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18 Mars

Grosse queue
"Plan à 3"
"handgag"

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HISTOIRE

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Nouvelle opportunité

D’aussi loin que je me souvienne, je n’ai jamais ressenti une quelconque attirance pour les hommes. J’ai déjà jeté un œil furtif à leur physique, plus par envie de le ressembler que par une attraction sexuelle. J’ai eu plusieurs relations avec des filles : des coups d’un soir, des sexfriends ou bien des choses plus sérieuses, s’étalant sur plusieurs mois.

Je n’ai jamais eu de problèmes avec l’homosexualité : je pars du principe que chacun fait ce qu’il veut avec ses organes génitaux. Mais ça ne m’a jamais traversé l’esprit, jusqu’à ce fameux événement.

Moi c’est Antoine. Actuellement, j’ai 21 ans et je termine mes études de technicien de laboratoire. Physiquement, je suis blond-châtain coupé court, des yeux bruns et un visage relativement quelconque : pas spécialement mignon ou beau, mais pas moche. Le genre de visage qui va en intéresser certains et déplaire à d’autres. Je suis relativement trapu : je fais 1m65, mais assez massif des épaules et du torse. Mais ce qui est particulièrement notable chez moi, c’est mon cul : il est gros, très rond et musclé. Depuis le début de mon adolescence où cette démarcation a pris naissance, mes amis me charrient avec ça, le commentant joyeusement, en faisant des remarques salaces et lubriques. D’un naturel extraverti et à l’aise avec mon corps, j’aimais bien répondre avec humour à ces remarques, effectuant des twerks pour amuser la galerie. Même chez les filles, cette caractéristique physique ne laissait pas indifférent : ma dernière conquête relativement longue, Céline, appréciait beaucoup jouer avec en le massant, parfois même en l’embrassant ou passant sa langue dessus. Cela ne me déplaisait pas, l’incitant parfois à mettre un doigt dedans pendant qu’elle me suçait.

Dans l’équipe de natation dans laquelle je me trouve, avec le temps, les remarques et commentaires sur mon cul avaient naturellement diminués avec le temps. Mais pas chez Ethan. C’est un jeune adulte à côté duquel il est difficile de passer. Il me dépasse de deux bonnes têtes et a plus le profil du joueur de rugby plutôt que de nageur : une véritable armoire à glace. Blond aux yeux bleus de surcroît, il n’a clairement pas de problème à se trouver une fille à ramener chez lui en soirée ou sur des applis telles que Tinder. De tous, c’est celui qui n’a jamais vraiment arrêté de faire des remarques obscènes et grivoises sur mon boule. Au point que je doive parfois le recadrer quand j’estime qu’il devient plus lourd que marrant.

– Dis donc mec, lâcha-t-il suffisamment fort pour que sa voix grave résonne dans le vestiaire, comment fais-tu pour avoir un tel boule quand les meufs que je saute n’en n’ont pas la moitié ?

– La ferme, Ethan. Ça devient gavant, répondis-je du tac au tac.

Mais jusqu’alors, à aucun moment il ne semblait un tant soit peu réellement intéressé. C’était plus une façon de plaisanter, quelque peu lourdingue, je l’avoue.

Nous sommes aujourd’hui samedi. La veille, j’avais eu une séance intense de natation que j’avais souhaité enchaîner avec de la cardio à la salle de sport. Aujourd’hui, je le regrette amèrement : mes jambes et mon dos me font souffrir comme jamais. Je me lève péniblement de mon lit et jette un œil à mon portable : 9 h 57.

– Merde, grommelai-je à moi-même. Je n’aurai pas le temps de passer au marché ce matin.

D’un naturel lève-tôt, je déteste passer mon temps au lit et j’estime que dormir est une perte de temps que l’on pourrait consacrer à d’autres choses. Je descends dans ma cuisine et me sers à petit déjeuner. Alors que je termine mon bol de Kellogg’s, je vois une bulle de conversation s’ouvrir sur le groupe d’amis avec qui j’ai une sortie de prévue ce soir.

