Histoire : J’ai recruté un stagiaire pour 6 mois. En bonne femelle en rut, j’ai évidemment choisi un mec. Il a vingt-deux, très grand (presque 2 mètres), baraqué et sportif, très brun, yeux noirs, la peau un peu cuivrée et surtout très bomec dans le genre petit coq issu d’écoles de commerce qui roule des épaules.
Son deuxième jour, je l’emmène en tournée avec moi : il me rejoint au parking. Il est vêtu d’un costume noir sur chemise noire, une vraie dégaine de petit commercial branché. Il semble emprunté dans son costume et il est tellement musclé que j’ai l’impression que les coutures de sa veste vont lâcher.
Nous partons, moi au volant de ma voiture de fonction, lui à côté.
Nous en avons pour 1 h 30 de route avant notre premier rendez-vous alors j’en profite pour faire plus ample connaissance : il me débite la litanie de sa vie d’étudiant, de ses souhaits de carrière, de ses sports préférés et s’avance même jusqu’à me dire que sa copine est partie depuis 2 mois en stage aux Etats Unis et qu’elle lui manque. En l’écoutant, je me dis que son entrejambes doit être bien chargé après ces deux mois mais je me raisonne : c’est un de mes employés et je me montre discret au bureau.
A mon tour, je lui parle de mon parcours en me montrant plus discret sur mes activités personnelles. Comme toujours lorsque je pars en déplacement, j’ai mis ma tenue de salope sous mon costume : culotte fendue, bas, porte-jarretelles. J’ai consciencieusement fixé mes bas sur mon porte-jarretelles et ajusté ma culotte.
En ralentissant en arrivant au péage, je sors ma carte bancaire… qui m’échappe des mains et tombe au sol contre mon pied. Je peste car je ne peux me pencher en conduisant pour la récupérer. En collègue secourable, il propose de la récupérer à ma place.
J’accepte sa proposition mais je n’avais pas prévu que pour accéder à ma CB, il prendrait appui sur ma cuisse tout en s’excusant. Il pose sa main juste à l’endroit où se trouve l’attache de mon porte-jarretelle : il lève son regard surpris vers moi et, se remettant droit, me tend ma carte. Je suis rouge de confusion et je me tourne vers ma fenêtre pour payer.
Après le péage, je me tourne vers lui et note que son regard a changé : je crois déceler au fond de ses prunelles du défi et du désir. Il me demande de façon abrupte si je suis célibataire, j’acquiesce. Il enchaîne en me demandant si j’ai des fantasmes. Je ne sais plus quelle tête faire : moi le directeur, je suis à la merci des questions de ce petit vicieux qui me pousse dans ses retranchements. Il me teste mais je ne sais pas si c’est pour me chauffer ou pour se moquer de moi.
La réponse arrive rapidement : il s’étire dans son siège en faisant ressortir son pantalon bien garni et me dit que lui, son fantasme serait de se faire sucer là maintenant et de baiser un cul, surtout que cela fait deux mois qu’il n’a rien fait. Je comprends l’ouverture et m’engouffre dedans :
– Je peux t’aider peut-être ?
– Oui, ça se pourrait bien. Tu portes quoi sous ton pantalon ?
– Des sous-vêtements féminins
– Hum, mon patron est une salope alors
– Oui, surtout devant un petit mâle plein d’hormones comme toi
Je lui explique alors tout ce que je sais faire à un mec avec ma bouche et mon cul et je vois son pantalon se tendre : il a l’air d’avoir une grosse queue. Je tends le bras et palpe le braquemart, long et surtout dur comme du marbre.
Je vais me régaler mais nous arrivons au rendez-vous : nous descendons de voiture et chacun essaie de masquer son excitation. Le rendez-vous est expédié en 1 heure : nous avons mieux à faire.
Quelques kilomètres plus loin, je m’engage sur une petite route de campagne et me mets à l’abri d’une haie d’arbres.
Quand je coupe le moteur, il a déjà reculé son siège, défait et baissé son pantalon et sorti sa queue d’un shorty blanc. Je me penche sur sa queue et me mets à la sucer.
D’abord le gland non circoncis, bien chargé de ses odeurs de jeune mâle dont la dernière douche remonte à plusieurs heures. Il a tellement bandé le matin que son prépuce est gorgé de bon suc de queue. Je lui nettoie le gland en faisant tournoyer ma langue dans tous les sens. Il se tortille sur son siège et je sens sa main se poser sur ma nuque.
Il appuie, appuie, appuie jusqu’à ce que ses poils de pubis me rentrent dans les narines. Il me maintient la tête enfoncée quelques instants avant de relâcher la pression. Je reprends mon souffle et commence à coulisser de haut en bas sur sa barre dure. Je sens chacune des veines de sa queue sous ma langue.
Il gémit comme un chiot sous mes coups de langue : je suis en train de le faire grimper comme jamais sa copine ne le lui avait fait.
Je m’arrête, je ne veux pas qu’il jouisse sans m’avoir fait la chatte. Je sors de la voiture et vais me mettre face au capot. Il est encore dans la voiture et ne comprend pas : je baisse alors mon pantalon dans un regard de défi et me penche en avant en posant mes mains sur le capot. Il a compris : je veux sa bite dans ma chatte. Il sort et vient se mettre derrière moi : il siffle devant ma croupe. Pas besoin de lui faire durcir la queue, sa jeunesse est vigoureuse et un peu brutale. Il n’a visiblement jamais baisé de cul et cherche à entrer en force. Je m’ouvre sous la poussée ininterrompue de son chibre : je sens le petit mâle fier de sa queue et qui met un point d’honneur à la rentrer en totalité dans ma chatte. Je respire et pousse à fond comme si je voulais ouvrir mon cul : cela lui fait un boulevard qu’il se met à limer instantanément.
J’avais sous-estimé l’endurance du jeune sportif : il me baise pendant 20 bonnes minutes, sans changer de position une seule fois.
Je suis littéralement vautré sur le capot de la voiture quand il sort de mon cul et se met à cracher de longs et puissants jets de foutre alentour. Pas question de perdre ma récompense, je me précipite à genoux devant sa queue et la gobe pour avoir la dernière giclée. Elle vient tapisser ma gorge et je m’empresse d’avaler ce bon jus de stagiaire.
Encore quelques soubresauts et sa queue s’immobilise dans ma bouche, j’en profite pour bien la nettoyer avec ma langue et la lui rendre toute luisante de ma salive.
Il est sous le choc le presque puceau : il ne pensait pas jouir si fort et surtout avec son maître de stage.
Nous remontons dans la voiture : il me regarde en souriant et me dit que je dois encore lui apprendre beaucoup de choses pendant ses six mois de stage.
Femelle à baiser en lingerie
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