Premier épisode | Épisode précédent
Le soir venue, je me présente à la porte de la chambre de Thomas.
Il m'ouvre.
Il a mis une chemise et un pantalon pour l'occasion.
Je rougis. Comme je pensais que ça allait être purement sexuel, j'ai juste enfiler l'un de ses t-shirt, un peu grand même pour moi.
Il m'enlace et m'attire à l'intérieur.
Il a déjà un doigt dans mon cul.
Je le serre fort contre moi.
Moi : "tu m'as trop manqué !"
Il rigole.
C'est vrai que même si niveau sexe il restait soft, on se voyait tous les jours quand même.
Il m'allonge sur le lit.
Il sort sa queue qui grossie déjà par l'ouverture de son pantalon.
Il se glisse doucement en moi.
Je tortille du cul, trop heureux de retrouver mon jouet favori.
Une fois au fond, il s'allonge sur moi et me roule une longue pelle.
Je défais les boutons de sa chemise et caresse son torse.
Je réalise que, même si j'aime le sexe, c'est surtout avec lui que j'en profite vraiment.
Il commence à aller et venir en moi.
Ses mains me pressent les fesses. Je tremble chaque fois qu'elles remontent et me caressent la taille et le dos.
Il arrête de m'embrasser et me tient la tête d'une main.
Il continue son mouvement mais ses yeux ne quittent pas les miens.
Après 15 minutes de câlin, il se retourne, moi dans ses bras.
Il se retrouve assis sur le bord du lit, moi par-dessus.
J'ondule du bassin tout en tentant d'attraper ses lèvres.
Il tient toujours ma tête fermement, nos fronts se touchent, mais il m'en empêche.
Enfin il sourit puis vient m'embrasser avec fougue.
Je m'accroche avec force à sa nuque tandis qu'il me serre contre lui comme jamais il ne l'a fait.
J'en ai presque le souffle coupé... Mais je suis au paradis.
Après quelques minutes de câlin tendre, je me retrouve de nouveau allongé sur le dos.
Il recommence ses va-et-vient avec plus de vitesse et de puissance, tout en restant le plus possible contre moi.
Je commence à gémir plus fort, à sentir un grand plaisir en moi, et ni douleur, ni perte de contrôle.
Tout juste je ressers mon étreinte... Mais c'est plus pour être sûr qu'il ne s'éloigne pas.
Ses mouvements deviennent plus brutaux et saccadés.
Il a relevé mes jambes et calé sa tête dans mon cou. Je sens son souffle chaud de plus en plus irrégulier.
Alors qu'il donne un grand coups de rein qui m'arrache un petit cri, je referme mes jambes autour de sa taille.
Je sens sa queue qui convulse en moi, et en même temps je sens la mienne qui fait de même, et un liquide chaud sur mon ventre.
Je ne m'étais même pas rendu compte que je bandais.
Il se redresse, toujours en moi, essoufflé mais avec un grand sourire, surtout quand il remarque que j'ai jouie aussi.
Moi : "je t'aime mon cœur !"
Thomas : "moi aussi je t'aime."
Il est déjà en train d'essuyer le jus sur mon ventre.
Moi : "je croyais que ça allait être hard..."
Thomas : "tu te doutes bien que la soirée est loin d'être terminée..."
Il revient contre moi. Sa queue n'est plus aussi grosse, mais elle est toujours en moi.
Il m'embrasse et dit : "et puis toi tu aimes les câlins... Je ferais tout pour faire plaisir à mon bébé."
Je l'enlace et lui répète que je l'aime
Il finit par sortir, range son épée dans son fourreau, et m'invite à choisir un film pendant qu'il va chercher le repas.
Il revient peu après avec une salade de riz et des burgers maisons sur un grand plateau.
On se cale l'un à côté de l'autre et il passe un bras derrière moi.
Je m'empresse de finir mon burger puis je me blotti contre lui, profitant de ce moment câlin au maximum.
