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HISTOIRE

Droit au but

Voilà maintenant une semaine que je vécus ma première expérience bisexuelle, où devrais-je plutôt dire la première expérience gay de mon pote Thomas. Même s’il restait attaché à sa copine, les heures que nous passâmes tous les trois firent prendre un nouveau virage à notre amitié.

Celle-ci se vivait désormais comme une relation charnelle et physique, comme le prolongement de notre camaraderie des cours et de sport. Profitant des rares instants où Juliette pouvait s’absenter nous nous retrouvions dans son studio de la rue Baste. Pour gagner du temps, nous sautions l’étape de la douche à Basic Fit pour la prendre directement chez lui, après un corps à corps torride.

J’aidais Thomas à se perfectionner, je lui appris à sucer, ce qu’il maîtrisa assez rapidement. Il prenait un plaisir particulier à me bouffer le cul et s’essaya enfin à sa première sodo. Ces exercices se concluaient par une bonne douche, sans doute le lieu où nos liens se sont consolidés. Nous passions parfois une heure sous le jet d’eau, enlacés, à nous embrasser, nous caresser tendrement, nous complimenter… je crois que je nourrissais des sentiments pour un mec pour la première fois de ma vie. J’ignorais s’il en était de même pour lui et vis-à-vis de sa copine. Mais je ne me lassais pas de son corps, de sa queue, de son cul ferme que je dévorais à tous instants… J’aimais le voir ainsi, totalement désinhibé, à genoux en train de me pomper son regard azur plongé dans le mien, m’offrant son cul comme une salope en chaleur, couinant à chacun de mes coups de reins. Je savourais chaque parcelle de son anatomie, ses fesses, ses boules, ses pieds, ses cuisses, ses épaules, la liste est interminable. Il n’a jamais été aussi désirable qu’en se vautrant dans le stupre.

Ces séances ne nous aidaient pas toutefois à rattraper le temps perdu… car la fin de l’année approchait et je devais rendre un rapport sur l’entrepreneuriat, basé sur une expérience originale, etc., etc. je n’ai plus l’intitulé en tête, mais cela sentait bien le job foireux qu’il ne fallait pourtant pas rater, question de coefficient.

Par chance une idée m’est venue à l’esprit, que j’eus l’occasion de concrétiser. Grâce à une relation paternelle j’ai pu avoir un contact avec Sébastien N’dianga, l’avant-centre vedette des Girondins. La banque de mon père était l’un des sponsors du club et obtenir un entretien ne fut pas difficile.

En plus d’un joueur talentueux et précoce, Sébastien avait monté sa propre marque de fringues qui marchait plutôt bien. Je voulais développer en quoi la notoriété et un marketing efficace contribuaient, là plus qu’ailleurs, à la réussite d’une entreprise dans un secteur pourtant très volatile (ça le fait là comme intitulé de rapport non ?).

J’avais eu le privilège des présentations alors que j’étais invité par la « banque de papa » (ça fait très bordeluche dans le mood non ? lol), en loge pendant un match. J’étais d’autant plus pistonné que les présentations furent faites par Maxime, un jeune mec avec qui j’avais baisé via Grindr et qui payait ses études en faisant « l’hôtesse » d’accueil au stade.

Maxime… encore un délicieux garçon, venu de sa Charente natale, belle gueule, petite barbe de trois jours, des cheveux peignés en arrière, regard sombre et bouche arrogante qui trahissait ses ambitions de petit provincial. Je lui dois d’avoir pris goût à la sodomie, celui-ci étant quasi exclusivement passif… après quelques rencontres on s’était un peu perdus de vue…

Je sais, je digresse encore… revenons à mon rapport.

Bien sûr à l’école tout le monde était dég de ma trouvaille, et Thomas, fan de foot, plus que les autres !