- « On se dit 19 h chez moi ? écrit Marie »

– « Ça marche pour moi, répondit immédiatement Nico. Je passerai acheter des bières avant de venir. On se prendrait bien une pizza ou un Kebab avant de partir dans les cafés ? »

- « Très chaud ! renchérit Ethan. Ça fait un moment que je ne suis pas sorti, j’ai hâte de pouvoir bouger ! »

- « Je viendrai en pré chez toi, Marie, écrivis-je. Mais je ne sais pas si je resterai avec vous pour la suite : le sport d’hier m’a complètement détruit. Je vais me prendre un bon bain chaud et essayer de faire diminuer mes courbatures. »

- « Si tu veux, passe chez moi dans l’aprèm, suggéra Ethan. Je te ferai des étirements, on s’envoie quelques quilles en jouant à la playstation et on ira chez Marie avec ma caisse. »

Il est vrai qu’il est en 3 années de kiné. Il a largement les compétences de soigner ou entretenir des muscles endoloris.

- « Ça marche, je passe début d’après-midi. »

Je mets mes couverts dans le lave-vaisselle et poursuis ma journée comme d’habitude. Comme prévu, je débarque chez Ethan en jogging pour être plus confortable, accompagné d’un sac pour me changer ce soir. Il m’ouvre la porte, les cheveux encore ébouriffés et humides, vêtu d’un essui de bain autour de la taille.

– Entre, j’ai fini de me laver. Je vais m’habiller puis on commence. Mets-toi à l’aise, je n’en ai pas pour longtemps.

Je suis déjà venu plusieurs fois et connais donc les lieux. Je m’installe sur son canapé et attends son retour. Il arrive vêtu également d’un training et d’un survêtement gris et dans chaque main, une bière. Il m’en tend une et me dit :

– Enlève ton haut et allonge-toi sur le canapé, je vais te masser un peu le dos pour commencer.

Après une première lampée de bue, je m’exécute et il s’installe de part et d’autre de mon corps. Il commence à passer ses mains sur mes muscles et les frictionne activement, faisant chauffer ma peau sous ses doigts

– T’as fait quoi exactement comme exercices pour te casser en deux de la sorte ? me demanda-t-il.

– Eh bien, déjà la séance de natation d’hier avec le coach, qui était en forme, d’ailleurs, signalai-je, tout en appréciant ses gestes experts. Puis j’ai voulu faire de la cardio à la salle de sport. J’ai couru une bonne heure sur le tapis et puis j’ai fait quelques machines.

– C’est vraiment stupide d’avoir fait ça, me charia-t-il de plus belles. C’est le meilleur moyen pour bousiller tes muscles. Je vais faire de mon mieux pour diminuer la douleur, mais je ne pourrai pas rattraper tes actes stupides.

Nous continuons de parler de tout et de rien. Au fur et à mesure du massage, je sens la douleur de mon dos se faire moins vive. J’en arrivais même à somnoler légèrement, buvant de temps à autre une gorgée ou deux de ma boisson.

– J’en ai fini avec ton dos, m’indiqua-t-il je vais descendre sur le bas du corps.

Je le sens bouger au-dessus de moi et se reculer. Une fraction de seconde, j’ai le sentiment de sentir son pénis passer le long de mes fesses. Il s’installe sur le haut de mes cuisses et poigne dans mes deux lobes fessiers.

– Ethan, dis-je en jetant un œil à mon ami. Que fais-tu là ?

– Relax, je vais rien te faire d’autre qu’un message, plaisanta-t-il. Mais je suis quasiment sûr que cette partie est aussi douloureuse que le reste.

Il n’a pas tort, cependant. Je décide donc de le laisser faire, même si je ne suis pas complètement à mon aise.

– Malgré un boule comme ça, tu décides quand même de continuer à le muscler ? T’as vu tes jambes aussi ? On dirait que tu ne fais que fortifier tes jambes à la salle !

– Étant donné que je suis plus petit que la majorité de mes potes, je dois marcher deux fois plus qu’eux pour ne pas être dépassé, rigolai-je, sur un fond de vérité. Du coup, mes jambes se sont vachement musclées à cause de ça.

Il rigole de bon cœur en buvant un coup dans sa bouteille puis entreprend de me masser à nouveau.

– Les filles aussi kiffent un cul pareil ? demanda-t-il, intéressé et lubrique.

