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Le lendemain, je me réveille entouré par des bras.
Je me retourne et tombe nez à nez avec Paul. Il est réveillé et paraît mal à l'aise.
Moi, souriant : "bonjour !"
Paul : "bonjour... Ça te dérange pas qu'on fasse un câlin ?"
Je lui fais un bisou en lui caressant le torse, ses mains descendent sur mes fesses.
On passe un moment comme ça.
Sa queue a pris du volume. Je descends lui faire des bisous sur le torse, sur le ventre...
Je saisis sa verge et la leche avec un sourire coquin.
Paul : "vas-y suce la bien !"
Je prends le gland en bouche et commence un petit va-et-vient. Ma langue s'active. Il grogne et vient poser ses mains derrière ma tête, tendrement.
Je finis par lui enfiler une capote et revient sur lui.
Il nous retourne, me plaque sur le lit et présente son dard à ma fleur.
Il me prend en douceur.
Je sens la chaleur monter doucement en moi.
Au bout d'une dizaine de minutes, je gémis comme un fou. Son corps est collé au mien et je sens ses lents mouvements de bassin contre le mien.
Il me retourne, m'allonge entièrement jambes serrées et revient en moi.
Il reste un moment tout au fond de moi, faisant des mouvements latéraux sur mes fesses.
Après encore quelques minutes, il commence à me pilonner le cul sans ménagement.
Je cris.
J'essaye de lui dire que c'est trop bon mais seuls des gémissements sortent de ma bouche.
La porte de la chambre s'ouvre, c'est JL.
Il nous regarde avec un grand sourire, tout en deballant le matériel.
JL : "on vous entends dans toute la maison, les autres commençaient à se demander ce qu'il se passait..."
Paul me prend encore quelques minutes, pendant que JL se branle.
Il se retire puis vient devant moi.
Alors que je le prends en bouche, JL vient se caler derrière moi et entamé un va-et-vient tout aussi soutenu.
Je suis aux anges, limé des 2 côtés par 2 morceaux de chairs épais et durs.
Paul finie le premier.
Il me remplit la bouche puis sort.
Je sens la main de JL me plaquer contre le matelas et son bassin taper fort contre mes fesses.
Je hurle, mais pas de douleur, je suis complètement soumis et ouvert à mon homme.
Il me laboure le cul, je ne sens même plus ma fleur.
Enfin, dans un grognement, il se libére en moi.
Il se couche sur moi et me glisse à l'oreille : "t'es trop mignon quand tu es à tes limites."
S'il le dit... Je reprends lentement mon souffle, gemissant toujours.
JL se tourne vers Paul : "va à la douche maintenant, j'irais avec mon bébé après toi."
Il m'essuie tendrement le visage et reste en moi jusqu'à ce que Paul libére la salle de bain.
Il se retire et me prend par la main, direction le douche où il m'a câliné une bonne heure.
Paul est parti dans l'après midi. J'ai fini un repas de plus rouge vif, le fait que j'étais le centre d'un plan à 3 a beaucoup fait parlé.
J'ai passé la fin de mes vacances avec JL. Après le passage de son pote, il s'est montré beaucoup plus câlin avec moi... Mais toujours aussi entreprenant.
Le jour de mon depart, on a baisé toute la matinée. Il est resté en moi jusqu'à la dernière minute, et je ne l'ai pas repoussé même si ma fleur était douloureuse.
À l'aéroport, je me suis calé dans ses bras. Je n'avais aucune envie de le quitter, lui non plus vu comment ses bras étaient serrés autour de moi, mais les cours reprenaient.
Je vous le dis ici : j'ai pleuré dans l'avion, et les bras de Jano n'ont pas suffit à me réconforter.
J'ai revu JL, 2 ans plus tard... Je vous raconterai ça dans le prochain (et dernier) chapitre.
Cali
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