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HISTOIRE

Le jour où je suis devenu l'esclave de mon Maître

Des semaines, voire des mois maintenant que j'échange avec cet homme, un véritable dominant, sur ce site dédié aux pratiquants du BDSM et aux rapports de Maitre / soumis.
Il m'avait contacté après avoir visité mon profil, qui l'intéressa et lui plût instantanément.
Il faut dire que les photos de mes séances et des stricts bondage dans lesquels je m'affichais étaient vraiment explicites... et ma présentation achevait de lever le doute sur ma véritable condition : celle de slave bien docile à soumettre, à attacher sévèrement dans des entraves et des liens sans échappatoire, à enchainer, mettre au fer, emprisonner, car s'est ainsi que j'arrive à laisser s'exprimer totalement mon caractère de bonne chienne et salope à dresser !
La prise de contact se fit très naturellement et nos échanges montèrent très vite en intensité tant il sut prendre rapidement le contrôle sur moi et commencer à m'amener à une quasi condition de soumission envers lui !
Cet homme, à qui je devais déjà m'adresser en le nommant "Maître", me troublait au plus haut point par sa personnalité, son intelligence et son raffinement, ainsi que par son aisance à me prendre en main avec subtilité me poussant à me laisser aller à m'asservir à son pouvoir.
J'adorais échanger avec lui sur tout type de sujet, nos conversations étaient toujours des plus intéressantes et enrichissantes. Il était posé et rassurant, possédant une grande culture et une véritable intelligence sociale. Nous étions vraiment sur la même longueur d'onde sur tout type de sujets, dont, bien évidemment la vision des rapports BDSM et D/s !!

L'esprit de mon Dominant a une part non négligeable pour moi, et j'y accorde une importance capitale !
Et là, entre nous, tout concordait !
On partageait vraiment la même vision des rapports humains et BDSM ainsi que les mêmes kinks et fétichismes.
Il adore le bondage et entraver sévèrement ses soumis à l'aide de cordes, de sangles et entraves en cuir, de chaines et menottes, de schotch ... sans parler des baillons et des cagoules ... et des colliers !
C'est également un des gros points communs que nous possédons : il adore voir son soumis porter de larges colliers, principalement en cuir.
Il fut donc plus que ravi d'apprendre mon gros fétichisme à porter ce type de large collier, allant même jusqu'à porter le plus souvent possible au quotidien, de très hauts cols roulés bien ajusté afin de me rappeler constamment la sensation du port de mon collier en cuir et donc ma condition de soumis !
Cette idée l'excita au plus haut point !
Il adore aussi pratiquer le teasing et le edging ... que j'adore subir également !
Sentir monter encore et encore l'excitation, être amené sans cesse au bord de la jouissance ... sans pouvoir l'atteindre, frustré encore et encore, laissant se construire et monter un orgasme potentiel de plus en plus puissant jusqu'à la délivrance ... huuummmm !!
J'aime ces instants où j'en implore et supplie mon dominant de m'accorder la libération et la jouissance !!

Il possède un attirail des plus impressionnants en termes de moyens de restrictions, et tout autant en terme de "jouets" de plaisirs et de de tourments, voir de tortures, qu'il possède et conserve dans la cave de sa maison qu'il a transformé en un espace de "jeux"
Un véritable donjon des mieux équipé, comprenant notamment des cages de différentes tailles et types, mais surtout un véritable cachot typé geôle médiévale avec ses vielles pierres, ses arcades, ses anneaux scellés aux murs et sa porte en bois massif équipée d'une fenêtre de regard avec des barreaux tout aussi massifs ! ... le genre d'endroit qui me fit très rapidement monter dans les tours de l'excitation totale !!
Et pour achever le tout, "mon Maître" possède un physique des plus agréables et une carrure musclée mais sans excès, pas le type bodybuldé : grand, 1m90, bien taillé et dessiné par le sport, bientôt quarantenaire avec une carrure et une gueule de vrai mâle alpha, et de magnifiques yeux au regard d'acier ... le genre qui ne laisse pas de doute sur son rôle de dominateur ferme et déterminé ... en plus d'être intelligent : j'étais en train de tomber totalement sous le charme !!
Arrivant sur mes 36 ans, ayant à quelques cm près (en moins) la même taille que mon "Maître", beaucoup plus mince, mais tout de même bien taillé au niveau du dos, des épaules et des pecs par la natation, avec mes cheveux tondus, ma mâchoire bien dessinée et ma bouche des plus suggestives avec ses lèvres pulpeuses bien dessinées et surtout mon petit cul bien rebondi qui attirait toujours les regards et compliments autant de la part des femmes que des mecs, je semblais lui avoir également tapé dans l'oeil car il ne cachait pas ses intentions de faire de moi son slave mais également son petit mec ... sa pute, sa salope, comme il aimait m'appeler !

A force d'échanger, on finit par confirmer qu'il était grand temps de se rencontrer et de planifier une rencontre chez lui ... mais sans réussir à aboutir !!
Ces échecs à concrétiser notre rencontre était purement de mon fait !
En effet, à cette époque, si j'étais bel et bien soumis, ce n'était qu'envers des dominatrices.
Il m'arrivait de jouer de temps en temps avec quelques contacts masculins, mais seulement pour des plans bondage. Je n'avais encore jamais vécu une véritable relation de Domination/soumission Gay ...
Je vivais à ce moment là, une relation de couple qui se contentait de rapports quelques peux "épicés", mais très "vanille" et assez classique dans l'ensemble, avec ma petite amie de l'époque...
Le contexte n'était donc pas des plus favorable à réussir à organier une rencontre avec celui qui était devenu malgré tout "mon Maître" au fil de nos échanges !
Et il faut se l'avouer, il y avait bien également la peur de me lancer dans cette expérience avec "Lui" .. peur de ne pas être à la hauteur et de le décevoir ... peur d'être déçu ... peur de me tromper ?! ...
Mais, si j'en étais arrivé à m'inscrire sur ce site de rencontres BDSM Gay, c'est que mes plans avec d'autres hommes, m'avaient confirmé ce que je supposais depuis un moment : je n'étais pas si hétérosexuel que ça !!
Ma dernière demande faite à un de mes mes partenaires de confiance lors de notre dernier plan bondage de le sucer une fois attaché, fut comme une révélation envers mon appétence pour le sexe masculin !! ...
D'ailleurs, je devais bien m'avouer que je ne regardais quasiment que des vidéos de porno Gay BDSM et de domination sur internet pour combler mes envies qui me troublaient et me tiraillaient toujours plus...
Mais pas facile pour un mec ayant grandi dans les quartiers difficiles et dans les clichés qui y sont véhiculés de s'avouer son homosexualité ! ...
Mais à présent, il me fallait passer le pas pour enfin concrétiser cette rencontre qui peut être pourrait déboucher sur une véritable relation de Domination / soumission, comme j'en rêve depuis si longtemps avec "mon Maître", de celle qui changerait ma vie pour toujours !! ...
Cette pensée m'obsède de plus en plus, malgré mes annulations !
La nuit, puis le jour par moment ... puis de plus en plus jusqu'à finir par accaparer toutes mes pensées et mon attention en permanence !!