– Je ne sais pas si toutes adorent, mais il est clair qu’il ne laisse pas indifférent.

– Certaines ont déjà joué avec, genre en te suçant ou quoi, je veux dire ?

– Eh bien certaines appréciaient de le masser. Mais je dois dire que Céline particulièrement en était fan, répondis-je simplement.

– Ah ouais, vraiment ? Qu’est-ce qu’elle faisait ? questionna-t-il en enserrant de manière insistante sur mes deux fesses, ses mains fermes les agrippant presque sauvagement.

– Eh bien, elle aimait assez de le toucher pendant nos rapports. Mais il lui arrivait également de le lécher et parfois même d’y mettre un ou deux doigts pour aller jouer avec ma prostate.

Je n’ai jusque-là jamais fait ces révélations à qui que ce soit. Mais l’alcool aidant et Ethan me mettant assez à l’aise, je réponds honnêtement.

– Sans déconner, tu lui as fait lécher ton cul ? s’étonna-t-il, épris d’une légère admiration.

– Je ne la forçais pas : c’était de sa propre volonté.

– Eh ben, tu m’étonnes ! Avec un cul pareil, tout le monde voudrait le faire !

On change de sujet de conversation rapidement tandis qu’il achève tranquillement de masser mes jambes. Il me propose une autre bière ainsi que des petites choses à grignoter tandis que nous nous installons devant une série. Probablement dû au massage ainsi qu’à la bière, je sens mes yeux vaciller devant les personnages qui s’agitent de Umbrella Academy. Un coup d’œil sur Ethan me fait constater que, lui aussi, a perdu la bataille sur la sieste et s’est endormi depuis un petit moment peut-être. Je décide donc de me laisser aller au sommeil et sombre durant une heure ou deux.

À mon réveil, j’ai l’impression de sortir d’une très longue torpeur. Ethan, lui, est pleinement réveillé sur le fauteuil à côté, les yeux fixés sur l’écran. Alors que j’émerge tout doucement, je constate que le bas de mon training ainsi que mon boxer sont tous deux baissés à mes chevilles.

– Putain, il s’est passé quoi ?! m’exclamai-je, dans l’incompréhension.

– Je me suis réveillé y a un moment maintenant, me répondit simplement mon ami en me lançant un sourire. Et je t’ai trouvé complètement endormi. J’ai baissé ton pantalon, je trouve ton cul beaucoup plus beau quand il est nu.

– Tu te rends compte que c’est grave ? grommelai-je, toujours dans les vapes, en commençant à me rhabiller.

– Oh non, tu ne vas pas recouvrir ce cul tout de suite ! m’intima-t-il en haussant un peu le ton.

Il écarte ses jambes et attrape une bosse qui déforme son training à présent :

– Regarde l’effet que tu as !

Je ne suis pas sûr de comprendre ce qu’il me veut. Je retrouve peu à peu mes esprits et commencent enfin à attacher les événements bout à bout.

– Mets-toi à genoux sur le canapé et pointe ton cul vers moi !

– Pardon ? demandai-je, entre l’incrédulité et la stupéfaction. Il avait dit ça avec autorité et sérieux, mais je ne peux me résoudre à me dire qu’il est sérieux. C’est une plaisanterie, c’est ça ?

– Non non, poursuivit-il en se dirigeant vers moi, massant avidement son pénis grandissant au travers du tissu. Je suis très sérieux. Je n’en ai pas fini. Maintenant, obéi.

J’ai un moment d’hésitation. Cette situation semble irréelle à tout niveau. Pourtant, je décide malgré tout de faire ce qu’il me demande, le teint écarlate par la situation.

– Bien, très bien. Me félicita-t-il, non loin de moi maintenant. Ce cul, bordel. Si rond et musclé, à se damner.

Il passe une main sur la peau nue de mes fesses et les malaxe avec fermeté. Je tremble légèrement, de part cette situation complètement improbable et par ce toucher des plus sensuels. Il se dirige vers le centre de mon cul et passe un doigt sur ma raie. Son index prend la direction de mon anus et il en frotte la surface. Malgré moi, je me mis un gémir dans un grognement.

