Quand j’habitais Paris, j’adorais aller à la FNAC Chatelet, faire quelques emplettes, puis je me baladais dans la rue St Denis. Un cinéma porno sex-shop avait toutes mes préférences. On s’acquittait d’une entrée modique, on descendait un escalier assez raide, et là trois salles s’offraient à moi : une salle hétéro et deux salles gay. Il y avait un wc théâtre d’ébats sans pudeur, des pissotières encombrées par des exhibitionnistes bien montés.
La salle gay que je préférais avait des petites cabines. Je kiffais entrer dans l’une d’elle, m’appuyer au mur et attendre une queue. Devant moi sur la tablette, du poppers, du gel chauffant et des kpots xxl. Le film de la salle était répliqué sur un petit écran dans la cabine, il ne me fallait pas longtemps pour bander.
Une sale odeur de sexe flottait dans l’endroit à laquelle se mêlait du poppers, de la sueur. Beaucoup d’habitués circulaient avec de petites valises, certainement des provinciaux venus s’encanailler ici.
Plusieurs hommes passent la tête par la porte, touchent mes fesses mais ne la franchissent pas.
Je sentais sa présence derrière moi, sa chaleur, son odeur. Il posa sa valise sur le côté, défait son ceinturon, dans le reflet de la télé je devine un grand mec en costard, blond avec des lunettes aux montures fines. Je ne me retourne pas, je suis là uniquement pour du sexe brut.
Il me caresse au travers de mes vêtements, ses mains son fines et douces, sûrement un intello, son bassin se colle à moi, je sens un gros machin qui veut se faire une place entre mes fesses. Il descend mon jogging et mon slip. Mon sillon fessier accueille dans l’encoche une bite très honorable. Je sens que le sang pulse sur ce membre imposant. Lui ne touche pas ma bite, ça ne semble pas le motiver, ce qu’il veut c’est mon cul. Sa queue s’est redressée, la grosse veine de son membre est bien incrustée sur mon cul. Il me fait des bisous dans le cou. Je suis toujours appuyé contre la paroi, je ne bouge pas, mon souffle trahit mon excitation.
Il prend une capote taille XXL, je kiffe entendre la pochette se déchirer, je la vois bien tomber dans la poubelle, le tube de gel disparait, il dépose une grosse noisette sur mon anus après avoir écarté mes globes. Le gel est frais. Il repose le tube après avoir enduit son sexe, il saisit le poppers sniffe 4 bouffées, et en me pinçant les narines me gaze beaucoup. Mon esprit s’égare, j’ai un coup de chaud immédiat.
Je sens son gland se poser sur ma fleur, il s’enfonce en moi sans pitié, je pousse un hurlement, le bruit de fond de la salle s’arrête, des mecs crient Whoué, ça m’excite et je gueule… lui s’en fout et s’enfonce en moi… putain elle doit mesurer 22cm, son diamètre me fait mal, je gémis très fort. Ça excite plusieurs hommes qui essayent de voir ce qui se passe, qui tendent la main entre ses cuisses pour toucher mon trou, et qui discutent entre eux.
Mon mâle me fait pivoter, s’appuie à la paroi et fait sortir ma tête de la cabine. Il me tient fermement par les hanches. Trois hommes sont devant moi et ont sorti leur grosses queues… il leur dit « please fuck this mouth » le plus jeune s’approche et enfonce sa queue dans ma gorge, je panique, je ne peux pas crier, mon baiseur ramone mon conduit dans une douleur indescriptible, je repousse le jeune mec, je respire enfin, je crie de douleur, le mec d’à côté investit ma bouche, il est plus doux, sa queue sent fort, mais je préfère…
Derrière l’anglais commence son pilonnage sévèrement, j’ai le cul en feu et la bouche pleine. Je gémis en suçant, le jeune vexé claque mes reins plusieurs fois au même endroit, j’ai deux zones chaudes maintenant mes reins et mon cul. Mon anglais change de rythme, il me baise plus profondément, arrivé au fond il essaye d’aller plus loin, je crie de plaisir.
La bite que je suce se libère d’un jet de foutre et le mec s’en va. Le troisième mec me présente une petite queue, toute fine, il n’a pas le temps de franchir mes lèvres qu’il jouit 5 jets puissants en dessous de mon nez.
Mon enculage devient délicieux, sa grosse queue me fait un bien dingue, ses grosses couilles me régalent.
Le jeune veut reprendre sa revanche, il enfonce gentiment son gros sexe, je le suce avec avidité, lui aussi se libère d’une seul goute de jus, il a dû baiser toute l’après midi.
L’anglais me positionne contre le mur et décide de me démonter à fond. Il râle quand des mecs me touchent ou essaye de me toucher, il me veut que pour lui. Je sens sa queue grossir en moi encore, elle chauffe atrocement mon colon. Soudain une douceur envahit mon cul, il vient de se libérer, la capote a craqué, sans bruit, juste en respirant plus fort. Son sperme apaise mon cul, pourtant je ne jouis pas encore, ma queue a débandé, mon sexe et mes couilles pendantes tapent contre mes cuisses. Il décule d’un coup et se tire sans un mot, rien.
Un arabe trop bien monté prend sa place, il a du mal avec la capote XXL, il me pénètre de suite, son sexe plus gros que le précédent reformate mon colon en plus large… je me gaze, je vais m’évanouir submergé par des sensations fortes… un grand mec l’a compris, il entre dans la cabine et me maintient pendant que je me fais fourrer.
Il jouit en grognant et se tire aussi.
Le grand mec prend pitié, s’assoie sur le petit tabouret et me prend sur ses genoux.
Je pose ma tête sur son épaule, ce mec sent bon, c’est AZZARO comme j’aime. Du jus coule au sol, il m’essuie gentiment. Il me raconte qu’il est le fils du patron et qu’il a été peiné quand il m’a vu subir ces deux zobs hors norme.
Lui me fera l’amour plus tard en salle, il éloignera tous les mecs, lui aussi est TBM, il m’a baisé gentiment, sans violence, il jouira dans la capote façon pépère. Je restais avec lui jusqu’à la fermeture à 2H, on est allé manger un kebab et je suis rentré à mon hôtel, seul, en trainant la patte, mon cul étant très douloureux. Le test fait plus tard s’est révélé négatif, ouf. Le lendemain j’ai souffert pendant mon exposé devant une cinquantaine de personnes, malgré la pommade que m’avait passé le fils du patron.
Je ne suis jamais retourné dans ce sex-shop.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
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