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HISTOIRE

Novembre, qui bande ?

Ce matin et comme tous les matins depuis bien trois semaines, le temps est gris. Ça mine le moral. Si ce n’était que le matin, je n’y verrais aucun inconvénient. Mais malheureusement, ce brouillard reste toute la journée et le soleil ne montre jamais le bout de son nez. C’est très frustrant quand on sait qu’à quelque mètre de notre place, le brouillard est parti et qu’il fait beau. Enfin bon, ça me rappelle mon aventure avec mon futur mec. Si proche mais si loin en même temps, inatteignable et pourtant touchable. Notre premier baiser, c’est une autre histoire … Maintenant, nous sommes ensemble depuis 2 ans. Nous avons notre petit appartement, très chichement décoré.

Donc je disais que tous les matins étaient gris mais ce n’était pas compté mon petit rayon de soleil. Oh je peux vous assurer qu’il rend les matins toujours très… intéressants. Quel bonheur. Et pour le vôtre, je vais vous raconter notre journée type en ce mois si peu gratifiant.

Chaque matin, nous nous réveillons les bras dans les autres. Soit lui, soit moi est derrière. C’est souvent moi qui suis derrière car je suis plus grand – il aime bien être protégé (comme il dit) – je peux vous dire que chaque matin, mon érection matinale ne frôle jamais la demi-molle. Au contraire, au chaud contre ces deux fesses musclées, je me réveille toujours avec douceur. De plus, il n’hésite pas à empirer mon érection en bougeant lorsqu’il sent que quelque chose de chaud le caresse entre les jambes. Il est important de préciser que nous dormons nus. Pas de perte de temps si vous voyez où je veux en venir.

- « Tu es réveillé ? »
- « Oui. » me répond-il en m’embrassant la main sur laquelle il avait élu comme oreiller.
- « T’as bien dormi ? »
- « J’ai fait un cauchemar. »
- « Oh non, viens ici, que je te console. »

Bien sûr, il n’avait pas fait de cauchemar. C’était un prétexte pour venir encore plus près de moi. Je marche dans son jeu, je l’aime trop pour trouver ça cucul. Mais j’ai aussi très envie de lui, là, maintenant, tout de suite. Je le lui fais comprendre en bougeant mon bassin contre le sien et en l’embrassant sur épaule. Je lui susurre à l’oreille :

- « J’ai envie de toi. »

Il me répond en se retournant et m’embrassant fougueusement. Un french-kiss comme je les aime. Long, langoureux et baveux. Il sait que j’aime ça. Mais moi, je sais qu’il aime aussi autre chose. En même temps de l’embrasser, je commence gentiment à la branler. Inutile de dire que nous étions les deux dans une situation érectile déjà très présente. A peine, touchais-je son sexe bien dur qu’il laisse échapper un petit gémissement que je me dépêche de rattraper en l’embrassant fougueusement. Pour se venger, il prend aussi mon sexe. Nous nous branlons mutuellement en nous caressant et embrassant.

- « Je sens que je vais venir » me dit-il.
Oui, la première arrive toujours assez rapidement. Je dois dire que moi aussi. A la vue de la situation dans laquelle nous sommes. Le climax arrive souvent très promptement. Ça ne nous dérange pas. Mais dès qu’il prononce cette phrase, je sais ce qu’il faut faire. Je plonge alors directement sous les draps et prend sa belle bite dans la bouche. Effectivement, si je n’avais eu que deux secondes de retard, le beau aurait sali les draps ! Il prend ma tête dans ses deux mains et décharge son foutre dans ma bouche.

Le matin, agin, c’est un coup à prendre… on s’habitue. Puis viens mon tour de jouir. Il me rend la pareil s’enfonçant dans les couvertures, hop, tout dans sa petite bouche. Il remonte à la surface. On s’embrasse une dernière fois avant de se lever.

Je me lève et vais dans la cuisine préparer les cafés et préparer le petit-déjeuner. Lui, il va se doucher. On se retrouve devant la table. On a nos petites habitudes mais je vous épargne les détails confitureux et autres.

- « Tiens, j’ai un cadeau pour toi aujourd’hui ! » me dit-il avec un sourire carnassier.
- « Bah, pourquoi ? »
- « Comme ça, on ne peut plus faire plaisir à son homme maintenant ? »
- « Mais si ! »

Et il me tend un paquet. Je l’ouvre. C’est un petit plug anal commandé. Je regarde le plug, regarde les yeux de mon mec. Le plug me toise, mon mec pouffe.

- « C’est pas un bonne idée ? »
- « Si, si, très bonne ! »
- « C’est moi qui garde la télécommande… allez, met-le »

Je m’exécute. Il entre assez facilement, je m’empresse de lui en faire la remarque.

