Premier Saison
Je suis réveillé par la luminosité qui entre dans la pièce.
Je profite de l'instant et n'ouvre pas mes yeux tout de suite.
Je sens sa main posée sur mon ventre, son torse dans mon dos. Sa respiration est lente et régulière, je peux sentir son souffle dans mon cou, il dort encore.
Je me sers contre lui en douceur. Je sens sa queue contre mes fesses. Même au repos elle m'excite.
Après quelques minutes, sa respiration change.
Son bras musclé ressert sa prise sur mon ventre et me colle à lui.
Sa queue, qui se réveille elle aussi, se cale entre mes fesses.
Il bouge et je sens ses lèvres dans mon cou.
Lui : "Bonjour mon bébé !"
Moi, me retournant pour être face à lui : "bonjour mon chéri !"
On reste un moment à se câliner en douceur.
Ça fait quelques semaines que nous sommes ensemble Thomas et moi.
Le problème avec lui, le seul problème, c'est que non content d'avoir une libido perpétuellement au max, il devient très sauvage quand l'excitation monte trop.
Comme il ne veut pas me faire mal, il refuse de me prendre dès le matin
Pourtant il bande comme un taureau, ce matin comme tous les autres.
Je me pose sur lui et fait glisser mes fesses sur son mat dressé.
Comme d'habitude, il me met un doigt pour me rappeler que ma fleur est encore douloureuse de la veille.
Moi : "mais j'ai envie de toi..."
Je le couvre de bisous et de caresses.
Lui me malaxe les fesses.
Je peux lire dans son esprit : il a tout autant envie que moi, mais il a trop peur, à raison, de me faire mal.
C'est le pur désir qui m'attire vers lui comme le moustique vers la lampe ultraviolet. Ma fleur protesterait si elle pouvait parler.
Il me redresse puis me porte.
On va jusqu'à la douche. Il me plaque contre le mur et m'embrasse.
Je ressers ma prise pendant qu'il règle l'eau.
Moi : "faudrait que je m'entraîne, j'en ai marre de pas pouvoir te satisfaire..."
Lui : "hey, c'est pas grave. J'ai pa..."
Moi : "si c'est grave !"
Il me caresse la joue tout en me fixant du regard.
Lui : "j'aime ton petit air mutin... Écoute, j'ai passé une excellente nuit, comme toutes celles que j'ai passé avec toi en fait..."
Il attrape un gode assez long mais très fin et l'enduit de gel.
Il le glisse lentement dans mon cul.
Il le rentre à fond et active les vibrations. Je gémis. Ma fleur est à peine écartée mais je me sens rempli.
Je m'accroche à lui plus fort.
Lui : "à la base je suis plutôt libertin, je peux appeler une ou deux personnes si tu veux t'entraîner..."
Je réfléchis. C'est vrai qu'il m'autorise encore à voir Zach et son frère, mais ça reste ponctuel, on ne se voit pas assez souvent pour entraîner ma fleur.
Mais du coups je comprends mieux pourquoi il a accepté ces relations.
Je sens une douce chaleur dans mon bas ventre et je gémis de plus bel.
L'une de mes mains caresse sa verge tendue pendant que l'autre s'accroche à lui.
Ses mains me malaxent les fesses et ses lèvres prennent les miennes avec passion.
Lui : "alors ? Tu en dis quoi ?"
Je profite encore un peu de ses baisers.
Moi : "d'accord."
Il me lâche les jambes et m'appuie sur la tête.
Je m'assois.
Je sens le gode au plus profond de moi.
Il présente son gland et je le prends en bouche sans hésiter.
Je le suce un peu.
Comme prévu, au moment où son excitation grimpe, il me saisit la tête et me baise la bouche.
Il sort juste au bon moment pour recouvrir mon visage de sperme.
Il me relève et m'embrasse avant même d'avoir rincer mon visage.
Je me colle à lui. J'aime tellement sentir sa peau contre la mienne.
Il coupe l'eau. Je commence à retirer le gode mais il m'en empêche.
Lui : "ton entraînement commence maintenant."
On est samedi donc ça me dérange pas.
J'ai gardé le gode en moi toute la journée.
Étrangement, il m'a demander très souvent, plus que d'habitude, de le sucer.
Le soir venue, je me pose en petite cuillère pour passer la nuit dans ses bras.
Il retire le gode.
C'est une libération mêlée de privation.
Il se colle à moi et son gland passe ma fleur sans difficulté.
Il me la met à fond et chuchote à mon oreille : "je vais rester en toi toute la nuit... J'espère que tu m'as assez vidé sinon le réveil risque d'être douloureux..."
Sa main se pose sur mon ventre qu'elle caresse avec douceur.
Je me sens rempli par mon homme et, passé le moment de gêne, je m'endors sans problème, comblé.
Cali
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