Je me présente Mathieu, à l’époque de cette histoire j’allais avoir 19 ans.
Brun avec les yeux bleus, un petit mètre soixante-quinze pour 60 kg, pas spécialement musclé, mais bien dessiné. Cela devait faire 1 an que mon cousin et moi nous nous branlions mutuellement lorsque l’on dormait chez l’un. Nous sommes très proches, avons les mêmes amis, nous allons dans le même lycée. Donc souvent le week-end je dors chez lui ou le contraire.
Je ne sais plus comment c’est arrivé, mais j’avoue aimer nos branlettes du week-end. Brice est aussi brun, 1m80, les yeux noisette sportif et musclé, un an de plus que moi et un sexe de 19x5 contre mes 18x6.
Depuis quelques semaines, il a voulu tester la fellation, sûrement que la branlette ne devait plus lui suffire et après avoir eu sa bouche autour de ma bite je le comprends. Je me rappelle qu’il m’a sucé en 1er et je devais le sucer après, sauf qu’il se branlait en même temps, qu’il a du être dans son trip et m’a sucé peut être 4/5 minutes, mon jus commence a monté, je le préviens, je me retiens comme je peux, mais il continue.
Et bien j’ai prévenu, donc je peux tout lâcher (de toute manière j’avais plus le choix). Cela ne l’a pas arrêté, et il a joui en même temps à mes pieds, il avait tout avalé. J’étais aux anges.
Je lui ai demandé si c’était bon. Et que du coup je ne l’avais pas sucé. Il confirma avoir aimé le goût, et qu’il avait grave aimé même si je ne l’avais pas sucé, mais que je pouvais le sucer demain au réveil. J’ai dit OK, et je l’ai sucé au matin.
Même si sucer j’ai bien aimé, je n’ai pas avalé.
Bref entre branle et pipe, j’aime de plus en plus mes week-ends.
Et le week-end de mon dépucelage arriva. Nous étions seuls chez lui ce samedi.
Excité comme une puce, j’avais trop envie de me faire sucer et de lui donner mon sperme.
J’arrive vers 18h, on mange, une bière, et on monte dans sa chambre.
Enfin il va me vider la réserve de la semaine.
Oui il m’avait demandé de ne pas me branler de la semaine. J’avais les couilles pleines.
Et là, arrivé dans sa chambre, il me déshabille, m’allonge sur son lit, pose un bandeau sur mes yeux et il me roule une pelle. Notre 1er baiser.
J’ai eu un petit moment de recul, mais sentir sa langue contre la mienne m’a grave excité.
Du coup, je l’ai attrapé par la nuque, et je l’ai embrassé une éternité et j’étais en extase.
Après cette pelle incroyable, je pousse sa tête vers ma queue qui est au max de sa forme. Il a du me sucer env 30seconde, mais j’ai préféré lui tenir la tête et donner mon propre rythme et lui baiser sa bouche.
2 minutes plus tard, je lui vide mes couilles et il avala, sans en perdre une goute.
En relevant la tête il me dit.
– Je suis fan de ta bite et j’adore le goût de ton jus.
– Oui visiblement… vu qu’il n’y a pas une goute de perdu. Allez ! à mon tour de te faire plaisir.
– Non pas de suite, on va attendre que tu reprennes de la vigueur.
Entre roulages de pelle, de tétons et me léchages de couilles, 10 minutes après, j’étais revenu dans le game et bien dur.
J’avais toujours les yeux bandés.
Et là, il se mit sur moi à califourchon, ses fesses sur ma bite.
– Mais tu fais quoi là ?
– J’ai envie de voir si j’y arrive. Tu veux pas ?
– Si si, mais sans le bandeau. Mais ça ne va pas te faire mal ?
– On verra bien !
Il sort un tube de lubrifiant, et lubrifie son cul et ma queue.
Il avait déjà tout prévu.
Il me regarde droit dans les yeux et il se positionne.
Je lui dis : C’est ma 1re fois, tu sais ?
Il répond que lui aussi.
Et il commença à rentrer mon gland dans son trou serré.
J’étais excité comme un fou. La sensation de son trou sur mon gland est monumentale.
Je sens que sa force. Et d’un coup il rentre mon gland et il reste comme ça.
J’avais qu’une envie, c’est de rentrer le reste. La sensation de son trou qui s’ouvre autour de mon gland me donne un râle de plaisir et lui pousse un cri de douleur.
– Si tu as mal ? Tu veux arrêter ? Ce n’est pas grave, tu sais ?
– Non… Je te veux en moi.
– Cool ! car ton cul me fait kiffer.
À ses mots, Brice rentra 1 cm de plus. Puis ressorti puis il remit mon gland dans son cul qui s’ouvre un peu plus. Cette sensation m’électrisa, il fit ça 4 ou 5 fois, à chaque fois son cul s’ouvrait un peu plus et moi j’arrivais à un point de non-retour.
Je finis par mettre mes mains autour de sa taille, et donner un coup de reins pour faire rentrer le reste.
Son cul est une merveille, ma queue est entièrement en lui, je suis dans un autre monde.
Je repris mes esprits avec son cri de douleur, je viens le forcer son cul.
– Désolé Brice. Attends, je me retire.
Mes gestes accompagnèrent mes mots.
– Vas-y recommence !
Ce que je fis en le regardant dans les yeux.
Ce qu’il est beau quand il est entièrement possédé par moi.
Je lui enfonce et la retire 4 ou 5 fois.
Une fois, bien au fond, il se penche sur moi et me roule une pelle d’enfer.
Je commence à donner des petits coups de va et viens en lui.
On Gémissait tous les deux pendant ce baiser passionné.
Il se retira et s’allonge à côté de moi et me demande de continuer dans cette position.
Je me place derrière lui, place mon gland à l’entrée de son trou, et m’introduis en lui jusqu’au fond.
Les cris de douleur du début ont été remplacés par des cris de plaisir.
Je l’ai pris dans mes bras, tout en continuant mon va-et-vient en lui.
Au bout de quelques minutes, j’accélère et avec des derniers grands coups de reins, j’explose à l’intérieur de lui. Je suis resté en lui le temps de débander, en le gardant dans mes bras.
Je n’avais pas envie que ce moment se termine. Les bisous dans le cou, mon cœur qui tape contre son dos, son cul qui palpite sur ma queue, un moment de paix après une bataille.
– Merci… c’était génial… vas y tourne-toi, que je te remercie.
– Merci… oui… génial.
Il se retourne et je me dirige vers sa bite que je vais branler et sucer.
Sauf que je ne suis pas le seul à avoir joui.
Du coup je suis resté à côté de lui, je l’ai pris dans mes bras, embrassé, et nous nous sommes endormis comme deux amants exténués et heureux de leurs ébats.
Mat-la-bite
t.
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