Mais je devais aussi lui faire comprendre que je n’étais pas sa petite salope à disposition, que je savais aussi mener ma barque…

Je laissais donc un message à Sébastien qui me rappela au cours de la première semaine de juin. Sa voix était chaleureuse et amicale, conforme à l’image qu’il donnait sur le terrain comme auprès de ses fans.

Rendez-vous fut pris chez lui quartier des Peyreyres à Blanquefort. Une vraie galère pour s’y rendre quand on n’a pas encore de voiture. Comble de malchance, mes parents passaient le we sur le bassin, la caisse de maman était en réparation, alors me voilà passant de bus en bus pour finir le trajet à pied. Sébastien habitait une grande maison contemporaine au milieu des arbres. Le quartier était très cossu et très calme et ne manquait pas de me rappeler les villas du Mouleau et du Pyla où je vécus mon initiation sexuelle.

Sylvain m’accueillit avec une étonnante simplicité, comme si nous étions de vieilles connaissances. Il me confessa que la vie d’un joueur pro, qui plus est à la tête de sa propre marque était très sollicitée et rares étaient les instants que l’on prenait pour soi ou pour les autres. Mon projet lui avait plu et l’intermédiaire qui lui demanda ce service pour mon père, un ami proche, semblait-il.

Il était vêtu d’un simple jean et d’un t-shirt blanc. Il arborait une coupe de cheveux très courte, la nuque rase et des motifs dessinés à la tondeuse sur ses cheveux. Son sourire éclatant illuminait constamment son visage, une belle gueule de gars venu très jeune de son Sénégal natal.

Je fis le tour du propriétaire. La maison était organisée autour d’un très vaste séjour cathédrale dont les larges baies vitrées donnaient sur un parc et une piscine dont la surface impeccablement lisse luisait en surface. Torpeur estivale, silence et sérénité, les ingrédients qui en temps normal auraient déjà nourri mon imaginaire érotique… mais non, je chassais ces idées et mes concentrait sur mon entretien.

Sébastien m’offrit un café, nous nous installâmes dans le séjour où je débutais mon entretien.

Les minutes s’écoulèrent rapidement, nous parlions de tout, ses origines, son projet, son approche du management, ses choix professionnels, etc. Sébastien ne se départissait jamais de sa gentillesse et de sa spontanéité, me gratifiant de sourires enjôleurs, il savait vraiment distiller de la proximité entre nous. Je me détendais au fur et à mesure de notre conversation et nous finassâmes par nous tutoyer.

Après 45 min d’entretien, il me proposa un verre et nous marquâmes une pause. Puis la conversation repris « off the record » et il se mit à me questionner sur ma vie et mes aspirations. Il me complimenta sur ma présentation :

« Tu as manifestement de l’aisance dans la relation humaine et une belle gueule en plus de ça, sers-t-en, cela aide aussi. »

Je le remerciai, un peu gêné d’un tel compliment. Je lui rendait poliment en lui disant que j’étais loin d’être salué comme un sportif sexy comme les médias le faisaient souvent à son égard.

« Oh tu sais, c’est un effet de mode. C’est bien sympa pour pécho quelques filles… il est toujours temps de profiter encore de la vie, n’est-ce pas ? »

J’acquiesçais innocemment. Je me risquais à lui demander s’il vivait toujours avec ce mannequin aux bras duquel il faisait parfois la une des magazines people…

« Plus trop. En fait c’est plus une copine que ma compagne tu vois… une couverture pour que l’on me foute la paix. Quand tu es black, footballer, on ne te pardonnerait pas certains penchants, c’est triste à dire, mais il faut encore faire avec. ».

« Quels penchants ? » je lui demandais.

« Tu ne vois pas ? Des penchants que tu connais bien, comme ton pote Maxime me l’a dit. Visiblement vous vous êtes bien amusés tous les deux. Bah ne fais pas la vierge effarouchée, je suis très discret et je voulais en savoir plus sur toi quand on m’a proposé ce rendez-vous. Bien sûr si je ne suis pas ton genre je comprendrais… ».