– T’aimes ça, hein ? Ça te rappelle les bons moments avec ton ex.

Il n’attend pas de réponse de ma part, poursuivant inlassablement son massage anal. J’entends alors un froissement de tissus et je crois apercevoir ses jambes s’agiter pour enlever ses vêtements. Je veux essayer de voir ce qui se trame dans mon dos, mais il appuie instinctivement sur ma tête pour la remettre face au dossier du canapé.

– Tu-tu, siffla-t-il joyeusement. Tu pourras jeter un œil à ça après. Tout d’abord, j’aimerais m’occuper de ce cul et jouer avec.

Ses deux mains agrippent alors la peau et la masse furieusement. Ses mains couvrent chaque centimètre visible, tandis qu’il poursuit la découverte de mon intimité. Il parvient à m’arracher quelques grognements. Cette situation parvient à m’exciter et je sens mon pénis devenir dur à mesure que son emprise sur moi se fait plus grande.

– Je savais que tu allais aimer ça ! Mais tu vas encore plus apprécier ce que je vais te faire. On a encore pas mal de temps avant la soirée et je compte bien mettre ce temps à profit pour m’amuser.

Quelque chose de chaud et dur se pose alors sur mes fesses, le long de ma raie. Je comprends qu’Ethan vient de poser son pénis sur mon cul. De ses deux mains qui maintiennent mes hanches, il commence un va-et-vient lent, son gland découvrant mon intimité offerte. Le contact chaleureux et doux me fait frissonner, de plaisir bien malgré moi. Je me sens particulièrement bien dans cette situation, ferme et directive de mon ami.

– Mets bien ton cul en évidence, que je puisse branler ma bite dessus, m’intima-t-il tandis que ses boules venaient toucher mon cul à intervalles réguliers.

J’obtempère de nouveau en silence, les joues empourprées par la situation, mais également par mon excitation qui prend place dans le creux de mes reins et la boule d’allégresse au ventre. Il donne alors quelques coups de pénis sur mon anus et réalise des cercles autour, comme pour en chercher l’entrée. Je la sens lourde, chargée et excitée, des vagues de chaleur émanant de son gland que je devine proéminent.

J’entends des mouvements dans mon dos et je sens qu’il s’est agenouillé devant mon cul offert. Le souffle humide de sa respiration se dépose sur ma peau tandis qu’il murmure :

– Je vais le bouffer ce cul, juste comme Céline te le faisait. Tu vas aimer, mon gars. Cette phase de préliminaire ne sera que le début, mais tu vas entrer en transe.

C’est une langue d’abord hésitante qui effleure mon intimité. Inexpérimentée, elle ne manque pas d’envie d’apprendre et de découvrir. Ce léchage prend alors une tout autre ampleur, en prenant plus de confiance. L’exploration se poursuit et le contact autour de mon anus devient particulièrement insistant. Sa langue le pénètre alors doucement et cette sensation nouvelle, inconnue, m’arrache un nouveau grondement de plaisir, que j’essaye de faire le plus silencieux. Mais Ethan l’entend dans mon dos, car je sens sa bouche se déformer en un sourire malicieux, ravi de voir que je prends du plaisir, mais surtout qu’il m’en procure et qu’il gagne l’ascendant sur moi, voyant que je ne montre aucune réticence à ses envies perverses. Comme un feu vert, son emprise devient encore plus forte et son ardeur se décuple. Il alterne entre sa langue farouche et des petits coups sur mon coup de sa bite dure ou me gratifient d’une claque de temps à autre, envoyant une vive décharge dans mon corps entier.

– C’est bien, je vois que tu es très docile, me dit-il, pervers et conquérant.