- « Peut-être mais tu vas ce que cette petite chose va pouvoir faire ! »

Et il presse une touche sur sa télécommande. Ah, grand dieu, la sensation est si bonne. Mes yeux convulsent. Maintenant, c’est lui qui m’en fait la remarque.

- « Et ben, on dirait bien que ça te fait effet. »
- « Oui… »
- « Tu vas passer une agréable journée comme ça. »

On rit, je vais vers lui pour l’embrasser pour le remercier de ce cadeau si sensoriel. On se prépare pour partir au boulot. Sur le palier, nous nous quittons. Petit baiser, petit plaisir aux souvenirs alléchants.

Au bureau, je suis prêt qu’il enclenche sa machine infernale. Pendant toute la matinée, je suis en constante demi-molle dans l’excitation que je sente cette pression dans le bas de mon ventre. J’ai toujours chaud. Lui, il doit prendre un malin plaisir à me faire languir d’attente. N’y tenant plus, je lui envoie un texto : « C’est horrible ton truc, j’ai une demi-molle depuis ce matin, tu peux faire quelque chose ?? » Il me laisse languir pendant un bon quart d’heure. Je sais qu’il s’amuse mais tant mieux, si ça peut lui faire plaisir, ça me fait aussi plaisir… Je disais donc, un quart d’heure plus tard, je reçois sa réponse : « Tu l’auras voulu bb » J’ai à peine le temps de voir le message que je sens une vibration dans mon anus. Je ne peux m’empêcher de laisser passer un petit gémissement qui attire l’attention de mes collègues mais sans plus. Heureusement pour moi.

Puis, il augmente les vibrations. J’ai du mal à me contenir. Je me contorsionne dans tous les sens sur ma chaise. Une érection dure comme fer. Je reçois un nouveau message de la part de mon tortionnaire. « Alors, tu es encore vivant ? » Je lui réponds entre deux contorsions : « oui, mais calme le jeu… je vais me faire repérer. » Le problème étant que mon copain est un petit pervers. Donc au lieu de calmer le jeu comme je lui avais demandé, il fait totalement l’inverse. Il augmente encore plus les vibrations. Là je ne n’y tiens plus, je décide d’aller aux toilettes. J’inspecte le lieu, personne. Je rentre dans la première cabine. J’enlève mon pantalon, mon ck et commence à me branler. Nouveau message de sa part. « T’en pouvais plus hein ? T’es allé te branler dans les toilettes ? » je lui réponds. « En même temps, t’as augmenté. Je suis pas un dieu ! » « ça se saurait ça… » Sur ce, il met le plus fort possible. Je crie de plaisir dans ma cabine. Je jouis sans me toucher. Il y en a partout, sur les murs, la cuvette, le papier WC. Je suffoque, je reprends ma respiration. Le jouet démoniaque s’est calmé. Dernier texto de sa part : « j’espère que tu as bien apprécié… », je lui mets : « Oui, mais toi, tu vas avoir une punition ce soir ! » Assis sur les toilettes, avec encore un peu de sperme qui coule au bout de la bite, je pense à ce que je vais bien pouvoir lui infliger. La demi-molle me reprend mais cette fois-ci, je l’ignore.

L’après-midi se passe sans rien de bien intéressant, petits sextos par-ci, petits messages tendres par-là, compta, imprimante et tout le tralala, arrive enfin 17h !

Je rentre en premier à l’appart. Pas besoin de vous décrire le temps qu’il fait dehors, il est figé. Connaissez-vous la couleur grise ? Et bien, si vous n’êtes plus trop certain, venez habiter dans notre région. Vous réapprendrez qu’elle est cette délicieuse couleur. Bref ! J’arrive à l’appartement. Je me douche. Je préfère sentir bon lorsqu’il arrivera. Je me mets en slip (oui, c’est plus confortable) et je l’attends, caché dans un coin. Après 5 minutes d’attente, j’entends que monsieur rentre.

- « Chou, je suis rentré ! »

Je ne lui réponds pas.

- « Youhou, tu es là ? »

Toujours rien, sinon c’est pas drôle.

- « Bon, c’est marrant deux minutes, mais montre toi maintenant !»

Il arrive dans la chambre. Il inspecte la chambre. Finalement, il tombe sur moi. On se regarde. Il comprend qu’il est déjà trop tard pour fuir. Je lui saute dessus, le prends dans mes bras. Il se laisse faire. Je le jette sur le lit et commence à le déshabiller sauvagement. Il est maintenant nu devant moi comme dirait Pierre Lapointe.
- « Si c’était que ça ta punition, j’aurais pu y aller plus fort ce matin. »

Pour réponse, je prends des menottes de mon tiroir de ma table de chevet et lui emprisonne ses deux poignets contre son dos. Il est beau comme ça sur les draps, les bras dans le dos, nu, son corps m’enivre, j’ai envie de lui faire subir pleins de choses tendres et plaisantes ! Comme ce plaisir est juste sous mes yeux et à ma merci, je ne vais pas m’en priver. Je commence donc par l’embrasser goulument en faisait toujours attention à manipuler correctement son objet de désir. Je descends gentiment. Uniquement avec le bout de ma langue, je frôle son cou, sa glotte puis embrasse tendrement chacunes des deux extrémités roses des deux pectoraux.