Merde alors ! Le grand Sébastien N’Dianga était gay ! Je n’en croyais pas mes oreilles. Je bafouillais avec hésitation « oui, non, c’est pas le sujet… ».

Sébastien me fixait de ses yeux noirs, un regard pénétrant. Il inspirait toujours de la bienveillance, mais il avait désormais quelque chose de plus ferme, de plus déterminé.

D’une main il prit doucement mon calepin et le posa sur la table basse du salon. Il s’approcha de moins et posa son index sur ma bouche. Je restais immobile, ne quittant pas son regard d’un centimètre.

C’était absolument irréel.

Sébastien pressa son doigt sur mes lèvres, je réagissais alors en entrouvrant la bouche et me mis à le sucer. Tendrement, sensuellement, en lui faisant mon plus beau regard de salope.

Je commençais aussitôt à déboutonner ma chemise alors que mon amant d’ébène m’introduisait un doigt de plus. De sa main gauche il se palpait entre les cuisses avant de se redresser et m’offrir son jean.

D’une main ferme il plaqua mon visage au niveau de son sexe en faisant de petits mouvements du bassin. Je fermais les yeux et profitais de l’instant présent. Un bruit de froissement plus tard, Sébastien avait laissé choir son t-shirt et offrait son superbe corps d’athlète professionnel. Ma langue d’aventura quelques secondes sur son torse, ses abdos, ses tétons, je me régalais de cette peau satinée avant qu’une main m’intime l’ordre de revenir à genoux. Sébastien dégrafa son jean et me laissa le baisser.

Il ne portait aucun sous-vêtement et libéra un magnifique membre noir de 23 cm. La réputation des blacks n’était pas vaine, et je pouvais le vérifier pour la première fois. Sa queue était épaisse à la base et se terminait par un magnifique gland proéminent, luisant d’une petite goutte à son bout. Je léchais ce nectar pour lubrifier ma langue et entamait un travail en règle le long de son manche.

Après quelques aller-retour j’embouchais sa bite et goûtais au délice du sexe interracial. Sébastien poussait de longs soupirs et imprimait à notre coït un rythme régulier, mais lent. J’augmentais lentement la cadence, ma bouche était pleine et je manquais de m’étouffer à chaque pénétration. Son sexe était tendre, à la fois gros et souple en bouche. Je lui léchais amoureusement les couilles et il finit par reprendre la parole :

« Max ne m’avait pas menti, tu as une bouche en or. »

Je lui répondis par mon plus beau sourire. Sébastien me redressa, nous nous embrassâmes longuement, je profitais de ses lèvres charnues, de sa langue qui venait impertinemment me galocher.

Mes mains courraient le long de son dos pour pétrir son cul bombé. Il défit à son tour mon jean et quelques secondes plus tard nous nous débarrassions de nos dernières entraves vestimentaires.

Nous étions totalement nus, j’étais face à cette star du ballon rond, son sexe bandé, son regard de prédateur, nous semblions si petits dans cet immense séjour, baigné de lumière, comme dans un rêve. Spontanément je demandais à savourer son cul, par pur plaisir.

J’étais encore très passif et il le savait. Il me sourit, se tourna et posa ses genoux sur le canapé, écartant ses fesses. Je posais mes mains sur ses globes lisses et ouvrais légèrement sa raie. Je posais alors ma langue au niveau de son périnée et remontait sa crevasse jusqu’à son trou. Je léchais alors lentement sa ride, jouant de ma fine langue sur son orifice et autour de son cul.

« Oh merci Seb, c’est un tel privilège de pouvoir te baiser le cul, embrasser ton puit d’amour, il est si doux », lui lancais-je.

Mon footeux rigola en me demandant si je faisais toujours de la poésie en baisant !