Mon pénis est dur au point de me faire mal. La gêne que je ressens depuis le début s’est envolée pour faire place à un sentiment de chaleur torride et d’envie insatiable. Je désire cette situation à présent, mon cœur bat la chamade dans mon torse et je peux faire tout ce qu’Ethan attend de moi, il m’a à sa merci complète. Derrière moi, il se relève pour quitter mon anus. De ses mains fortes, il m’attrape par les côtés et je suis soulevé et retourné sur le dos, tête contre le rebord. J’ai alors un aperçu de mon ami nu, encore plus imposant que je ne me le représentais. Sa carrure forte, colossale encadre tout mon champ de vision. Ses années de sport cumulées se retrouvent étalées devant mes yeux, d’imposants pectoraux et des abdos visibles et tracés sous une peau légèrement hâlée. Entre ses cuisses musculeuses et épaisses comme des troncs d’arbres, pointe d’une masse blonde de poils un pénis d’une taille raisonnable : un peu plus grande et épaisse que la moyenne, mais dotée d’un gland parfaitement décalotté et saillant. La bite en elle-même est lisse, parcourue par quelques veines pulsatives et surplombe deux testicules ronds, gros et légèrement poilus, eux aussi.

– Maintenant, tu vas me sucer, m’ordonna-t-il directif et sec, mais sur un ton calme.

Ses genoux se posent de part et d’autre de ma poitrine tandis que son corps lourd et massif s’enfonce dans le canapé qui grince sous nos deux poids cumulés. Son pénis pointe vers mon visage, vibrant sous une excitation qui irradie dans tous les sens. Il se rapproche à mesure de ma bouche que les jambes d’Ethan glissent sur le cuir du meuble. Sa main redresse son organe turgescent, mettant en évidence les deux testicules.

– Mais d’abord, tu vas gober mes boules et les lécher comme je l’ai fait avec ton cul !

Il a maintenant ses jambes posées sur mes bras et épaules, m’empêchant tout mouvement de révolte si j’en avais eu la volonté. Mais à aucun moment, je ne veux stopper ce jeu que nous avons commencé, mon désir sexuel ayant pris le pas sur ma raison, implantant dans mon esprit des fantasmes nouveaux ou révélant ceux que j’ai toujours refoulés malgré moi. Ses bourses pleines et juteuses épousent mes lèvres entre-ouvertes. Leur odeur s’infiltre dans mes narines – un parfum musqué et poivré, d’une intense virilité qui me donne le tournis. Sans dire un mot, par un simple regard appuyé, il m’invite à entreprendre le travail. D’un bout de langue timide, je commence à humecter sa peau, parcourant ses poils drus et rêches. Cette âpreté dans la texture contraste énormément avec la douceur et l’ardeur du derme. Je m’applique pour lui apporter autant de plaisir qu’il m’en a procuré quelques instants auparavant et des soupirs d’aisance m’indiquent que j’atteints mon objectif assez facilement. Je prends cela comme un compliment et une invitation à poursuivre, prenant une confiance nouvelle qui me donne envie de redoubler d’efforts. Son visage se tourne vers mes yeux, brillants d’un éclat lubrique que j’avais cru voir auparavant, lorsqu’il lui arrivait de faire des blagues graveleuses sur mon cul lors de soirées alcoolisées. Je réalise alors que toute cette situation est une mise en scène préméditée depuis longtemps et n’est pas une impulsivité de sa part. Est-il gay, bi ou simplement curieux ? Est-ce mon cas actuellement, alors que je lèche le testicule d’un autre homme ? Probablement. Certainement, même.

Alors que je me surpris à rêvasser en le fixant du regard, son poids se fait plus insistant au niveau de ma bouche. Je comprends ce qu’il veut et ouvre ma bouche un peu plus encore. Presqu’immédiatement, un de ses testicules pénètre ma cavité et me remplit presque entièrement. La seconde tente de le rejoindre, jouant ainsi l’une et l’autre à se chasser pour être au chaud contre ma langue et mon palais. Je m’emploie à téter ses bourses du mieux que je le peux, gratifiant chacune d’elles de caresses humides et réconfortantes. Ses soupirs de plaisir se muent en grognements sourds tandis que son corps semble émettre encore plus de chaleur. Entre ses cuisses épaisses, la température gagne encore quelques degrés et je suis en transe totale, immobilisé sous ce colosse et mon esprit qui vacillent entre une profonde léthargie et l’adrénaline qui parcourt chaque veine et chaque muscle de mon corps.

– Tu es merveilleux avec mes couilles en bouche, souffla-t-il avec un sourire rayonnant et les yeux demi-clos. On va passer à ma bite maintenant, je vois que tu en meurs d’envie.

