vraiment.
On s’enfonça plus loin dans la rue pour que je fasse des traces. Au même moment, il passait sa main par l’ouverture de mon short et commençait à me caresser. Ma bite devenait dure. Je le repoussais en rigolant car il me déconcentrait. On partagea la même paille pour sniffer, pas très safe je sais, mais tellement excitant.
La coke était trop bonne, je me relevais et plaquais Alex contre un mur, je l’embrassais, il me branlait. J’avais beaucoup trop confiance en moi et je voulais l’enculer sans perdre de temps, dans cette ruelle sombre qui sentait la pisse de clodo. Lui aussi me disait qu’il n’en pouvait plus d’attendre.
- Y a personne, vas-y prends ta revanche !
- Baisse ton froc, fais voir ton cul.
Ni une ni deux, Alex était cul-nu en plein milieu de Barcelone, sa bite pointait en direction du mur et je me baissais pour lui lécher le trou avant de l’enculer. Il gémissait comme si c’était sa première fois. Son cul était si serré qu’il résistait à ma bite. Elle ne voulait pas rentrer. On était excité comme des enfants en train de faire une bêtise, ce qui nous rendait assez maladroits. Finalement, après lui avoir craché à plusieurs reprises dans le cul, ma bite rentra à moitié. Il poussa un gémissement de plaisir que je dus couvrir avec ma main sur sa bouche pour ne pas attirer les curieux. Il ne faisait même pas nuit et j’étais en train d’enculer Alex dans une rue de Barcelone, quel plaisir. Carrer de Lleialtat si mes souvenirs sont bons. Ma bite était totalement en lui et il bandait comme une mule. J’avais encore envie qu’il s’occupe de mon cul comme au bord de la piscine.
Sans prévenir, je me retirais et lui présentais mon cul qu’il saisit sans hésitation. Mon trou était encore tout dilaté de nos aventures aquatiques. Sa bite rentra dedans comme dans du beurre, c’était si bon. À ce moment-là, un groupe de touristes s’engagea dans la rue. La situation m’excitait tellement que ma première réaction fût de les regarder avec un grand sourire tandis qu’Alex s’acharnait derrière moi. Soudain, alors que je ne la touchais même pas, ma queue commença rapidement à gonfler de plaisir et tout mon corps se réchauffa. D’un accord commun, nos deux corps venaient de jouir, lui dans mon cul et moi de la prostate. Un grand jet de foutre était parti sur le mur d’en face, laissant à jamais notre empreinte sur la pierre catalane.
- Et si on allait en boite ?
- Grave, j’ai envie de danser.
Affaire à suivre
Henry Wotton
Autres histoires de l'auteur : Un été à Barcelone