Quoi qu’il en soit je restais encore à saliver sur son trou, m’imprégnant de son odeur, de la chaleur de son corps. Je me risquais à quelque audace en allant lécher ses boules par-derrière, avant qu’il ne me relève et me guide vers les portes-fenêtres.

Il me fit appuyer les mains sur la glace. Je compris ce qu’il attendait de moi et j’écartais alors mes cuisses, creusait mon dos pour lui présenter mon cul de la manière la plus provocante qui soit.

Sébastien se lécha quelques doigts et les introduisit dans ma chatte, me faisant couiner de bonheur.

Après quelques mouvements il cracha sur sa teub et vint appuyer son gland contre moi.

C’était la minute de vérité, jamais je n’avais encaissé un tel membre auparavant. Son sexe força le passage, mais après quelques secondes de va-et-vient Sébastien put entrer plus avant dans mon cul.

Cette saillie m’arracha un cri, mêlé de douleur et de plaisir. Puis mon amant du jour se mit à m’enculer avec rythme, de plus en plus vite. Son kiff était d’introduire et sortir sa queue presque en entier, pour mieux m’empaler à fond. J’adorais ça et répondais à ses halètements par des gémissements impudiques et féminins.

Le vitrage qui déroulait toute la façade du séjour renvoyait la scène. Je me plus à savourer cette vision de domination sensuelle, le jeune étudiant BCBG défoncé par un sportif black. Je repensais à quelques-uns de mes ancêtres des Chartrons dont on parlait à voix basse dans les conversations familiales, ceux qui avaient dû tremper en leur temps dans le commerce triangulaire. La boucle était bouclée me disais-je et je trouvais bon de me faire piler le cul par un black. Cette revanche de l’histoire me donnait des frissons de plaisir.

Sébastien maîtrisait à merveille la baise, pour lui cette sodomie ressemblait presque à un exercice de cardio… il dosait son effort au gré de mes cris, alternant le pilonnage brusque avec des instants plus sensuels, passant sa main sur ma nuque et mes cheveux, me glissant à l’oreille que j’étais la plus belle pétasse qu’il ait jamais niquée, une entrée directe au top5 de son tableau de chasse.

Il reprit ses accélérations de plus en plus fort, la chaleur nous faisait transpirer et sa main étalait ma sueur le long de mon dos… puis je sentis ses cuisses se raidir, son visage eut une grimace douloureuse, alors que je sentais se décharger en moi une belle quantité de sperme. Sébastien eut la délicatesse de rester en moi le temps que je jouisse à mon tour, balançant la sauce sur les vitres de la porte-fenêtre. Il se retira, laissant échapper un filet de liquide blanc de mon trou qui vint

couler le long de mes cuisses. J’étais comblé. Sébastien me fit ensuite mettre à genoux et de plusieurs coups de langue je léchais ma sève répandue sur le vitrage.

J’étais assommé de fatigue. La chaleur comme les coups de boutoir de mon black m’avaient littéralement sonné. Mon amant me proposa de profiter de la piscine et de me détendre. Je piquais donc une tête. Ce rafraîchissement bienvenu me remit les idées en place. Je venais quand même de baiser avec un mec qui faisait fantasmer des milliers de femmes… et de gays of course !

Sébastien revint avec un coca et me rejoignit dans la piscine pour chahuter un peu. Il riait comme un gosse. Pour lui baiser était quelque chose de très naturel, de léger, un divertissement dont il profitait comme il pouvait.

Nous passâmes encore une heure allongés au soleil, en poursuivant nos discussions. Je me lâchais sur ma vie intime, lui parlait de ma récente expérience avec Thomas et Juliette, puis Thomas seul, mon envie profonde de le dépraver encore pour mieux me sentir avec lui.

Mon nouvel ami eut l’air très intéressé et me proposa même que nous nous rencontrions tous les trois. Je ne pouvais pas refuser une telle offre… et Thomas encore moins pour son idole.