J'y pense de plus en plus, tout le temps ... j'en rêve, je rêve de "Lui", je rêve de cette rencontre, je rêve de me retrouver entièrement soumis à mon "Maître" :
Je rêve ...
Je me rêve être sévèrement attaché dans Son sombre cachot ...
Je me rêve avoir l'ensemble du corps contraint par de sévères entraves verrouillées ne me laissant aucun échappatoires...
Je me rêve avoir les mains entravées dans le dos, m'empêchant d'atteindre une quelconque partie de mon corps ou de mes liens ...
Je me rêve avoir les jambes indépendamment liées et repliées me forçant à rester agenouillé, talons collés aux fesses, m'empêchant totalement de me relever...
Je me rêve avoir le cou enserré dans un très large collier en cuir verrouillé, relié et cadenassé au mur via une lourde chaîne ...
Je me rêve être aveuglé par une cagoule en cuir fermement lacée et ajustée sur mon visage, semi ouverte au niveau du nez et de la gueule...
Je me rêve avoir la gueule sévèrement bâillonnée par un harnais équipé d'un bâillon bite massif, possédant un trou en son centre, qui me fait baver abondamment et à grand flot sur mon torse, mes tétons et ma queue...
Je me rêve avoir les tétons en feux et tiraillés par des pinces reliées entre elles par une chaînette et que je ne peux pas atteindre avec mes mains attachées trop hautes et reliées à mon collier par une chaine trop courte dans mon dos...
Je me rêve avoir la chatte tourmentée par un plug télécommandé à distance de façon récurrente et que ne peux pas éjecter car maintenu en place par une corde entourant mon bassin et passant profondément dans ma raie ...
Je me rêve avoir les couilles liées par une cordelette reliées aux liens entourant mes chevilles, me tirant les boules vers le bas à chaque tentative de me relever...
Je me rêve ne pouvant atteindre mon sexe beaucoup trop gonflé et dégoulinant de sa propre excitation et de la bave s'écoulant de mon bâillon, toujours à cause de mes mains liées trop hautes dans mon dos...
Je me rêve écouter le silence stressant de mon cachot seulement troublé par ma respiration saccadée, les gazouillis de la salive s'échappant de ma bouche bâillonnée et les vibrations du vibro lorsqu'il se remet en marche suivi des gémissements quasi étouffés que je laisse échapper...

Je rêve, je laisse mon esprit divaguer, je le laisse appréhender la situation, subir, ressentir puis se délecter de toutes les sensations que je ressens dans ces contraintes sévères : ce mélange de peur et d'excitation, ce mélange de douleur et de plaisir, de contrainte et domination totale imposées part "mon Maître"... Me retrouvant totalement impuissant et humilié, à Son entière merci, subissant et acceptant ma nouvelle condition de soumis envers Cet Homme ... ce qui, je ne peux que le constater sans ambiguïté, m'excite comme je ne l'ai jamais été !!

Je rêve que j'entends au loin des bruits de pas qui descendent l'escalier menant à la cave et qui se rapproche de mon cachot...
Je rêve que la porte s'ouvre ... et d'un coup, Votre voix me sort de ma torpeur par ces simples mots :
"Alors ma chienne, on rêve ?! ...
Allé, salut ton Maître, ma pute !"

D'un coup, d'un seul, de part ces mots, je sors de mes songes et reviens directement dans l'instant présent !
Et là, tout me revient en mémoire et les derniers jours s'enchainent dans mes souvenirs :
Ma énième dispute récurrente avec ma copine générée par le fait que je ne pouvais pas m'épanouir dans cette relation qui ne me correspondait pas, puis notre rupture suivie de mon échange téléphonique avec Vous !
Lors de cette conversation, je finis enfin par me confier à Vous sur ma véritable situation. A nouveau je fus ravi et réconforté par votre
compréhension totale, ainsi que par votre bienveillance, toujours subjugué par la force et l'intelligence de vos propos, de vos conseils et de votre analyse !
Je ne savais comment Vous remercier, surtout pour Votre infinie patience ... ce qui Vous fit rire et conclure notre conversation par un : "ne t'inquiètes pas, tout vient à point à qui sait attendre ... Mais sache que tu devras malgré tout en payer le prix lorsque nous nous rencontrerons !! ..."
L'excitation monta en flèche !
Malgré cette crainte et mes appréhensions, je finis par Vous proposer une date ... que j'honorais enfin cette fois !
Je ne voulais plus reculer, il me fallait enfin vivre pleinement mes envies ... mon besoin ... ma véritable condition !

C'est ainsi que le jour convenu je me présentais face au portail de Votre maison.

