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HISTOIRE

Premier épisode

La gynécologie pour homme | 2

Devant l’expérience géniale avec le Dr Schwartz, mon copain et moi nous décidâmes de revenir le voir en Belgique pour une nouvelle session sur plusieurs jours cette fois-ci. De nouveau mon copain discuta beaucoup avec lui par internet  et il organisa cette visite. 

Il fut convenu d’une séance sur 3 jours avec beaucoup « d’examens médicaux » dans tous les trous pour moi et de plusieurs séances de « drainage de couilles » pour mon copain.  Nous serions « hospitalisés » pendant ces 3 jours, logés et nourris par le « docteur » et ses assistants, à leur disposition pour tous ces examens. Les consignes avant ce séjour étaient très claires : aucune éjaculation pour nous 2 pendant les 3 jours avant le séjour, je devais également suivre un régime pauvre en fibre et en graisse pendant ces 3 jours. Mon copain devait enfin travailler ma « chatte » avant le jour J pour bien l’assouplir : il devait chaque jour me doigter avec au moins 3-4 doigts et me mettre un bon gros plug pour la nuit, je devais également porter une cage de chasteté en plastique en permanence pour « focaliser mon attention sur ma chatte et la détourner de mon clitoris » selon le « docteur ».

Autant vous dire  que l’attente fut bien longue. Au bout de 3 jours d’abstinence, mon copain n’en pouvait plus et le simple frottement de son jean sur sa queue le faisait bander. À chaque fois qu’il m’allongeait à plat ventre sur ces genoux le soir pour travailler ma « chatte », il bandait comme un âne et devait se retenir avec de grands efforts pour ne pas me baiser comme une chienne. Il devenait de plus en plus violent, pistonnant mon cul avec ses doigts gantés de plus en plus sauvagement pour bien ouvrir ma « chatte ». Je gueulais souvent comme un porc et il finissait par installer un bon plug de 7.5cm de diamètre dans mon trou bien ouvert pour la nuit. Avec ce traitement de choc, mon cul était devenu une vraie chatte de mec.

Le jour J nous arrivâmes à la clinique du Dr Schwartz au petit matin. De nouveau nous fûmes reçus par le joli secrétaire qui nous demanda d’attendre dans une salle d’attente banale. L’attente ne fut pas longue et un joli infirmier en tenu de bloc opératoire vert pâle nous amena dans notre chambre. Il y avait 2 lits d’hôpital complètement équipés avec des draps blancs immaculés. La chambre disposait d’un cabinet de toilette avec une douche, un lavabo, un miroir et une toilette en métal. Il y avait également dans la chambre un fauteuil avec des roulettes et une chaise percée avec un seau accroché en dessous.

L’infirmier nous donna les consignes  du Dr Schwartz : déshabillage complet, nos vêtements furent mis dans des sacs  en plastique que l’infirmier emmena. Chacun de nous 2 reçus une charlotte pour les cheveux, un masque en papier, une blouse pour patient ouverte sur l’arrière sans pouvoir la fermer, des bas de contention en plastique blanc bien serré. Nous ne devions jamais enlever seuls notre uniforme et je ne devais sortir du lit seul sous aucun prétexte.  On enfila à mon copain un cockring en plastique blanc qui serrait bien sa bite et son paquet ainsi qu’un préservatif en plastique épais blanc également. Lui pouvait retirer cet attirail pour aller aux toilettes et pouvait sortir du lit sans autorisation.
A moi, l’infirmier vint faire un lavement avec une petite bouteille qu’il inséra dans ma « chatte ». Je dus évacuer le lavement dans une espèce de bassine plate qu’il glissa sous mon cul dans le lit, il me regardait évacuer le lavement tranquillement dans mon lit, l’humiliation était complète. Il retira ensuite ma cage de chasteté avec la clé de mon copain et nettoya mon « clitoris » avec un gant de toilette humide, ce simple contact me fit bander comme un taureau. Il amena alors un petit chariot en métal, mis des gants en latex et commença à désinfecter mon membre tendu avec de la Bétadine. Il  mit ensuite un drap vert autour de ma bite, saisi ma verge d’une main et injecta dans mon conduit urinaire du gel dans une petite seringue, sa poigne ferme autour de mon « clitoris » m’excitait au plus haut point et je commençais à gémir. L’infirmier, imperturbable, prit ensuite une sonde urinaire qu’il inséra lentement en moi, la sensation  était formidable, mélange de brulures et de frottement, les derniers centimètres furent assez douloureux et jouissifs à la fois. Il finit par gonfler le ballonnet dans ma vessie, il tira ensuite sur la sonde et installa une nouvelle cage de chasteté autour de mon « clitoris » maintenant entubé. L’urine sortait de la sonde sans que je ne puisse rien y faire, j’avais beau  essayer  de serrer les fesses, le liquide coulait sans arrêt.

