Tous les lundis, je fais des longueurs à la piscine, à mon rythme, parce que je ne suis pas très rapide souvent des nageurs passent dessous moi, pour ne pas casser leur rythme.
J’ai l’habitude de faire 10 longueurs et de me poser, serviette sur les épaules, pour mater discrètement les nageurs. Une équipe de polo s’entraine sur une ligne réservée, les corps sont magnifiques, épaules très larges, tailles très fines, abdos saillants, pas un poil de graisse, quant aux bulges, il y a l’embarras du choix.
Il y a un joueur très souriant, qui me fait un clin d’œil chaque fois qu’il passe devant moi. Son maillot de bain maintient une barre toujours en demi molle. Un discret filet de poils bien noirs sort de son nombril pour se perdre dans son maillot. (Je sais je suis accroc à cette ligne de poils, ce chemin des dames et des messieurs, ce signe de virilité)
Je préfère certains soirs quand ils ont tous enfilé un Speedo blanc numéroté, le maillot blanc souligne les formes. Les siennes sont très généreuses, on distingue nettement les organes de son service trois pièces, un bâton de berger bien épais à l’horizontale. C’est le mieux doté, avec deux autres gars plus jeunes.
C’est là qu’intervient la notion de sang et de chair : si le sexe est modeste, quand il bande il se gorge de sang et peu quadrupler de taille, on dit qu’il est de sang, si le sexe est déjà imposant au repos, il se gorge aussi de sang mais ne grandit pas trop, on dit qu’il est de chair.
Un samedi du mois d’août dernier, au sortir de ma séance de nage, toutes les douches grand public sont occupées avec des gens qui patientent… les joueurs de polo disposent d’un vestiaire dédié auquel sont adossés des douches réservées. Je décide discrètement d’y aller pour prendre ma douche tranquillement. Les douches sont vides, je prends mon pied, l’eau y est plus chaude, deux pommeaux disposent d’une douchette supplémentaires avec un long tuyau. Je kiffe asperger mes couilles avec de l’eau chaude, ça me renverse de plaisir. Ma queue bande instantanément.
Soudain, alors que j’étais adossé au mur de la douche, le jet de la douche sur mes boules, un mec entre dans les douches, je suis surpris.
Lui « Bonjour, qu’est-ce que vous faites là ? C’est un douche réservée aux sportifs, monsieur ! Ah mais je te reconnais toi, tu nous mates toujours petit coquin… »
Moi « Pardonnez-moi, je ne savais pas… comme il n’y avait personne… »
Il est là devant moi, mon joueur préféré, nu comme un vers, sa grosse teub, épaisse qui descend à mi-cuisse, ses mains sur les hanches ; je suis en érection grâce à l’eau bouillante et maintenant à cause de lui… j’essaye de cacher mon sexe, en vain, ma queue dépasse… elle bat contre mon ventre…
Il ricane un peu, s’approche de moi, retire mes mains, il se penche en engloutit mon gland. Il est là accroupi devant moi, je frotte ses cheveux, sa grosse queue touche le sol…
Il me prodigue une fellation académique, alternant gorges profondes et bouffage de couilles. A ce rythme-là, je sens mes reins bouillonner, il enfonce ma queue dans sa gorge pour que je me vide en lui… quand il se relève, il me retourne et m’embroche direct. Je crie ma douleur, lui son plaisir. Il crache souvent sur sa queue pour faciliter le travail, je me cambre genre lope, il me fait profiter de toute la longueur de son membre, il ressort souvent et replonge à fond, ses couilles serrées s’écrasent contre mon périnée.
Lui « je ne m’étais pas trompé, tu as un cul d’enfer, au bon calibrage de ma queue. Je vais te faire un enfant, sale petit pervers, dommage que Théo et Vince ne soient pas là, on t’aurait défoncé à trois, Vince et moi pour une double dans ta chatte… »
En disant cela il éjacule en gémissant. Sa teub vibre de plaisir. J’explose à nouveau contre le mur. Je la sens clairement sa queue gicler dans mon cul, ses couilles sont hyper dures comme des cailloux.
Avec un gant il m’a entièrement lavé, je me suis laissé faire par cet homme. Depuis on se revoit souvent le samedi…
Il m’a envoyé un texto… j’ai son numéro maintenant.
Dans la vie protégez-vous, ne laissez pas cette saloperie prendre possession de votre corps !
J’espère que ce récit vous a plu et vous a provoqué des réactions… hummmm
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