Une ancienne maison en belles pierres rénovée avec bon goût située dans une campagne chic, avec du terrain et située en retrait de la route et des autres habitations.
Au moment de sonner à l'interphone, je ne pus m'empêcher d'avoir un mouvement de déglutition anxieux accentué par l'étreinte de ce col roulé noir, que je portais selon Vos ordres, bien serré au niveau du cou et montant jusqu'au menton, m'obligeant à garder la tête bien droite.
Je portais ce dernier sous mon blouson en cuir, noir également, associé à un jean clair moulant parfaitement mon petit cul, effet renforcé par l'absence de boxer, toujours selon Vos ordres. Une paire de timberland en cuir noir achevait ma tenue.
Vous saviez que le port de ce col roulé très contraignant m'aiderait à plonger et à me maintenir dans cet état de soumission que nous souhaitions tout les 2 !
Votre but fut atteint puisqu'à chaque mouvement de tête tout au long du trajet, il se rappelait à moi à travers son étreinte serrée... ce qui me rappelait de fait mon collier de soumis !!
Je pris donc mon courage à deux mains, respira un bon coup et finit par sonner à Votre porte qui s'ouvrit.
Après avoir remonté l'allée, je vous vis enfin apparaitre en chair et os face à moi, et je fus instantanément subjugué par Votre charisme et Votre présence.
Vous étiez encore plus beau que ce que laissaient paraitre vos photos, surtout dans cette tenue : jean noir moulant et boots noires coordonnées pour le bas associé à un magnifique pull col roulé rouge rainuré des plus ajusté et moulant parfaitement votre torse athlétique divinement dessiné et votre cou magnifiquement mis en valeur par le haut col roulé ajusté, tout comme votre port de tête, ce qui renforçait le charisme, l'autorité naturelle et l'assurance que vous dégagiez ! J'appréciais énormément ce clin d'oeil que vous me faisiez en portant ce pull, qui renforçait mon excitation de vous voir le porter.
Votre regard me transperça et me subjugua immédiatement !
"Bonjour mon slave, ravi de te voir enfin !!"
"Bonjour Maître, je suis également ravi et très honoré de pouvoir vous rencontrer et que vous m'accueilliez chez vous !"
Vous me mis directement en totale confiance, et je me laissais totalement guider, Vous suivant déjà docilement tel Votre bon chien bien dressé.
On s'installa dans Votre salon, continuant à faire connaissance, tranquillement, en buvant ces quelques bières de connaisseurs que vous m'offriez ! Des brasseries locales, des IPA de l'autre bout du monde, des trappistes traditionnelles belges ...
Au bout d'un moment, l'alcool aidant, je fut réellement et totalement détendu, et me livrais bien plus facilement et sans filtres ... et m'excusa à nouveau pour la énième fois pour mon comportement et mes annulations dont je n'étais vraiment pas fier !!
Néanmoins, j'étais, enfin, bien à Vos côtés ... nous étions bien ... Et c'est à ce moment là que subitement le ton changea radicalement :
"Bien .... tu m'auras bien fais languir sale pute !
A ton tour à présent de subir une très longue attente !..."
Je reste scié et sans réponse à ces mots que Vous m'adressez ... déstabilisé !
Pas le temps d'analyser que vous enchainez :
"Tu te fous à poil, et tu mets à genoux, mains dans le dos salope !"
Je m'exécute sans réfléchir : je déboutonne mon jean et le laisse tomber au sol.
J'enlève ensuite mon col roulé ... et ressens cette sensation qui m'est toujours étrange d'avoir le cou et la nuque "nue" et libre ... ce qui ne durera pas longtemps !
Je pose mes genoux au sol, passe mes mains dans le dos, tout en conservant la tête baissé, n'osant soutenir Votre regard, un mélange de timidité, honte et humiliation montant en moi en cet instant !
"Tu me disais être honoré de me rencontrer ... Prouves le moi ma chienne : A quatre pattes et dis bonjour à ton Maître comme se doit de la faire un véritable soumis !"
Je me mis à quatre pattes tandis que vous me présentiez votre chaussure sous le nez : je l'embrassais en signe de respect.
"Lèches !"
... un très bref instant de sidération et je m'exécute, vous léchant docilement la bottine, le cul en l'air, mais vous aviez prévu le coup, vos chaussures étaient tout à fait propres"
Puis vient le tour de la suivante, que j'honorais avec la même dévotion !
"C'est bien ! Tu n'as pas menti : tu es une bonne chienne bien soumise et dressée !! ... J'adore !!
C'est parfait, tout ce que j'aime et désire ! Remets toi à genoux !"
Sur ces mots, Vous passez derrière moi en saisissant mes poignets l'un après l'autre pour leur passer des menottes de cuir que vous ajustez parfaitement avant de les verrouiller par des cadenas ... et que vous reliez ensemble par un autre cadenas bien solide.
Je reste en position, les mains entravées dans le dos, renforçant ce sentiment de soumission que j'éprouve du fait de cette situation sur laquelle je laisse échapper tout contrôle, tête toujours baissée, jusqu'à ce que je sente le contact caractéristique du cuir se présenter sur ma gorge.
Je relève le menton afin de pouvoir laisser passer et s'enrouler autour de ma gorge la grande largeur de cuir de ce collier que Vous êtes en train de me poser et de verrouiller dans ma nuque, le clic caractéristique du cadenas ne me laissant aucun doute sur la tournure que prennent les évènements : ce coup ci, c'est sûr, je suis entièrement sous Votre Contrôle et Vous suis totalement soumis !
Alors que je me laissais aller à accepter mon sort et cette nouvelle condition qui se présentait à moi, j'aurais à peine remarqué cette chaine que vous étiez en train de poser pour relier mes menottes au cadenas verrouillant mon collier si elle n'avait pas été suffisamment courte pour m'obliger de maintenir mes mains légèrement vers le haut sous peine d'exercer une pression désagréable de mon collier sur ma gorge et ma pomme d'Adam !
Pas le temps de Vous le faire remarquer ou de protester que Vous m'enfonciez dans la bouche la grosse boule en silicone d'un baillon, verrouillant fermement ses lanières à nouveau derrière ma nuque, juste au dessus de mon collier !
Tout s'enchaine tellement rapidement que je perds pieds face à toutes ses sensations des plus excitantes que je ressens, me poussant à me laisser simplement guider sans résistance ... totalement soumis et subjugué par Votre emprise ... Maître !
Je testais la solidité de mes entraves ; impossible de me débarrasser de mes menottes .... et encore plus d'atteindre mon bâillon ou mon collier !
A ce moment là, je n'avais plus aucun doute sur mes besoins et désirs !
Tout devenait limpide et seules restaient les certitudes : j'étais vraiment fait pour cette condition de véritable soumis au bout de laisse de son Maître ... "Click" ... il venait justement de verrouiller le mousqueton de Sa laisse à l'anneau de mon collier, tirant d'un coup sec dessus afin de me faire comprendre que je devais me relever pour le suivre ... ce que je fis, non sans laisser s'échapper des petits râles de plaisir et d'excitation ... ce que Maître me fit vite remarquer en me faisant constater l'état d'excitation de ma queue gonflée comme jamais et "dégoulinante de joie" :

"Bien salope, à présent tu ne pourras plus me dire ou me faire croire que tu as encore des doutes sur tes orientations ou ta condition de pute à Mâles !!" ... Il me tira à lui avec la laisse tout en me fixant droit dans les yeux.
"Non, maîffffre !" répondis-je en bavant à travers mon bâillon boule.
"Parfait !!!!" Répond y t-il avec un large et franc sourire en enserrant de sa main mon menton et ma bouche bâillonnée qui se mit à baver de plus belle !
"Cette bouche et ses belles lèvres m'excitent au plus haut point ! Je sens que je vais me régaler avec !! ... tout comme avec ton magnifique petit cul !!" dit-il, tout en me claquant et me malaxant le boule de son autre main puissante.

Nouveau coup sec sur la laisse: "Allé, suis moi mon slave !"
Je m'exécutais. En même temps avais-je d'autre choix au bout cette laisse, ainsi menotté et bâillonné ?!
Peut être que oui finalement ... mais il me plaisait tellement de me dire que : NON ! J'aimais trop me faire traiter et contrôler ainsi par mon Maître !
Je suivais donc mon Maître docilement, en bon soumis, découvrant par la même occasion certaines pièces de la maison dont je n'avais vu jusqu'à présent que l'entrée et le salon.
On arriva devant une porte donnant sur un escalier qui descendait dans ce que je devinais être "LA" cave, ou plutôt le donjon ... avec sa geôle aussi effrayante qu'attirante, ce qui entraina en moi un regain d'excitation, me donnant un frisson qui me parcouru le dos jusqu'à la nuque et me fis verser encore plus de liquide séminal sur mon passage.