Sébastien me laissa un 06 en me priant de ne rien envoyer de suggestif. Il eut l’élégance d’appeler un taxi et me laissa de quoi payer la course. Nous nous embrassâmes sur la joue comme de vieux potes. J’étais aux anges. Mon trou aussi, bien qu’il se remit plus lentement des ardeurs de la journée.

Je rentrais chez moi et fis languir Thomas qui m’assaillait de textos.

Lui raconter de but en blanc que N’Dianga était homo et m’avais défoncé la rondelle n’aurait pas été crédible. Je me limitais à la conversation initiale et glissais quelques allusions sur son célibat. Je ne manquais pas de lui dire combien de près ce mec était bandant et chaleureux… et pour finir que si Thomas était « très gentil » avec moi je pourrais peut être l’inviter avec moi à venir le voir bientôt.

Trois semaines plus tard, je soutenais mon rapport qui comprenait d’autres travaux devant un jury a priori convaincu. La fin de l’année approchait, quelques examens finaux aussi et la perspective de prochaines vacances en Espagne promise par les parents, qui me laissait libre d’emmener qui je voulais.

Par politesse j’envoyais une copie du document par mail à Sébastien. Ce dernier me répondit très gentiment quelques jours plus tard. La saison de Ligue 1 était achevée, pas très brillante il est vrai et il était approché par plusieurs clubs étrangers pour la suite. Il me demanda comment j’allais et à ma grande surprise pris aussi des nouvelles de Thomas, sous-entendant comment se passait notre relation.

Il finit par m’appeler et me proposa de passer prendre l’apéro un soir chez lui. Il me demanda d’emmener Thomas, qu’il y aurait peut être un pote à lui, un coach, je ne sais. Son ton semblait plus détaché qu’à l’habitude, peut être une soirée amicale sans plus.

Thomas était aux anges après ma proposition de m’accompagner. Le plus pratique était qu’il avait sa caisse. Nous étions jeudi soir, pas de cours le lendemain et plus de travail urgent à boucler. Une soirée peinarde se profilait.

Nous arrivâmes vers 20 h, le portail était ouvert, Thomas gara sa caisse directement dans la propriété.

Alors que nous descendions, le portail se referma automatiquement, comme si nous étions les derniers attendus… Je m’approchais de la porte d’entrée pour frapper quand celle-ci s’ouvrir directement.

Un black superbe nous accueillit, vêtu d’un simple boxer. Sourire radieux il nous souhaita la bienvenue et se présenta comme Cameron, un ami et un coach de Sébastien. Son corps était sculpté comme une statue grecque, plus musclée encore que notre champion, des abdos et des pecs bien gonflés, des cuisses travaillées par des heures de muscu et un boxer laissant deviner un bel équipement… son visage en revanche était plus délicat, ses yeux étaient minces, presque bridés, ses traits plus fins.

Nous n’étions pas au bout de nos surprises. Restés sans voix par l’accueil si particulier que l’on nous réservait, nous pénétrâmes dans le séjour.

Les stores avaient été baissés, plongeant la pièce dans la pénombre. Depuis l’entrée ne filtrait que des bruits indistincts et des images claires projetées dans la pièce.

Arrivés sur le seuil du séjour notre stupeur fut totale ! L’énorme écran plat de la télévision projetait un porno. Après quelques secondes je crus reconnaître une production de BelAmi, une partouze bareback mettant en scène une vingtaine de jeunes mecs en chaleur.

Plus surprenant encore était ce que se tramait sur le canapé. A l’angle se tenait un autre black, au corps massif, puissant, des bras larges comme mes cuisses, la boule à zéro, un petit bouc sur le menton et de magnifiques tatouages le long de ses biceps saillants. Il était nu et branlait ostensiblement un morceau de 18-19 cm, large et épais, couronné par un gland gonflé de désir.

Il nous regarda distraitement et nous accorda un demi-sourire.