 L’infirmier s’occupa ensuite de ma « chatte » : il me fit relever les jambes, comme une grenouille, et inséra 2 doigts gantés dans mon cul, sans mettre de lubrifiant,  pour vérifier sa propreté. Je bandais de nouveau dans la cage en plastique transparent à tel point que la peau de mon pénis sortait par les trous d’aération.  Il enduisit ensuite un plug en métal de lubrifiant et inséra l’objet dans ma « chatte » sans plus de précaution, d’un seul coup. Il finit par tourner une molette à la base du plug, la sensation fut explosive : je sentis le plug s’écarter en moi avec une envie très urgente d’aller aux toilettes. Sans sourciller devant  mes gémissements, le jeune homme fini par la mise en place d’une grande couche en plastique pour adulte,  pour maintenir en place le plug et la cage, il serra les fermetures autour de mon ventre et rangea son matériel. Je sentais déjà ma pisse s’écouler sans retenue dans la couche qui se colorait doucement.

L’assistant du Dr Schwartz  nous expliqua le programme de la journée : nous allions être séparés pour des examens et des traitements radicalement différents, pour mon copain il était prévu un massage de prostate intensif avant une traite en bonne et due forme pour récupérer une bonne dose de sperme, pour moi il était prévu un lavage complet de mon gros intestin avec une séance de lavements en profondeur avant une « opération  chirurgicale » qui serait pratiquée par le Dr Schwartz  lui-même pour dilater et approfondir ma « chatte » a son maximum.

Je fus le premier à quitter la chambre, on amena une chaise roulante pour m’emmener dans une grande pièce, complètement carrelée du sol au plafond, blanche, avec au milieu une table en métal avec un trou d’un côté de la table et un autre au milieu de celle-ci. Il y avait également à côté une très grosse machine en métal avec des tubes transparents partout. L’homme qui m’avait amené là était une vraie armoire à glace, le crâne rasé et l’air d’une porte de prison.  Il avait comme tout le personnel la tenue vert pâle par-dessus laquelle il enfila un tablier en plastic blanc épais et des gants en latex qui lui remontaient jusqu’au milieu des bras. Il me fit lever, retira ma blouse qu’il accrocha sur un porte-manteau, retira ma couche qui était déjà remplie de pisse encore chaude, il la jeta dans une poubelle en métal, et retira enfin mon masque en papier pour le remplacer par un autre en plastique blanc, avec un renflement en plastique en forme de V qui s’insérait dans la bouche et empêchait de parler. Il serra le masque au maximum et m’installa sur la table, à plat ventre. Le trou du milieu permettait à mon « clitoris » de pendre dans le vide et le trou  en avant était pour la tête. Bientôt il m’attacha sur la table avec des sangles en plastique au niveau de la tête, des bras, du torse, du ventre, des cuisses et des jambes.  Sans prévenir, il appuya sur un bouton et la table se cassa en 2 ce qui eut pour effet de relever mon cul en l’air et de pencher ma tête en avant, au moins je savais pourquoi j’étais là. J’étais complètement sanglé sur la table, incapable de bouger le moindre orteil, la tête en dessous de mon cul avec le sang qui me montait au cerveau, la bouche écartelée par le morceau de plastique qui me faisait baver comme un gosse et la tête enfoncer dans la table ce qui m’empêchait de voir quoi que ce soit. La situation avait de quoi être flippante, mais mon pauvre pénis poussait dans sa cage comme jamais.