Alors que l'on traversait le donjon, je tentais d'analyser autant que je pouvais tous les détails des objets et accessoires de contraintes, de tourments et de plaisirs que j'eu le temps d'entrevoir, me laissant sans voix de par leur nombre, avant que l'on arrive devant cette porte massive tout au fond du donjon: ça y est, on y était, face à cette fameuse geôle ... "MA" geôle comme me le fit bien comprendre Maître !
Et c'est là que tout alla vraiment rapidement.
Je perdis totalement pied une fois passé cette porte, même pas le temps de réaliser ou comprendre, que je me retrouvais agenouillé, sévèrement lié, complétement attaché, de la tête aux couilles, aveuglé par une cagoule en cuir serrée et réduit au silence par un nouveau bâillon harnais encore plus invasif dans ma gueule que le bâillon boule du fait de sa forme de bite.
J'avais tant désiré me retrouver totalement prisonnier de mon Maître dans cette terrifiante geôle... et là, ça y est, j'y étais pour de bon : je n'étais plus que l'esclave de mon Maître, véritablement impuissant, totalement offert sans défense sous son joug et réduit au silence.
Mon sort été scellé comme l'était l'anneau auquel était relié mon collier au mur de cette cellule ... "MA" Cellule !
Les dernières paroles que j'entendis furent :
"Je te souhaite une bonne attente et patience mon slave !
Profites en pour bien réfléchir car à mon retour, tu devras répondre à une seule et unique question : souhaites tu rester et devenir de fait mon soumis, mon slave, ma pute, ma chienne ... ma chose ?! ... Miens ! .... ou bien décides-tu de partir ?
Réfléchis bien, car ta réponse sera définitive et surtout sans aucune possibilité de revenir en arrière !! ..."

Je reste sidéré par ces mots que viens d'entendre ! Pas le temps de comprendre ou d'analyser que j'entend la porte de ma cellule se refermer dans un grand bruit sourd, suivi d'un double tour de clé dans la serrure .. des bruits de pas qui s'éloignent ... puis ... plus rien ... juste ce silence pesant qui s'installe et qui commencerais à rendre nerveux ... si d'un coup des vibrations au fond de mon cul venant et partant de façon aléatoire ne m'avaient pas apaisées en me plongeant dans un état de semi conscience dans lequel j'avais fini par me laisser aller à divaguer n'arrivant pas à me soustraire à aucuns de mes liens ...

Mais maintenant que cette porte s'était de nouveau ouverte, finis de rêver :
je fus ramené brutalement à la réalité de ma condition d'asservissement total à la difficulté dans laquelle la sévérité de mes liens me mettait.
Je n'étais plus que douleurs : mes genoux torturés par la dureté du sol de ma geôle et mes jambes repliés, mes épaules et avant bras en feux avec mes mains attachées hautes dans le dos, mes tétons hurlant de douleur, mes couilles étirées pour essayer de soulager mes genoux, ma mâchoire écartelée et en feux également à être forcée de rester ouverte et violée par cette bite en silicone, tout comme ma chatte fourrée par ce plug bien trop présent, suintant de lubrifiant de ne plus en pouvoir d'être ainsi tourmenté par ces vibrations aléatoires et incessantes !

J'avais donc remis en place tous mes souvenirs et mes idées en me remémorant l'enchainement des derniers jours et des évènements qui m'avaient conduit à me retrouver en ce lieu, dans cette situation et dans ces conditions, et à présent je savais que j'allais devoir prendre LA décision, celle qui allait certainement conditionner mon futur et ma destiné !!...
Encore perdu dans mes réflexions, je Vous entends répéter tout en me mettant une tape sur le dessus de ma cagoule :
"Je disais : tu te réveilles sale chienne ??!! ..."
Il plaça sa chaussure juste sur le lien enserrant mes couilles , appuyant dessus pour les étirer, juste assez pour me faire gémir de plus belle à travers mon bâillon et recapter pleinement mon attention.
Il reprit :
"Salut ton Maître, comme la grosse pute que tu es en preuve d'engagement inconditionnel et sans retour possible si tu acceptes ta nouvelle et future condition d'esclave ... ou sinon, libre à toi de partir ...à jamais !"

D'instinct et immédiatement, malgré toutes les douleurs que je ressentais et l'envie de Vous supplier de me délivrer, de ces entraves qui me torturaient, je m'inclinais servilement, me contentant de baver à grand flot à travers mon bâillon en baissant la tête autant que mes entraves me le permettaient, en signe de reddition et de soumission totale, acceptant et reconnaissant Votre supériorité et Votre autorité totale sur ma personne ... Maître !

A travers cet acte, je signifiais la pleine acceptation de mon nouveau statut d'esclave et m'offrais entièrement et sans retour à mon Maître, je le savais totalement !
"Biiiiiiiien ! Je savais que tu étais fait pour être un véritable esclave ! .... MON esclave !!" me répondis Maître tout en me caressant le dessus de la tête à travers la cagoule et le baillon harnais.
Malgré la souffrance physique endurée en cet instant, j'étais fier et vraiment totalement heureux de mon engagement !
Bien que j'étais malmené, souillé et humilié, ce n'était pas de la résignation, mais bel et bien de la joie que je ressentais de pouvoir devenir, le mec, la pute ... l'esclave de celui qui m'a troublé et charmé finalement dès le premier jour.

Mais à nouveau, Maître me ramena rapidement sur terre:
"On va enfin pouvoir passer aux choses sérieuses !"
"Hummmmmffff ?!" répondis-je, dégoulinant de bave et étonné.
Surprise vite effacée lorsque Maître se saisit de la chaine reliant les pinces posées sur mes tétons, générant un nouveau "huuuuuuuuummuuummmffff !" de ma part causė par la fulgurance et la violence de la douleur qui irradiait mes pauvres tétons déjà bien meurtris !
"Chuuuuuuuuuuuuuut, sois sages !" me répondit Maître tout en saisissant le sommet du harnais de mon baillon, me forçant à pencher la tête en arrière.
"Tu dois avoir soif depuis le temps que tu es là mon chien ?"
Maître visait juste, entre le baillon et le temps passé dans ma cellule, je mourrais de soif !
Combien de temps je suis resté ainsi d'ailleurs ???!! Je me posais la question, ne sachant répondre tellement j'avais perdu mes repères ! ...
Une chose est sûr : Maître avait su me faire payer chèrement et au centuple l'attente que je lui avais fait subir avant de me présenter à lui et je comprenais à présent ce qu'il avait voulu dire par " ne t'inquiètes pas, tout vient à point à qui sait attendre ... Mais sache que tu devras malgré tout en payer le prix lorsque nous nous rencontrerons" ... j'avais effectivement bien payé ma dette ... enfin je le croyais ... Il me retire plus fermement sur la chaine des pinces, me faisant couiner à nouveau !
"tu as soif ou non ?"
"Ouimmphhff Maiffre !"
"Bien ! ... Je m'en doutais bien vu la flaque de pisse qui reste à tes pieds sale chienne !"
... et oui, forcement vu la quantité de bière ingérée avant de descendre dans cette cellule, impossible de se retenir indéfiniment !
C'est à ce moment là que je commençais à prendre la mesure de la perversité de mon Maître !
Il savait très bien ce qu'Il faisait depuis le début, et je n'en étais qu'au commencement des découvertes de sa finesse d'esprit et de son sadisme ...moi qui suis très cérébral, j'allais être servi au delà de mes espérances, mais ça je le découvrirais plus tard ...

