Il fait frais ce matin d’avril, 13 degrés, 5 heures du matin sur ce parking poids lourds en Alsace. Je me gare non loin des sanitaires, il y a là un renfoncement utilisé pour la baise, vu le nombre de capotes au sol ; je suis habillé de mon short satin échancré, d’un teeshirt noir très destroy, je suis appuyé sur un rebord, mes fesses largement cambrées dans une position qui ne laisse aucun doute sur mes attentes. Les odeurs qui remontent de l’endroit m’excitent au plus haut point. Quelques mecs passent derrière moi, caressent mon cul mais ne vont pas plus loin, je tâte en arrière des paquets bien fournis, des gaules demie molles. 4 hommes m’ont ainsi doigtés, tirés sur mes couilles à me faire crier, enfoncé plusieurs de leurs doigts virils, un m’a craché sur la gueule en m’insultant.
Puis est arrivé un polonais… une montagne de muscles, habillé en survêtement molletonné, avec un bulge impressionnant. Il m’a chuchoté des mots en polonais dans mon oreille, il était impressionnant, j’avais l’impression qu’il m’enveloppait de derrière, moi plutôt menu, entièrement couvert par cette masse de chair, de muscles, de poils et d’os.
Il déchira mon petit short, deux autres mecs étaient à côté de nous deux. Il s’agenouilla et enfonça sa grosse langue dans mon cul, je poussais un cri, ce fut une vraie pénétration douce et chaude. Les deux autres mecs me firent cambrer d’avantage, totalement offert au polonais sauvage. D’une main il avait saisi mon sexe et mes couilles, qu’il serrait à m’en faire hurler. Les deux autres mecs soit me baffaient, soit tapaient mon dos ou mes fesses. Toujours au même endroit. J’allais y passer, j’allais recevoir ce que j’étais venus chercher, à force de provocations obscènes.
Les deux mecs écartèrent chacun une fesses à fond, mettant à jour ma rondelle luisante de salive polonaise, bien rose, bien ouverte. Ce qui se présenta m’affola : un gland surdimensionné, comme une pêche, dans une capote XXL luisante de gel. Mon polonais me gaza de poppers 3 fois par narine, je sentis mon cul s’ouvrir à ce membre monster, les deux paluches du polonais s’emparent de mes hanches et d’un coup il s’enfonce en moi en poussant un gémissement, le reste suivit d’un coup. Je panique, je suis démonté, un pieu est en moi, un gourdin, une poutre… j’ai peur d’être déchiré. Ma main en arrière ne rencontre qu’une énorme paire de couilles poilues collées à mon scrotum, je tâte ce qui me pénètre, la chose est hyper dure, elle vibre en moi. Le polonais se met à me baiser puissamment, je n’ai plus de souffle, je gémis doucement, les deux autres mecs ont mis leurs doigts dans ma bouche et écartent mes joues comme le mors d’un cheval. Les lourdes couilles du polonais tapent mon cul frénétiquement ; il ajoute du gel pour aller plus vite ; je suis complètement ouvert, les deux autres gars qui se branlaient jouissent dans ma gueule des litres de jus, à m’en étouffer.
La jouissance du polonais fut apocalyptique : des hurlements, des éjaculations puissantes en moi, la capote avait craqué, 3 ou 4 en extérieur jusque mon cou. Je me suis retrouvé seul, entièrement nu, dévasté, vidé de mon propre jus. Un routier a pris pitié de moi et m’a emmené dans la douche, il m’a lavé avec douceur, et il m’a fait l’amour gentiment avec sa queue moyenne, puis ce fut le tour de son collègue beur avec sa grosse queue, puis un espagnol avec une queue très large mais courte. Le polonais voulait remettre le couvert, mais ils devaient le connaitre car il l’en ont empêché. Sa queue au repos était monstrueuse. Un camionneur m’a emmené dans sa couchette, il a pris pitié de moi, j’ai pu me reposer, il ne repartait que le soir. Pour le remercier je lui ai fait la pipe de sa vie, il m’a dosé direct dans le gosier.
Je suis reparti vers 17h00 complètement stone. Je reviendrai dans ce coin perdu, dans ce coin sauvage, fréquenté par des mecs avides de sexe…
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
Merci de me laisser vos impressions sur le texte, vos idées de scénarios à
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