Le gorille qui était mon infirmier commença alors à s’occuper de mon cul : il vissa la base du plug ce qui pour effet de le rétracter à l’intérieur et il le retira d’un coup sec. Je me sentais étrangement vide sans cette présence métallique, mais mon repos fut de courte durée. Il inséra rapidement un nouvel objet dans ma « chatte » qui semblait en plastique. Il pressa une poire et je compris bientôt qu’il y avait donc mon trou un ballonnet qu’il gonfla à bloc bien entendu, il devait également y avoir un ballonnet entre mes fesses, car j’en sentais un autre à cet endroit. Il me laissa savourer cette sonde et se dirigea vers la machine qu’il activa et régla longuement. Il repartit ensuite sans rien dire et me laissa dans cette position vraiment désagréable avec son truc dans mon cul. Je compris bientôt qu’il s’agissait d’une sonde de lavement, car je sentis de l’eau me remplir le ventre  très progressivement. Elle était chaude juste ce qu’il fallait, distendait mon ventre tranquillement, mais sûrement  et arriva rapidement le moment où j’étais plein.  Mon ventre était rempli comme une baudruche, tendu à bloc et l’envie d’évacuer l’eau devint très vite insoutenable. Je suais comme une baleine et la douleur était presque insoutenable. Je voulais crier, j’essayais de pousser pour évacuer la sonde et toute cette eau, mais c’était peine perdue, le ballonnet était bien ancré dans mon cul et le masque en plastique fermait hermétiquement ma bouche. Je crus que j’allais m’évanouir, renversé en avant sur cette foutue table, quand tout à coup un clic s’enclencha dans la machine et la pression commença à diminuer. Mon ventre se dégonfla doucement pour mon plus grand plaisir, la sonde était en train d’aspirer l’eau et la merde de mon corps jusqu’au point ou l’aspiration elle-même devint douloureuse. Je sentais le tuyau tenter d’aspirer l’eau de mon colon, mais il n’arrivait qu’à aspirer l’intestin lui-même et j’essayais encore une fois de pousser sur mon cul pour arrêter cette succion. C’est à ce moment-là que la table tout entière se pencha en arrière, relevant ma tête et abaissant mon cul, pour faire descendre l’eau boueuse dans le tuyau et donner à boire à cette foutue sonde. Un nouveau clic se fit bientôt entendre, la table se pencha de nouveau en avant et la sonde passa de nouveau en mode remplissage. Le second cycle fut plus long, la pression fut atroce et encore une fois j’étais au bord de l’évanouissement avant le clic libérateur. Je perdis rapidement la notion du temps et des cycles de lavage, cette maudite table se penchait en avant et en arrière à tour de bras et je me remplissais et me vidais alternativement sans aucun répit.

Au bout de ce qui me parut une éternité, mon infirmier préféré revint dans la salle avec son tablier et ses gants blancs. Toujours sans aucune explication il arrêta la machine qui me vida une dernière fois et s’arrêta juste avant de relancer le remplissage. La brute épaisse dégonfla les ballonnets et retira la sonde de mon cul qui devait être maintenant brillant de propreté. Il inséra bientôt un puis 2 de ses doigts gantés dans ma « chatte » pour vérifier sa propreté, il les tournait dans tous les sens et il ajouta rapidement un 3e doigt qui m’écartait sans ménagement. Il dut être satisfait du résultat, car il retira ses doigts et ses gants et me détacha de la table. Il mit en place une nouvelle couche pour adulte, me rendit ma blouse et m’invita à revenir sur la chaise roulante pour aller vers une nouvelle salle.
Nous arrivâmes bientôt dans une grande salle d’opération, toute carrelée de blanc avec en son centre une table d’opération métallique avec des extensions pour les bras et les jambes. Il y avait également une grosse lampe au plafond que l’on pouvait incliner et de multiples rangements et tables en métal. M’attendait dans la salle 3 hommes en tenu de chirurgien avec de grandes blouses vertes foncées, des calots et des masques du même vert, des bottes en plastiques blancs et des gants en latex blancs qui remontaient jusqu’à leurs coudes.  Aussitôt arrivé, on me  fit enlever ma blouse et ma couche qui était  un peu plus  sèche que la précédente, on m’installa sur la table, directement sur le métal glacial, sans ménagement, et les 4 compères attachèrent rapidement mes bras, mes jambes, mon ventre et ma poitrine avec des sangles prévues à cet effet. Je n’eus pas le temps de dire ouf que j’étais attaché, incapable de bouger autre chose que la tête,  nu comme un vers et les jambes bien écartées devant 3 hommes impressionnants.