Maître m'enleva mon bâillon plein de filets de bave, bave qui me maculait les pecs, le torse, le ventre et les couilles, se mélangeant à ma pisse au sol.
Je l'entendais verser le contenu d'une bouteille puis me guider la tête vers un bol ou une écuelle où je pouvais étancher ma soif ... mais en lapant comme un chien.
Tandis que je m'exécutais sans chercher, trop content de pouvoir boire, malgré la douleur causée par le balancement de la chaine de mes pinces à seins, je sentis un coup de cravache cinglant sur mon cul tendu en l'air du fait de ma position tête au sol pour boire :
-"Qu'est ce qu'on dit ??"
-"...Merci Maître !"
-"Bien, je préfère ça !
N'oublie jamais de remercier ton Maître ! Compris ?"
-"Oui, Maître, c'est compris"
-"Allé, bois et grouilles toi "

Une fois ma soif étanchée, alors que tentais de me redresser malgré mes entraves, je le senti me repousser dans le dos avec son pied :
"Garde la tête au sol esclave ! ... et relève bien ton cul comme une bonne petite pute !"
Je m'exécute, relève et cambre mon cul :
"Bieeeeeeen ... Pas bouger !"
Le front posé sur le sol mais protégé par la cagoule, je restais sur mes genoux qui commençaient à me faire un mal de chien sur ce sol rugueux, tout en restant le cul bien en l'air.
Je sentais mon Maître me caresser de sa main puissante :
"Huuuuumm, j'adore ton petit boule bien rond et bien ferme ... Je sens que je vais me régaler ! ..."
Il s'amusait à appuyer sur mon vibro en passant sa main, ce qui me faisait pousser des petits couinements de plaisir.
Les vibrations de ce dernier qui se déclenchaient de manière aléatoire sur de courtes périodes se furent d'un coup bien plus fortes et en continu ... je gémissais littéralement !
Je me laissais complétement submerger par mes émotions et mes sensations !
Puis les vibrations du vibro s'arrêtèrent nettes.
Maître me pressa la tête, joue contre sol avec sa bottine posée sur mon autre joue tout en m'ordonnant de garder mon cul bien relevé et cambré :
-"Alors mon slave, on apprécie d'être aux pieds de son Maître ?"
-"Oui Maître", répondis-je comme je pouvais
-"Alors pourquoi m'avoir fais autant attendre avant de venir ?"
-"...", je ne savais pas quoi répondre
Un nouveau coup de cravache cingla mon cul tendu
-"Je t'écoutes ..."
-"je, je, je ...." je bégayais une tentative de réponse , quand je reçu un nouveau coup qui me fit couiner !
-"J'écoutes !!..."
-"... je suis désolé Maître, j'avais peur, j'étais paumé, je ne savais pas comment gérer ... Je m'excuse de vous avoir fait autant attendre Maître !! ... je m'excuse !..."
-"Combien de fois tu as annulé salope ??"
-"... 3 ..."
Nouveau coup de cravache
-" 3, tu es sûr de toi ??!"
... coup de cravache ...
"Aïe ! ... non, 4 ! ... Oui : 4 !"
... coup de cravache :
-"Oui, 4, qui ça ??!"
-"4 Maître ! ... j'ai annulé 4 fois Maître !"
-"... bien ! ... donc on va dire 10 coups par annulation ! ...
Front contre terre et tu comptes les coups.
Attention à ne pas perdre le fil, sinon on repart de zéro !"
Je déglutis car je ne suis pas un grand maso et Maître le sais parfaitement, et j'étais déjà au bout après tout ce temps passé ainsi contraint dans mon cachot !
Il ne faisait donc aucun doute que j'allais vraiment recevoir une veritable punition à cause de mon mauvais comportement ... le début de mon dressage !

Pas le temps de finir ma réflexion que le premier coup s'abat sur mon cul :
"Aîe ! ... Un ! ... Deux ... trois...aîe ..."
Les coups s'enchainaient, je commençais à avoir des larmes qui coulaient sous ma cagoule arrivé à la moitié du compte.
Je réussis à ne pas craquer avant la fin, mais n'en menais pas large, des larmes s'échappant toujours de sous ma cagoule.
"...39 ... 40!" la fin de cette punition fut un véritable soulagement.
Maître me laissa récupérer et me remettre quelques instants !
Une nouvelle zone de mon corps me faisait à présent souffrir : mon cul complétement rougi par la cuisante punition qu'il venait de recevoir !

Maître me fit me redresser, avec son aide, afin de me remettre à genoux.
J'espère que tu as bien appris la leçon de ce qui peut arriver si tu te comportes mal ?"
"Oui Maître !"
"Tu es sûr ?!" insista-t-il en tirant à nouveau sur la chaine de mes pinces à tétons, ce qui me fit véritablement hurler car la douleur était vraiment devenue intolérable avec le temps depuis lequel elles étaient en place !
Maître me les enlevas d'un coup sec, ce qui avec le retour de l'afflut du sang me fit hurler encore bien plus fort ... je crus me sentir mal tellement la douleur fut fulgurante !
Tout en me les malaxant, Maître répéta la question : "Tu es sûr de bien avoir appris ta leçon ??"
"Oui Maître" répondis-je en sanglot !!!
"Bien ! ne t'avises plus jamais à te jouer de moi ou tu le paieras très cher !! Compris?" me demanda t-il, me saisissant à nouveau la bouche et le menton de sa main puissante en pinçant sévèrement le téton droit de l'autre.
Je fis un un hochement de tête dans sa main en guise de oui, les larmes aux yeux !

"C'est bien, mon slave !", Maître passa derrière moi et commença à dénouer le lacet de ma cagoule avant de me l'ôter.
Le temps que mes yeux s'habituent à la lumière tamisée de cette cellule sans fenêtre, je vis apparaitre le visage de mon Maître qui affichait toujours un sourire radieux, plongeant son regard d'acier dans le mien qui brillait encore des larmes versées
Il m'avait malmené, torturé, brisé, humilié et poussé à me souiller avec ma propre bave et pisse ... j'étais toujours sévèrement attaché et agenouillé à Ses pieds, les yeux humides, n'en pouvant plus ... et pourtant, je lui retournais son sourire malgré tout !

"Maintenant que tu as bien appris ta leçon, tu as droit à ta récompense, pour avoir été courageux ! ..."
Je le vis défaire sa braguette et sortir son paquet massif déjà bien gonflé par l'excitation qu'il me présenta sous le nez !
Bien que très peu expérimenté en matière de suce et de bouffage de queue, ce que Maître savait très bien, je bavais d'envie de la sucer car elle était à son image : belle, sculpturale et attirante !
J'étais sa pute à présent, je l'avais accepté ... et plus que tout, je désirais qu'il me baise littéralement comme une chienne !

