Cela fait trois mois que nous nous parlons par messagerie interposée. Trois mois que nous nous excitons mutuellement en nous envoyant des photos de nos corps sans jamais avoir montré nos visages. Jambes, fesses, mains, torse, sexe, tout y est passé et on a vraiment fait dans le détail. Trois mois que l’on fantasme sur ce qu’on pourrait faire l’un et l’autre ensemble. Trois mois que j’imagine baisser son pantalon et son slip, caresser ses boules rasées avec ma langue, sentir son sexe tendu frapper mon visage, imaginer son gland s’enfoncer dans ma bouche chaude et humide. Trois mois que je rêve de sentir ma bite mouillée forcer son petit cul serré et entrer au plus profond de lui. Le sentir se contracter de douleur puis couiner de plaisir.
Trois longs mois à fantasmer et me branler en me connectant sur ma messagerie.
Cela a assez duré.
Au fil des semaines j’ai glané assez d’informations sur lui pour connaître son nom, il s’appelle Tom. J’ai trouvé aussi l’endroit où il travaille, ses horaires… En étudiant les fonds de ses photos j’ai reconnu des immeubles et des lieux familiers. Je vais pouvoir passer à l’action.
Jour 1 : je me planque en face du bâtiment dans lequel il travaille. Je pense que j’ai assez d’infos sur son look pour le reconnaître. Un mec passe, puis deux, puis tout le staff de cette boîte. Je ne le vois pas.
Jour 2 : je reprends ma planque. Pas mieux. Avec le télétravail instauré un peu partout, il ne vient peut-être qu’un ou deux jours par semaine.
Jour 3 : un mec mignon, lunettes de soleil et stan smith aux pieds entre dans l’immeuble. Bingo ! Cette fois c’est lui j’en suis sûr. J’ai toute la journée pour préparer mon coup.
J’appelle Max et Kevin, deux potes à moi. Je leur explique mon plan.
Vers 17 heures le petit mignon réapparaît, on va pouvoir passer à l’action.
Le 7 places de Max est garé un peu plus loin à l’abri des regards. Kevin et moi suivons le mec à distance. A mon top, on fonce tous les deux sur lui. Kevin lui passe une cagoule sur la tête, pendant que je lui fais une clé de bras pour l’immobiliser. Il est tellement surpris qu’aucun son ne sort de sa bouche. On en profite pour le pousser jusque dans le Viano de Max. Il démarre.
Tom est sonné. On lui a attaché les mains et les pieds, il ne peut plus bouger.
- Pas un mot et tout se passera bien, lui glisse Kevin
Je ne peux pas résister à l’envie de caresser ses cuisses et remonter jusqu’à son sexe. Tom ne bouge pas. Je défais le premier bouton de son jean puis le second. Je passe ma main dans son pantalon pour toucher son sexe à travers son caleçon. Son sexe est mou, mais de belle taille. Je le caresse longuement. Je devine la forme de son gland, recouvert par un prépuce qui s’écarte facilement entre mes doigts. Je remonte le long de ce sexe que j’ai tant désiré. Le tissu m’empêche de sentir le grain de sa peau mais j’ai tout mon temps.
- Vous voulez quoi les mecs ? murmure-t-il
- Moi rien, répond Kevin
- J’ai pas de fric, j’suis pas intéressant.
- Mais moi tu m’intéresses, fais je.
On arrive dans le garage de Max. Il entre et coupe le moteur. Max et Kevin descendent du véhicule.
- On vous laisse les gars. Vous ne sortez pas de la caisse, Ok ?
- Amusez-vous bien.
Les deux mecs referment la porte et s’éloignent. Ca m’étonne que ces deux pervers n’essayent pas de se rincer l’œil.
- Tu veux quoi ?, lance Tom
- Toi.
Il ne dit rien. J’entends un soupir à travers la cagoule qui me cache toujours son visage.
- Laisse toi faire Tom.
Je fais glisser son pantalon le long de ses jambes, jusqu’aux chevilles. Ses cuisses sont puissantes et musclées, pas trop poilues et légèrement bronzées. Je les caresse. Ma main remonte jusqu’à son caleçon, que je remonte lentement pour laisser sortir ses couilles. Je vois la marque d’un maillot de bain que j’imagine très petit. Ses boules sont parfaitement entretenues, grosses comme des œufs, très douces et lisses. Pas un poil. Je les fais lentement glisser dans la paume de ma main. Tom ne dit toujours rien, mais je vois sa queue prendre forme dans son caleçon.
- Ca t’excite Tom ? Avoue que tu attendais ce moment.