Il s’écoula quelques minutes pendant lesquelles chacun s’affaira à installer des tables en métal quand arriva le Dr Schwartz en personne. Il avait le même calot que les 3 autres et la tenue vert pâle.  Il s’approcha de ma tête, me donna 3 petites tapes sur le ventre et me dit : « alors petite trainée, prête à offrir sa chatte au Dr Schwartz ? Je vais bien m’en occuper. Je vais l’agrandir en long et en large pour qu’elle puisse recevoir un joli bébé par la suite, ça ne va pas être agréable, mais c’est nécessaire et tu le sais », il s’adressa ensuite à ses assistants d’un ton sec « commencez à l’installer pour la dilatation anale maximale ». Aussitôt, des mains gantées me saisirent le front et les deux côtés de la tête pour l’immobiliser et on inséra dans ma bouche un écarteur en métal pour la tenir ouverte. Un autre homme masqué arriva bientôt avec un instrument en forme de pioche en métal et un tube en plastique dans l’antre main. Il inséra l’instrument dans ma bouche puis dans ma gorge, tira dessus ce qui souleva et étira ma tête,  c’était  atroce, à la fois douloureux et étouffant,  il introduisit enfin le tube en plastique dans ma gorge, gonfla un ballonnet, et je ne pus alors respirer que par ce tube qui semblait connecté à mes poumons et attaché dans ma gorge. La sensation était vraiment horrible, je me sentais essoufflé, dépendant de ce tube qui m’empêchait de respirer comme je le voulais et qui me brûlait atrocement la gorge. J’essayais  de m’en débarrasser en secouant la tête dans tous les sens, mais les mains des assistants du Dr Schwartz me maintenaient fermement. Mon tortionnaire masqué revint  rapide au-dessus de ma tête avec un nouveau tuyau en plastique, plus fin, mais plus long, qu’il introduisit dans une de me narines,  il poussa le tube encore ce qui me donna brutalement envie de vomir, je tentais de me débattre encore une fois, en vain, puis la sensation s’estompa et il finit de pousser le tube, probablement  jusque dans mon estomac. Il fit de même avec l’autre narine, j’arrêtais de me défendre, comprenant que j’étais complètement à la merci de ces médecins, tout en continuant à suffoquer par mon tube et  avec cette nausée atroce.

J’avais maintenant des tubes en plastique partout, qui me sortait du nez et de la bouche me forçant à respirer avec de grands efforts. On remplaça la main sur mon front par une lourde sangle en plastique blanc qui maintint ma tête plaquée sur la table. Le Dr Schwartz  s’approcha alors de moi, les mains ruisselantes qu’il tenait en l’air pendant qu’un assistant l’aidait à revêtir la casaque verte foncée et à enfiler les longs gants en latex : « c’est qu’on se rebelle ma bichette, il va falloir être plus docile quand je vais éclater ta chatte avec mes mains, sinon je risque de faire des dégâts irréparables. On va te faire respirer du poppers par le tube dans ta gorge pour t’aider à te détendre, laisse-toi aller petite salope ». Un assistant saisit alors des poignées au bout de mes jambes et les leva en l’air pour me mettre en position gynécologique, je me retrouvais alors le cul complètement exposé, les cuisses grandes ouvertes, entièrement à la merci de ces hommes. On installa sur mon ventre et mes jambes des draps verts qui laissaient une large ouverture au niveau de mon pubis, ma cage et ma « chatte » et le Dr Schwartz  s’installa sur un tabouret entre mes jambes.