"Allé ma pute, fais toi plaisir à en donner à ton Maître !" ... Maître avait bien remarqué que l'excitation de ma queue qui avait disparue pendant la punition était belle et bien de retour à la vue de sa splendide queue qui caressait mes lèvres entrouvertes à présent !
J'en bandais comme un fou, ma propre queue dégoulinait d'envie également.
"Laisse toi aller ! Ta bouche est dessinée pour sucer des bites de véritables mâles ! Laisse s'exprimer la pute et la chienne qui sommeillent en toi depuis trop longtemps !! Aller, suce salope !"
A l'écoute de ces mots qui me transportaient, je commence à laper tendrement le gland, le frein en alternant avec des sucions.
Je léche le gland de cette magnifique verge, puis je la lèche toute entière, me débrouillant sans mes mains qui sont toujours bien attachées dans mon dos à mon collier.
Puis n'y tenant plus, je l'enfourne dans ma gueule, faisant des aller retour, en continuant à faire tourner ma langue sur le gland, tentant de reprendre au mieux mon souffle et de ne pas m'étrangler avec mes mains menottées en bougeant la tête, mes déplacements étant toujours très limités par mes jambes attachées et repliées, ainsi que mes couilles, me forçant à rester encore et toujours à genoux.
Je trouve mon rythme, alternant les cadences, prenant un pied d'enfer à laisser s'exprimer ma nature de pute soumise à son Maître !
J'aime à sentir ainsi sa queue dans ma gueule, la sucer, la lécher, sentir son excitation, son pré-cum se déposer sur ma langue ...
Je suis littéralement transporté et en oublie toutes mes souffrances ...je suis focalisé sur cette divine queue, ne la lâchant du regard que pour le plonger dans celui de mon Maître qui semble prendre du plaisir
Puis Maître reprend la main et décide de m'imposer sa cadence, en saisissant l'arrière de ma tête pour me forcer à le prendre plus profondément !
A nouveau je suis ramené à la réalité de ma condition et me retrouve à subir un véritable viol de la gueule avec cette gorge profonde imposée et à la quelle je ne peut aucunement me soustraire !
Mes liens limitent bien trop mes mouvements et les puissantes mains de mon Maître m'enserrent totalement la tête, ne me laissant d'autre choix que de déglutir comme je peux et repousser mon reflexe de vomissement pour avaler sa queue au mieux.
Les larmes coulent à flot sur mes joues et mon menton, tout comme la salive qui ressort en de longs et épais filets de bave autour de la queue de mon Maître qui revient de plus belle me baiser ma gueule.
Malgré moi, je me débat et tire sur mes menottes, ce qui a pour effet de m'étrangler ce qui ne m'aide pas à reprendre de l'air lorsque le gland de mon maître ressort de ma gorge !
Je tousse, bave partout sur moi, pousse des râles.
Des bruits de succions gutturaux sortent de ma bouche ... j'en prends plein la gueule ! ... j'ai voulu être un esclave et me faire baiser par mon Maître : et bien j'y suis, je subis, mais je tiens bon !
Les va et vient au fond de ma gorge cesse au bout de ce qui m'a paru une éternité, alors que ça ne doit pas être le cas, car mon Maître sachant que je reste un novice, sait qu'il doit rester vigilant à me préserver tout de même !
Il reste quelques secondes au fond de ma gorge, je sens malgré le fait que je m'étouffe dans ma salive sa bite gonflée comme jamais !
"Regardes moi dans les yeux salope !!" me dit-il en augmentant un peu plus encore la pression de ses mains sur ma tête.
Mes yeux larmoyant plongés dans les siens le supplie de relâcher son étreinte.
Les heures de baillon puis cette intense pipe à gorge profonde font que mes mâchoires me font un mal de fou, à la limite du blocage !
Il ressort au bout de quelques secondes et je m'effondre littéralement sur le côté, n'en pouvant plus, êtant juste retenu par mon Maître qui m'accompagne au sol.
Je suis littéralement trempé et couvert de salive et en sueur !
Mon rythme cardiaque redescend doucement, je respire et continue à baver comme un véritable chien !

Tandis que je reprend mon souffle et mes esprits, Maître détache le lien entourant mes couilles ainsi que ceux entourant mes jambes.
J'ai les plus grandes difficultés à déplier et allonger mes jambes après les heures passées liées et pliées sur elles même !
Je sens que Maître profite de ce moment de KO pour me passer ce que je pense être un cockring ou un genre d'anneau autour des couilles et de la queue sans que je n'y prête vraiment attention.

"Putain, mais tu suces vraiment bien ma p'tite salope !!
Dis moi, t'es sûr que tu n'as pas minimisé ton expérience de suceuse ?!"
"Non Maître, je vous jure" répondis-je la bouche encore glaireuse et endolorie !
"Whaowww ! Et bien, je ne m'étais pas trompé sur le fait que ta bouche est bien plus qu'un simple appel au viol et que je me régalerais avec !
Je te confirme : tu es vraiment une putain de bonne salope, avec une bouche faite pour tailler les queues !
Je sens que je faire des jaloux, ah, ah !!"
".... merci pour le compliment Maître" répondis je toujours au sol, la joue baignant dans ma salive et la nuque tirée par la chaine tendue reliant mon collier au mur.