Il se soulève légèrement, ôtant de ma cavité buccale ses deux sacs gonflés et prêts à exploser. Son gland pointe alors vers ma bouche et avance lentement. Il s’engouffre dedans, élargissant l’ouverture de mes lèvres sans aucune résistance. Même s’il est d’une taille légèrement supérieure à la moyenne, son pénis prend toute la place, pressant ma langue sur le fond de ma bouche. Ma gorge est bientôt prise d’assaut, mais il ne semble pas vouloir aller plus loin.

– Commençons en douceur, me dit-il comme pour répondre à mon interrogation. Je ne vais pas débuter par limage de ta bouche, mais ça viendra, ne t’en fais pas. Lèche toute ma bite pour commencer, fais-lui la même chose qu’à mes boules.

Incapable de bouger, incapable de parler, je ne peux qu’obéir à sa demande. Du mieux que je le peux, ma langue effectue de tours sur sa hampe, glissant sur la peau de son chibre. Mes mouvements limités m’empêchent de parcourir l’entièreté de son membre et Ethan entreprend de concert un va-et-vient langoureux et sensuel dans ma bouche. Il entre et sort de ma bouche avec lenteur, comme pour profiter de l’instant. De son gland sort un liquide salé qui se répand sur mes parois et parcourt mes papilles avant de finir sa route dans ma gorge. Le liquide préspermatique ne coule pas de manière abondante, mais suffisamment pour que la saveur emplisse l’entièreté de ma bouche.

Je n’ai pas exactement de notions du temps qui s’écoule. Je me concentre sur le plaisir de mon ami, mon chibre en érection n’étant pas accessible. Toute mon attention est focalisée sur le membre qui, petit à petit, pénètre sans ménagement et plus brutalement ma bouche. L’expression du visage d’Ethan devient plus dure, plus dominante et perverse encore. Il sort son pénis dans son entièreté et vient me donner bifler la joue et le visage avec une violence nouvelle. Ses jambes se lèvent brusquement de mes bras et épaules et ses mains passent sous mes aisselles pour me porter et me mettre sur mes genoux, au sol, devant son corps gigantesque sous cet angle.

– On va passer un peu à la vitesse supérieure, m’indiqua-t-il sans vraiment me laisser le choix, passant sa main dans mes cheveux comme pour appuyer sa domination.

– Mais je n’y arriverai pas, signalai-je, la boule au ventre prenant la forme d’un stress. Ma bouche parvient à peine à supporter la moitié de ta bite.

– Oh, mon petit chou, dit-il sur un ton amusé, son pénis claquant mes joues à plusieurs reprises tandis que ses doigts agrippaient mes cheveux. Tu vas t’en sortir, ce n’est pas plus dur pour toi qu’une meuf. Tu vas apprendre à la prendre en entier, ne t’en fais pas !

D’un coup de poignet, il fait basculer ma tête en arrière et force l’entrée de bouche avec sa queue. Cette fois, il n’y a pas de douceur, seulement l’envie de s’enfoncer au plus profond de ma gorge. Je sens sa bite pulser contre ma langue et mon palais. Il me baise littéralement la gueule, comme une simple chatte.

– Tire ta langue le plus loin que tu pas, grogna-t-il agressivement. Je veux pouvoir y mettre tout.

Obéissant une fois de plus, je sens son gland atteindre les limites de mon réflexe émétique. Je tousse violemment et repousse le pénis d’Ethan.

– C’est déjà pas mal, j’en n’attendais pas forcément plus pour une première tentative, me félicita-t-il, un sourire aux lèvres, me gratifiant une fois de plus d’une biffle. Maintenant, on reprend.

J’ai à peine un répit pour reprendre mon souffle que, de nouveau, les assauts reprennent de plus belle. Soumis à sa totale domination, j’encaisse les coups avec un plaisir nouveau, les larmes pointant malgré tout sur le coin de mes yeux. Alors qu’il pénètre et maintient ma tête sur sa bite pendant plusieurs secondes, son autre main glisse le long de ma colonne à la recherche de ma raie entre mes deux fesses. Ses doigts glissent jusqu’à l’entrée de mon anus et de son index, il me pénètre avec un peu de difficulté. Les muscles annaux, par réflexes, se sont resserrés à l’idée d’être ainsi infiltrés. Ma réticence semble plaire à Ethan qui me dit :

– Tu es tout serré, j’adore ! Je me demande si ma queue va pouvoir tenir dedans.

