Premier épisode | Épisode précédent
Vendredi 18h30, j’attends un colis depuis 15h00, j’espère être livré, c’est un cadeau pour mon neveu, une jolie tablette avec clavier amovible. On fête son anniversaire samedi à midi à un pâté de maison de chez moi. La sonnette retentit :
« Wesh, bonjour monsieur, c’est UPS, j’ai un colis pour vous, monsieur Bastien, je peux monter ? »
« Oui prenez l’ascenseur, c’est au 4ème à droite, la porte est ouverte »
« Bonjour, vous êtes mon dernier client… » Dit-il en poussant la porte de l’appartement, sans la fermer. « Vous pouvez signer là, et là. Vous auriez un verre d’eau svp, j’ai une super soif… »
Les formalités effectuées, le beau rebeu se met torse nu, son ton change de suite, il devient très autoritaire :
« Alors ma petite pute tu vas faire plaise à ton domi ? Mon cousin qui taffe avec moi m’a dit que tu étais une sacrée lope et que tu kiffais les arabes ! Viens biberonner mon gland connasse ! J’ai les couilles graves pleines, Fatima est partie cette pute, tu vas me vider»
Je m’étais habillé pour diner avec deux potes, je n’avais pas envisagé ce plan improvisé, il me choppe par le cou et m’oblige à lécher sa braguette qui a l’air trop bien remplie. Je fais mine de résister, son torse et ses biceps sont puissants, il annule ma résistance, me jette parterre ouvre son pantalon, baisse son boxer CK, un gros zob tombe à l’horizontale et semble chercher ma gueule. Il me prend par les cheveux et me colle son gland baveux contre ma bouche. Il ouvre ma chemise en faisant sauter deux boutons et me pince à en mourir mes tétons. Quand j’hurle de douleur, il en profite pour insérer sa grosse queue jusque dans ma gorge, il me choppe par les oreilles et entreprend de me baiser la gueule. J’entends mon smartphone qui sonne, c’est mon pote Julien qui m’appelle, ils doivent être en bas de l’immeuble…
Je panique, ils ne savent pas que je suis gay, s’ils montent… j’entends la sonnette
« Suce petite pute, rien à foutre de tes visiteurs, suce à fond »
Les lourdes couilles du rebeu tapent mon menton, les poils de ses boules font velcro avec ma barbe, on dirait deux kiwis remplis de jus d’homme. Sa queue est énorme, 21cm sur l’échelle de Rocco et un diamètre de 7cm… bien épaisse…
Il me retourne, je suis face à la porte d’entrée qui est entrouverte, il crache sur ma rosette et il m’embroche à l’arabe, c’est-à-dire d’un coup jusqu’au bout de mon colon. Je me débats, je crie, mais rien n’y fait, il me maintient, il me maitrise, il me viole. Il saccage mon colon le salop, sa queue est tellement dure, qu’elle détruit mon conduit, il se couche presque sur moi, et fait des pompes en me baisant, seul son membre me touche, il est à l’horizontale, tout en muscles bandés, sa queue, son zob me baise.
A la douleur succède un petit bonheur, je suis en train de jouir du cul, ma prostate est détruite, c’est à ce moment précis que la porte s’ouvre doucement sur mes deux potes ébahis !
« J’en étais sûr que tu étais une grosse pédale, regarde comme il se fait défonce la salope « mon meilleurs pote est rouge de honte, et moi je prends un tel panard que je m’en tape. L’arabe est très endurant, il mouille tellement qu’il lubrifie mon cul et que sa baise est délicieuse. Mes copains ferment la porte ce coup-ci, leurs queues se dessinent sur leur braguettes, et ils sont plutôt bien montés. Je ne les avais jamais vu en érection.
« Venez m’aider les céfrans, on va lui mettre la misère à votre miskina de pote. » le rebeu transpire de partout, son corps luisant se reflète dans un miroir, et je tombe amoureux. Je recule pour aller chercher son zob, mon cul est atrocement ouvert. Mon copain insère un doigt, comme si j’étais une chose, plus aucun respect, il retire son pantalon et son boxer, il me bascule sur le rebeu et entreprend de rentrer dans mon cul déjà bien occupé. Je refuse, je serre mon cul au max, mais sa queue surpuissante force le passage, me déchire un peu, et je sens ses grosses couilles qui rejoignent celles du rebeu. Je ne suis que gémissements, le deuxième pote est resté habillé, il caresse sa queue à travers son pantalon. Une tâche apparait sur son pantalon.