"... mais je n'en ai pas encore fini avec toi ma pute , car si je n'ai pas rempli ta gueule de mon foutre, c'est que j'avais vraiment très envie d'essayer mon nouveau petit boule de rêve !
Oui, oui, sache qu'à présent tout ton corps et ton être m'appartiennent !
Donc ce petit cul bien rebondi, c'est mon petit boule ... et je sens que je vais y être bien ! " me dit Maître en me caressant le cul et en jouant avec le plug, ce qui me fis repousser des gémissements de plaisirs et de douleurs mélangés ....
"Huuuuuumm, oui Maitre, je suis tout à Vous, je Vous appartient ! Totalement !" ... je fus surpris moi même d'avoir répondu ainsi du tac o tac sans réfléchir !
"Je pense que j'ai vraiment trouvé mon petit mec avec toi mon slave !!
Allé suis moi !"
Maître m'aida à me relever après avoir détaché la chaine de mon collier qui me retenait dans ce cachot, pour y remettre sa laisse.
Je le suivais tant bien que mal, car j'avais un peu de mal à tenir sur mes jambes malgré tout.
Il m'entraina vers un coin du donjon, équipé d'un lit recouvert de ce que j'imaginais être du latex ou une matière de la sorte.
Il me fit me poser à nouveau à genoux, en appui sur la tête posée sur le matelas et le cul relevé, attachant mes chevilles aux coins opposés par des bracelets en cuirs, les mains toujours menottées dans le dos.
Il me posa un bandeau en cuir sur les yeux qui me replongea dans l'obscurité totale, sans repères, comme la cagoule.
Une sensation de douleur et de morsure me pris le tétons gauche : Maître était en train de me reposer des pinces sur les tétons avec des poids ce coup ci ! Le droit subit le même traitement dans la foulée.
Je me concentrais sur ma respiration pour gérer la douleur insupportable, mes tétons étant déjà bien trop meurtris, tout en essayant de bouger le moins possible pour éviter le balancement des poids qui rajoutait horriblement à la douleur !
"Pitié Maître, enlevez les pinces, je vous en supplie !!"
"Ta gueule ou je te refous un de mes plus gros baillon dans ta gueule de sale pute !! ....ou ton plug, tiens, ça serait pas mal ça, non ?!" dit il en riant !
... je stoppais toutes protestations car ma mâchoire n'en pouvait vraiment plus également et je me résignais à subir ces pinces en souffrant et chouinant en silence !
"Tiens, ouvre plutôt ta gueule pour quelque chose d'utile !" me dit-il en me représentant sa queue à moitié molle ... qui ne le resta pas très longtemps une fois rentrée dans ma bouche, juste quelques aller-retour et elle avait retrouvé toute sa vigueur, bien veineuse et gonflée !
Je recommençais malgré tout également à ressentir l'excitation remonter en moi et dans ma propre queue, bavant autour de celle de mon Maître qui me remplissait totalement la bouche !
Il sortit de ma gueule, je l'entendis enfiler une capote et disparaitre derrière moi, puis il enleva le lien qui maintenait jusqu'à présent le plug bien en place dans mon cul !
Il joua un peu le plug avant de le retirer tout en douceur, pour mon plus grand soulagement, me laissant la chatte bien ouverte à sa vue !
Je n'avais jusqu'à présent jamais porté de plug sur une si longue période et ma rondelle réclamait grâce !
Mais le répit ne fut que de courte durée pour ma chatte : je sentais déjà le lubrifiant couler pour mieux me préparer à la suite inéluctable ...
Maître était excité comme un fou par son nouveau petit mec et esclave sexuel comme il aimait l'appeler, et cette pipe qu'il venait de recevoir lui avait filé une vraie trique de taureau !
Je maintenais toujours ma position, le cul bien cambré et senti Maître m'attraper par les hanches de ses mains puissantes, tout en me présentant le gland de son superbe chibre au bord de ma rondelle ouverte. Comme j'acceptais mon sort et ma situation, je me laissais aller et me détendais du mieux que je pouvais afin de faciliter son introduction et de ne pas trop souffrir.
Il se fit son chemin et força petit à petit et en douceur la dernière petite forme de résistance que mon cul semblait encore vouloir lui présenter.
Je le senti donc me pénétrer millimètre par millimètre, je poussais des petits râles de douleur teintés d'une once de plaisir, jusqu'à ce qu'il soit enfoncé jusqu'à la garde.
Il resta en place un moment afin de laisser ma chatte s'habituer à la présence de son gros calibre et commença ensuite à effectuer des vas et vient en douceur, mais de plus en plus rapide et profond, jusqu'à me labourer totalement à sa guise !
Je me sentais une fois de plus totalement sous son emprise et son contrôle total en cet instant alors qu'il me labourait le cul et me pénétrait au plus profond de mon être, me tenant fermement par les hanches de ses mains et bras virils et musclés !
Je n'étais plus que son jouet sexuel de plaisir, sa pute qui se faisait tringler comme une véritable femelle !
Mon plaisir grandissait de plus en plus en parallèle du sien et je commençais à pousser de véritables gémissements de plaisir :
"Vas y gueule sale chienne, lâches toi , montre moi comme tu aimes te faire baiser comme une bonne pute !!"
Je gémissais encore plus fort et je l'entendais pousser des râles de plaisir également tandis que je sentais un véritable incendie dans mon cul, avec une chaleur qui m'irradiait tout le bas ventre et la queue qui coulait de liquide séminal, je sentais le plaisir continuer à monter dans ma chatte venant de ma prostate ultra stimulé.
Je sentais que j'arrivais au bord de l'orgasme, je gueulais comme une chienne en chaleur, Maitre tout en continuant à me labourer sévèrement se saisit de ma laisse qu'il tendit au plus court, m'obligeant à relever la tête tout en me cambrant au maximum.
De l'autre main, il se saisit de ma queue ultra gonflée et au bord de l'explosion pour commencer à la branler !
Ma chatte et ma prostate en feux, les poids aux seins qui se balançaient dans tous les sens à chaque coup de boutoir intense, plus l'étranglement léger de mon collier causé par la traction sur ma laisse me fit lâcher la sauce dans sa main en peu de temps, dans un orgasme comme je n'en avais jamais connu, en hurlant véritablement de plaisir !
Une fois mes dernières gouttes de jus sorties, Maître se retira de mon cul ... mais je n'avais pas eu l'impression de le sentir jouir pour sa part ?!
Je m'écroulais sur le lit, littéralement vidé dans tous les sens du terme ... mais pas le temps de me reposer ou de reprendre mes esprits que Maître tira à nouveau sur la laisse afin de me faire me redresser et m'assoir sur le bord du lit.
Je sentis alors un liquide chaud et visqueux se présenter à mes lèvres. Maitre s'était arrangé pour que je jouisse dans le creux de sa main et étalait ma propre semence sur ma bouche :
"Lèche sale pute, nettoie la main de ton Maître des saloperies que tu y as déposé et remercie moi pour t'avoir accorder cette jouissance !"
Il savait pourtant que le goût du sperme me dégoutait ... c'est pourquoi il se délectait d'autant de cette humiliation et dégradation qu'il m'infligeait !
"Je Vous remercie de m'avoir autorisé cet orgasme Maître !"
Je m''exécutais tant bien que mal, en léchant et goûtant juste du bout de la langue mon jus en grimaçant et en manifestant de la répugnance.
Maître finit par essuyer sa main sur ma bouche et mes joues : "Il va pourtant falloir que tu t'y fasses sale pute !!"
... et bien plus vite que je le pensais après avoir entendu le claquement caractéristique de la capote qu'on enlève ...
Maître me fit remettre à genoux et me tira à l'aide de la laisse jusqu'à sa queue qui n'avait pas débandé d'un millimètre, car il n'avait effectivement pas encore joui, afin de me fourrer à nouveau la gueule et de me la limer avec vigueur :
"Ouvres ta bouche à pipe, salope ! Je ne veux pas t'entendre moufter, tu n'es qu'une pute ! ... tu es MA pute, MA chienne ! Donc tu obéis et tu me la bouffes bien docilement ! Je te baise comme je veux et toi tu ouvres ta gueule seulement pour me bouffer la queue, me soulager ou pour gémir !!
.... Allé, suce moi sac à foutre !"
J'ouvrais la bouche servilement et me retrouvais à baver de nouveau à grand flôt à cause de l'épaisseur du monstre surgonflé de mon Maître que je sentais bientôt rentrer en éruption...
D'un coup, tout en poussant de grands râles de plaisir, Maître tira à fond sur ma laisse d'une main, en me bloquant l'arrière de la tête de l'autre, m'interdisant de la reculer ou de me soustraire à mon sort : plusieurs jets puissants et massifs giclèrent dans ma gorge et ma gueule, l'inondant totalement, me forçant à en avaler une partie afin de ne pas m'étouffer tout en tentant de recracher le reste ...
Pas le temps de finir que je reçus une baffe de la part de Maître : "Qui t'as dis de recracher sale putain ??!!"
Il me saisit fermement le menton pour me pencher la tête suffisamment en arrière afin de m'empêcher de recracher ce qui me semblait être des litres de foutre me restant dans la gueule et força la boule bien large d'un de ses ball-gags préféré, de ceux dont il raffole, le serrant au maximum avant de le verrouiller avec un cadenas, au point d'incruster sans pitié les lanières dans les commissures de mes lèvres, afin de m'empêcher de recracher la moindre goutte de sa semence, la boule en silicone de 5cm de diamètre obstruant totalement ma gueule !
Il m'enleva le bandeau, me reprit par le menton pour me relever la tête afin de plonger ses yeux dans les miens :
"Je te l'ai dis, il va falloir que tu t'habitues à apprécier le foutre, comme toute véritable putain, car t'as pas fini d'en bouffer ma salope !!
Je vais faire de toi une véritable pute à jus ! Tu me suppliera bientôt de te la fourrer dans la gueule et de pouvoir boire ma semence quand j'aurais finis ton dressage ma chienne !"
Maître posa son autre main autour de ma gorge, l'enserrant par dessus mon collier, en augmentant son étreinte à mesure qu'il finissait ce rappel :
"C'est toi qui as voulu et à accepter de devenir mon p'tit mec et ma pute !! ... donc assume !!
Tu as accepté de subir, porter et vivre dans mes contraintes, enchainé, lié et muselé, captif et prisonnier comme l'esclave que tu es à présent ! ... donc tu assumes !
Tu as accepté de subir mes tourments, punitions et sévices ... donc assumes !
Tu as accepté de m'obéir docilement et servilement comme le bon chien que tu es !
Tu as accepté d'être réduit à l'état de jouet sexuel, de pute à trous asservie pour mon bon plaisir ... et tu sembles avoir pris également un plaisir que tu n'avais connu jusqu'à là avec ta nouvelle condition ... tu aimes être une trainée donc :
tu assumes ... et tu obéis !
Et donc, si je t'ordonne d'avaler : tu avales !!
...
Tu as eu le choix de partir ou rester ... et maintenant que tu as fais ton choix dont tu connaissais le caractère définitif, sache que je ne te laisserais plus partir car tu me plais vraiment trop !
Je vais te dresser exactement comme je le souhaite pour faire de toi mon véritable petit mec !
Tu es entièrement à moi maintenant, tu m'appartiens corps et âme à présent mon slave !! ...
Tu es MON esclave ! "