Quand il a fini, Thomas pose le plateau au sol.
Il profite qu'on ait bougé pour reposer ma tête sur son ventre et ressort son épée.
Je le suce tranquillement devant le film pendant qu'il me caresse, s'attardant souvent sur ma fleur.
Le film n'est même pas terminé qu'il me saisit par la nuque et me penche en avant.
Je me retrouve la tête contre le matelas et le cul en l'air.
Il glisse son membre en moi jusqu'au fond.
Je le vois poser ses mains de chaque côté de mon corps et je sens tous ses muscles se tendre.
Il me pilonne sans retenue, je crie.
Il fait quelques va et vient puis ralentit.
Thomas : "ça va?"
Moi : "oui ! Continue siteplait !"
Il recommence tout aussi fort.
Après 10 minutes, il me soulève par les cheveux.
Il me ramène contre lui, m'obligeant à me cambrer.
Une main tenant ma taille, l'autre serrant mon cou, il donne un coups sec du bassin, puis un autre, et encore un.
À chaque passage, mon corps tremble, et chaque fois qu'il arrive au fond, je ressens une explosion de plaisir dans mon ventre.
Il chuchote à mon oreille : "ça va toujours bébé ?"
Je dois viser les moments où il sort pour répondre.
Moi : "oui ! C'est trop HAN !... Bon !!! HAN! plus... Plus fort... HAN !"
Il tourne ma tête vers lui.
Thomas : "tu veux que je te démonte ?"
Je hoche la tête.
Thomas : "dis le !"
Moi : "HAN ! Bai... Baise moi siteplait... HAN ! HAN ! AAAAAH !"
Il m'a rabaissé sur le matelas et se serre de mon cul comme un sextoy.
Je fourre ma tête dans la couverture pour limiter les décibels.
Je ne sais plus où j'en suis.
De temps à autres je sens une fessée, un tirage de cheveux. Mon petit ventre me torture de plaisir, je ne contrôle plus rien.
Il s'arrête d'un coup et sort.
Il retire sa chemise trempée, son pantalon, et glisse son gland dans ma bouche.
Il me baise vite fait puis me tourne.
Il ramène mes jambes contre mon torse et m'enfile d'un coup.
Alors que je crie, il me met une gifle.
Il n'a plus aucune retenue et me ravage le cul. Pourtant, même si je dois admettre que ma fleur commence à chauffer, je n'éprouve ni l'envie ni le besoin de le ralentir.
Je profite qu'il se rapproche pour l'enlacer et l'attirer contre moi.
Moi : "encore... HAN !... core..."
Ses mains me saisissent à la gorge et serrent tandis que son bassin redouble de vigueur.
C'est une sensation étrange. Je n'aime pas, mais en même temps la puissance de mon plaisir et décuplé.
Je sens chaque centimètre de sa queue qui plonge en moi puis ressort, son gland ouvrant le passage en moi puis électrisant ma prostate avant de repartir.
Il relâche la pression sur mon cou et colle avec brutalité son bassin à mes fesses. Il me remplit pour la seconde fois.
Alors qu'il reprend son souffle, il remarque mes larmes.
Immédiatement, il redevient mon chéri et se colle à moi avec douceur.
Thomas : "ça va ?"
Je le serre fort dans mes bras.
Moi : "je t'aime... Han... C'était... Je... Han... Whouah..."
Il rigole.
Je sens sa queue qui ne debande pas.
Il m'embrasse avec douceur et recommence de petits va-et-vient.
Moi : "oh mon dieu !!! Han ! T'es increvable ! Han !"
Thomas : "tu veux qu'on fasse une pause ?"
Je l'embrasse.
Moi : "non ! Ah ! Tu peux... Tu peux... Han! Me faire l'amour toute la... Han! Nuit..."
Il s'allonge sur moi de tout son poids, m'embrasse, me caresse.
Thomas : "c'était bien mon intention..."
Cali
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