Sans attendre, il tendit une main gantée qu’un assistant assis à côté de lui recouvrit de gel et je sentis bientôt qu’il m’enfonçait un doigt sans ménagement dans l’arrière-train. Il travailla rapidement mon cul avec son doigt, faisant un crochet vers l’intérieur qu’il tournait dans tous les sens puis il introduit bien vite un deuxième puis un troisième doigt avec le même mouvement. Je sentais mon anus s’ouvrir sous ses doigts experts et je commençais à me laisser aller au plaisir de la dilatation malgré les tubes douloureux et la brutalité du docteur. Toujours sans prévenir, il enfonça un quatrième doigt bien lubrifié dans ma chatte et continua ses mouvements de piston et de torsion. Mon cul s’ouvrait de plus en plus, dilaté à l’extrême, et une douleur sourde commençait à se faire sentir. L’assistant qui était assis derrière ma tête saisit alors le tube qui était dans ma bouche et il y raccorda un tube plus long dont je ne voyais pas le bout, je sentis alors des vertiges et une sensation de chaleur diffuse dans tous mon corps malgré mes difficultés pour respirer dans  ce foutu tuyau. Je compris bien vite qu’on avait commencé à me faire respirer du poppers par ce tube et le travail de mon cul s’accéléra. Le Dr Schwartz ajouta bientôt son pouce gluant devant l’entrée de ma chatte, par un mouvement d’avant et en arrière et en tournant sa main dans tous les sens il continua de l’ouvrir. La sensation de chaleur du poppers et l’écartement maintenant maximal de mon sphincter me rendirent hystérique, je poussais de toute mes forces sur mon cul pour sentir entrer cette main dont j’étais devenu addicte.  À force de pistonnage intensif sur ma chatte, je sentis enfin la main du Dr Schwartz entrer entièrement dans mon « vagin » et la sensation d’écartement se fit moins intense, elle fut aussitôt remplacée par une sensation de « plénitude ». J’étais là, avec des tuyaux dans tous les orifices qui me brulaient la gorge atrocement, les jambes écartées  comme une femelle,  avec une énorme main gantée de latex enfoncée dans ma chatte et qui me remplissait le cul entièrement, toujours flottant dans les vapeurs de poppers.