Alors que ma bouche est enfin libérée pendant plus de quelques secondes, je reprends mon souffle avec difficulté.

– Que veux-tu dire ? demandai-je, même si je connais la réponse.

– Quoi donc ? Je vais juste finir ce que nous avons commencé, répondit-il simplement, ses lèvres élargissant un peu plus le sourire vicieux qu’elles affichent.

– C’est que je ne pense pas le vouloir, moi…

– Tu en es bien sûr ? Après tout ce que nous avons fait, toi et moi ?

J’ai le temps d’hésiter une seconde que, de sa main droite, il m’attrape les cheveux et maintient ma tête immobile tandis que sa gauche claque son pénis sur ma joue en rythme à ses paroles :

– Veux-tu *claque* que je *claque* baise *claque* ton énorme cul* avec ma *claque* queue ? *claque*

Son pénis se pose alors le long de ma joue, son gland chaud sur le sommet de mon crâne. Il attend une réponse de ma part. Et mon esprit, embrumé d’une excitation folle, hurle la seule réponse évidente dans ma tête.

– Alors ? s’impatiente-t-il, glissant sa queue sur mon visage.

– Oui… murmurai-je alors qu’une nouvelle fois, mes joues rougissent de gêne par cette situation, ce qui ne lui échappe pas.

– Oui quoi ?

– Je veux que tu me baises…

– Baiser quoi ?

– Mon énorme cul.

– Avec ?

– Ta queue.

– Très bien. Maintenant, redis-le en entier.

Je prends une profonde inspiration comme pour me donner du courage :

– Je veux que tu baises mon énorme avec ta queue

– Enfin on parle ! s’exclama-t-il, victorieux. Mais ne t’en fais pas, je vais évidemment y aller doucement avec cette petite merveille. Ajouta-t-il en me gratifiant d’une claque sonore. Mets-toi à genoux comme au début, sur le canapé. Je prends vite du lubrifiant.

Je m’exécute tandis que je le vois tartiner son chibre épais d’un gel transparent. Il frissonne avec le contact froid et en profite pour en étaler sur le pourtour de mon anus et y glisse un doigt. Un léger mouvement d’allée et venue dans mon anus me procure une sensation d’allégresse, appréciant ce massage. Mes muscles se détendent un peu et je le vois se branler, les yeux fixés sur mon cul comme un chien en manque. Son majeur vient rejoindre son index dans mon intimité et une légère résistance se faire ressentir. Je me crispe face à cette douleur, mais Ethan ne semble pas le remarquer, son esprit focalisé sur mon anus. Son pénis vient alors prendre la place de ses doigts, à l’entrée de mon anus. Son gland se frotte sur ma peau tandis qu’il dit :

– Je n’en reviens pas ! Après des années à en rêver, je vais enfin pouvoir baiser ce cul qui me fait tant envie !