A sa gauche se tenait Sébastien, lui aussi dans le plus simple appareil… une canette de coca à la main il profitait du spectacle, cuisses écartées, sans avoir besoin de s’occuper de sa queue, car un autre le faisait à sa place… ce petit enfoiré de Maxime qui m’avait rabattu comme une vulgaire pute au maître des lieux !

Cette petite salope était à genoux, entièrement nue et pompant notre champion avec application.

Je restais tétanisé. Quant à Thomas il a dû friser la crise cardiaque, il se prenait tout cela en pleine gueule ! Pourvu qu’il ne prenne pas peur.

Sébastien se tourna vers nous sans quitter la bouche de Maxime.

« Hé les gars vous voilà enfin ! C’est sympa Mathieu d’avoir emmené ton pote. J’espère que tu l’as briefé sur moi ! ». Il conclut les présentations en désignant Marcus, le colosse qui se tenait à côté de lui.

J’ai dû alors battre les records de synthèse pour dire en quelques mots à Thomas que je m’étais envoyé Sébastien et qu’en gros nous venions de tomber dans une touze !

J’ai cru au début qu’il n’entendait rien. En vérité il semblait hypnotisé par ce qu’il voyait, comme si un rêve venait de prendre corps devant lui.

« Hé Cameron, mets donc nos invités à l’aise » lança Sébastien, alors que son pote ôtait son boxer, faisant jaillir un monstre droit et long de 24 cm. Il gardait son sourire mystérieux et nous invita à déposer nos fringues sur une liseuse disposée contre le mur opposé du séjour.

Nous nous exécutâmes et au terme de ce strip tease l’excitation prenait en moi le pas sur l’appréhension.

Cameron nous servit un verre qui devait être une vodka orange assez chargée et se plaça derrière nous, caressant nos culs sans aucune pudeur.

« Hmmm, vous êtes magnifiquement taillés les garçons. Vous connaissez les règles. Les blacks dominent, les petites salopes se soumettent. On aura chacun le nôtre. »

« Et ne faites pas les jalouses ajouta Sébastien, il y en aura pour tout le monde ! ». Thomas avait fini son verre quand Marcus se leva pour le rejoindre. D’un geste ferme il le prit par la nuque et lui roula une pelle baveuse. Thomas se laissait guider et ne semblait plus étonné. Il répondit en ouvrant généreusement sa bouche. Il suivit docilement Marcus revenu sur le canapé et, à l’instar de Maxime, se mit à genoux pour pomper sa grosse queue.

Cameron me guida de la même manière et se cala entre Sébastien et Marcus.

Nous restâmes ainsi pendant de longues minutes, dans une parfaite réciprocité. Les trois femelles blanches suçaient chacune leur black. Hors les gémissements des acteurs tchèques que diffusait la télé, le séjour ne résonnait que des soupirs des trois mâles superbes et des bruits de succion de leurs jeunes amants.

La queue de Cameron était délicieuse. Je contemplais ce membre raide, embrassant, vénérant et léchant sa hampe avec attention. Je léchais ses couilles et de ma main droite je caressais sa jambe et son pied. D’un coup d’œil, j’observais mes collègues à l’œuvre.

Maxime démontrait son expérience dans le jeu de fellation, suçant avec dextérité son étalon. Ce n’était sans doute pas la première fois. De temps à autre Sébastien se penchait vers lui pour goûter à ses lèvres pulpeuses et son regard affamé.

Thomas ne manquait plus de m’étonner. Hébété quelques minutes plus tôt il semblait trouver ses marques entre les cuisses de Marcus. Il s’ingéniait à gober l’énorme queue de celui-ci, caressant son torse tout en gémissant et lui adressant des regards suppliants de ses yeux bleus, dont l’intensité traduisait la soif inextinguible de sexe qui le tenaillait.

Petit à petit les plaintes des trois passifs dominaient la sonorité de la pièce. Nous étions en transe devant ces queues et de nous retrouver tous ensemble, dans une parfaite communion sexuelle.