Toujours pas de réponse. Je caresse maintenant son ventre et ses abdos saillants. Cette fois je le sens très excité. Une tâche de mouille apparait sur le tissu. Il est temps de découvrir sa queue. Je prends son caleçon de chaque côté et le tire vers le bas. Une bite énorme jaillit d’un coup et se plaque contre son ventre. Je ne suis pas déçu. 18 ou 19 cm. Epaisse mais pas trop. Parfaitement proportionnée et veinée. Elle ne me paraissait pas aussi belle sur les photos. Je ne tiens plus. Je la mets en bouche et lui taille la pipe de sa vie. Je la mouille, la lèche, la prend en gorge profonde. Ma langue suit chacune de ses réactions en insistant sur les points qui le font gémir. Je suis à genoux devant ce mec, les membres attachés, une cagoule sur la tête. Il ne se débat pas, il prend le plaisir que je lui offre.
- Vas y continue, c’est bon. Putain c’est bon !
Pas besoin de me le dire deux fois. Je reprends de plus belle. J’ai l’impression que sous mes coups de langues sa queue prend encore plus de volume. Elle durcit de plus en plus. Je l’enfonce au plus profond de ma gorge, jusqu’à ce que mes lèvres touchent son pubis. Il se contracte. Je n’ai pas le temps de réagir qu’il m’envoie de puissants jets de sperme au fond de la gorge. Il ne s’arrête pas de jouir, j’étouffe.
- Waou.
Je me relève, tousse et reprends mes esprits. C’est qu’il a bon goût le Tom. Je suis très excité. Ma bite me fait mal coincée dans mon pantalon devenu subitement trop petit.
- Tu n’aurais pas dû me balancer ton jus dans la gorge Tom, tu vas prendre cher.
Il frissonne. Je rassemble mes forces et le retourne. Toujours pas de résistance. Je sens mon envie décupler. J’ai envie d’être brutal, de lui faire payer cette attente de trois mois. Je découvre son cul imberbe et lisse. J’écarte ses deux globes musclés et découvre son petit trou serré. Il est épilé. Une petite rosette sombre au milieu de cette peau claire. Une tâche subtile que je vais éclater de ma grosse bite baveuse. J’ai envie de le déchirer. Je baisse mon pantalon et mon slip à la hâte. Quand il entend le bruit de l’emballage de la capote que je déchire, il tente de se redresser.
- Non pas ça !
- Si.
Je le plaque contre le siège. J’écarte une nouvelle fois ses jolies fesses, qu’il essaye de serrer le plus possible. Je crache sur son trou deux fois. Ma bave coule entre ses fesses. Il résiste, ne veut pas s’ouvrir à moi.
- Tom tu en as aussi envie que moi. Tu m’as trop fait attendre. Laisse toi faire, tu vas morfler sinon.
Il continue de résister. J’écarte ses fesses avec force. Je dégage son trou et crache à nouveau. Je ne lui laisse pas le temps de réagir, je mets directement mon gros gland transpirant contre son petit trou délicat et je pousse. Il serre. Je pousse plus fort. Mon gland passe. Il crie. Je plaque une main sur sa bouche pour le faire taire et je le pénètre sans ménagement. J’avance centimètre par centimètre sans me soucier de lui. Quand je suis au fond, Tom s’est laissé tomber sur le fauteuil, il est vaincu. Je commence alors un lent va et vient. Je crache sur ma bite pour lubrifier un peu et lui faire moins mal. Je retire sa cagoule. Je sens une larme couler sur le cuir du siège.
- Tu chiales ?
Je me déchaine alors dans son cul. Je sors deux ou trois fois de son boule et lui remets directement mes 17 cm jusqu’au bout. Il tressaille. Il commence à couiner.
- Oh putain. Vas y. Baise moi. Fais toi plaisir bâtard !
- Ah bah tu vois, tu finis par y prendre goût.
Je transpire à grosses gouttes. Ca sent le mâle. Son cul est dilaté, mais il resserre sa rondelle sur la ma bite. Il joue. Il veut me faire jouir et il va réussir. Il hurle de plaisir à chaque fois que je tape sa prostate. Je ne tiens plus. Je sors de son cul, arrache le préservatif et je n’ai pas le temps d’atteindre sa bouche que mon sperme jaillit de ma bite et couvre ses cheveux. Je ne m’arrête plus de jouir. Mon corps tressaille à chaque jet. Je m’effondre sur le sol, vidé.
Le temps de reprendre mon souffle, je remonte rapidement mon pantalon et défais ses liens. Je le pousse à l’extérieur du véhicule et j’actionne la porte du garage.
- Casse toi Tom. Tu es libre.
Il se rhabille rapidement, descend de la voiture et se dirige en titubant un peu vers la sortie. Soudain il se retourne.
- Pourquoi tu m’appelles Tom ?
Nables
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