Le médecin laissa sa main ainsi pendant quelques minutes, me laissant le temps de m’adapter à ce nouveau corps étranger, puis lentement il commença à fermer son poing toujours en moi, la sensation était « énorme » : l’impression d’avoir le cul rempli à son maximum. Il retira ensuite son poing de ma chatte avec une extrême lenteur, lui laissant tout le temps d’écarter mon sphincter à son maximum. J’étais devenu fou, toutes ses sensations mélangées au gaz dans mes poumons me rendaient complètement chien, je tentais de bouger sur la table comme une hystérique, toujours attaché par les sangles de plastique. Le Dr Schwartz prit ensuite sur une table en métal un objet en plastique noir, il s’agissait d’un gros plug percé en son centre et assez souple. Il comprima l’objet dans ses mains après l’avoir copieusement lubrifié et l’approcha de mon trou laissé béant par son poing. Il l’introduisit dans mon cul sans trop de problèmes puis il inséra lentement sa main gantée dans le trou du plug ce qui eut pour effet de lui redonner sa forme initiale, aussitôt je ressentis mon « vagin » complètement rempli par le plastique et mon sphincter distendu comme jamais, j’essayais de pousser un cri de surprise, mais le tube dans ma gorge m’en empêchait et la sangle sur ma tête me maintenait entièrement immobile. Mon chirurgien retira ensuite sa main de l’intérieur avant de la réenfoncer sans aucun délai, maintenant ainsi l’ouverture de ma chatte et de mon vagin à leur maximum, il commença alors un mouvement de va-et-vient, de pistonnage intensif dans mon fondement. Il accéléra toujours plus  son rythme, enfonçant sa main dégoulinante de lubrifiant et de « glaire vaginale » avant de la retirer entièrement. Le pistonnage faisait bouger tout mon corps qui malgré tout restait clouer sur la table, je commençais à perdre conscience, ne sentant plus que mon trou devenir un véritable trou noir qui avalait et recrachait cette main énorme, je ne pouvais absolument plus serrer mon cul et le rythme était devenu si rapide que je sentais de moins en moins le passage de la main. Le Dr Schwartz  suait devant l’effort et commençait également à grogner, il finit par retirer une dernière fois sa main qu’il avait fermée en poing. Ma chatte resta complètement ouverte, toujours écartée par le plug percé duquel coulait un flot de lubrifiant sur les genoux du médecin. Il retira ensuite toujours très lentement le plug laissant ma chatte complètement éclater, malgré le plug enlevé, je ne pouvais plus du tout serrer  mon cul. Il tira alors sur la peau autour et s’exclama : « en voilà une chatte bien travaillée, bien ouverte, prête à accoucher, je vais finir de te la défoncer sans instrument, pour que tu sentes bien mon bras jusque dans ton ventre ».

Le Dr Schwartz  se tourna alors vers son assistant qui enduisit de nouveau son gant de lubrifiant en remontant cette fois-ci jusqu’au coude du chirurgien, il recouvrit copieusement la main et l’avant-bras d’une façon presque amoureuse. Le médecin enfonça alors sa main dans ma chatte, je ne sentais presque plus son passage, il commença alors à fouiller mon intestin  et il enfonça un peu plus son bras, d’abord jusqu’au poignet, je le sentais qui me dilatait de l’intérieur.  Il atteint très vite un endroit de resserrement, de tension dans mon bide qu’il travailla doucement avec ses doigts, la sensation était complètement nouvelle pour moi, on aurait dit un alien qui me labourait le ventre pendant que j’étais à moitié endormi par le poppers.  Finalement je sentis qu’il franchit le resserrement et il enfonça rapidement en moi tout son avant-bras. La sensation d’invasion était très étrange. Il commença alors de nouveau un mouvement de va-et-vient dans mon ventre, retirant en partie son bras jusqu’au poignet avant de l’enfoncer encore et encore. La traction était si puissante que toute la table se mis à trembler sous son assaut, l’assistant derrière ma tête mis alors une main sous mon menton pour me tenir la tête pendant qu’il tenait le tube dans bouche de l’autre main. Je sentais ce bras qui entrait et sortait de tout mon ventre, éclaboussant la pièce de lubrifiant, toujours dans la chaleur du poppers qui enveloppait tout mon corps. Le Dr Schwartz  commença de nouveau à ahaner, il s’était mis debout et pistonnait tout mon ventre comme une machine.  Je sentais alors une vague chaleur monter dans tout mon corps et  je finis par jouir  pendant plusieurs minutes, la chaleur explosa intensément, du jus sorti de ma cage de chasteté par un long flot ininterrompu pendant presque une minute et je me mis à trembler comme une feuille sans pouvoir plus bouger à cause des sangles. 

Le Dr Schwartz  rigola devant mon état et retira alors son bras entier de mon vagin.  Il prit du recul et admira son travail.  Mon cul n’était plus qu’un trou béant, que je ne pouvais absolument plus contrôler et qui devait ressembler à une bouche grande ouverte. Le docteur s’essuya le bras, il retira ses gants ainsi que sa blouse et s’approcha de ma tête toujours maintenue par son assistant, il me regarda droit dans les yeux et me dit : «  ta chatte est maintenant prête pour la suite du programme, nous nous reverrons demain pour tout ça ».

Duguesclin

Suite de l'histoire

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