- « Ahhh, continue »
- « Bien sûr ! Je vais pas m’arrêter maintenant ! Quoique… »
- « Non, c’est trop bon, continue ! »

Je continue de frôler uniquement avec le bout de ma langue chaque partie anatomique de son corps athlétique. Je ne sais pas comment j’ai réussi à l’avoir ce mec mais bon, ce n’est pas le moment pour se poser ce genre de question. Je continue ma descente au paradis. J’arrive au principal. Ayant les mains liées, il ne peut pas me montrer la direction. Alors je touche intentionnellement maladroitement sa bite. Je la prends à moitié en bouche, la frotte à mon visage, lèche juste le bout du gland. Il n’en peut plus. Il mouille énormément.

- « Vasy, prend la ! Je sais que tu en as envie, et moi aussi ! »
- « Oh oui, mais je préfère, te faire attendre… »

Sur ces mots, je le retourne et vois son magnifique petit cul rebondi. Je m’empresse d’y aller fourrer mon nez dedans. Je lèche sa petite rondelle. Je l’entends gémir. Un rimming est toujours très agréable. J’y enfonce ma langue. Il gémit de plus belle. Maintenant que c’est bien lubrifier, j’y enfonce délicatement un doigt. Il est à quatre pattes devant moi. Son cul vers moi. C’est si excitant. Mon doigt entre très facilement.

- « Et ben, t’es bien excité… »
- « Tait-toi, t’es pareil toi, sauf que toi, c’est le poing qui rentre facilement. »

Il n’avait pas complètement tort mais ce n’est pas le sujet. Je continue mon exploration anale en lui en mettant en deuxième. Je vois sa bite se durcir. Je masse son anus, cherchant sa prostate. Il prend plaisir.

- « Mets-là moi. » je l’entends marmonner.
- « J’ai pas compris…, désolé. »
- « Mets-là moi ! » répète-il plus fort.
- « J’ai cru que tu n’allais jamais me demander ! »

A ces mots, je lui enfonce ma bite dans son petit cul lubrifié. C’est chaud, c’est serré, c’est doux à l’intérieur. Je commence mes vas et viens, gentiment. Je le vois qu’il commence à prendre son pied. Je me permets des fessées sur ses fesses qui deviennent très vite rouges. Je continue, j’accélère la cadence. Je le retourne. Je vois qu’il bande comme un taureau.

- « T’y prend plaisir finalement ? »
- « Oui, beaucoup, continue. »

Je continue. Ma cadence s’accélère. Mon bassin se cogne au sien avec un bruit sec. Nous transpirons. On s’embrasse. Je prends sa bite dans ma main, je la branle. Ma bite dans son cul commence à se faire enfin sa place. Elle rentre maintenant très facilement.

- « Je vais jouir » me dit-il.

Alors j’arrête de le branler, mais je l’encule encore plus fort. Lui étant pour le moment manchot n’a pas le choix que se laisser venir à la jouissance par le cul. C’est ce qu’il fera. Plusieurs longs jets arrivent jusqu’à son visage. Il n’en peut plus. Je le regarde.

- « Mais moi, je n’ai pas encore joui tu sais… »
- « Vasy, vient, tu ne me fais pas peur. »

Je fais deux coups de bassin et je jouis dans son cul. J’y reste un moment. Puis je m’enlève gentiment pour laisser ma semence sortir avec. C’est beau ce liquide qui sort d’un cul dilaté. Je prends avec les doigts ce sperme qui ressort et les mets dans sa bouche. Il accepte avec joie et je l’embrasse.

- « Tu vas me délivrer maintenant ? »
- « Mmmmh, nan, tu n’as pas encore été assez puni… tu vas rester comme ça toute la soirée… »
- « Mais, pourtant, j’ai été bon là… »
- « C’est vrai, je t’accorde 5 minutes de liberté. »
- « Que de bonté. »

J’enlève ces liens. Il me regarde avec un regard à faire peur. Là, je me dis j’aurais mieux fait de laisser les menottes… il me saute dessus, je crie de peur. Mais il ne me tape pas au contraire. Il me prend dans ses bras et m’embrasse.

- « Je t’aime fort. »
- « Moi aussi. »

Emil

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