Alors que ces mots resonnaient encore en moi et que je me concentrais pour ne pas penser à ce foutre qui me tapissait encore la bouche et que je n'arrivais à expulser que par très petite quantité en de longs filets interminables à travers ce bâillon boulle bien trop massif, Maitre passa un linge humide et froid sur ma queue et mon gland décalotté qui était bien dégonflé après ma jouissance ... et bien calmée par la sensation de ma bouche maculée qui me dégoutait malgré tout ...
Je réalisais que Maître était en train de me nettoyer la queue à ma grande surprise et je n'eu pas le temps de finir d'essayer de comprendre pourquoi, que je senti un fourreau de silicone enserrer ma queue molle et venir en buté avec l'anneau qu'il m'avait posé préalablement ...
Le cliquetis caractéristique de la serrure qui s'actionne et se referme me fit réaliser subitement que Maître venait de me poser une cage de chasteté !!
"Ta queue et tes orgasmes m'appartiennent aussi du coup, tu t'en doutes bien évidemment, non ?!"
Je me contentais d'un simple "huummmppffhhh" résigné en hochant la tête, la gueule toujours dégoulinante de bave et de foutre ...

Tandis que Maître m'entraina à le suivre en me tirant et me guidant à l'aide de la laisse à travers le donjon pour remonter à l'étage, je réalisais dans cet état de vulnérabilité et de servitude totale dans lequel je me trouvais que j'avais trouvé ma voie et m'accomplissais enfin dans cette condition que je voulais vivre depuis si longtemps en me morfondant dans l'attente de pouvoir passer le cap !
Une chose était sûr, c'est que j'étais vraiment servi en terme d'asservissement, de bondage, de séquestration, de sévices, d'humiliations, de plaisir et de baise hard avec celui qui était devenu mon Maître, digne de mes attentes les plus folles ... voir au delà !!

Arrivé à l'étage, dans ce que je compris être une salle de bain, Maître me fis mettre au centre la pièce et accrocha mon collier à une chaîne que je devinais pendre d'un anneau scellé au plafond. Une barre d'écartement fut relié à mes chevilles.
l'addition des deux me forçait à rester bien droit, voire en très légère extension sur mes doigts de pieds pour soulager la contrainte du collier sur ma gorge.
"Voilà, c'est parfait pour te faire rester sage le temps que je me délasse tranquillement sous la douche !
Heureusement pour toi que tu aimes également le bondage, les entraves et les contraintes car ça aussi tu en bouffer grave !!
C'est vraiment mon plus gros "kink" et c'est comme ça que j'aime voir mon mec : sévèrement attaché, sans défense, asservi et sous contrôle !
...Mais ça tu le savais avant même de venir !..." me dit-il en me triturant les tétons !

Vu mon état et la posture dans laquelle je me trouvais, je n'avais aucun doutes sur le sujet, attaché comme je l'étais en équilibre quelque peu précaire avec mes mouvements strictement limités, toujours aveuglé et les mains toujours liées dans le dos, même si la chaine les reliant à mon collier avait été enlevé, seule faveur de confort de la part de Maître pour me permettre de me soulager mes épaules bien trop endolories.

Je restais donc à attendre, la gueule toujours trop sévèrement bâillonnée par ce gros bâillon boule serré sadiquement à son maximum et souillée par le jus de Maître, son goût étant toujours fortement présent dans ma bouche.
Tandis qu'il prenait du bon temps sous la douche, sa semence mélangée à mon propre foutre et à ma bave séchait sur mes lèvres, mes joues, mon menton et mon torse, ce contraste me fit à nouveau pleinement prendre conscience de ma nouvelle condition de soumission et asservissement totale, tandis que j'étais ainsi totalement entravé et humilié.
A cette constatation, ma queue commençait à vouloir se regonfler dans sa prison de silicone et ne put laisser s'échapper que quelques filet de liquide séminal.

Masquer le message d’origine
Ces derniers, tout comme les derniers filets de sperme qui s'échappaient encore de ma bouche sans que je ne puisse rien y faire, étaient à l'image du contrôle sur ma propre personne que j'avais totalement perdu pour le remettre entièrement à mon MAITRE !
Ce jour là, en plus d'être une vertu pute soumise,
j'étais véritablement devenu ...un ESCLAVE !

A suivre ...

Rollnecktobound

Autres histoires de l'auteur : Le jour où je suis devenu l'esclave de mon Maître

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