Thomas se redressa pour se tenir à califourchon devant Marcus, offrant son torse à sa bouche enflammée. Maxime se pencha vers Cameron pour lui sucer la queue alors que Sébastien se mettait à genoux derrière lui pour bouffer la chatte. Je complétais ce tableau en venant lécher ses tétons, libérant un grognement de plaisir chez mon amant.

Après quelques minutes de ce gouinage sensuel Sébastien repoussa la table basse et tira le convertible, transformant le canapé en un lit à partouze assez grand pour nous six.

La suite est forcément difficile à décrire, tant le mélange de nos corps multipliait les combinaisons, aussi bandantes que fugaces, parfois. Le centre du séjour était devenu un pandémonium pédérastique, un amalgame de muscles en sueurs, de bouches gourmandes, de langues ardentes, de sexes dressés et de chattes humides. Je passais de la bite de Thomas aux couilles de Marcus, puis gratifiait Sébastien d’une pelle et partageait le fion de Max avec la langue de Cameron. Des mains et des lèvres fouillaient mon anatomie, je gémissais à n’en plus finir.

Puis nos étalons reprirent le dessus. Ils nous firent mettre à genoux devant leur sexes dressés, nous imposant à chacun une fellation, pour mieux comparer nos talents. Aux cris étouffés que poussaient nos hôtes alors que j’étais à l’œuvre, je me persuadais de remporter la palme. Bien que différentes, leurs bites étaient toutes trois délicieuses. Mais je préférais sans doute celle de

Sébastien, bien proportionnée entre la longueur du sexe de Cameron et l’épaisseur de celle de Marcus.

Bingo ! Sébastien me choisit en premier pour me saillir. Il me fit mettre à quatre pattes, et se plaça derrière moi. Essorée par les coups de langue de mes amis, ma chatte accueillit sans problème son gros membre. Je gloussais de plaisir et prenait mon pied sans pudeur devant les quatre autres lascars aussi affamés.

Cameron se positionna debout sur le bord du canapé, prenant Thomas en missionnaire, alors que Marcus prenait Maxime en levrette, en le plaçant au-dessus de mon pote. Les deux salopes purent ainsi se faire une fellation réciproque, leurs queues étouffant leurs cris de plaisirs alors que les deux blacks les désignaient comme des bûcherons.

Je réclamais à mon tour d’être honoré par les potes de Sébastien. Je chevauchais alors Marcus, tandis que Cameron baisait furieusement Maxime qui suçait à son tour Sébastien… Thomas assistait à la scène, le regard perdu, masturbant sa queue et pelotant à tour de rôle nos étalons. Il se fit ensuite baiser en missionnaire par Sébastien, à même le carrelage, de l’autre côté du canapé, de sorte que je pouvais les admirer en surplomb.

Alors que Marcus continuait de me prendre, Cameron se plaça derrière moi. Je compris ses intentions et d’un regard affolé je l’implorais de n’en rien faire. Mais je n’avais rien à dire, le regard de Cameron était fixé jusqu’à l’obsession sur mon trou béant et avec dextérité il réussit à se placer contre la queue de Marcus. En quelques essais il réussit à me pénétrer et je vivais le plaisir inouï de ma première double pénétration.

Mon cul était littéralement écartelé. Je me lâchais complètement et hurlais de plaisir, réclamant de la queue, exigeant de mes amants toujours plus de vigueur. Alors qu’il subissait les assauts de Sébastien, Thomas me tendit la main et nos doigts se joignirent, comme pour marquer notre solidarité de passifs.

Les corps de mes amants en sueur prenaient le mien en étau, j’étais écrasé par ces masses viriles, Marcus me léchait les tétons alors que Camerons mordillait les lobes de mes oreilles, me répétant sans cesse que je n’étais qu’une traînée, une pute à black, un trou, rien qu’un trou.