Les deux hommes me besognent virilement, sans se préoccuper de moi.
« Ah ouais, 4 ans que je te connais, tu cachais bien ton jeu, petite tapette, je vais formater ta chatte à ma bite et tu vas devenir mon vide couille, tiens prend ça, prend ça, prend ça »
Il devient très violent, comme s’il voulait incruster sa queue en moi… ça fait 30mn que le rebeu me baise, et les signes de sa jouissance apparaissent, sa queue grossit encore, il se met à souffler fort, il se vide en moi, du jus coule, mon copain ne résiste pas plus, il crache aussi, ils vident 33cl de sperme dans mon cul, le copain debout sort son membre de son pantalon et en deux mouvements éjacule sur ma tête. 8 Jets bien blancs, bien épais en m’insultant : « sale pute, tu n’es plus notre pote, tu n’es plus notre égal, tu deviens notre vide couille et celui de nos potes, Bastien la sale tepu, quelle soirée, si on avait sû plus tôt, tu nous aurais rendu service, enculé »
Je suis resté au sol, à 4 pattes, les trois hommes sont debout face à moi, leurs queues débandent, elles sont encore énormes. Du sperme coule de mon cul. Ils se tapent dans les mains, un pote va chercher 4 bières, il verse la mienne sur mon cul pour nettoyer, ils se mettent tous les trois à m’arroser de leur pisse. Ils ont tous un jet puissant, ils visent mes yeux, ma bouche, je suis humilié. Ils me crachent dessus, ils me pètent dessus, je deviens une sous-merde. Mon meilleur pote casse notre lien d’amitié en me mettant un grand coup de pied dans le ventre, les trois se déchainent sur moi, sans toucher la tête, je ne suis plus rien. J’ai mal de partout, dans mon cul, sur mes côtes, je n’ai plus d’amis, je suis une vraie sous merde.
« Viens avec nous au restau, tu vas remplacer cette merde, heureux de te compter parmi nos amis maintenant, on viendra le défoncer tous les trois ensemble, il va manger sa race ce pédé. »
Ils sortent tous les trois de l’appartement en jetant leur canette vide sur moi, et en faisant tomber un vase précieux de ma grand-mère dans l’entrée et un clown en porcelaine, comme un symbole. Je fonds en larmes, je suis là assis dans leur pisse et leur sperme, j’ai du mal à respirer, j’ai une côté fêlée ; j’hésite à aller porter plainte… je suis partagé entre le sentiment de viol et de plaisir intense. Je nettoie en pleurant, je vais me doucher, l’eau chaude me fait du bien. En revenant dans l’entrée, je les revois tous les trois nus, arrogants, un vent de panique me prend : il n’y a plus mes clefs de voiture, une Audi toute neuve… un texto est arrivé sur mon tél : « on va bouffer et on revient à 5 mecs te faire la fête, tu vas regretter de nous avoir trompés ! Sale pute ! Au fait on a ta carte bleue, comme je connais ton code, hi hi hi »
Comment j’ai pu en arriver là, tomber si bas, perdre mon statut de mec bien ? La soirée qui a suivi fut mémorable. Ils avaient changé d’attitude : ils étaient devenus très doux, ils ne voulaient pas abimer la marchandise, les deux nouveaux, deux blacks immenses, m’ont baisé façon pépère, bizarrement leurs queues étaient moyennes, ils ont échangés des billets de banque avec mon meilleur pote… je suis passé de bras en bras, j’ai vidé dix fois leurs couilles, j’ai bu du jus volontairement ou directement dans le gosier. Ils étaient insatiables, vers 7 heures ils sont partis, en emportant le cadeau de mon neveu, je me suis couché en grande fatigue, je n’y suis pas allé à la fête. Mon anus ne se fermait plus, ma tête allait exploser, j’allais faire une pause de baise de plusieurs semaines… mes copains sont revenus sans le rebeu, ils ont pris l’habitude de me faire l’amour, on est resté amis, avec cet aspect en plus. Je les aime tous les deux, je leur ai proposé de venir vivre avec moi…. Pour avoir leurs grosses queues sous la main. Ils sont vraiment TTBM les salops !
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
Merci de me laisser vos impressions sur le texte, vos idées de scénarios à
LE7
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