– Vas-y doucement, le suppliai-je, moins rassuré que lui face à cet animal qui semble au summum de sa bestialité.
– Ne t’en fais pas : je vais prendre mon temps et tu vas rapidement y prendre un grand plaisir !
Sa queue commence son ascension dans mes intestins. Sans discontinuer. Centimètre par centimètre, je le sens prendre plus d’ampleur en moi. J’ouvre ma bouche comme pour crier, mais aucun son n’en sort. Je ne peux pas décrire cette douleur intense qui me perfore de part en part, tandis que la queue brûlante poursuit son chemin, réduisant les résistances de mes muscles. Je sens alors ses deux bourses taper contre ma peau.
– Nous y voilà ! Comment tu te sens ?
– Très mal !
– Ne t’en fais pas, ça va aller !
À peine soucieux de ma douleur, il entreprend un va-et-vient calme dans un premier temps. Son pénis lubrifié entre et sort petit à petit, ravivant sur son chemin les douleurs ardentes qui irradient tout mon intérieur. Ma peau brûle, comme un signal m’indiquant que quelque chose ne va pas et des gouttes de sueur perle sur mon front et coule le long de mon échine. Mais Ethan ne s’en préoccupe pas et poursuit ses assauts. Mais alors qu’une minute passe, la souffrance en fait de même. La chaleur insupportable fait place à quelque chose de plus doux, de plus bienveillant. Je me sens bien et me détends et commence même à grogner de plaisir. Mon ami l’entend et profite de cette opportunité pour accélérer le rythme de ses assauts.
– T’aimes ça hein, petite traînée, m’insulta-t-il en me gratifiant d’une claque sur les fesses qui laisse une marque rouge sur ma peau. Que ma bite baise ton bon gros cul. T’es le premier à me laisser emprunter cette voie, t’en avais envie !
Je ne réponds pas à ses piques, beaucoup trop focalisé sur cette sensation nouvelle de profond plaisir. Son gland épouse parfaitement la forme de ma prostate qu’il vient titiller à chaque nouvelle offensive. Des vagues de chaleur se répandent dans mon corps entier et je sens l’orgasme monter graduellement, comme une symphonie qui atteint son apogée. Sa main vient enfoncer ma tête dans le canapé, mettant en évidence mon cul.
– Là, comme ça, dit Ethan, autoritaire et agressif. Je peux voir ma queue entrer et sortir plus facilement. Je suis déjà accroc à ce cul, bordel, j’espère que tu en es conscient ?
Dans mes fesses, je sens sa queue vibrer furieusement. La mienne également, sur le oint d’exploser, s’agite au rythme de ses coups de butoir.
– J’y suis presque, haleta-t-il, le corps couvert de sueur. Viens-là, à genoux devant moi ! Je veux voir ta petite gueule de pute quand je vais jouir dessus.
Avant même que je n’ai le temps de réagir, il m’attrape et me positionne le visage à quelques centimètres de son gland et de l’accès à son urètre. Ses doigts maintiennent fermement mes cheveux, pour m’empêcher toute fuite tandis que nos mains nous branlent de concert. Son souffle se fait court et son corps se tend. Tous mes muscles se raidissent en chœur à l’approche de l’orgasme qui ne demande qu’à exploser.
Au-dessus de moi, Ethan se met à grogner bruyamment et à meugler, complètement soumis à son plaisir qui prend le contrôle. De sa queue jaillit le premier jet de sperme. Par instinct, par réflexe, j’ouvre ma bouche pour accueillir les suivants. Le liquide se répand sur mon visage, intarissable. Rapidement, ma face est couverte du liquide épais et visqueux. Son gland joue avec et l’étale toujours plus. Il en récupère pour s’enfoncer dans ma bouche, déclenchant, d’une part de nouvelles décharges dans le corps d’Ethan, d’autre part mon orgasme. Ma queue explosa et propulsa à son tour le liquide séminale accumulé sur mon torse nu. Je suis en extase totale, complètement déboussolé par la situation. Ethan s’assied sur le divan, entraînant avec ma tête qu’il pose sur sa cuisse pour continuer à jouer avec sa queue. Je tète et lèche son pénis brûlant, parcouru par des spasmes épisodiques, résidu de son orgasme.
– Je n’aurai jamais cru que tu serais une telle pute, se marra-t-il en me tendant un tissu. C’est pour essuyer ta gueule, je t’ai complètement couvert.
– Merci, répondis-je simplement.
Ma gêne regagne mes joues, les effluves de l’orgasme disparaissant comme le sperme d’Ethan.
– Tu ne vas pas me dire que tu sens mal, me dit-il avec un sourire. C’était fantastique ! Ce cul, cette bouche, tout était parfait ! Surtout quand t’as ouvert ta bouche pour recevoir mon sperme, c’était incroyable ! T’avais clairement envie, j’ai juste éveillé cette partie.
– T’as sans doute raison, admis-je, forcé de reconnaître que j’avais pris un pied intégral. Mais tu n’en parles pas ce soir, hein !
– Bien sûr ! m’assura-t-il, avec sincérité qu’il appuya d’un clin d’œil. Ça reste notre secret évidemment. Je vais me laver et je te suggère d’en faire autant après

Jo Val

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