Max encourageait Cameron en profitant de sa posture accroupie qui lui offrait généreusement son trou, qu’il se mit à lécher avec délice.

Thomas couinait aussi de plus en plus fort, ces beuglements de bête saturaient ma tête, mon trou ne me faisait plus mal tellement la pression était forte… je finis par tourner de l’œil et me réveillait quelques instants plus tard dans les bras de Sébastien.

« Hé ça va mon pote ? T’es tombé dans les vapes quelques secondes… » Je le rassurais, tout en remarquant que les autres participants avaient repris leurs activités !

Je remerciais Sébastien et pour lui confirmer que tout allait bien je profitais d’être allongé dans ses bras pour me caler entre ses cuisses et lui faire une pipe d’enfer. Je m’acharnais sur ses couilles et sentais l’odeur du jus qui montait en pression. J’étais complètement déglingue, comme mes potes et nos amants.

N’y tenant plus ils nous offrirent un véritable cocktail de sperme. Marcus s’allongea sur le dos et se branla posément. Nous avions pour ordre de regarder seulement. Après quelques secondes de branlette, il gicla de généreux morceaux de foutre sur son corps. Puis Sébastien et Cameron l’imitèrent, giclant abondamment sur ses muscles puissants. Après quoi, les trois salopes que nous étions avec Thomas et Maxime furent autorisés à boire le lait de nos mecs sur le torse offert. Nous nous jetions sur les trainées blanches comme si cela était du nectar, lapant chaque goutte comme de petites chattes affamées.

Les muscles de Marcus ainsi offerts mêlaient le goût délicieux du foutre et de la sueur de mec. Cette ambiance lourde termina de nous exciter. Je me couchais à mon tour pour me branler alors que Maxime et Thomas se tenaient près de mon gland, prêts à recueillir ma sève fraîchement éjaculée. Je jouis très vite répandant ma semence sur leurs bouches avides. Ils se partagèrent ensuite ma queue, la nettoyant longuement de leurs langues humides et blanchâtres.

Ils se mirent ensuite debout de chaque côté de mon visage et giclèrent simultanément, arrosant mon visage. Le foutre de Maxime était très liquide et souilla toute la gueule. Thomas ne trouva rien de mieux que de gicler dans mes cheveux puis sur mes yeux !

Un peu de repos s’imposait et nos six corps repus se mêlèrent à nouveau entre eux dans un ensemble indescriptible. Je me retrouvais à lécher les panards de Sébastien, ces pieds en or qui ont fait les beaux jours des Girondins… la texture douce de sa peau m’incitait à explorer innocemment son anatomie et ma langue experte le tint encore éveillé quelques instants. Il me ramena à lui, m’embrasse longuement et me prit contre lui. Je sentis derrière moi la douce chaleur de Thomas qui vint se presser contre mon dos. Il m’embrassa dans le cou et me remercia timidement dans le creux de l’oreille.

Nous tombions tous dans un sommeil plus ou moins profond. Thomas et moi sommes revenus à nous dans la nuit, il devait être 1 heure du mat ou quelque chose approchant. Nous nous vêtîmes et nous remerciâmes Sébastien avant de le quitter.

Sur le retour Thomas et moi n’échangions aucune parole. Nous roulions lentement les vitres baissées, profitant du calme et de la fraîcheur retrouvée du soir. Nos corps puaient la transpiration et le sperme était encore séché au coin de nos lèvres, nos trous étaient profondément dilatés par des heures de pénétrations intenses. Mais Thomas m’avait ébloui par sa franchise, sa disponibilité. Nous avions vécu un instant des plus rares, nous avions encore fraternisé dans le plaisir de la chair. J’aimais le voir ainsi apaisé. Il me déposa devant chez moi et nous nous embrassâmes le plus naturellement du monde.

Et le plus naturellement, les yeux légèrement embués je lui dis « Je t’aime ».

Mathieu

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